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International

Israël intensifie son offensive dans le sud de Gaza

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Dimanche, la ville de Bethléem, en Cisjordanie occupée, qui selon la tradition chrétienne a vu naître Jésus-Christ, se préparait à un sombre Noël, désertée par les fidèles. (© KEYSTONE/EPA/Wisam Hashlamoun)

Un voile de tristesse enveloppe dimanche la ville de Bethléem qui célèbre un Noël sombre marqué par la guerre dans la bande de Gaza où l'armée israélienne a intensifié ses opérations au 79e jour d'un conflit qui laisse les civils au bord de la famine selon l'ONU.

"Notre coeur, ce soir, est à Bethléem", a déclaré le pape François lors de la messe de Noël à Rome, alors que les bombardements sur le petit territoire palestinien sous blocus israélien depuis plus de 16 ans, se sont poursuivis dimanche.

Une frappe sur des maisons dans le camp de réfugiés d'al-Maghazi, dans le centre de la bande Gaza, a tué au moins 70 personnes, selon un dernier bilan du ministère de la Santé du Hamas.

Côté israélien, le décès d'un soldat tué à Gaza a porté à 154 le nombre de soldats tués depuis le début de l'offensive terrestre le 27 octobre.

"Nous payons un très lourd tribut à la guerre, mais nous n'avons pas d'autre choix que de continuer à combattre", avait déclaré dimanche matin le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lors d'une réunion avec son gouvernement.

Plus tard dans la journée, il a indiqué que l'armée israélienne "intensifiait la guerre dans la bande de Gaza".

"Notre peuple se meurt"

A quelques heures de la veillée de Noël, l'ambiance était à la sobriété à Bethléem, en Cisjordanie occupée, haut lieu du christianisme.

Un voile de tristesse enveloppe la ville qui se pare habituellement de ses habits de fête. A quelques mètres de la basilique de la Nativité, une couveuse à été installée, avec, à l'intérieur, un petit Jésus allongé sur un keffieh rouge et blanc, a constaté l'AFP.

Les chrétiens palestiniens - environ 50'000 dont un millier à Gaza - n'ont pas le coeur aux célébrations, largement annulées par la municipalité, qui s'est dit en deuil.

"Comment faire la fête alors que mon pays est blessé? Comment faire la fête alors que ma ville est détruite, que ma famille est déplacée et que mes frères et soeurs sont en deuil, que nos martyrs ne sont pas encore enterrés et d'autres sous les décombres?", s'émeut auprès de l'AFP la soeur Nabila Salah, de l'église catholique de Gaza.

Mi-décembre, une mère et sa fille y ont été tuées par un tireur d'élite israélien, selon le Patriarcat latin de Jérusalem. L'armée israélienne avait annoncé dans la foulée enquêter sur l'affaire.

A son arrivée à Bethléem, le patriarche latin Pizzaballa, large keffieh noir et blanc autour du cou, a prononcé un court discours au milieu de quelques dizaines de chrétiens.

"Notre coeur est avec Gaza, avec toute la population de Gaza, avec une attention particulière pour notre communauté chrétienne qui souffre, mais je sais que nous ne sommes pas les seuls à souffrir", a-t-il dit.

"Tragédie"

Sur le front humanitaire, la situation est désastreuse: la plupart des hôpitaux y sont hors service et dans les six prochaines semaines, l'ensemble de la population risque de subir un niveau élevé d'insécurité alimentaire, pouvant aller jusqu'à la famine, selon l'ONU.

"La décimation du système de santé de Gaza est une tragédie", a déploré dimanche le chef de l'Organisation mondiale de la Santé Tedros Adhanom Ghebreyesus.

"Le système de santé dans le sud de Gaza s'effondre constamment et le nord ne dispose d'aucun service de santé, a dit dimanche le porte-parole du ministère de la santé du Hamas, Ashraf Al-Qudra.

Malgré le vote vendredi par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution réclamant l'acheminement "immédiat" et "à grande échelle" de l'aide humanitaire, celle-ci n'a pas connu d'augmentation significative.

