Culture
La musique au coeur du prochain Festival Numerik Games
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Le centre-ville d'Yverdon-les-Bains sera à nouveau le haut lieu de la créativité numérique cet été. Le festival Numerik Games est de retour et met en avant cette année la musique, un art étroitement lié.
Après le cirque l'an dernier, c'est cette fois l'art musical qui sera au centre de la programmation du prochain Numerik Games Festival, prévu du 26 au 28 août prochain, à Yverdon-les-Bains. Numerik Games, c'est une manifestation qui se veut rassembleuse, qui veut montrer au grand public la créativité numérique sous toutes ces formes, de les mélanger lors d’un événement.
Des artistes suisses et internationaux viendront mettre l'ambiance, dans plusieurs styles, dans la cité thermale. Et au delà de ce programme axé musique, les festivaliers pourront retrouver tout ce qui fait le charme de cette manifestation : son mélange des genres, des types de créations. On retrouve Marc Atallah :
Au programme donc, entre autres, des conférences, des ateliers parents-enfants, du jeu vidéo suisse et rétro. Et la musique ! Les festivaliers pourront constater la frontière mince entre musique et numérique, avec par exemple le DJ britannique Afishal qui fera danser les bâtiments de la Place Pestalozzi, la compagnie ukrainienne Light Balance qui proposera des chorégraphies avec des tubes néons, ou encore la rencontre entre art de rue et musique électronique avec le batteur italien Dario Rossi.
Autre nouveauté pour cette édition 2022 : la traduction complète en allemand de l'intégralité des supports du festival, y compris les conférences. Une volonté de s'ouvrir à un public encore plus large et pouvoir faire de cette manifestation LE rendez-vous suisse du numérique.
Plus d'informations et réservation des billets pour le Festival à retrouver sur le site internet de la manifestation.
Culture
Le festival d'Angoulême n'aura pas lieu en janvier prochain
La 52e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême (FIBD) n'aura pas lieu en janvier 2026, révèle mercredi le journal français Libération. Les principaux éditeurs de bande dessinée ont décidé de ne pas participer à la prochaine édition.
Les organisateurs ont pris acte de cette décision et redoutent que cette annulation n'en entraîne d'autres.
Les autrices et auteurs avaient confirmé plus tôt dans la semaine un boycott total du festival afin de dénoncer la gouvernance de la société organisatrice 9e Art +, les violences sexistes et sexuelles, la précarisation du secteur et un manque de transparence.
Face à cette mobilisation massive, les grands éditeurs de BD se sont à leur tour retirés. Le Syndicat national de l'édition a décidé mardi de ne pas se rendre au festival. Sans artistes ni éditeurs, le plus grand rendez-vous mondial du neuvième art ne pouvait être maintenu.
Une vingtaine de lauréats du Grand Prix d'Angoulême avaient déjà appelé à un changement "rapide et profond" dans l'organisation de cet événement majeur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
"On vous croit": un film coup-de-poing pour protéger les enfants
A l’occasion de la Journée internationale contre la violence faite aux enfants, le film "On vous croit" sort en Suisse. Sa coréalisatrice Charlotte Devillers signe une ½uvre qui interroge frontalement la justice, la parole des enfants et la responsabilité des adultes.
Dans "On vous croit", Charlotte Devillers plonge au c½ur d’un combat judiciaire où une mère tente de faire reconnaître la parole de ses enfants face à un système qu’elle juge "souvent trop lent, trop complexe et trop déstabilisant pour les victimes". Inspiré de témoignages réels, le film explore la violence des procédures et leur impact sur les familles. "Ce que vivent les enfants dans ces moments-là est souvent sous-estimé", observe l'infirmière et réalisatrice, dont c'est le premier film.
Pour Charlotte Devillers, la fiction s’est imposée comme un choix éthique. "Écrire une fiction nous permettait de protéger de véritables victimes tout en disant la vérité de ce qu’elles traversent", a-t-elle expliqué à Keystone-ATS. Sa mise en scène s’est nourrie d’un regard de soignante: "Mes outils ont toujours été l’écoute et l’observation, et ce sont ces mêmes outils que j’ai utilisés pour diriger le film."
La séquence centrale, tournée en une seule prise de 55 minutes, recrée en temps réel l’intensité d’une audience de justice. Charlotte Devillers tenait à ce dispositif pour préserver la spontanéité du jeu. "Je voulais que tous, acteurs comme avocats (ndlr: ce sont de vrais avocats), ne puissent pas anticiper, exactement comme dans une vraie audience", précise-t-elle. Ce choix permet selon elle "d’immerger le spectateur dans la tension et la vulnérabilité de la mère".
