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Culture

NIFFF: identité visuelle de la prochaine édition dévoilée

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La nouvelle affiche du festival qui se tiendra du 1er au 9 juillet. (© NIFFF)

Le Neuchâtel International Fantastic Film Festival (NIFFF) dévoile l’identité visuelle de sa prochaine édition, qui se tiendra du 1er au 9 juillet. Le site Internet de l'événement a été remanié de manière ludique pour faire patienter les festivaliers.

"Cette année, le festival invoque l’un des fétiches incontournables et iconiques du cinéma de genre: la voiture", a-t-il indiqué jeudi dans un communiqué. Le collectif d’artistes neuchâtelois "encor studio" a réalisé l'affiche.

"Fruit d’une modélisation 3D hyperréaliste, une voiture aux faux airs de Chevrolet, phares allumés et intérieur rose bouillonnant, lévite au c½ur de l’affiche comme suspendue au-dessus d’une mer de ténèbres. Iconique, la cylindrée est à la fois complice des imaginaires, objet de désir, vecteur de menaces et outil du quotidien", a relevé le NIFFF.

Le festival présente aussi un nouveau site Internet. "L’identité visuelle de l’événement se déploiera désormais aussi en ligne, amplifiant les potentialités graphiques de son affiche. Résolument ludique, le site du festival invite le public à une expérience visuelle mettant à l’honneur la cylindrée, en attendant la sortie de la programmation le 16 juin", a expliqué le NIFFF.

En raison de la pandémie, le festival s'était tenu entièrement en ligne en 2020. L'an dernier, le NIFFF avait eu lieu dans un format hybride, entre projections en salle et streaming. En 2019, plus de 150 films avaient été projetés devant 48'000 festivaliers.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Mort à 87 ans de l'Américain Frank Stella, figure du minimalisme

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Frank Stella (à gauche) et le président Barack Obama (à droite) en 2009. (© KEYSTONE/AP/Charles Dharapak)

Frank Stella, peintre américain devenu une figure de l'art américain d'après-guerre, notamment avec ses premières oeuvres minimalistes, est décédé à l'âge de 87 ans, ont rapporté samedi des médias américains.

Frank Stella s'est éteint dans sa maison de Manhattan, victime d'un lymphome, a rapporté le New York Times. Il avait lancé sa carrière en réalisant des peintures contrastant avec l'expressionnisme abstrait de l'époque, avec peu de couleurs.

Ses premiers travaux comprenaient une série de peintures "à rayures", de grandes oeuvres aux lignes noires précises sur une toile vierge, qui ont fait fureur dans le monde de l'art américain, et au-delà.

Frank Stella a été reconnu comme un artiste américain majeur avant d'avoir 25 ans et a poursuivi sa carrière pendant plus de six décennies.

Il a exploré par la suite la couleur et la forme, réalisant occasionnellement des peintures de forme irrégulière avec des motifs géométriques. Dans les années 1970 et 1980, Stella se tourne de plus en plus vers les oeuvres tridimensionnelles, incorporant de l'aluminium et de la fibre de verre dans ses oeuvres, avant d'exécuter des sculptures monumentales. Le musée d'Art moderne de New York lui a consacré deux rétrospectives en 1970 et 1987.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Papier découpé: le Japon, la Suisse et le Portugal à l'honneur

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Markus Blum est l'un des trois artistes exposés par le Musée du Pays - d’Enhaut & Centre suisse du Papier découpé à Château-d’Oex jusqu'au 28 juillet. (© )

Le Musée du Pays-d’Enhaut & Centre suisse du papier découpé à Château-d’Oex (VD) accueille une nouvelle exposition temporaire. Jusqu’au 28 juillet, elle fait la place à trois artistes au style de découpage totalement différent, Claude Yersin et le couple Markus et Toshiko Blum.

"Ces ½uvres proposent au public de poser un regard sur trois cultures: celle du Japon, de la Suisse et du Portugal", explique Corinne Karnstädt, responsable des expositions temporaires au Centre suisse du papier découpé dans un communiqué.

Toshiko Blum, habitant Saint-Gingolph (VS), découvre l’art du découpage avec son mari en 1990. Il fait naître en elle une véritable passion, notamment lors de visites au musée de Château-d'Oex. En 2019, le couple commence à créer ses propres ½uvres.

Alpes et soleil levant

L’artiste, de nationalité suisse et japonaise, n’hésite pas, dans ses découpages, à mélanger les cultures. Elle y intègre des tissus traditionnels japonais, en particulier celui des kimonos, qu’elle revisite à sa manière. Passionnée de calligraphie, elle y incorpore également des caractères japonais, choisis avec soin pour leur signification profonde ou leur symbolique.

Pour son mari Markus Blum, le découpage est une manière de raconter des histoires, en particulier celles liées à sa jeunesse passée dans la ferme de son oncle en Suisse alémanique, entouré de vaches, de nature et de pâturages. À noter qu’il s’agit de la première et la dernière exposition du couple en Suisse, ce dernier ayant décidé de s’installer définitivement au Japon après cet événement.

Alentejo

Originaire de Rougemont, Claude Yersin a accepté l’invitation du Centre suisse du papier découpé à venir exposer en ses murs. L’artiste a débuté le découpage alors qu’il était médecin-coopérant aux Seychelles, représentant alors des sujets seychellois.