L'armée jordanienne a annoncé dimanche soir que ses forces aériennes avaient largué de l'aide à environ 800 personnes réfugiées dans l'église Saint-Porphyre, dans le nord de Gaza.

De leurs côtés, les médiateurs égyptiens et qataris tentent toujours de négocier une nouvelle trêve, après une pause dans les combats de sept jours fin novembre, qui a permis la libération de 105 otages et de 240 prisonniers palestiniens ainsi que l'entrée à Gaza d'importants convois d'aide humanitaire.

Selon une source au sein du Jihad islamique, le chef de ce mouvement - un autre mouvement armé palestinien qui combat au côté du Hamas - est arrivé à la tête d'une délégation au Caire.

Actes de torture ?

Plus tôt dans la journée, l'armée israélienne annonçait avoir découvert "un dépôt d'armes adjacent à des écoles, une mosquée et un centre médical", qui renfermait "des ceintures d'explosif adaptées pour des enfants, des dizaines d'obus de mortier, des centaines de grenades et du matériel de renseignement".

Dans le cadre de ses opérations, elle indique arrêter des "individus soupçonnés d'être impliqués dans des activités terroristes". "Les personnes dont il s'avère qu'elles ne participent pas à des activités terroristes sont libérées", assure-t-elle.

Mais des Palestiniens libérés après avoir été arrêtés dans la bande de Gaza ont affirmé à l'AFP avoir été torturés, ce que l'armée dément.

"Ils nous ont menotté les mains derrière le dos pendant deux jours. Nous n'avons pas eu à boire ou à manger, ni été autorisés à se servir des toilettes, juste des coups, des coups", a affirmé, Nayef Ali, 22 ans.

Le Hamas a appelé dimanche le Comité international de la Croix-Rouge à enquêter sur ces arrestations.

Hezbollah

Les violences à la frontière israélo-libanaise se sont aussi poursuivis dimanche, faisant craindre un embrasement régional. Depuis le début de la guerre, le Hezbollah libanais a multiplié les tirs depuis le sud du Liban pour soutenir son allié palestinien et l'armée israélienne riposte par des bombardements.

Des tirs "en provenance du Liban" visant notamment Avivim, un village agricole frontalier ou encore celui de Margaliot, près de Kyriat Shmona, ont eu lieu dimanche après-midi, a annoncé l'armée israélienne qui a répliqué "en direction des sources de lancement".

Israël a juré de détruire le Hamas, classé organisation terroriste par les Etats-Unis, l'Union européenne et Israël notamment, après une attaque sans précédent sur Israël le 7 octobre, qui a fait environ 1140 morts en majorité des civils, selon les derniers chiffres officiels israéliens.

Les combattants palestiniens ont aussi enlevé environ 250 personnes dont 129 restent détenues à Gaza, selon Israël. Les bombardements israéliens dans la bande de Gaza où des milliers de bombes ont été déversées, ont fait 20'424 morts, majoritairement des femmes, adolescents et enfants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Football

Tifo pro-palestinien: la FFF et le PSG convoqués vendredi à Beauvau

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Le tifo 'Free Palestine' contre la guerre déployé par les fans parisiens crée des vagues en France (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Un tifo qui passe mal à Paris. Le ministère de l'Intérieur français va recevoir vendredi la FFF et le PSG.

Deux jours après le déploiement au Parc des Princes d'une banderole en soutien à la Palestine par des supporters du club parisien, le président de la Fédération Philippe Diallo et le directeur général du PSG Victoriano Melero seront reçus vendredi à Beauvau.

"Ils seront reçus à 10h par Othman Nasrou", secrétaire d'État chargé de la Citoyenneté et de la Lutte contre les discriminations, a fait savoir son cabinet. "Le règlement disciplinaire de l'UEFA interdit la diffusion de messages politiques de nature provocatrice dans les stades", écrit M. Nasrou dans un courrier adressé à la FFF et au PSG.