Au-delà de la dénonciation
Au-delà de la dénonciation, Charlotte Devillers, coréalisatrice au côté d'Arnaud Dufeys, met en lumière les effets durables des procédures. "Les enfants revivent encore et encore ce qu’ils ont subi, et quand leur parole est mise en doute, ils finissent par penser qu’on ne les protège pas", dit-elle. Elle insiste sur la dimension temporelle: "À hauteur d’enfant, les mois semblent des années. Et ces années peuvent laisser des traces profondes."
"On vous croit" sort mercredi en Suisse romande, jeudi en Suisse alémanique. Des débats en présence de la réalisatrice et de politiciens et politiciennes accompagnent la sortie du film dans une dizaine de villes en Suisse. Il sera également projeté dans une trentaine de pays.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Trump s'en prend violemment à deux journalistes
"Tais-toi la truie!" à l'une, "vous êtes une personne horrible" à l'autre: Donald Trump s'en est pris violemment à deux journalistes à quelques jours d'écart. Il a menacé mardi d'interdire de diffusion la chaîne ABC News à cause de questions qui l'ont rendu furieux.
A bord de l'avion présidentiel Air Force One vendredi dernier, Donald Trump a été interrogé sur l'affaire Epstein, dans laquelle son gouvernement se trouve empêtré depuis plusieurs mois.
Il a alors répondu, passablement agacé, ne rien savoir des crimes sexuels du financier qu'il avait côtoyé de nombreuses années. Et lorsque la journaliste Catherine Lucey, de l'agence de presse américaine Bloomberg, tente de poser une question sur son refus de publier les documents d'enquête, le président américain l'interrompt, se penche vers elle, la pointe du doigt et lui lance: "Tais-toi. Tais-toi la truie!"
L'incident a été relayé mardi par les médias américains.
Mardi, il s'en est pris cette fois-ci à Mary Bruce, d'ABC News.
"Vous êtes une personne horrible", a asséné Donald Trump, qualifiant sa chaîne de "fake news".
La journaliste venait de lui poser des questions sur les affaires de la famille Trump en Arabie saoudite et sur le scandale Jeffrey Epstein, au moment où le président américain recevait dans le Bureau ovale le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane.
"Est-ce approprié, Monsieur le président, que votre famille fasse des affaires en Arabie saoudite pendant que vous êtes président? Est-ce un conflit d'intérêts?", a commencé la journaliste.
Le promoteur saoudien Dar Global a annoncé lundi un nouveau partenariat aux Maldives avec la Trump Organization. Le conglomérat est dirigé depuis 2016 par Donald Junior et Eric Trump, deux des fils du président américain, qui est resté actionnaire à travers un trust.
"Terrible journaliste"
"Et Votre Altesse royale, les renseignements américains ont conclu que vous avez orchestré le meurtre brutal d'un journaliste, les familles des victimes du 11-Septembre sont furieuses que vous soyez ici dans le Bureau ovale. Pourquoi les Américains devraient-ils vous faire confiance?", a ajouté Mary Bruce.
La responsabilité de "MBS" avait été pointée du doigt par les services de renseignement américains dans l'assassinat en 2018 du journaliste du Washington Post Jamal Khashoggi, tandis que les attentats du 11 septembre 2001 avaient été orchestrés par Oussama Ben Laden, lui-même saoudien.
Le président américain a nié tout conflit d'intérêts. "Je n'ai rien à voir avec les affaires de ma famille. J'ai quitté cela", a-t-il assuré, avant de défendre son invité au sujet de Jamal Khashoggi, disant que le prince "n'était au courant de rien".
"Vous n'avez pas besoin de mettre notre invité dans l'embarras en lui posant une telle question", a-t-il ajouté.
La journaliste d'ABC News n'a toutefois pas été désarçonnée par l'échange. Elle est revenue à la charge quelques minutes plus tard, cette fois-ci sur le dossier Epstein.
"Vous savez, ce n'est pas la question qui me dérange. C'est votre attitude. Je pense que vous êtes une terrible journaliste", a rétorqué M. Trump, furibond.
"Je vais vous dire quelque chose. Je pense que la licence (de diffusion) devrait être retirée à ABC, parce que vos infos sont tellement fausses et erronées", a-t-il repris.
Il a exhorté le patron du régulateur américain de l'audiovisuel (FCC), qui a déjà par le passé menacé ABC de sanctions, à "regarder ça".
