Suisse
Le National tient à un contre-projet à l'initiative sur les primes

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Le système de réduction des primes maladie doit être amélioré. Le Conseil national tient à ce qu'un contre-projet soit opposé à l'initiative populaire socialiste visant à limiter les primes à 10% du revenu. La décision a été prise mardi par 106 voix contre 79.
"Au vu de la forte augmentation des primes et de l'inflation, il faut prendre des mesures", a déclaré Benjamin Roduit (Centre/VS) pour la commission. La population attend du gouvernement qu'il s'attaque au problème.
Le Conseil fédéral a concocté un projet de loi en réponse à l'initiative populaire du PS qui demande qu'aucun assuré ne doive payer plus de 10% de son revenu pour les primes d'assurance maladie. Le projet gouvernemental rappelle les cantons à leurs responsabilités.
Grandes différences
Car il y a de grandes différences entre cantons. Neuf d'entre eux dépensent moins d'argent en subsides de primes qu'il y a 10 ans, alors que les coûts de la santé ont augmenté durant cette période, a rappelé le Valaisan. Les cantons ne font pas leur travail, a renchéri Barbara Gysi (PS/SG). Cinq ont encore alloué moins de moyens cette année.
Tous les partis devraient être prêts à retravailler le système de santé vers un système plus juste, a lancé Pierre-Yves Maillard (PS/VD). Mais le message n'a apparemment pas la même résonance au Conseil des Etats. Celui-ci a en effet refusé en novembre dernier d'entrer en matière sur le contre-projet gouvernemental, par 22 voix contre 20.
Plusieurs élus ont indiqué ne pas comprendre cette décision. Certains ménages paient des montants de primes avoisinant 15% voire 20% de leur revenu. La décision des sénateurs est un "bras d'honneur" à ces familles, a lancé Raphaël Mahaim (Vert-e-s/VD). Les sénateurs ne prennent pas au sérieux la population, a estimé Melanie Mettler (PVL/BE).
Pas une solution
Seule la droite dure s'est alignée sur la Chambre des cantons. Elle refuse en effet autant l'initiative que le contre-projet. Pour Céline Amudruz (UDC/GE), la première est un "emplâtre sur une jambe de bois". Quant au contre-projet, il ne s'attaque pas aux véritables causes des coûts de la santé, selon Regine Sauter (PLR/ZH). Sans succès.
La majorité a appelé le Centre à convaincre leurs élus au Conseil des Etats pour soutenir le contre-projet gouvernemental. Cette solution offre la possibilité d'agir de manière nuancée pour augmenter les subsides aux familles. Car l'initiative traite d'un vrai sujet, mais elle mélange les compétences entre cantons et Confédération.
Le dossier repart au Conseil des Etats. S'il persiste à rejeter l'entrée en matière, le contre-projet sera définitivement abandonné. L'initiative populaire du PS pour un allègement des primes prévoit que la Confédération et les cantons contribuent davantage aux réductions de primes. La Confédération prendrait en charge deux tiers des dépenses, les cantons assumant le reste.
Plus de 2 milliards supplémentaires
Le contre-projet indirect prévoit que les cantons versent un minimum équivalant à 5 à 7,5% des coûts cantonaux de l'assurance obligatoire. La part fédérale reste quant à elle inchangée à 7,5%. Cela entraînerait des coûts supplémentaires de près de 493 millions de francs par année pour les cantons.
Lors de la première lecture, le National a retouché cette version en demandant une réduction plus importante des primes. Les frais s'élèveraient à 1,3 milliard pour la Confédération et à 906 millions pour les cantons. "Trop?", s'est demandé Benjamin Roduit. "Non, car il y a des citoyens tous assurés et contribuables qui sont concernés."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud finance la formation de spécialistes de l'énergie
Le Conseil d'Etat vaudois souhaite encourager la mise en place d'offres de formation dans le domaine de l'énergie. Il prévoit un budget total de 7,5 millions de francs pour la période 2025-2032.
Pour répondre aux besoins liés à la transition énergétique, Vaud dit vouloir "soutenir les centres et les programmes de formation continue des spécialistes de l'énergie", écrit-il vendredi dans un communiqué.
Cela concerne notamment le dimensionnement et la pose de pompes à chaleur ou de panneaux solaires, l'optimisation des installations techniques des bâtiments ou encore leur rénovation énergétique.
Dans ce cadre, le Conseil d'Etat a déjà lancé un premier appel à projets cette année. Parmi quatorze dossiers, sept ont été retenus pour un montant total d'aides de 240'000 francs. Les bénéficiaires de ce soutien ont conçu "des programmes de formation continue permettant la reconversion et/ou le développement des compétences requises sur les thématiques favorisant la transition énergétique", poursuit le communiqué.