"Compte tenu de la taille (réd: de la banderole), son installation ne peut pas avoir échappé à la vigilance du club", ajoute le secrétaire d'Etat.

L'UEFA a décidé de son côté qu'elle n'engagerait aucune procédure contre le PSG, estimant que "la banderole déployée ne pouvait pas être considérée comme provocatrice ou insultante dans ce cas précis".

Avant PSG-Atlético Madrid, qui s'est soldé par une défaite 2-1 des Parisiens, le Collectif ultras Paris (CUP) a déroulé un tifo avec le message "Free Palestine", autour des couleurs rouge et bleu du PSG, avec un drapeau palestinien ensanglanté, le drapeau du Liban, Jérusalem, des chars ou encore une personne portant le keffieh.

L'immense toile portant des dessins et couvrant toute la tribune Auteuil surmontait une banderole "La guerre sur le terrain mais la paix dans le monde".

Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau avait condamné jeudi sur X/Twitter le déploiement de la banderole, demandant "au PSG de s'expliquer et aux clubs de veiller à ce que la politique ne vienne pas abîmer le sport, qui doit toujours rester un ferment d'unité".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Face au retour de Trump, l'Europe appelée à écrire son histoire

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Confronté à l'éclatement de sa coalition, le chancelier Olaf Scholz n'était pas présent à Budapest pour ce sommet de la Communauté politique européenne (CPE). (© KEYSTONE/EPA/TAMAS KOVACS)

Les dirigeants européens ont tenté jeudi à Budapest d'afficher un front uni face au retour fracassant de Donald Trump à la Maison Blanche. Cela même si le siège de l'Allemagne est resté vide en raison de l'aggravation de la crise politique à Berlin.

"Nous avons démontré que l'Europe pouvait prendre son destin en main quand elle était unie", a insisté la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

"C'est un moment de l'Histoire, pour nous, Européens, qui est décisif", a de son côté asséné Emmanuel Macron. "Au fond, la question qui nous est posée, voulons-nous lire l'Histoire écrite par d'autres - les guerres lancées par Vladimir Poutine, les élections américaines, les choix faits par les Chinois - ou est ce qu'on veut écrire l'Histoire ?"

Hasard des soubresauts de la politique au sein des 27, le président français a fait ces déclarations en l'absence du dirigeant de l'autre poids lourd du bloc européen : l'Allemagne. Confronté à l'éclatement de sa coalition, le chancelier Olaf Scholz n'était pas présent à Budapest pour ce sommet de la Communauté politique européenne (CPE).

Zelensky en première ligne

Fait notable, le Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui avait salué mercredi le "succès éclatant" de son "ami" Donald Trump, a opté pour un ton résolument sobre à l'ouverture de "son" sommet, organisé dans le flamboyant stade Puskas Arena, du nom du légendaire joueur de football Ferenc Puskas.

Au lendemain d'un spectaculaire come-back politique qui a sidéré l'Amérique et le monde, une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement se sont réunis dans la capitale hongroise pour ce sommet "CPE", avant un conclave plus restreint avec seulement les 27 membres de l'UE vendredi.

Pour le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dont le pays redoute une chute de l'aide de Washington, la posture du milliardaire américain ne doit pas distendre les liens entre les Etats-Unis et l'Europe.

"Nous espérons que l'Amérique deviendra plus forte. C'est le genre d'Amérique dont l'Europe a besoin. Et une Europe forte est ce dont l'Amérique a besoin. C'est le lien entre les alliés qui doit être valorisé et qui ne doit pas être perdu", a-t-il martelé jeudi devant les dirigeants européens.

Toute concession sur l'Ukraine à Vladimir Poutine serait "inacceptable" pour Kiev et "suicidaire" pour l'Europe, a-t-il martelé.

"Pas préparés à un tel scénario"

Devenir du soutien à l'Ukraine, menace de désengagement militaire, retour en force des droits de douane, enjeux environnementaux : l'arrivée prochaine à Washington de l'imprévisible homme d'affaires, quatre ans après la fin de son premier mandat, place l'UE et les pays qui en sont proches face à des défis vertigineux.

