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International

La Haute commissaire de l'ONU la semaine prochaine en Chine

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Michelle Bachelet ne publiera pas son rapport très attendu sur la situation au Xinjiang avant sa visite (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La Haute commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Michelle Bachelet se rend dès lundi pour six jours en Chine. Cette visite est très attendue depuis des années et ses déclarations sur les Ouïghours au Xinjiang seront très observées.

Cette visite en Chine est la première d'un ou une Haut commissaire en plus de quinze ans, a affirmé vendredi à Genève son bureau. Mme Bachelet, qui se rendra dans la province du Xinjiang, rencontrera des hauts représentants chinois, mais pas à Pékin en raison de la pandémie.

Elle doit également discuter avec des membres du secteur privé, des organisations de la société civile ou encore des universitaires. Elle donnera une conférence à Guanghzou. Une équipe avancée du Haut-Commissariat s'était rendue en Chine depuis fin avril. Après une quarantaine, elle a visité Guanghzou et la capitale du Xinjiang.

Sous pression

L'ONU ne publiera pas son rapport très attendu sur la situation des droits humains au Xinjiang avant la visite. "La Chine aura la possibilité de relayer ses opinions lorsque le rapport sera prêt", avait dit il y a quelques jours une porte-parole du Haut-Commissariat. Mme Bachelet est sous pression depuis plusieurs mois de nombreux Etats, dont la Suisse, et d'ONG pour publier son document qui serait prêt depuis près d'une année.

Vendredi, Human Rights Watch a estimé que la crédibilité de la Haute commissaire dépendra de cette visite. Il faut que la question des poursuites contre les responsables de violations soit mentionnée, dit l'ONG.

Plusieurs pays parlent de crimes contre l'humanité ou même de génocide contre cette minorité musulmane, dont plus d'un million de membres sont retenus dans des camps d'internement. Pékin rejette ces accusations et rétorque que ces sites oeuvrent pour la lutte contre le terrorisme.

Mme Bachelet abordera aussi les effets de la politique de "zéro covid" décidée par les autorités chinoises lors de sa visite, avait dit la porte-parole. Elle ne devra pas elle-même se plier à un isolement à son arrivée avant de se déplacer dans le pays.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Naples et l'Inter joueront leur match pour le titre vendredi

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L'Inter de Yann Sommer jouera finalement son dernier match de Serie A ce vendredi (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Naples et l'Inter Milan joueront leur dernier match de la saison de Serie A ce vendredi, a annoncé lundi la Ligue italienne. Un point sépare les deux équipes avant la 38e et dernière journée.

Naples, leader avec 79 points après son nul à Parme (0-0) dimanche, recevra Cagliari (14e) vendredi à 20h45. L'Inter de Yann Sommer, qui a été contrarié par la Lazio à San Siro (2-2) dimanche également, jouera au même moment sur le terrain de Côme (10e). Ces deux parties devaient initialement se dérouler dimanche.

Si le Napoli s'impose, il sera sacré champion d'Italie pour la quatrième fois de son histoire quel que soit le résultat de l'Inter, futur adversaire du PSG en finale de la Ligue des champions le 31 mai à Munich. Naples sera sacré aussi si l'Inter ne fait pas mieux que l'équipe d'Antonio Conte. Si l'Inter s'impose et que Naples s'incline, les Nerazzurri remporteront, comme en 2024, le scudetto.

Si Naples perd et que l'Inter fait match nul, les deux équipes seront à égalité de points (79), ce qui les obligera à s'affronter dans un "spareggio", un match d'appui. Cette "finale" aurait lieu dans ce cas le 26 mai, à cinq jours de la finale de la C1. Une seule fois dans l'histoire de la Serie A, il a fallu avoir recours au "spareggio" pour attribuer un titre de champion: en 1964, lorsque Bologne s'était imposé face à l'Inter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Plus de 30 ans après, le buste de la tombe de Jim Morrison retrouvé

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La sculpture du chanteur des Doors avait été dérobée il y a 37 ans (archives). (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Le buste de Jim Morrison, volé en 1988 au cimetière parisien du Père-Lachaise, a été retrouvé par hasard. C'est ce qu'a annoncé la police sur ses réseaux sociaux.

L'imposante sculpture du chanteur des Doors, réalisée par l'artiste croate Mladen Mikulin, avait été dérobée il y a 37 ans dans le cimetière parisien.

Ce buste, installé pour les dix ans de la mort de Jim Morrison, a été retrouvé par la brigade financière et anticorruption de la direction de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris, a appris l'AFP de source proche du dossier, confirmant une information de la radio RTL.

Selon la radio, il a été découvert de manière fortuite au cours d'une perquisition diligentée dans une affaire d'escroquerie par le parquet de Paris.

Le rocker américain, chanteur mythique des Doors, est décédé à Paris en juillet 1971. Selon la version officielle, Jim Morrison est mort dans sa baignoire à 27 ans, d'un arrêt cardiaque. Mais, depuis quelques années, une autre musique se fait entendre: le journaliste et écrivain Sam Bernett affirme dans ses livres que l'icône a fait une overdose dans les toilettes d'une boîte de nuit parisienne, le "Rock'n'Roll Circus".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le chef de l'OMS estime le budget de l'organisation "modeste"

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Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus appelle les membres à donner à l'institution les ressources pour qu'elle honore son mandat. (© KEYSTONE/MAGALI GIRARDIN)

Les membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) devront approuver mardi un budget de 4,2 milliards de dollars pour 2026 et 2027 pour l'organisation à Genève. Cette enveloppe "n'est pas ambitieuse, elle est extrêmement modeste", a dit son directeur général.

