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Ukraine: 27 morts dans une frappe russe, Zelensky implore d'aider à "arrêter cette guerre"

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"Cibler intentionnellement des civils est un crime de guerre. Après tant de destructions ces trois dernières semaines, je trouve difficile de conclure que les Russes font autre chose que cela", a déclaré Antony Blinken jeudi à Washington. (© KEYSTONE/AP/Saul Loeb)

Le président ukrainien a imploré les Occidentaux d'aider à "arrêter cette guerre", au moment où une attaque russe faisait au moins 27 morts dans l'est du pays. Après 3 semaines, l'agression de Moscou ne donne aucun signe de répit malgré la poursuite de pourparlers.

Les auteurs de crimes de guerre en Ukraine devront "rendre des comptes" devant la justice internationale, ont de leur côté averti les ministres des Affaires étrangères du G7 dans une déclaration commune, soulignant que la "collecte de preuves" était en cours.

Une accusation reprise par le chef de la diplomatie américaine: "Cibler intentionnellement des civils est un crime de guerre. Après tant de destructions ces trois dernières semaines, je trouve difficile de conclure que les Russes font autre chose que cela", a déclaré Antony Blinken jeudi à Washington.

Evoquant les pourparlers en cours entre Kiev et Moscou, M. Blinken a estimé que la Russie n'avait pas démontré jusqu'ici "d'effort significatif pour mettre fin par la diplomatie à la guerre qu'elle mène". Il a en revanche salué "l'Ukraine qui reste à la table des négociations alors qu'elle est sous les bombes".

M. Blinken a par ailleurs assuré que le président Joe Biden allait menacer son homologue chinois Xi Jinping, avec lequel il doit s'entretenir vendredi, de représailles si la Chine devait "soutenir l'agression russe", notamment par l'envoi d'aide militaire à Moscou.

Moscou pas soutenue à l'ONU

La Russie a dans ce contexte renoncé à tenir un vote au Conseil de sécurité de l'ONU sur une résolution liée à la guerre, faute de soutien de ses plus proches alliés, ont indiqué des diplomates.

"Ils ont fait appel au co-parrainage" pour leur texte portant selon eux sur l'humanitaire, "et il n'y a pas eu de retour", a indiqué un ambassadeur sous couvert d'anonymat, laissant entendre que ni la Chine ni l'Inde ne soutenaient l'initiative controversée russe et n'auraient voté en sa faveur.

Nouvel appel de Zelensky

"Un peuple est en train d'être détruit en Europe", a pour sa part lancé Volodymyr Zelensky, s'adressant par visioconférence au Bundestag depuis la capitale ukrainienne bombardée. "Aidez-nous à arrêter cette guerre!", a-t-il ajouté, ovationné par les députés allemands.

L'Ukraine vit depuis trois semaines au rythme des annonces de frappes russes meurtrières sur ses villes. Dernière en date, une frappe d'artillerie a fait au moins 27 morts jeudi matin à Merefa, près de la ville assiégée de Kharkiv (est).

"Une école et un centre culturel ont été détruits. 21 personnes ont été tuées et 25 blessées dont 10 sont dans un état grave", a annoncé le parquet régional.

Théâtre visé à Marioupol

Les regards étaient également tournés jeudi vers Marioupol, ville portuaire du sud-est assiégée et où Volodymyr Zelensky a accusé mercredi l'aviation russe d'avoir "sciemment" bombardé un théâtre où étaient réfugiés des centaines d'habitants.

"Le monde doit finalement admettre que la Russie est devenue un Etat terroriste", avait-il ajouté. La mairie de ce port stratégique sur la mer d'Azov, selon laquelle "plus d'un millier" de personnes se trouvaient dans un abri antiaérien sous le théâtre, a indiqué jeudi après-midi ne pas connaître encore le bilan de cette frappe qui a détruit en grande partie le bâtiment.

La Russie a quant à elle affirmé ne pas avoir bombardé la ville, et que l'immeuble avait été détruit par le bataillon nationaliste ukrainien Azov.

La ville écrasée sous les bombes

Selon la mairie de Marioupol cependant, la situation est "critique" avec des bombardements russes "ininterrompus" et des destructions "colossales". "Selon les premières estimations, environ 80% du parc de logement de la ville a été détruit" par les bombardements, a ajouté la municipalité.

"Plus de 350'000 habitants de Marioupol continuent de se cacher dans des abris et des sous-sols à cause des bombardements continus", a encore indiqué la mairie. Des personnes ayant réussi à fuir ont raconté avoir fait fondre de la neige pour boire et cuire le peu de nourriture disponible sur des braseros.

Civils évacués

Selon Iryna Verechtchouk, vice-Première ministre ukrainienne, 8 couloirs humanitaires sur 9 ont fonctionné jeudi et 3810 civils ont été évacués des zones de combats.

