Climat
Armée déployée dans les zones dévastées par le cyclone
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Après le passage du cyclone Gabrielle en Nouvelle-Zélande, priorité aux zones isolées: les autorités, débordées, ont déployé jeudi l'armée pour acheminer eau, vivres et carburant. Elles ont accepté finalement les offres d'aides venues de l'étranger.
Le Premier ministre Chris Hipkins a prévenu qu'il faudrait beaucoup de temps pour effacer les traces du passage du cyclone Gabrielle qui s'est abattu sur le nord du pays lundi, faisant cinq morts et 10'500 déplacés à la suite de pluies diluviennes. Selon la police, environ 3500 personnes ont été répertoriées comme "injoignables", les résidents tentant désespérément de joindre leurs proches.
Davantage de décès sont à craindre, a averti M. Hipkins, qui a précisé que plus de 100'000 foyers étaient toujours sans électricité sur l'île du Nord, où vivent plus des trois quarts des cinq millions d'habitants du pays.
"C'est un événement traumatique", a souligné jeudi le dirigeant. "C'est un très grand défi de restaurer les infrastructures aussi vite que possible, nous devons reconnaître que nous sommes devant un long chemin de croix". "Il n'y a pas de solution miracle. Nous pourrions faire travailler les bulldozers 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, il faudrait quand même du temps pour rétablir les liaisons routières", a-t-il fait valoir.
Le gouvernement a indiqué avoir déployé deux navires de guerre et un avion de transport C-130 Hercules pour acheminer des milliers de litres d'eau, du personnel et plusieurs dispositifs mobiles de traitement des eaux dans les régions durement touchées. Des hélicoptères NH90 ont aussi été envoyés, notamment dans la région de Hawke's Bay (nord-est), la plus touchée, où ils ont sauvé des travailleurs, des familles ou des animaux domestiques perchés sur des toits pour échapper à la montée des eaux.
Face à l'ampleur de la tâche, Chris Hipkins a aussi indiqué accepter finalement les offres d'aide internationale, après les avoir initialement écartées.
Ville coupée du monde
Jeudi, la ville de Napier, à Hawkes Bay, était coupée du monde après que des dégâts ont été constatés sur le dernier pont reliant ses 65'000 habitants au reste du pays. Le pont est désormais praticable, a fait savoir l'agence nationale du Transport, mais uniquement pour les secouristes.
Dans toute la ville, les stations-service ont installé des panneaux indiquant "pas de carburant", sauf pour les services d'urgence, a constaté un journaliste de l'AFP. Les habitants ont reçu l'ordre de ne pas quitter leur domicile, sauf en cas d'absolue nécessité, et de limiter leur consommation d'eau.
Et quand ils s'aventurent à l'extérieur, ils doivent patauger dans les eaux troubles de la crue pour se ravitailler ou pour rechercher une connexion internet. La région, aux paysages autrefois bucoliques, est méconnaissable, entre torrents impétueux, routes détruites et importants éboulements.
Nouvelles précipitations attendues
Pendant quatre jours, des vents violents et des pluies diluviennes ont provoqué inondations et glissements de terrain, emportant des routes et coupant les communications à travers l'île du Nord.
Le cyclone Gabrielle s'est formé le 8 février au large de la côte nord-est de l'Australie, dans la mer de Corail. De nouvelles précipitations sont attendues jeudi, compliquant les efforts de sauvetage et de remise en état des régions affectées.
Selon les scientifiques, le cyclone a été exacerbé par des mers exceptionnellement chaudes, sous l'effet conjugué du changement climatique et du phénomène la Nina.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Trump se rend au Texas ravagé par des inondations meurtrières
Donald Trump a quitté vendredi Washington pour un déplacement de quelques heures au Texas, Etat du Sud meurtri par des inondations ayant causé la mort d'au moins 120 personnes. Cela au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.
Le président américain et son épouse Melania sont attendus sur place une semaine tout juste après la catastrophe, pour laquelle les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.
Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.
Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés. Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.
C'est là que Donald Trump se rend vendredi, pour "être auprès de certaines des super familles" de victimes des inondations, a-t-il déclaré à la presse avant d'embarquer à bord de l'avion présidentiel Air Force One, qualifiant la catastrophe naturelle d'"horrible".
Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.
Obstacles bureaucratiques
La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l'impact des coupes budgétaires, voulues par l'administration Trump, sur les systèmes d'alerte et de secours.
Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s'il avait toujours l'intention de supprimer progressivement l'Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n'était pas le moment d'en parler.
Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu'en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les ressources fédérales.
La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l'Etat fédéral "a été rapide et efficace", a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.
Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses.
La semaine dernière, la Maison Blanche a déjà dû répondre aux critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux avaient porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.
Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des "prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu".
"Code rouge"
Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté "autour de 4 ou 5 heures du matin" par des appels aux services de secours.
Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l'envoi d'alertes "code rouge", un message d'urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.
Or d'après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d'attendre, le temps d'obtenir l'autorisation d'un supérieur.
Les alertes "code rouge" auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6h du matin, et le message a mis jusqu'à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.
Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.
Plus de 2000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes.
La dernière personne vivante a été secourue le 4 juillet, le jour même de l'inondation, selon les autorités.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Directeur de Festi'neuch: "A aucun moment, j'ai eu envie de partir"
Antonin Rousseau n'a eu envie à aucun moment de quitter la direction de Festi'neuch, à la suite des moments très difficiles liés à l'orage du 15 juin. Le festival veut gagner en rapidité lors d'une évacuation. L'ampleur des dégâts n'est toujours pas chiffrable.
"Je vais chaque jour un peu mieux. Je me sens d'attaque pour préparer une nouvelle édition", a déclaré à Keystone-ATS Antonin Rousseau, en poste depuis 2001 comme programmateur et depuis 2013 comme directeur. Tant que je ne ressens pas de lassitude, je vais continuer".
L'événement a renforcé la cohésion de l'équipe, même si plusieurs personnes ont souffert d'un état de choc et de sidération. Elles ont pu faire appel aux psychologues et travailleurs sociaux mis à disposition.
La violence du phénomène météorologique, avec des vents à plus de 140 km/h, et la rapidité à laquelle la situation a tourné, "nous a surpris. Nous voulons à l'avenir pouvoir être encore plus rapides dans l'évacuation et la communication", a ajouté Antonin Rousseau. Le but est de rendre le festival encore plus sûr.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Montreux: réfection de paravalanches dans le secteur Verraux-Jaman
Des travaux de réfection des ouvrages paravalanches dans le secteur Verraux-Jaman vont démarrer la semaine prochaine au-dessus de Montreux (VD). Ce chantier, estimé à 2,3 millions de francs, vise à sécuriser la rivière de la Baye de Montreux et à prévenir les risques de crues torrentielles.
Les travaux concernent notamment la réfection de structures métalliques, filets et claies paravalanches, indique jeudi la commune de Montreux dans un communiqué. Comme le site est inaccessible par la route, le matériel sera acheminé par camion jusqu'au col de Jaman, puis transporté par hélicoptère dans la région du Merdasson.
Ces différents ouvrages ont été endommagés au fil des années par les intempéries. Leur remise en état est devenue "indispensable", poursuit le communiqué. A noter que ce projet bénéficie de subventions cantonales et fédérales couvrant 70% des coûts.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Blatten: le bois flottant récolté par l'armée brûlé à l'air libre
Six semaines après l'éboulement du glacier du Birch au-dessus de Blatten (VS), les travaux de nettoyage du lac qui s'est formé se poursuivent. Le bois récolté par l'armée est brûlé tous les vendredis, en plein air.
"Sur décision de la commune de Blatten, prise après une pesée de tous les intérêts en présence et afin de répondre en priorité aux impératifs de sécurité, le bois flottant récupéré est, à titre exceptionnel, incinérés sur place, avec des mesures appropriées", confirme le Service valaisan de l'environnement (SEN) à Keystone-ATS. Il s'agit notamment d'utiliser un rideau d’eau, d'évacuer les cendres puis de contrôler la qualité de l’air.
"Les abords du lac ne sont pas accessibles aux camions et une évacuation par voie aérienne n’est pas réaliste compte tenu des volumes concernés, des coûts et nuisances que ceci engendrerait", résume le SEN.
Des échantillons sont prélevés chaque jour et analysés pour détecter la présence de métaux lourds et de polluants organiques persistants (dioxines, HAP).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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