"Soit nous diminuons nos ambitions sur ce qu'est et fait l'OMS, soit nous donnons plus d'argent", a affirmé lundi Tedros Adhanom Ghebreyesus devant les Etats membres au premier jour de l'Assemblée mondiale de la santé. Les Etats-Unis, qui vont se retirer en janvier prochain et pèsent près de 20% du financement de l'institution, n'étaient pas présents.

M. Tedros a souhaité que les membres choisissent le second scénario qu'il a mentionné. "L'organisation ne peut pas faire tout ce que vous lui avez demandé de faire avec les ressources actuelles", a-t-il également dit. Et de préciser que 4,2 milliards équivalent à la combinaison des dépenses militaires injectées en huit minutes dans le monde et du prix d'un bombardier furtif.

Le directeur général a décidé de faire passer la direction de 14 à 7 personnes et le nombre de départements de 76 à 34. Outre des licenciements, l'OMS n'a pas caché que des postes seront délocalisés.

L'organisation doit trouver environ 600 millions de dollars d'ici la fin de l'année et plus d'1,6 milliard pour boucler la période 2026-2027. Ramené de 5,3 à 4,2 milliards de dollars, le projet de budget devrait être avalisé mardi par les membres qui doivent porter également la part des contributions obligatoires à 20%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Nvidia promet le premier "superordinateur" de Taïwan

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Le patron de Nvidia en pleine présentation au salon Computex de Taiwan. (© KEYSTONE/AP/Chiang Ying-ying)

Le patron de Nvidia, Jensen Huang, a annoncé lundi projeter de construire le "premier superordinateur d'intelligence artificielle" de Taïwan, à l'occasion du salon technologique Computex à Taipei.

M. Huang a indiqué que Nvidia travaillerait avec les géants taïwanais de la technologie Foxconn et TSMC ainsi qu'avec le gouvernement local pour construire le "premier superordinateur d'IA de Taïwan [...] pour l'infrastructure d'IA et l'écosystème d'IA".

"Il est très important d'avoir une infrastructure d'IA de classe mondiale à Taïwan", a déclaré M. Huang lors d'une allocution prononcée à la veille du salon Computex.

Les géants mondiaux des semi-conducteurs se réunissent cette semaine à Taïwan pour le salon technologique Computex, rendez-vous annuel d'un secteur au coeur de la révolution de l'intelligence artificielle (IA) mais chahuté par les guerres commerciales de Donald Trump.

Computex est la principale vitrine technologique annuelle de Taïwan, dont les usines de semi-conducteurs de pointe sont cruciales pour de nombreux produits, des iPhones aux serveurs qui font fonctionner ChatGPT.

Période charnière

Pour Paul Yu, du cabinet de conseil et groupe de réflexion basé à Taïwan Witology Markettrend, l'industrie traverse une "période charnière".

"Au cours des deux dernières années et demie, des progrès significatifs ont été réalisés dans le domaine de l'intelligence artificielle", et "2025 à 2026 sera la période cruciale pour passer de l'entraînement des modèles d'IA à des applications rentables", a-t-il estimé.

Malgré ces avancées, le secteur doit actuellement faire face aux défis de l'impact potentiel des nouveaux droits de douane américains et à des chaînes d'approvisionnement perturbées.

Washington a ouvert en avril une enquête visant à déterminer si la dépendance des Etats-Unis à ses importations de semi-conducteurs présente un risque, ou non, pour la sécurité nationale.

Or, c'est après ce type d'enquête qu'avaient été imposées en mars et avril des surtaxes sur l'acier, l'aluminium et l'automobile.

Au centre de l'écosystème

Le président américain Donald Trump a également accusé Taïwan de voler des puces à l'industrie américaine et menacé d'imposer des droits de douane allant jusqu'à 100% sur les importations de semi-conducteurs en provenance de l'île.

Néanmoins, la plupart des acteurs présents au Computex "éviteront d'aborder directement les droits de douane, car la situation est trop incertaine", prédit Eric Smith, du site d'information spécialisé TechInsights.

Certains craignent que Taïwan, qui produit la majorité des puces du monde et près de toutes celles les plus avancées, s'imposant comme un maillon essentiel des chaînes d'approvisionnement de la planète, ne perde sa position dominante sur le marché.

Cependant, cette place de leader agit pour Taïwan tel un "bouclier de silicium", référence au matériau le plus utilisé dans l'industrie.

Ce bouclier est censé protéger l'île d'une invasion ou d'un blocus de la Chine -- qui la revendique comme une partie de son territoire -- en incitant les Etats-Unis à la défendre pour son secteur des semi-conducteurs.

Sous pression, le fleuron TSMC a d'ores et déjà annoncé en mars un investissement de 100 milliards de dollars aux Etats-Unis, salué par le président taïwanais Lai Ching-te comme un "moment historique" dans les relations entre Taipei et Washington.

Le fournisseur de TSMC GlobalWafers a également fait part la semaine dernière de son intention d'augmenter ses investissements américains de 4 milliards de dollars, et ouvert une usine de fabrication de plaquettes de silicium au Texas.

Jensen Huang, interrogé vendredi, semble optimiste quant à l'avenir de Taïwan, affirmant qu'elle "resterait au centre de l'écosystème technologique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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