A Marioupol, les habitants quittent la ville en voiture et à pied. Plus de 2000 personnes sont arrivées depuis cette ville vers Zaporojie plus au nord-ouest dans la journée. Des évacuations ont aussi eu lieu dans la région de Kiev, tandis que le couloir de Kharkiv dans le nord-est n'a pas fonctionné en raison de la poursuite des tirs, a-t-elle indiqué.

Bombes à sous-munitions

Depuis le début de l'offensive le 24 février, les forces russes n'ont encore revendiqué la prise d'aucune grande ville ukrainienne, même si elles ont nettement progressé dans le sud et semblent avancer dans l'est du pays.

Selon l'ONG Human Rights Watch (HRW), les Russes ont notamment utilisé des bombes à sous-munitions les 7, 11 et 13 mars, sur la ville de Mykolaïv, proche d'Odessa. Neuf personnes sont mortes le 13 mars, qui faisaient la queue à un distributeur, selon l'organisation.

Au nord de Kiev, à Tcherniguiv, dix personnes qui attendaient pour acheter du pain sont mortes lorsque des forces russes ont ouvert le feu, a affirmé mercredi le Parquet général ukrainien. Moscou a démenti, accusant là aussi des "nationalistes ukrainiens".

Les bombardements se poursuivent aussi sur Kharkiv, deuxième ville du pays, où au moins 500 personnes ont été tuées depuis le début de la guerre. A Kiev, une frappe sur un immeuble a tué une personne jeudi à l'aube.

Pas de bilan global

Aucun bilan global n'a jamais été fourni, même si le président Zelensky a mentionné le 12 mars la mort d'"environ 1300" militaires ukrainiens, tandis que Moscou n'a que rapporté près de 500 morts dans ses rangs le 2 mars.

Cent-huit enfants ont été tués et 120 blessés dans le pays depuis l'invasion russe, a indiqué jeudi le Parquet général ukrainien. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) dénonce en particulier les nombreuses frappes sur des infrastructures de santé.

Plus de trois millions d'Ukrainiens ont déjà pris les routes de l'exil, en grande majorité vers la Pologne. Des milliers d'entre eux poursuivent leur voyage vers d'autres pays. Près de 8000 personnes se sont notamment enregistrées en Suisse depuis le début de l'invasion.

"Accord de sécurité collective"

Malgré la détermination qu'affichent les deux camps, des pourparlers se poursuivent en parallèle par visioconférence au niveau de délégations.

Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, en visite à Lviv dans l'ouest de l'Ukraine, a indiqué que Kiev avait "fait une offre sur l'accord de sécurité collective: P5 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité, ndlr), plus Turquie et Allemagne".

"Lors de mes contacts à Moscou hier, j'ai vu que la Fédération de Russie (...) pouvait accepter une telle offre", a précisé le ministre. La veille, l'Ukraine avait rejeté la proposition russe d'un simple statut de pays neutre, exigeant des "garanties de sécurité absolues".

Frappée par de lourdes sanctions, la Russie a cependant apparemment échappé pour l'instant au défaut de paiement sur sa dette: selon une source proche du dossier, la banque JPMorgan a bien reçu le paiement d'une tranche d'intérêts de 117,2 millions de dollars qui arrivait à échéance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Kiev en alerte pour attaque combinée de drones et missiles (maire)

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Kiev est en alerte tôt samedi matin en raison d'une attaque de drones et missiles russes. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

Kiev est en alerte tôt samedi matin en raison d'une attaque de drones et missiles russes, a annoncé le maire de la capitale ukrainienne, Vitali Klitschko, après que des journalistes de l'AFP ont entendu des explosions.

"Explosions dans la capitale. Les défenses aériennes ont été activées. La ville et la région font l'objet d'une attaque combinée de l'ennemi", a indiqué le maire sur Telegram.

L'armée de l'air ukrainienne a prévenu que des missiles balistiques se dirigeaient vers la capitale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Un quatrième "Scudetto" pour Naples

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Romelu Lukaku a inscrit le but de la sécurité pour Naples, qui a remporté vendredi son 4e Scudetto (© KEYSTONE/AP/Gregorio Borgia)

Naples a conquis vendredi le quatrième "Scudetto" de son histoire, le deuxième en trois ans.

La formation entraînée par Antonio Conte a conservé un point d'avance sur l'inter Milan de Yann Sommer vendredi après les deux matches avancés de la 38e journée.

Devancé d'un point avant cette ultime ronde, l'Inter s'est retrouvé virtuellement en tête de la Serie A pendant quelque vingt minutes seulement, après que Stefan De Vrij avait ouvert la marque à Côme à la 20e minute. Mais l'espoir des Nerazzurri de conserver le titre conquis un an plus tôt fut de courte durée.