Avant d'asséner à la journaliste: "Plus de questions de votre part".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Trump défend Mohammed ben Salmane sur l'assassinat de Khashoggi
En plus d'offrir à "MBS" une spectaculaire réhabilitation diplomatique, Donald Trump a défendu avec vigueur mardi le prince héritier saoudien concernant l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en 2018.
Ce dernier a obtenu plusieurs faveurs du président des Etats-Unis, comme la désignation de l'Arabie saoudite comme "allié majeur non-membre de l'Otan", mais aussi la promesse d'une livraison "future" d'avions de combat F-35, d'une coopération renforcée dans le nucléaire civil, et d'un accès aux technologies américaines avancées en matière d'intelligence artificielle.
"Vous parlez d'une personne extrêmement controversée. Beaucoup de gens n'aimaient pas ce monsieur dont vous parlez. Que vous l'aimiez ou pas, des choses se sont produites", a lancé le républicain de 79 ans en réponse à une question sur l'ancien chroniqueur du Washington Post.
Mohammed ben Salmane "n'était au courant de rien", a affirmé Donald Trump, qui s'en est pris violemment à la journaliste de la chaîne ABC qui posait la question. Il l'a accusée de chercher à "embarrasser" celui qu'il qualifie de "très bon ami".
Reçu avec une garde à cheval, des coups de canon et un survol d'avions de combat F-15 et F-35, le dirigeant de facto du royaume saoudien a aussi eu droit aux louages du président américain, dans le Bureau ovale, pour son bilan "incroyable en matière de droits humains."
Résidant aux Etats-Unis, critique du pouvoir saoudien après en avoir été proche, Jamal Khasshoggi a été tué dans le consulat saoudien à Istanbul par des agents venus d'Arabie saoudite.
Son corps, démembré, n'a jamais été retrouvé. Les services secrets américains ont pointé une responsabilité directe de Mohammed ben Salmane, ce qui a quasiment gelé, pendant un temps, la relation entre les deux alliés.
"Énorme erreur"
"C'est douloureux et c'est une énorme erreur et nous faisons de notre mieux pour que cela n'arrive pas à nouveau", a dit mardi le prince héritier saoudien, surnommé MBS.
La veuve de Jamal Khashoggi l'a ensuite appelé à la rencontrer. "Le prince héritier a dit qu'il était désolé, il devrait donc me rencontrer, me présenter ses excuses et m'indemniser pour le meurtre de mon mari", a écrit Hanan Elatr Khashoggi sur X.
Alors que son prédécesseur démocrate Joe Biden voulait traiter Mohammed ben Salmane en "paria", le président américain l'a reçu avec autant d'égards que s'il était un chef d'Etat, alors même que son père le roi Salmane reste le souverain en titre.
Il a aussi accédé à des demandes insistantes de l'Arabie saoudite.
Les deux Etats ont ratifié une "déclaration commune" sur l'énergie nucléaire civile qui "crée la base légale pour une coopération se chiffrant en milliards de dollars sur plusieurs décennies" et "menée dans le respect de règles fortes de non-prolifération", selon l'exécutif américain.
Nucléaire, Israël
Par ailleurs, Donald Trump "a donné son feu vert" à de futures livraisons de F-35", des avions de combat américains de technologie avancée dans le cadre d'un "Accord de défense" bilatéral, selon la même source.
Arabie saoudite et Etats-Unis ont enfin signé un accord donnant à la monarchie pétrolière, qui cherche à diversifier son économie, "l'accès à des systèmes américains de pointe" d'intelligence artificielle tout en protégeant ces technologies de "toute ingérence étrangère".
Washington cherche à assurer que la Chine, dont l'Arabie saoudite est proche, ne mettra pas la main sur les dernières innovations américaines en matière de puces.
Mohammed ben Salmane a lui promis de porter à 1.000 milliards de dollars, contre 600 auparavant, le montant des futurs investissements saoudiens aux Etats-Unis, comme Donald Trump le réclamait.
Il a en revanche temporisé sur une demande insistante du président américain, qui voudrait que l'Arabie saoudite rejoigne les accords d'Abraham, son grand projet de normalisation des liens entre les pays arabes et Israël.
"Nous souhaitons faire partie des accords d'Abraham. Mais nous voulons également nous assurer que la voie vers une solution à deux Etats est clairement tracée", alors qu'Israël refuse toute création d'un Etat palestinien, a dit le prince héritier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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