Cours pour les panneaux solaires
Le Conseil d'Etat ajoute aussi avoir déjà attribué 1,32 million de francs au centre de formation TBS (Technique du Bâtiment Services), lequel a mis au point une nouvelle filière de formation de monteurs solaire photovoltaïque.
Ce cours de 10 jours prépare à la pose de panneaux photovoltaïques, tant pour les professionnels, les novices que les personnes en reconversion professionnelle, précise le communiqué. A ce jour, 120 personnes ont déjà suivi ce cursus. A partir de 2026, celui-ci devrait permettre d'accueillir 260 participantes et participants par année.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Concours lancé pour le futur mémorial des victimes du nazisme
La Confédération a lancé vendredi un concours multidisciplinaire visant à réaliser un mémorial en faveur des victimes du nazisme à Berne. Le Conseil fédéral avait pris la décision d'ériger un lieu de souvenir de l'Holocauste en 2023.
Le lieu sera gratuit, accessible à toutes et tous et "intégré à la vie quotidienne de la ville", souligne le communiqué du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE). Il perpétuera le souvenir des millions de Juifs assassinés ainsi que des autres victimes du régime nazi. L'histoire de la Suisse d'alors et une réflexion sur son rôle vis-à-vis des crimes de masses commis à l'époque seront également des thèmes abordés.
Un lieu d'échanges et d'enseignement
Le cahier des charges décrété par le jury présidé par l'historienne de l'art Madeleine Schuppli s'adresse tant aux domaines de l'architecture, de l'art et de l'enseignement historique. Le mémorial vise également à favoriser l'échange et le dialogue, et sensibiliser aux questions démocratiques et de droits de l'homme, ajoute le DFAE.
Situé sur la terrasse du Casino, à deux pas du Palais fédéral, cette localisation a été proposée par les autorités de la Ville de Berne. Le mémorial devisé à 2,5 millions de francs sera à terme administré par une association de soutien composée de la Fédération suisse des communautés israélites, la Société pour les minorités en Suisse et les Archives d'histoire contemporaine de l'EPF de Zurich. La décision du jury concernant le projet retenu sera rendue en 2026, et le projet devrait voir le jour d'ici à 2028.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
L'économie soutient le paquet d'accords entre la Suisse et l'UE
Economiesuisse et l'Union patronale suisse (UPS) soutiennent le paquet d'accords négocié avec l’Union européenne (UE). Elles demandent une mise en oeuvre qui tienne compte des besoins des entreprises. Une des mesures pour protéger le marché du travail est rejetée.
L'économie et les patrons estiment que les accords constituent un élément solide pour stabiliser et développer la voie bilatérale. La mise en oeuvre dans la législation suisse doit permettre de garantir à la fois un accès optimal au marché de l'UE et des conditions cadre compétitives pour la place économique suisse.
La flexibilité du marché du travail doit aussi être préservée. La plupart des mesures convenues entre les partenaires sociaux sont soutenues à l'exception d'une seule, destinée à protéger les représentants des travailleurs contre les licenciements. Appliquée aux entreprises de plus de 50 travailleurs, cette disposition avait été ajoutée par le Conseil fédéral.
L'économie soutient enfin la clause de sauvegarde en matière d'immigration. Celle-ci doit être appliquée de manière stricte et ses modalités examinées en profondeur, avec la participation des partenaires sociaux.
Les accords Suisse-UE sont actuellement en phase de consultation jusqu'au 31 octobre. Il est prévu de modifier 32 lois suisses, dont 12 subiront des modifications importantes. Le Parlement doit s'emparer du dossier en 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le bitcoin crève le plafond, se rapproche des 120'000 dollars
Le bitcoin s'échangeait à des niveaux jamais atteints vendredi, se rapprochant des 120'000 dollars, au lendemain d'une session déjà marquée par des records. La plus connue des devises numériques jouit d'une plus grande propension au risque des investisseurs.
Vers 08h35, un bitcoin valait 118'163 dollars, du jamais vu. "Les risques continuent d'être ignorés: les bonnes nouvelles retiennent toute l'attention, tandis que les mauvaises sont balayées sous le tapis, commente Ipek Ozkadeskaya chez Swissquote, soulignant "l'extrême cupidité des marchés ces jours-ci, qui contribue à porter le bitcoin vers de nouveaux sommets historiques".
La devise numérique, négociée depuis l'an dernier également sous la forme d'ETF, suscite en outre une demande croissante de la part des investisseurs institutionnels.
Les cryptomonnaies bénéficient enfin d'un environnement réglementaire favorable aux Etats-Unis, note Timo Emden d'Emden Research. La semaine prochaine, la Chambre des représentants doit examiner pas moins de trois projets de loi majeurs sur le sujet qui, s'ils sont adoptés, leur donneront un cadre et une légitimité supplémentaire.
De quoi insuffler encore de l'élan au bitcoin, représentant près des deux tiers du marché des cryptomonnaies. Certains analystes lui prédisent un cours à 125'000 dollars à la fin de l'été.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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