International
Fin du procès des attentats du 13-Novembre - Verdict mercredi soir
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/06/la-reclusion-criminelle-a-perpetuite-a-ete-requise-a-lencontre-des-accuses-salah-abdeslam-et-mohammed-abrini-1000x600.jpg&description=Fin du procès des attentats du 13-Novembre - Verdict mercredi soir', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le procès des attentats du 13-Novembre en France s'est achevé lundi au terme de près de dix mois d'audience. La cour d'assises spéciale de Paris s'est retirée pour délibérer. Le verdict est attendu mercredi soir.
"Les débats sont terminés", a déclaré le président Jean-Louis Périès à l'issue de cette 148e et ultime journée d'audience. "L'audience est suspendue, elle reprendra normalement le mercredi 29 juin 2022, à partir de 17H00" , a-t-il ajouté.
Comme le prévoit la procédure, il avait auparavant donné la parole aux 14 accusés présents devant la cour. Six autres accusés, dont cinq présumés morts, sont jugés en leur absence.
"Mes premiers mots seront pour les victimes", a déclaré le principal d'entre eux, le Français de 32 ans Salah Abdeslam. "Je vous ai présenté mes excuses. Certains vous diront qu'elles sont insincères, que c'est une stratégie (...) comme si des excuses pouvaient être insincères à l'égard de tant de souffrance".
"Pas un assassin"
L'accusation a requis contre lui la réclusion criminelle à perpétuité incompressible. Il s'agit de la plus lourde sanction prévue par le code pénal qui rend infime la possibilité d'une libération.
"La perpétuité est sans doute à la hauteur des faits, mais pas à la hauteur des hommes qui sont dans le box", a affirmé le seul membre encore en vie des commandos ayant causé la mort de 130 personnes à Paris et à Saint-Denis le 13 novembre 2015.
"L'opinion publique pense que j'étais sur les terrasses occupé à tirer sur des gens, que j'étais au Bataclan. Vous savez que la vérité est à l'opposé", a-t-il aussi dit. "J'ai fait des erreurs, c'est vrai, mais je ne ne suis pas un assassin, je ne suis pas un tueur. Si vous me condamniez pour assassinat vous commettriez une injustice".
Ses coaccusés s'étaient levés tour à tour avant lui pour redire leurs "regrets" ou "excuses" et "condoléances" aux victimes pour certains, et remercier leurs avocats. "Je fais confiance à la justice", "j'attends beaucoup de votre verdict", ont aussi dit plusieurs d'entre eux.
Attitude ambivalente
Salah Abdeslam, quasiment muet durant l'instruction, s'est montré ambivalent pendant le procès. Il a oscillé entre arrogance, en se proclamant "combattant de l'Etat islamique" au premier jour d'audience le 8 septembre, et compassion, quand il a présenté, en larmes, ses "condoléances et (ses) excuses à toutes les victimes".
Au cours des débats, il a expliqué avoir renoncé à actionner sa ceinture explosive dans un bar du XVIIIe arrondissement de Paris par "humanité".
"Quoi qu'on en dise, ce procès n'aurait pas du tout été le même si Salah Abdeslam avait gardé le silence. Il y aurait eu un profond sentiment d'échec si tel avait été le cas", avait fait valoir vendredi son avocat Martin Vettes lors des ultimes plaidoiries.
"Réclusion à perpétuité"
Pas convaincu par le "numéro d'équilibriste" de Salah Abdeslam qui a cherché systématiquement à "minimiser les faits", le parquet national antiterroriste a requis la réclusion criminelle à perpétuité incompressible à son encontre.
La perpétuité a également été requise, avec une période de sûreté de 22 ans, à l'encontre de Mohamed Abrini, un ami d'enfance de Salah Abdeslam. Celui-ci a également beaucoup parlé durant l'audience, reconnaissant qu'il était "prévu pour le 13-Novembre", ne donnant cependant guère d'explications sur son renoncement.
