Suisse
Très léger recul des émissions de CO2 dues aux combustibles

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Malgré un hiver doux et une meilleure efficacité énergétique des bâtiments, les émissions de CO2 dues au mazout et au gaz naturel n'ont que peu diminué en 2020. L'objectif de réduction n'étant pas atteint, la taxe sur le CO2 va augmenter de plus de 20% dès janvier.
L'an dernier, les émissions dues aux combustibles ont baissé de 1 point de pourcentage comparé à 2019, soit 0,3 million de tonnes de CO2, indique l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) mercredi. Cette évolution correspond à une baisse de 31% par rapport à 1990, grâce principalement à l’augmentation de l’efficacité des bâtiments et à l’utilisation des énergies renouvelables pour le chauffage.
La baisse est inférieure aux objectifs de réduction fixés à 33% dans l'ordonnance ad hoc. En conséquence, la taxe sur le CO2 va automatiquement passer de 96 francs par tonne à 120 francs au 1er janvier. C'est la dernière fois que cette taxe pourra être prélevée. La loi sur le CO2, rejetée en juin, aurait dû prendre le relais.
Population gagnante
La hausse de la taxe sur le CO2 aura toutefois du bon. Elle fera augmenter les montants reversés à la population et aux entreprises. Deux tiers des recettes leur sont en effet redistribués.
Cette année, un montant de 87 francs est déduit des primes d’assurance maladie. Le reste est versé aux cantons pour le Programme Bâtiments (maximum 450 millions de francs) et au fonds de technologie (25 millions maximum).
Les émissions de CO2 dues aux carburants ont de leur côté baissé de 1 million de tonnes, soit de 8%, l'an dernier. Les émissions liées aux transports se situaient dans l’ensemble 5% en dessous de la valeur de 1990. Le recul s'explique par les mesures de lutte contre la pandémie de coronavirus, relève l'OFEV. La part de biocarburants est restée inchangée (3,7%) par rapport à la consommation totale.
Aucune taxe sur le CO2 n’est perçue sur les carburants. Les importateurs doivent toutefois partiellement compenser les émissions de gaz à effet de serre qu'ils génèrent.
Suisse
Stadler Rail: le suédois A-Train passe commande pour 7 rames Flirt
Le constructeur de matériel ferroviaire Stadler Rail a décroché une commande de l'opérateur suédois A-Train pour sept compositions de type Flirt, avec option pour une huitième.
Le contrat, pour un total de quelque 350 millions de francs, comprend aussi un mandat d'entretien sur une période de 15 ans.
Produites sur le site saint-gallois de la multinationale thurgovienne, les futures compositions doivent relier à partir de fin 2029 l'aéroport d'Arlanda à la gare centrale de Stockholm, précise un communiqué diffusé lundi.
Près de deux fois plus longue que les rames actuelles, construites par un concurrent, elles offriront une capacité étendue de plus de moitié, avec 323 places assistes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Nestlé Waters: l'enquête du Sénat pointe les refus de l'industriel
La commission d'enquête du Sénat français sur les eaux en bouteille a dénoncé lundi la "fausse sécurité" des traitements des eaux minérales de Nestlé Waters et pointé le refus de ses dirigeants de répondre aux questions posées par les sénateurs.
"Je pense qu'il faut traiter les eaux s'il y a un problème, on ne peut pas jouer avec des destructions a posteriori. Je trouve que ce n'est pas suffisamment sécurisant", a souligné le rapporteur de la commission Alexandre Ouizille au micro de France Inter, rappelant que "2 millions de bouteilles ont été détruites, des centaines de milliers il y a encore quelques mois" en raison de contaminations par des "bactéries E.Coli", "des pesticides", "des PFAS" (polluants éternels), en particulier dans les eaux Perrier.
"Aujourd'hui, il y a des filtrations pour s'assurer que ces bactéries sont éliminées", mais c'est "considéré comme une fausse sécurité", a ajouté le responsable politique, rappelant avoir en tête "le précédent Buitoni", référence au scandale des pizzas contaminées, qui ont entraîné la mort de deux enfants en France. M. Ouizille a affirmé ne pas savoir "depuis quand cela a commencé, sans doute des dizaines d'années. Je sais par contre qu'aucune enquête interne n'a été diligentée pour comprendre la chaîne de responsabilité."
