Cinéma
Notre Dame brûle
Un film de Jean-Jacques Annaud avec Chloé Jouannet, Élodie Navarre, Jérémie Laheurte, Maximilien Seweryn, Jesuthasan Antonythasan, Tony Le Bacq, Kevin Garnichat, Michael Laguens
NOTRE-DAME BRÛLE reconstitue heure par heure l’invraisemblable réalité des évènements du 15 avril 2019 lorsque la cathédrale subissait le plus important sinistre de son histoire. Et comment des femmes et des hommes vont mettre leurs vies en péril dans un sauvetage rocambolesque et héroïque.
Découvrez la bande annonce du film
À voir au cinéma dès le 16 mars 2022
Cinéma
Tarantino veut tourner "à l'automne" son 10e film
Le réalisateur américain culte Quentin Tarantino a annoncé mercredi qu'il comptait tourner "à l'automne" son dixième film. Celui-ci est programmé pour être l'ultime de sa carrière.
"J'ai terminé le scénario de ce qui sera mon dernier film", a déclaré le réalisateur de "Pulp Fiction", "Kill Bill" ou "Inglourious Basterds", interrogé à Paris à l'occasion de la sortie de son nouvel essai "Cinéma Spéculations" (Flammarion) par le délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux.
"J'imagine que je le tournerai probablement à l'automne", a-t-il ajouté, ajoutant que toutes les rumeurs qui avaient pu courir sur ce film n'étaient que spéculations. Intitulé "The movie critic", le film se déroulera en 1977, a-t-il simplement précisé. Il "n'est pas consacré à une journaliste critique de cinéma" et "n'est pas un biopic de Pauline Kael", figure critique du New Yorker décédée en 2001, comme avaient pu l'évoquer récemment certains médias.
Réalisateur aux films truffés de références cinéphiles, Tarantino, 60 ans, rendait déjà hommage au cinéma américain de la fin des années 1960 et du début des années 1970 qu'il affectionne dans son neuvième et dernier film en date, "Il était une fois à... Hollywood" (2019). Il a plusieurs fois dit vouloir arrêter sa carrière une fois qu'il aurait réalisé dix films (en comptant comme un seul les deux volumes de "Kill Bill"), alimentant encore davantage les attentes de ses fans sur cet opus à venir.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Cinéma
"Visions du Réel": le cinéma documentaire est sorti de son ghetto
Le festival "Visions du Réel", qui se tient du 21 au 30 avril à Nyon, projettera les deux documentaires qui ont gagné à la dernière Mostra de Venise et à la Berlinale. Des films puissants qui prennent le pouls de l'époque.
Le cinéma documentaire est sorti de son ghetto et a rejoint les grands festivals internationaux. A la dernière Berlinale en février, le documentaire sur la psychiatrie du réalisateur français Nicolas Philibert "Sur l'Adamant" a gagné l'Ours d'Or.
A la Mostra de Venise, un documentaire sur la crise des opiacés "All the Beauty and the Bloodshed" de la réalisatrice américaine Laura Poitras s'est vu décerner le Lion d'Or. Il s'agit d'un voyage à travers la vie de la photographe Nan Goldin, connue pour ses clichés du New York underground, des malades du sida et de la crise des opiacés.
Donner de l'élan pour aller en salle
Les deux films seront visibles à Visions du Réel avant leur lancement en salles, "une façon de leur donner de l'élan en travaillant avec les cinémas, dont on connaît les difficultés", a relevé Emilie Bujès, la directrice artistique du festival lors d'une rencontre à Lausanne avec Keystone-ATS.
"Laura Poitras ne pourra pas être là, mais participera à un débat en ligne le soir de la diffusion du film, le premier dimanche du festival". Quant à "Sur l'Adament", il sera projeté - gratuitement et sur réservation - en préouverture du festival le jeudi 20 avril.
Même si Visions du Réel soutient le retour dans les salles, le festival reste sur une formule partiellement hybrique. Les amateurs de documentaires pourront voir une partie des films en ligne après leur diffusion dans une des six salles du festival, via un abonnement au coût modique.
Au total, le festival va présenter 163 films, dont 82 premières mondiales (films jamais diffusés), onze premières internationales (déjà diffusés uniquement dans le pays de production), deux premières européennes, et 26 premières suisses.
Un choix parmi 3000 films
L'équipe de programmateurs a fait son choix parmi les 3000 films, où 46 pays sont représentés au final, souvent avec le soutien de la Direction du développement et de la coopération (DDC). La parité a également été respectée avec 50% des films réalisés par des hommes et 50% par des femmes.
Pour permettre aux cinéphiles de se retrouver dans cette offre généreuse, le festival propose des parcours, regroupés autour de thèmes comme Affaires de famille, Deus ex machina, Planète en surchauffe, Hostilités et Emancipation.