Le parquet a aussi requis la réclusion criminelle à perpétuité à l'encontre de trois autres accusés qui ont référé garder le silence durant les débats. Il s'agit d'Osama Krayem, Sofien Ayari et Mohamed Bakkali. Au total, des peines allant de cinq ans d'emprisonnement à la perpétuité ont été requises contre les 20 accusés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël a frappé un site du Hezbollah dans le sud du Liban
L'armée israélienne a affirmé samedi avoir frappé un site du Hezbollah de la région de Naqoura, dans le sud du Liban, au cours de la nuit.
"Ce site était utilisé par la 'Force Radouane' du Hezbollah pour mener des attaques terroristes contre des civils israéliens et constitue une violation flagrante des accords entre Israël et le Liban", a indiqué l'armée dans un communiqué publié au lendemain d'une mise en garde par le ministre de la Défense israélien, Israël Katz.
L'armée a précisé avoir obtenu des informations sur ce site "notamment à la suite de l'interrogatoire d'un terroriste du Hezbollah."
Dans la nuit, l'armée avait également annoncé avoir frappé un "terroriste du Hezbollah" dans le sud du Liban, sans donner plus de détails.
Vendredi, le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, avait mis en garde le mouvement chiite libanais, en lui "conseillant" d'éviter d'intervenir dans la guerre avec l'Iran.
Israël a lancé une offensive sur l'Iran il y a à peine plus d'une semaine, tandis que son armée a continué à mener des séries de frappes sporadiques sur le Liban, principalement dans le sud du pays, indiquant viser le mouvement libanais.
Après plus d'un an d'échanges de feux suivi de deux mois de guerre ouverte entre Israël et le Hezbollah, un accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 27 novembre dernier.
Armé et financé par l'Iran, le Hezbollah est ressorti très amoindri de cette guerre.
En vertu du cessez-le-feu, la formation libanaise devait retirer ses forces et démanteler toute infrastructure militaire au sud du fleuve Litani, à une trentaine de kilomètres de la frontière israélienne, et Israël retirer ses forces du sol libanais.
Mais l'armée israélienne maintient cinq positions frontalières qu'elle juge "stratégiques" et mène quasi-quotidiennement des frappes au Liban, affirmant viser le Hezbollah.
Le Hezbollah avait ouvert un front début octobre 2023 en tirant des roquettes à partir du sud du Liban sur le nord d'Israël, disant agir en soutien au mouvement islamiste palestinien Hamas.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Bencic de retour à Bad Homburg
Forfait sur blessure pour Roland-Garros, Belinda Bencic (WTA 35) effectuera son retour à la compétition sur le gazon de Bad Homburg.
La St-Galloise affrontera Ekaterina Alexandrova (WTA 18) au 1er tour d'un WTA 500 qui débute dès dimanche.
La championne olympique de Tokyo 2021 s'est déjà mesurée à sept reprises à la Russe, tête de série no 8 du tableau en Allemagne. Elle s'est imposée quatre fois, dont une sur le gazon de Berlin en quart de finale d'une édition 2021 dans laquelle elle avait atteint la finale.
Blessée à un bras, Belinda Bencic n'a plus joué depuis son abandon au 1er tour à Rome le 7 mai. Quant à Ekaterina Alexandrova, elle reste sur un échec mortifiant une semaine plus tôt sur l'herbe de Bois-le-Duc: elle a en effet manqué pas moins de 11 balles de match dans sa demi-finale perdue face à Elise Mertens.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le Bayern contient la furia Boca et fonce en 8es
Largement supérieur dans le premier acte, bousculé dans le second, le Bayern Munich a fini par vaincre Boca Juniors (2-1) grâce à Harry Kane et Michael Olise, vendredi dans le Mondial des clubs.
Le "Rekordmeister" a ainsi logiquement acté sa qualification pour les 8es de finale.
Muet et plutôt discret lors du premier match face aux amateurs d'Auckland, malgré l'avalanche de buts inscrits (10-0), Harry Kane s'est montré bien plus actif et tranchant cette fois. C'est lui qui a ouvert le score dans le style létal qui le caractérise, d'un tir croisé du gauche après avoir hérité d'un centre mal repoussé par un défenseur adverse (18e).