Naples a en effet débloqué la situation face à Cagliari à la 42e sur une réussite de son international écossais Scott McTominay. Et les Napolitains ont très vite su se mettre à l'abri en deuxième mi-temps, l'attaquant belge Romelu Lukaku doublant la mise dès la 51e. La messe était alors dite.

Le club de l'international suisse Noah Okafor - resté sur le banc vendredi - s'est finalement imposé 2-0, pour le plus grand bonheur de ses supporters massés dans le stade Diego Armando Maradona. L'Inter l'a emporté sur le même score à Cagliari, Joaquin Correa scellant également le score à la 51e.

Les Milanais, qui visaient un 21e "Scudetto", devront rapidement oublier cette déception. Le gardien bâlois Yann Sommer et ses équipiers ont une semaine pour préparer LE grand rendez-vous de leur saison, la finale de la Ligue des champions prévue le 31 mai à Munich face au Paris St-Germain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Dix-sept blessés dans une attaque au couteau à la gare de Hambourg

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Image d'illustration de la police allemande en opération dans une gare ferrovière. (© KEYSTONE/DPA/JÖRG CARSTENSEN)

Une attaque au couteau a fait 17 blessés, dont quatre très grièvement, vendredi sur un quai bondé de la gare de Hambourg, dans le nord de l'Allemagne. Une femme de 39 ans est soupçonnée d'avoir frappé des voyageurs.

L'auteure présumée de cette agression a été arrêtée peu après les faits, en début de soirée, "sans opposer de résistance", selon la police.

Les motifs de son geste restent à déterminer mais l'hypothèse d'un mobile politique n'est pas privilégiée, a indiqué un porte-parole de la police.

"Nous n'avons, jusqu'à présent, aucune indication que la femme ait pu agir pour des motifs politiques", a indiqué sur la chaîne ARD Florian Abbenseth, selon lequel les enquêteurs examinent la possibilité que la suspecte se soit trouvée "dans un état d'urgence psychiatrique".

Elle a "agi seule" s'en prenant aux voyageurs présents un quai de la gare centrale de la deuxième ville la plus peuplée d'Allemagne, très fréquentée en ce début de week-end. Selon le dernier bilan provisoire des autorités, 17 personnes ont été blessées dont quatre se trouvent dans un état critique.

La police n'a pas fourni plus de précision sur l'identité de l'assaillante, de nationalité allemande.

L'attaque a entraîné une importante opération de secours. Des photos publiées par l'AFP montraient des blessés pris en charge sur des civières ainsi qu'un quai ferroviaire bouclé par les forces de l'ordre.

Le chancelier Friedrich Merz s'est dit "bouleversé" par cet acte de violence.

L'Allemagne a connu ces derniers mois plusieurs attaques meurtrières à l'arme blanche qui ont choqué le pays, ainsi que des attentats à motif jihadiste et des violences d'extrême droite qui ont mis au premier plan les questions de sécurité.

Série d'attaques

Samedi dernier, quatre personnes ont été blessées lors d'une agression au couteau dans l'ouest du pays. L'auteur présumé est un Syrien de 35 ans arrêté par les autorités qui suspectent un attentat islamiste. Il avait frappé un groupe de personnes devant un bar du centre-ville de Bielefeld avant de prendre la fuite.

L'agression au couteau d'un écolier de 12 ans dans la cour de son école par un de ses camarades de 13 ans a également fait les gros titres de la presse cette semaine.

Selon les statistiques de la police criminelle, quelque 8.900 agressions à l'arme blanche ont été commises en Allemagne en 2023, représentant un peu moins de 6% de la catégorie des violences "ayant entraîné des blessures corporelles graves et dangereuses".

En 2022, ce chiffre était de 8160 et l'année précédente de 7071 cas.

Sous pression pour faire diminuer le nombre de violences à l'arme blanche, le gouvernement allemand avait durci l'été dernier la législation sur le port de couteaux, interdits dans les rassemblements publics et dans les transports longue distance.

Des villes ont également décrété des zones où le port de couteau est interdit, comme la gare de Hambourg, autant de mesures dont l'efficacité est mise en doute par les experts et les syndicats de policier.

Un premier durcissement de la législation avait été décidé après un attentat commis lors d'une fête populaire à Solingen (ouest) où un Syrien avait frappé dans la foule, faisant trois morts et huit blessés, une attaque revendiquée par l'organisation jihadiste Etat islamique (EI).

Quelques mois plus tôt, une attaque au couteau visant un rassemblement anti-Islam à Mannheim (ouest) avait fait un mort, un jeune policier qui s'était interposé. L'agresseur présumé était un ressortissant afghan.

Fin janvier, un enfant de deux ans et un homme sont morts dans une attaque au couteau commise dans un parc du sud de l'Allemagne par un Afghan de 28 ans, aux lourds antécédents psychiatriques, qui s'en était pris à un groupe d'écoliers.