Côté suisse, 37 (co)productions helvétiques sont proposées dans les sections du festival, dont trois en Compétition internationale (longs métrages): "While the Green Grass Grows" du réalisateur helvetico-canadien Peter Mettler tourné dans la campagne appenzelloise, "Pure Unknown" de Valentina Cicogna et Mattia Colombo, consacré à l'enterrement des migrants noyés en mer et "Antier noche" d'Alberto Martin Menacho, qui dépeint un petit village espagnol, dont la population décline.
Une section est uniquement dédiée aux (co)productions suisses, la Compétition nationale (longs et moyens longs métrages) avec 12 films, dont 11 premières mondiales et une première internationale. Parmi eux, trois films alémaniques: "Chagrin Valley" de Nathalie Berger sur un établissement destiné aux personnes atteintes de démence, un ciné-poème "Floating Islands" de Nicolas Humbert et Simone Fürbringer ainsi que "Ruäch" d'Andreas Müller et Simon Guy Fässler, consacrés aux Yéniches.
Côté romand
Du côté romand (en co-production), "Full Tank" de Benjamin Bucher et Julia Bünter, qui raconte l'histoire d'un entrepreneur fortuné, rêvant de participer au 24 Heures du Man. Il est coproduit par le Lausannois Jean-Stéphane Bron, un des trois cinéastes invités d'honneur de cette 54e édition, aux côtés de l'Argentine Lucrecia Martel et de l'Italienne Alice Rohrwacher.
On peut encore citer le nouveau film d'Emanuelle Tille "The Wonder Way". La réalisatrice embarque le spectateur dans un voyage à travers des territoires insolites. Et "Le fils du chasseur", tourné en Valais par Juliette Riccaboni, dans lequel un jeune essaie de se rapprocher de son père.
Un documentaire pour la reine du disco
L’iconique Reine du disco n'est pas oubliée avec le documentaire flamboyant "Love to Love You, Donna Summer", raconté par sa fille Brooklyn Sudano et le réalisateur oscarisé Roger Ross Williams, tandis que Matthieu Rytz, cinéaste nyonnais, viendra dévoiler "Deep Rising", sur l'exploitation minière en eaux profondes, après son lancement au festival du film indépendant de Sundance aux Etats-Unis, créé par Robert Redford.
Dans la section Compétition internationale moyens et courts métrages, on peut signaler "2720" sur une sortie de prison de Basil Da Cunha, dont les films ont été présentés à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes. Sans oublier Guillaume Brac, "une star" du cinéma indépendant français avec "Un pincement au coeur", le conte d'un été révolu.
Difficile d'imaginer un festival à Nyon sans hommage aux monstres sacrés du cinéma suisse disparus l'an dernier: Visions du Réel projettera "JLG/JLG: Autoportrait de décembre" de Jean-Luc Godard et "Les Hommes du port" d'Alain Tanner.
Enfin, le festival a un pan uniquement destiné aux professionnels - 1300 l'an dernier. Les TV, les festivals mais aussi les plateformes comme Netflix et Mubi ne manqueront pas ce nouveau rendez-vous annuel.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Cinéma
"Drii Winter" et "La Ligne" en tête des nominations pour les Quartz
Les prix du cinéma suisse 2023 seront décernés vendredi soir à Genève. Le film "Drii Winter" de Michael Koch arrive en tête pour les Quartz, avec six nominations. Il devance "La Ligne", de la Franco-Suisse Ursula Meier, nommée dans cinq catégories.
"Drii Winter" peut notamment espérer l'emporter dans les catégories "meilleur film de fiction", "meilleur scénario", "meilleur acteur" et "meilleure actrice". Il est également en lice pour sa musique et son son, avait annoncé l'Office fédéral de la culture (OFC) lors de la "nuit des nominations" célébrée aux Journées de Soleure fin janvier.
Le film du réalisateur lucernois raconte l'histoire d'Anna (Michèle Brand) et de Marco (Simon Wisler) dans un village isolé. Marco souffre d'une tumeur au cerveau, ce qui lui fait perdre visiblement le contrôle de lui-même. Il en résulte des tensions avec les villageois et dans sa relation avec Anna.
"Drii Winter" avait été désigné pour représenter la Suisse dans la course à l'Oscar du meilleur film étranger, mais a été éliminé au premier tour en décembre dernier.
Les actrices d'Ursula Meier
Il est talonné, dans la liste des nominations, par "La Ligne". Le film d'Ursula Meier, tourné au Bouveret (VS), déroule le fil d'un drame familial sur fond de violence féminine entre une mère, jouée par Valeria Bruni Tedeschi, et sa fille aînée, interprétée par Stéphanie Blanchoud.