En 2015, une fois à la retraite, il s'installe au Portugal. Celui qui est également artiste peintre, reprend le découpage en 2018. Il s’inspire principalement de son environnement et de sa région d’Alentejo pour créer représentations de paysages, d’animaux et d’art de vivre de la région.

https://musee-chateau-doex.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Prix national de la tauromachie supprimé par le gouvernement espagnol

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Doté de 30'000 euros, le prix national de la tauromachie avait été remis pour la première fois en 2013 en Espagne, après avoir été créé en 2011 (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/JERO MORALES)

Le gouvernement de gauche espagnol a annoncé vendredi la suppression du prix national de la tauromachie. Cette mesure, applaudie par les défenseurs des animaux, a irrité les aficionados des corridas et l'opposition.

"Il ne nous semblait pas pertinent de maintenir un prix qui récompense une forme de maltraitance animale" alors qu'"une majorité d'Espagnols (...) s'inquiète de plus en plus" du bien-être animal, a indiqué le ministre de la Culture, Ernest Urtasun, sur la chaîne de télévision La Sexta.

Garder ce prix serait "d'autant moins compris que ces formes de torture animale sont récompensées par des médailles qui, de surcroît, sont accompagnées d'une dotation" financée par de "l'argent public", a poursuivi le ministre, qui est membre du parti d'extrême gauche Sumar.

Ce prix de 30'000 euros, remis chaque année, a été décerné pour la première fois en 2013, après avoir été créé en 2011 sous un autre gouvernement de gauche. Des toreros de renom l'ont reçu, à l'instar de Julián López, dit "El Juli", ou encore Enrique Ponce.

Si les corridas continuent d'attirer des passionnés en Espagne, où les principaux toreros sont des célébrités, les enquêtes d'opinion montrent une baisse d'intérêt dans tout le pays, tout particulièrement chez les jeunes. Selon les derniers chiffres du ministère de la Culture, seul 1,9% des Espagnols a assisté à une corrida pendant la saison 2021-2022.

"Activité qui fait partie de notre culture"

Le Parti populaire (droite, conservateur), la principale formation d'opposition, a promis de rétablir ce prix s'il revenait au pouvoir. "La tauromachie est une activité qui fait partie de notre culture en Espagne, qui fait partie de nos traditions (...), de notre identité en tant que peuple", et la suppression de ce prix est la preuve du "sectarisme de ceux qui nous gouvernent", a critiqué, devant la presse, le président du groupe PP à la Chambre des députés, Miguel Tellado.

Plusieurs gouvernements régionaux ont annoncé qu'ils allaient créer leur propre prix de tauromachie, dont le gouvernement de Castille-La-Manche dirigé par des socialistes,

La Fondation "Taureau de combat" (Fundacion del Toro de Lidia), la principale organisation du secteur, a affirmé dans un communiqué que le gouvernement "avait l'obligation de promouvoir et d'encourager toutes les manifestations culturelles, dont la tauromachie".

"Cette mesure marque une étape dans la lutte contre la tauromachie, une pratique controversée", s'est félicitée de son côté l'association de défense des droits des animaux Animanaturalis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

La ville de Berlin prête à offrir l'ancienne villa de Goebbels

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La villa abritait une salle de cinéma privée et de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Joseph Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Chère à entretenir, difficile à détruire, difficile à vendre... L'ancienne villa du ministre de la propagande de Hitler, Joseph Goebbels, est un fardeau pour la municipalité de Berlin. Celle-ci se dit désormais prête à en faire cadeau.

La ville-Etat de Berlin peine depuis des années à trouver une seconde vie à cette propriété autrefois luxueuse construite près d'un lac, sur une vaste propriété de 17 hectares, dans la campagne qui entoure la capitale allemande.

"Je fais don du terrain à quiconque voudrait le récupérer, c'est un cadeau du Land de Berlin", a déclaré le responsable chargé des finances, Stefan Evers, lors d'une discussion jeudi à la chambre des députés de Berlin, espérant ainsi mettre fin à ce débat interminable.

La propriété est située à une quarantaine de kilomètres de Berlin, dans le land du Brandebourg, mais ni ce dernier ni le gouvernement fédéral ne sont intéressés par un "cadeau aussi généreux", a-t-il ajouté.

Salle de cinéma privée

Joseph Goebbels s'était vu offrir le terrain en 1936. Il y avait fait édifier la vaste demeure grâce aux financements de l'UFA, la puissante société de production cinématographique sur laquelle il régnait en maître absolu. L'édifice en U abritait une salle de cinéma privée, de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses.

La "villa Goebbels" est d'autant plus encombrante qu'elle vient empêcher toute nouvelle utilisation d'un autre vestige local de l'histoire tumultueuse de l'Allemagne: un vaste complexe érigé après guerre par les autorités de l'ancienne RDA sur le même terrain que la maison du ministre d'Hitler, au milieu de la forêt.

Cet ensemble de bâtiments construit dans le style stalinien du début des années 50 abritait le centre de formation des cadres de la Jeunesse allemande libre (FDJ), l'organisation de jeunesse du parti communiste est-allemand (SED).

Au sein de cette université communiste, la "villa Goebbels" avait été reconvertie notamment en supermarché pour les étudiants et en crèche.

Démolition envisagée

Faute de repreneur ou de subvention, Berlin envisage désormais de tout démolir et de rénover les terrains, car les coûts annuels de sécurité et d'entretien se chiffrent en millions, selon les médias allemands Bild et RBB. Il faudrait pour cela retirer aux bâtiments le statut de monument historique.

En 2016, le Fonds immobilier de Berlin avait renoncé à vendre "la villa Goebbels", déjà très délabrée. Il craignait "qu'elle ne tombe entre de mauvaises mains" et ne "devienne un lieu de pèlerinage pour les nazis".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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