L'Allemagne a également connu deux attentats à la voiture bélier qui ont fait plusieurs morts et blessés.

Cette série de crimes avaient dominé les débats politiques avant les élections législatives du 23 février remportées par le parti conservateur. Le scrutin a vu le parti d'extrême droite AfD arriver en seconde position

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Braquage en France: Kim Kardashian, "satisfaite" du verdict

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Kim Kardashian. (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Ils sont coupables, mais trop vieux et malades pour retourner en prison. La cour d'assises de Paris a prononcé vendredi soir des peines très clémentes contre les "papys braqueurs" de Kim Kardashian, "satisfaite" du verdict et pressée de "tourner la page".

"Les peines sont assez peu sévères", reconnaît à la fin de son verdict le président David De Pas. Bien en deçà en tout cas de celles requises par l'accusation, qui avait réclamé 10 ans de prison à l'encontre des braqueurs entrés dans l'hôtel de Kim Kardashian la nuit du 2 au 3 octobre 2016, en pleine Fashion week.

"Elles ont été pensées à distance de cet événement grave", en prenant en considération "le temps écoulé" - neuf ans - et l'état de santé des principaux protagonistes qui "interdit éthiquement d'incarcérer quiconque", déclare le magistrat devant les accusés émus, qu'il avait fait se lever pour entendre la décision.

Une fois l'audience terminée, chacun a enlacé ses proches, avant de sortir peu à peu de la salle soulagé et souvent avec le sourire, en emportant les gros sacs et valises qu'ils avaient préparés dans l'éventualité d'une incarcération.

Kim Kardashian s'est immédiatement dite "satisfaite" du verdict tout en déclarant vouloir "tourner la page". "Je suis profondément reconnaissante envers les autorités françaises d'avoir rendu justice dans cette affaire. Ce crime a été l'expérience la plus terrifiante de ma vie", a expliqué la reine des influenceuses dans un communiqué transmis par ses avocats.

Quatre hommes ont été reconnus coupables d'avoir braqué et séquestré la superstar américaine dans sa chambre, arme au poing, pour la dépouiller de neuf millions d'euros de bijoux. Le cerveau du braquage, 69 ans, sourd et quasiment muet, souffrant du dos et de diabète, a été condamné à huit ans de prison dont cinq avec sursis. Pour la partie ferme, la cour a ordonné une confusion avec une autre peine, ce qui signifie qu'il ne retournera pas en prison. Il a lentement quitté le palais de justice, au son du cliquetis de sa canne qui a rythmé les quatre semaines de procès.

"Verdict d'apaisement"

Les trois autres "opérationnels" du braquage se sont vu infliger une peine de sept ans dont deux ferme (déjà couverte par leur détention provisoire): un homme de 69 ans, qui suit en ce moment une chimiothérapie et a dû être hospitalisé ces derniers jours - il était absent pour le verdict. Un compice de 71 ans, qui a "assumé" avoir fait le guet le soir des faits. Et le jeunot de la bande (35 ans), qui explose en sanglots en comprenant qu'il n'ira pas en prison.

Même si "vous n'avez pas frappé, vous avez fait peur", "vous avez fait du mal", "vous avez traumatisé de façon sans doute durable", insiste le président. Mais "aucun d'entre vous n'a fait parler de lui sur ces neuf années", et "vous avez globalement reconstruit votre vie et fait les démarches pour vous réinsérer".

La défense a salué un "verdict d'apaisement". "Cette décision est aussi la preuve que la justice peut réparer véritablement autrement que par la prison", a réagi Me Chloé Arnoux, l'avocate du cerveau.

La cour a enfin considéré qu'il n'y avait pas de "taupe" derrière ce casse spectaculaire. Et acquitté en conséquence le frère du chauffeur de Kim Kardashian et son ami, accusés d'avoir transmis de précieuses informations sur l'emploi du temps de la star pendant son séjour parisien.

L'avocate générale avait bien tenté, dans ses réquisitions, de convaincre les magistrats professionnels et surtout les jurés populaires de ne pas se fier aux "rides rassurantes" des "vieux messieurs et dame" comparaissant libres sur le banc des accusés. Au moment des faits, ils étaient "des braqueurs chevronnés du grand banditisme" au casier judiciaire chargé, pas des "pieds nickelés". "La réalité, c'est qu'ils ont monté un coup et qu'ils ont réussi", avait martelé l'avocate générale Anne-Dominique Merville.

Quand elle est venue témoigner la semaine dernière, Kim Kardashian avait accepté les excuses du principal accusé.

"Je vous pardonne" même si "ça ne change rien au traumatisme", "je crois à la deuxième chance", lui a dit émue celle qui étudiait le droit depuis six ans et a enfin obtenu son diplôme, comme elle l'a annoncé jeudi sur les réseaux sociaux à ses 356 millions d'abonnés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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