Suisse
Sunrise en bonne voie pour reprendre UPC
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Sunrise franchit une étape clef dans le cadre de la reprise d'UPC Suisse. N'y voyant aucune objection, la Commission de la concurrence (Comco) a donné son feu vert au rachat du câblo-opérateur zurichois à son propriétaire Liberty Global sans condition.
Pour la plupart des marchés, il n'existe que peu de chevauchements entre Sunrise et UPC et ceux-ci n'ont pas été considérés comme étant problématiques, constate jeudi la Comco. Contrairement à la fusion entre Sunrise et Orange - que le gendarme de la concurrence avait interdite en avril 2010 -, il s'agit en l'espèce plutôt d'une concentration complémentaire par laquelle le portefeuille de Sunrise se voit complété par l'infrastructure de réseau câblé d'UPC, explique la Commission.
La Comco observe en outre que Sunrise et UPC ont fait part de leur volonté "d'offrir des produits attrayants sur les marchés de l'accès à internet à haut débit basés sur l'infrastructure du réseau câblé d'UPC à un rapport qualité/prix avantageux en vue d'attirer de nouveaux clients et ainsi gagner des parts de marché". La transaction devrait en conséquence venir stimuler la concurrence.
La décision confirme l'avis de Sunrise selon lequel la transaction lui offrira des avantages compétitifs importants et consolidera son rôle de concurrent, écrit pour sa part le numéro deux helvétique des télécommunications. Ce dernier rappelle que l'opération permettra de réaliser des économies de coûts considérables en particulier dans le secteur du marché de gros ainsi que d'optimiser les ventes croisées.
Assemblée générale décisive
Dans la foulée, l'opérateur établi à Zurich annonce la tenue de l'assemblée générale extraordinaire qui devra se prononcer sur l'augmentation de capital nécessaire à la transaction pour le 23 octobre. Pour financer l'acquisition d'UPC Suisse pour 6,3 milliards de francs, Sunrise prévoit pour mémoire d'augmenter son capital-actions de 4,1 milliards, opération qui ne fait pas l'unanimité parmi les propriétaires de l'opérateur.
Actionnaire de référence de Sunrise avec une participation de près de 25%, l'allemand Freenet a manifesté son opposition à l'augmentation de capital ainsi qu'au rachat d'UPC Suisse. L'opérateur d'outre-Rhin a été rejoint il y a peu par la société d'investissements allemande AOC, qui détient pour sa part 3% de Sunrise.
"Grâce à l'approbation de la Comco, nous avons franchi une étape importante sur la route menant à New Sunrise. À travers l'acquisition d'UPC Suisse par Sunrise, la Suisse accueillera un challenger de taille sur le marché des télécommunications", a commenté le directeur général de Sunrise Olaf Swantee, cité dans le communiqué.
La fusion des infrastructures de Sunrise et d'UPC Suisse ainsi que les investissements d'environ un demi-milliard de francs par an offriront une infrastructure internet haute performance et un réseau 5G potentiellement capables de fournir d'ici 2021 un accès internet haut débit de jusqu'à 1 Gbit/s à 90% des ménages.
La transaction apporte également aux actionnaires de Sunrise une "valeur ajoutée substantielle et assure la rentabilité à long terme de l'opérateur", conclut ce dernier.
Genève
Un taxi aérien sans pilote pourrait débarquer en Suisse rapidement
Plusieurs pays voient déjà dans leur ciel de petits hélicoptères biplaces où les occupants ne sont que des passagers. Exposé à Genève dans le cadre du sommet "IA pour le bien commun", cet engin de mobilité urbaine pourrait être rapidement opérationnel en Suisse.
"Nous avons des plans pour l'Europe", a affirmé à Keystone-ATS un responsable pour l'Europe de la start-up chinoise EHang, leader du marché mondial de la mobilité urbaine aérienne. Si rien n'est décidé encore pour la Suisse, le dispositif "pourrait aller très vite", dit-il.
Active dans 19 pays, la société a obtenu une certification de l'Agence européenne de sécurité aérienne (AESA). Or, c'est celle-ci "qui est compétente et non les autorités nationales", a dit à Keystone-ATS un porte-parole de l'Office fédéral de l'aviation civile (OFAC). Une entreprise suisse est en cours de certification auprès de l'AESA, mais pas pour de la "mobilité urbaine" comme EHang.
Pour la start-up chinoise, le nombre de pays où cette technologie devrait être utilisée devrait augmenter très rapidement. Il atteindra une centaine d'entre eux "bien avant" 2030", estime son responsable. En Chine, "nous ne pouvons satisfaire la demande" tant elle est importante, ajoute-t-il.
Des grandes villes affectées par le trafic routier urbain voient déjà certains patrons recourir à ces taxis aériens. Mais les utilisations vont aussi bien de la livraison urgente de matériel médical, comme le font aussi parfois des drones, au tourisme en passant par les acheminements postaux ou de marchandises.
Vers des changements en Suisse
L'engin peut voler jusqu'à 400 mètres d'altitude avec une autonomie de 30 km, mais il reste sous les 120 mètres en raison des réglementations. Il faut convaincre la société de laisser la place dans l'aménagement urbain à ce type d'acteur qui a besoin d'infrastructures d'accompagnement au sol pour voler, quitte à sacrifier certaines zones.