Et c'est lui aussi qui a judicieusement dévié un ballon cafouillé dans la surface vers Olise, qui n'a pas manqué en ouvrant son pied de remettre le Bayern devant au score (84e). L'attaquant français, s'est ainsi fait pardonner après sa perte de balle à l'origine de l'égalisation de Boca peu après l'heure de jeu. Mais tout le mérite en est revenu à l'Uruguayen Miguel Merentiel, lancé à pleine vitesse par Alan Velasco, qui a pris Jonathan Tah de vitesse et réussi un grand pont sur Josip Stanisic, avant de tromper Manuel Neuer (66e).
Il fallait alors entendre et voir la réaction des fans survoltés de Boca, qui n'avaient certes jamais arrêté de chanter dans les tribunes du Hard Rock Stadium de Miami, quasiment plein pour cette affiche et paré de bleu et de jaune. Ce supplément d'âme a évidemment aidé leur équipe - qui évoluait sans son international suisse Lucas Blondel - à revenir à la hauteur des Bavarois au coeur d'une seconde période bien plus proactive de la part du CABJ.
Boca devra gagner
La défaite concédée par Boca, la première d'un club sud-américain depuis le début du tournoi, n'est pas synonyme d'élimination. Mais la formation argentine n'a plus son destin entre les mains. Il lui faudra un succès le plus large possible contre Auckland conjugué à un revers de Benfica face au Bayern lors des deux derniers matches du groupe C, pour espérer aussi avancer en 8es de finale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le Pakistan dit proposer Trump au Nobel de la paix
Le Pakistan a annoncé samedi avoir proposé Donald Trump au prix Nobel de la paix, un mois et demi après que le président américain a annoncé, à la surprise générale, un cessez-le-feu entre Islamabad et New Delhi.
Du 6 au 10 mai, les deux puissances nucléaires voisines et rivales depuis leur partition sanglante en 1947 avaient fait redouter au monde entier le point de non-retour.
Leur conflit s'était terminé par l'annonce sur le réseau social de M.Trump d'un cessez-le-feu obtenu, selon l'hôte de la Maison Blanche, à l'issue "d'une longue nuit de négociations organisées par les Etats-Unis".
Depuis, Islamabad ne cesse de saluer l'action de Washington, longtemps son grand partenaire militaire dans la "guerre contre le terrorisme" avant de se retirer d'Afghanistan et de délaisser la région.
Le Premier ministre indien Narendra Modi répète de son côté qu'il n'y a eu aucune médiation américaine pour parvenir au cessez-le-feu.
M.Trump, lui, assure être derrière une demi-douzaine d'accords de paix ou simplement le maintien de bonnes relations de voisinage ces dernières années et s'est plaint, dans un long message sur son réseau social dans la nuit, de ne pas avoir obtenu de prix Nobel pour cela.
Islamabad, qui a échappé de peu à la faillite en 2023 grâce à un énième prêt du Fonds monétaire international (FMI) ne cesse de lancer des appels du pied aux capitales étrangères, Washington en tête, espérant qu'elles investissent dans ses ressources minières.
De nouveau, mercredi, en déjeunant avec M.Trump à Washington, le chef de l'armée pakistanaise, le maréchal Asim Mounir, a proposé "un partenariat aux bénéfices mutuels" citant notamment "minerais", "cryptomonnaies" et "intelligence artificielle", autant de domaines dans lesquels M.Trump investit personnellement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 2 jours
Les chauffeurs de bus du VMCV indignés par leur condition de travail
-
SuisseIl y a 3 jours
Vers une fusion entre protection et service civils
-
ÉconomieIl y a 3 jours
La cathédrale de Lausanne bientôt sous une lumière nouvelle
-
VaudIl y a 2 jours
24 heures pour surmonter la gêne face au handicap
-
ClimatIl y a 3 jours
Des scientifiques mesurent la zone d'éboulement à Blatten (VS)
-
InternationalIl y a 2 jours
Israël menace le guide suprême iranien
-
CultureIl y a 2 jours
Interviewée par un journaliste, Rachida Dati le menace
-
CultureIl y a 3 jours
Le festival Morges-sous-Rire a attiré 17'000 spectateurs