Suisse
Nourriture pas assez écolo en ville, dit Greenpeace
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L'impact de l'alimentation sur le climat et la biodiversité dans les 10 principales villes de Suisse est toujours à la traîne, avertit Greenpeace. En dix-huit mois, l'ONG ne relève des progrès qu'à Bienne et Zurich.
Environ 280 millions de repas par an sont servis par des institutions publiques en Suisse, dont une part importante au niveau des villes. Un énorme levier, selon Greenpeace, qui publie mercredi son analyse des directives alimentaires, dix-huit mois après sa première comparaison. Pour mémoire, l'alimentation représente 27% de l'impact environnemental d'un ménage suisse.
Les villes achètent de grandes quantités de nourriture pour les écoles, le système de santé et l’administration publique, soit directement soit en tant que donneuses d’ordres mais elles ignorent "trop souvent ce potentiel", juge l'ONG. Si Bienne et Zurich "ont indéniablement fait des progrès", la majorité des municipalités n'ont fait que des avancées "insignifiantes", tandis que trois d'entre elles "n'ont rien changé" à leurs lignes directrices.
Améliorations à Lausanne et Genève
En dix-huit mois, Bienne s’est donné des critères de durabilité stricts pour la restauration des enfants dans les écoles et l’accueil extrafamilial, constate Greenpeace. L’élément qui lui manque est une stratégie alimentaire couvrant l’ensemble des services de la ville, ajoutent les écologistes.
Les villes de Bâle, Berne, Genève, Lausanne et Winterthour (ZH) réalisent au moins des améliorations ponctuelles. Certaines ont renforcé leurs directives, d'autres ont mené des activités de sensibilisation. L'impression est moins bonne à Lucerne, Saint-Gall et Lugano, qui n’ont quasiment pas progressé aux yeux de Greenpeace.
Du côté des grandes villes romandes sous revue, Greenpeace salue le renforcement des règles pour la restauration scolaire et le fait que la viande est abordée dans les campagnes de sensibilisation à Lausanne. A Genève, l'ONG relève positivement l'intégration de l'alimentation dans le plan d'action du développement durable. Des activités de sensibilisation y sont notamment proposées.
Si ces dix villes souhaitent franchir un palier, Greenpeace rappelle que les critères prioritaires pour ce qui concerne le climat et l'environnement sont, dans l'ordre, la quantité de produits d'origine animale, la réduction du gaspillage, l'agriculture biologique et la saisonnalité.
Genève
Circulation: Pierre Maudet annonce des prochains mois difficiles
Le conseiller d'Etat Pierre Maudet annonce que la circulation à Genève demeurera difficile ces prochains mois. Le trafic est fortement ralenti au centre-ville, avec d'importants embouteillages à la clé, depuis que les Services industriels de Genève (SIG) ont ouvert un énorme chantier, il y a une dizaine de jours, à deux pas de la rade.
Dans une interview accordée à la Tribune de Genève, vendredi, le magistrat a dit entendre "le ras-le-bol et la lassitude des Genevois". Il a aussi déclaré penser aux entreprises et aux artisans "pour qui ces travaux ont un réel impact économique". Mais il demande à la population de s'armer "de patience et solidarité".
Selon Pierre Maudet, le trafic chaotique en ville résulte de "la conjonction de chantiers simultanés". Le conseiller d'Etat a fait remarquer que ces dernières années, une série de travaux a été repoussée et "doit se faire maintenant en raison des risques de sécurité", par exemple la rénovation des conduites de gaz.
Si le département des mobilités dirigé par Pierre Maudet "n'a pas son mot à dire" sur les ouvertures et les fermetures de chantiers des SIG ou de la Ville de Genève, il peut en revanche peser sur la coordination du trafic. Le conseiller d'Etat promet d'empoigner davantage de ce levier.
La priorité sera donnée à certains utilisateurs de la route. Le magistrat va rechercher des "moyens concrets pour permettre aux véhicules d'urgence, aux professionnels et aux transports publics d'être prioritaires le temps des travaux". Les déplacements privés et les frontaliers seront relégués au second rang des préoccupations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Bonus chez Credit Suisse: la Confédération fait recours
Les bonus des ex-cadres de Credit Suisse ne doivent pas être maintenus. Le Département fédéral des finances (DFF) fait recours auprès du Tribunal fédéral contre la décision du Tribunal administratif fédéral (TAF) d'il y a dix jours, indique-t-il vendredi.