Le sénateur s'est exprimé ce lundi matin sur la radio publique hexagonale France Inter, en amont de la conférence de presse censée dévoiler les conclusions du rapport, six mois après sa création. Celle-ci a été mise sur pied après les révélations du journal Le Monde et de Radio France sur le recours à des traitements interdits sur des eaux minérales naturelles et de source, notamment des marques Perrier, dans le sud de la France, Vittel, Contrex et Hépar, dans les Vosges.
La commission a procédé à de nombreuses auditions, notamment du directeur général de Nestlé, Laurent Freixe, et de la patronne de Nestlé Waters, Muriel Lienau, de responsables d'usines mais aussi de ministères. "Cela s'est mal passé", a résumé le sénateur, pointant le "refus de répondre" des dirigeants de l'entreprise.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Sunrise en repli début 2025, prépare son retrait du Nasdaq
L'opérateur Sunrise Communications a accusé une contraction au premier trimestre, tant au niveau des recettes que des excédents. La société prévoit par ailleurs de retirer la réplique de son action helvétique du Nasdaq new-yorkais.
Les recettes de janvier à fin mars se sont étiolées de 3,3% à 722,1 millions de francs et l'excédent brut opérationnel hors frais de leasing (Ebitda al) ajusté a fondu dans une proportion similaire à 240,0 millions.
La perte nette par contre a été ramenée à 1,3 million, à comparer avec un déficit de 127,2 millions un an auparavant, indique le groupe zurichois dans un compte-rendu intermédiaire lundi.
Les analystes consultés par AWP n'anticipaient guère un chiffre d'affaires en-deçà de 731 millions. L'Ebitda al ajusté par contre n'était pas attendu au-dessus de 237 millions.
La direction maintient sa feuille de route pour l'ensemble de l'exercice. L'évolution des recettes doit demeurer stable sur un an, après une contraction de 0,6% en 2024. L'Ebitda al ajusté, nouvel indicateur de rentabilité privilégié par l'opérateur, doit dans le pire des cas stagner et dans le meilleur scénario grappiller quelque points de pourcentage.
Le flux de trésorerie disponible est attendu dans une fourchette de 370 à 390 millions, malgré un reflux de 116,5 millions au premier trimestre.
Les actionnaires de leur côté peuvent compter sur un dividende de 3,42 francs par action de classe A et environ 34 centimes par action de classe B.
Sunrise indique vouloir retirer sa réplique de cotation "transitoire" sur le Nasdaq vers la mi-août, moins d'un an après le retour à la Bourse suisse du numéro deux helvétique des télécoms. La manoeuvre est motivée par un désir de simplification des processus de publications, ainsi que par des économies de coûts.
Les volumes de négoce ont été progressivement rapatriés vers la Bourse suisse depuis la réintroduction de l'action sur SIX en novembre dernier. La place zurichoise constitue depuis mars le principal site d'échange.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Près de 300 victimes de la traite humaine en Suisse
L'an dernier, 208 personnes victimes de la traite humaine se sont tournées vers le Centre d'assistance aux migrantes et aux victimes de la traite des femmes (FIZ). Pour 59 autres, un examen est encore en cours ou n'est plus possible en raison d'une perte de contact.
C'est ce qui ressort du rapport annuel publié lundi par le centre. Le nombre de victimes soutenues par le FIZ a diminué d'environ 13% par rapport à l'année précédente. En 2023, il a pris en charge 230 victimes de la traite d'êtres humains.
L'exploitation liée au commerce du sexe joue un rôle important dans la traite. Sur les 208 victimes prises en charge, le centre en a identifié 159 comme victimes de la traite d'êtres humains à des fins d'exploitation sexuelle.
Quarante-cinq autres ont été exploités pour leur travail dans différents secteurs. Et quatre étaient victimes d'autres formes de traite, par exemple à des fins de mariage forcé, d'activités illégales, de mendicité ou de prélèvement d'organes, selon le rapport annuel.
Demande de logement sûrs
La plupart des personnes nouvellement admises dans le programme de protection des victimes de la traite humaine du centre FIZ en 2024 étaient originaires de Hongrie (20 personnes), de Roumanie (10 personnes) et de Colombie (9 personnes).
La demande de refuge pour les victimes a toutefois fortement augmenté. Le centre a hébergé 51 personnes dans des logements sûrs. Celles-ci y ont passé 5677 nuits au total - 19% de plus que l'année précédente. Pour faire face à l'augmentation des besoins, un nouvel appartement protégé a été ouvert en 2024, le huitième au total.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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