"L'acceptation sociale" est plutôt positive tant la population voit les défis de mobilité dans les grandes villes, explique le responsable. L'objectif est également d'atteindre des territoires plus difficiles d'accès, hors des zones urbaines, ajoute-t-il.
L'OFAC fait de son côté remarquer que, outre l'acceptation, les principales difficultés sont liées au bruit, ainsi qu' à "la visibilité électronique et la visibilité générale".
Le Conseil fédéral affirmait récemment dans un rapport que le premier espace aérien qui permet aux pilotes de drones de dialoguer entre eux et avec les autres usagers devrait être a priori établi à Zurich. Il ajoutait que des règles devraient être adaptées pour les infrastructures de décollage et d'atterrissage de ce dispositif.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les pluies n'ont pas comblé le déficit pluviométrique
Les précipitations du début de semaine n'ont pas permis de combler le déficit pluviométrique en Suisse. Sur le Plateau, il est tombé environ 15 millimètres de pluie sur une grande partie du territoire.
Chaque goutte est la bienvenue et les précipitations ont certes quelque peu atténué la sécheresse, mais le déficit de précipitations persiste, a indiqué mardi l'Office fédéral de météorologie et de climatologie (MétéoSuisse) à Keystone-ATS.
Il est tombé jusqu'à 40 millimètres de pluie sur le Plateau et 60 à 70 millimètres dans les Alpes glaronnaises et grisonnes. Cependant, cela ne compense pas un mois de juin très sec, explique MétéoSuisse. De plus, le temps était très ensoleillé et l'humidité en surface s'est évaporée. Selon les prévisions, il n'y a actuellement pas de signes clairs d'une plus grande quantité de pluie dans les jours et semaines à venir.
L'arrivée du froid a également apporté de la neige en altitude. Au-dessus de 2500 mètres d'altitude, il y a eu en de nombreux endroits de 5 à 15 centimètres de neige, et au-dessus de 3000 mètres d'altitude, en Suisse centrale, de 30 à 50 centimètres, poursuit MétéoSuisse. Cela n'a rien d'exceptionnel à cette époque de l'année, mais en raison d'un mois de juin très chaud, la vague de froid y est plus visible.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Affaire Nezzar: deux plaignants saisissent la Cour de Strasbourg
Deux plaignants dans l'affaire Khaled Nezzar ont saisi la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg. Le Tribunal pénal fédéral (TPF) avait classé le dossier après le décès de l'ancien ministre algérien, accusé de crimes contre l'humanité et crimes de guerre.
Les deux plaignants ont saisi la Cour lundi et estiment que la Suisse a violé leur droit à un procès équitable, a affirmé mardi l'ONG Trial international à Genève. Ils dénoncent la lenteur de l'investigation, un "déni de justice" selon eux.
Après des recours, la Cour des plaintes du TPF avait considéré en mars dernier que les longues périodes sans activité dans cette affaire et la succession de cinq procureurs ne constituaient pas des violations des obligations à l'égard des plaignants.
La procédure pour les faits remontant aux années 1990 avait été ouverte en 2011 en Suisse après une dénonciation par Trial international. Comme ministre de la défense, Khaled Nezzar avait l'autorité sur l'armée alors que celle-ci a perpétré des exactions comme de la torture et des exécutions extrajudiciaires.
Un acte d'accusation n'avait été déposé qu'en août 2023, quatre mois avant le décès de Khaled Nezzar. La procédure avait ensuite été classée sans conséquence alors que le procès était prévu en juin de l'année dernière.
Selon les avocates des plaignants, aucune volonté réelle de poursuivre l'accusé n'a été observée. "Nous dénonçons les carences organisationnelles ainsi que les interférences d'ordre politique qu'il y a eu dans cette affaire, documentées dans le dossier", ont-elles expliqué.
L'ONG Trial demande de son côté que des ressources suffisantes soient attribuées au Ministère public de la Confédération (MPC). Et de garantir des procès dans un délai raisonnable pour les plaignants dans des affaires liées à des crimes internationaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les exportations d'armes ont augmenté au premier semestre 2025
Les exportations de matériel de guerre de la Suisse ont augmenté au premier semestre 2025. L'Allemagne est le plus gros client avec environ 160 millions de francs, suivi par les Etats-Unis avec plus de 50 millions.
Au total, du matériel de guerre a été exporté pour environ 358 millions de francs, selon les chiffres du Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco). Des régimes autoritaires comme le Qatar et l'Arabie saoudite font partie des acheteurs d'armement suisse.
Le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) estime mardi que, s'il n'est pas possible d'interdire toutes les exportations d'armes, la Suisse doit en garder le contrôle maximal afin d'éviter que du matériel de guerre suisse n'atterrisse dans des zones de guerre.
Selon GSsA, ce premier semestre 2025 le troisième en terme de volume d'affaire de ces dix dernières années, après les années record 2020 et 2022. Par rapport au premier semestre 2024, une augmentation de 20,5% a été enregistrée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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