Le long-métrage d'Ursula Meier est lui aussi en lice pour les Quartz du meilleur film de fiction et du meilleur scenario. Stéphanie Blanchoud a été sélectionnée pour le prix de la meilleure actrice, mais aussi de la meilleure musique. La jeune Elli Spagnolo, une adolescente vaudoise, a quant à elle été nominée pour le meilleur second rôle féminin.
Les deux films "La ligne" et "Drii Winter" ont été présentés à la Berlinale en 2022. Celui de Michael Koch était reparti avec une mention spéciale du jury de l'Ours d'or.
Révolutionnaire russe
Trois autres films ont été sélectionnés pour le prix du meilleur film de fiction: "Foudre" de la Genevoise Carmen Jaquier, "El Agua" d'Elena Lopez Riera et "Unrueh" de l'Alémanique Cyril Schäublin.
Ce dernier film, déjà récompensé à la dernière Berlinale, est nominé au total dans quatre catégories. Il se déroule à la fin du XIXe siècle dans les usines horlogères du Jura. Le révolutionnaire russe Peter Kropotkine assiste à la création d'un syndicat anarchiste par des ouvriers exaspérés par les cadences de production.
Portrait de l'émancipation d'une jeune femme en Valais au début du XXe siècle, "Foudre", quant à lui, est sélectionné dans trois catégories.
Deux comédiens bernois concourent pour le prix du meilleur acteur masculin. Manfred Liechti incarne le forcené de Bienne dans "Peter K. - Seul contre l'Etat" du journaliste et réalisateur biennois Laurent Wyss. Michael Neuenschwander joue le rôle du trouble ambassadeur suisse à Berlin pendant la Seconde Guerre mondiale dans "A forgotten man" du Genevois Laurent Nègre.
Dans la catégorie documentaire, les films retenus sont "(Im)mortels" de Lila Ribi, "Cascadeuses" d'Elena Avdija, "Girl Gang" de Susanne Regina Meures, "L'Îlot" du Lausannois Tizian Büchi et "Loving Highsmith" d'Eva Vitija.
Parmi les courts métrages (d'une durée allant de 1 à 59 minutes), "Je suis noires" déconstruit le racisme en Suisse. Dans ce contexte, Rachel M’Bon, journaliste suisso-congolaise, entame sa propre quête identitaire. Ce film a déjà été projeté lors des Journées de Soleure au début de l'année et sélectionné par le Festival international du film et forum international sur les droits humains (FIFDH).
"La reine des renards" de la Lausannoise Marina Rosset est l'un des trois films d'animation sélectionnés. Il a déjà été primé récemment par le Festival international du film d'animation d'Annecy et celui de Fantoche à Baden (AG).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Cinéma
La sortie du film d'horreur Winnie l'ourson annulée à Hong Kong
Le film d'horreur "Winnie-the-Pooh: Blood and Honey" (Winnie l'ourson: du sang et du miel) ne sortira pas à Hong Kong et à Macau, a annoncé le distributeur mardi à quelques jours de la sortie. Ce retrait illustre l'autocensure croissante sous la pression de Pékin.
Le président chinois Xi Jinping a été caricaturé sous la forme de Winnie l'ourson, le personnage débonnaire de contes pour enfants initialement imaginé par le Britannique Alan Alexander Milne, depuis une rencontre en 2013 avec le svelte président des Etats-Unis de l'époque, Barack Obama.
Loin des mises à l'écran de Disney et du studio soviétique Soyuzmultfilm qui ont rendu le personnage populaire d'un côté comme de l'autre du rideau de fer, la version "Du sang et du miel" est une adaptation "gore" de Rhys Frake-Waterfield sortie en février aux Etats-Unis.
Symbole de l'opposition
Initialement promise à une diffusion en salles très modeste, cette production à petit budget réalisée à la faveur du passage des droits dans le domaine public, s'est transformée en phénomène bénéficiant d'une sortie mondiale.
Le distributeur VII Pillars Entertainment a exprimé ses "profonds regrets" pour cette annulation à Hong Kong, sans en préciser la cause, dans un message sur Facebook mardi.
L'administration de Hong Kong a indiqué avoir émis une autorisation de diffusion pour "Du sang et du miel", semblant indiquer que le film n'avait pas été censuré. Mais l'organisateur d'une avant-première qui était prévue lundi a annulé l'événement, citant des causes techniques non précisées.
Winnie l'ourson est devenu un symbole de l'opposition au président chinois ces dernières années. En réponse, la Chine n'a cessé d'expurger l'Internet même à l'intérieur de ses frontières et a refusé, en 2018, la sortie du film de Disney "Christopher Robin" dans lequel le personnage figurait.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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