Statuant sur le recours déposé conjointement par douze intéressés, le TAF avait jugé que la réduction, voire la suppression, des bonus encore dus - appelés rémunérations variables - des trois plus hauts niveaux de direction de Credit Suisse, était illicite. Après que la Confédération a accordé des prêts au Credit Suisse en mars 2023 pour garantir ses liquidités, le DFF avait ordonné cette mesure, qui touchait un millier de personnes.
Le DFF conteste le jugement du TAF. Le Tribunal fédéral devra trancher en dernière instance. Le DFF estime que le TAF n'a pas tenu compte d'éléments essentiels dans son interprétation des bases légales. Il n'a notamment pas pris en compte les circonstances exceptionnelles qui ont conduit à la reprise de Credit Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Credit suisse: les parties ont fini de plaider
Les parties ont fini de plaider dans l'audience du Tribunal fédéral consacrée à la plainte de deux actionnaires de Credit suisse contre la Confédération. Ce couple réclame une indemnité pour la perte subie suite à la reprise par UBS.
L'avocat des plaignants a souligné qu'à de nombreuses reprises le Conseil fédéral, la FINMA et la Banque nationale avaient fait des déclarations lénifiantes sur la situation de la banque zurichoise. L'intervention du Conseil fédéral aurait aggravé la situation alors qu'une faillite de Credit suisse était loin d'être certaine.
Pour l'homme de droit, le recours au droit d'urgence et la pression exercée sur Credit suisse et UBS montrent que la reprise ne s'imposait pas. La hausse des actions UBS par la suite avait montré que cet établissement faisait en réalité une bonne affaire.
Les risques de la Bourse
La représentante de la Confédération a rappelé que celui qui achète et vend des actions doit en assumer les risques. Pour que la responsabilité de l'Etat soit engagée, il faut que l'un de ses agents ait commis un acte illégal et qu'un dommage en résulte. Ces conditions ne sont pas remplies.
A l'issue de ces plaidoiries, la 2e Cour de droit public s'est retirée pour délibérer. La séance sera reprise pour la lecture du verdict.
Les deux plaignants réclament 54'601 francs, plus intérêts, à la Confédération pour la perte de valeur de leurs actions Credit suisse. Les 10, 13 et 15 mars 2023, ils avaient acheté un total de 38'000 titres pour une valeur de 84'636 francs. Ils affirment avoir investi après que le Conseil fédéral a affirmé, début mars, que la banque était bien capitalisée.
Au lendemain de l'annonce de la reprise de Credit suisse par UBS le 19 mars, les deux investisseurs avaient revendu leurs actions pour 30'187 francs. Ils estiment que la Confédération est responsable de la perte subie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Faux policiers: interpellation grâce à la victime d'une tentative
Un ressortissant français âgé de 19 ans et domicilié en France a été arrêté à la suite d'une tentative d'escroquerie aux faux policiers à Moudon (VD), grâce à la vigilance de la personne qu'il avait contactée par téléphone. Dénoncé au Ministère public, l'homme a été condamné par voie d'ordonnance pénale immédiate, a indiqué vendredi la police cantonale.
Les faits se sont déroulés il y a une semaine (vendredi 16 mai), précise la police vaudoise dans son communiqué. Contactée téléphoniquement vers 22h30 par un homme, une ressortissante suisse âgée de 71 ans a composé le 117 et a expliqué qu'un individu, qui prétendait travailler pour la police, allait passer à son domicile de Moudon pour récupérer ses cartes bancaires, détaille-t-elle.
Une patrouille s'est alors rapidement rendue sur place et les gendarmes ont réussi à interpeller un individu qui quittait les lieux. Interrogé, ce jeune Français a reconnu être l'auteur de la tentative d'escroquerie, poursuit la police.
Plus de 500 cas déjà en 2025
Celle-ci rappelle au passage que cette arnaque aux faux policiers a toujours cours dans le canton de Vaud. Pour l'année 2025, quelque 564 cas de faux policiers dont 159 réussites ont déjà été recensés sur le territoire cantonal, informe-t-elle.
La police cantonale rappelle également qu'elle ne se rend jamais chez des particuliers pour saisir les cartes bancaires ou les objets de valeur. Elle incite les personnes à rester vigilantes lorsqu'elles reçoivent un appel téléphonique de ce type et à composer directement le numéro 117.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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