"Les Européens ont vraiment le couteau sous la gorge", résume Sébastien Maillard, de l'Institut Jacques Delors. "Le résultat de cette élection force l'UE à ouvrir les yeux. C'est peut-être dans des situations comme celles-ci que les choses peuvent se faire".

En dépit d'appels répétés ces derniers mois à une plus grande autonomie stratégique européenne, le bloc semble pris de court face à un second mandat qu'il espérait évitable.

"Pour dire les choses clairement, je ne pense pas qu'ils se soient véritablement préparés à un tel scénario", résume Guntram Wolff, du centre de réflexion Bruegel. "Il n'y a pas de plan élaboré sur la marche à suivre, que ce soit au niveau européen ou au niveau franco-allemand."

En matière économique, face au "choc des droits de douane" annoncé, le danger est que chacun aille faire son voyage à Washington.

"Mini-Chine"

Donald Trump, qui comparaît pendant sa campagne électorale l'UE à une "mini-Chine" abusant de son allié américain en accumulant des excédents commerciaux massifs, dit vouloir augmenter les droits de douane sur l'ensemble des produits entrant aux Etats-Unis.

L'objectif de la CPE, initialement imaginée par Emmanuel Macron, est de rassembler beaucoup plus large que l'Union européenne. Au-delà des 27 membres du bloc, une vingtaine de pays ont été invités, des pays aux trajectoires radicalement différentes vis-à-vis de l'UE : des candidats déclarés (et impatients) à l'adhésion, des pays qui savent que la porte leur est fermée pour longtemps et le Royaume-Uni, qui a choisi de la quitter avec fracas.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Ligue des nations: pas de Mbappé avec la France

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Kylian Mbappé traverse une période difficile (© KEYSTONE/EPA/KIKO HUESCA)

Le capitaine Kylian Mbappé n'a pas été convoqué en équipe de France pour les prochains matches de Ligue des nations. Les Bleus affronteront Israël (14 novembre) et l'Italie (17 novembre).

C'est la deuxième fois d'affilée que Mbappé est dispensé d'un rassemblement de l'équipe de France. Le mois dernier, l'attaquant avait été laissé à la disposition du Real Madrid pour soigner une blessure à la cuisse gauche. Mais la star des Bleus avait déclenché une grosse polémique en étant titularisé par son club deux jours avant le début du stage.

Celle-ci a ensuite pris une tout autre dimension après les révélations de la presse suédoise sur l'ouverture d'une enquête pour viol qui viserait, selon les quotidiens Aftonbladet et Expressen, l'attaquant après une virée à Stockholm. La police et la justice suédoises n'ont toujours pas indiqué si Mbappé faisait bel et bien l'objet d'une plainte pour viol.

Méforme

A ces soucis en dehors des terrains s'ajoutent les problèmes purement sportifs du champion du monde 2018. Dans la foulée d'un Euro 2024 raté, Mbappé est clairement en méforme. Il vient de passer à côté de deux grands matches perdus à domicile par le Real, le Clasico contre le FC Barcelone (4-0) il y a dix jours et le choc en Ligue des champions face à l'AC Milan (3-1), mardi.

Les milieux Adrien Rabiot et N'Golo Kanté ainsi que le défenseur Dayot Upamecano effectuent en revanche leur retour chez les Bleus. Enfin, le jeune gardien lillois Lucas Chevalier (23 ans) a été appelé pour la première fois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Israël mène de nouvelles frappes contre les bastions du Hezbollah

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De la fumée s'élève au-dessus d'une banlieue sud de Beyrouth mercredi soir après une frappe israélienne. (© KEYSTONE/AP/Bilal Hussein)

L'armée israélienne a mené jeudi des frappes aériennes sur des fiefs du Hezbollah pro-iranien, dans le sud du Liban frontalier d'Israël et dans la banlieue sud de Beyrouth. Vers la capitale, un secteur proche du seul aéroport international du pays a été touché.

Les frappes nocturnes sur la banlieue de la capitale libanaise ont été précédées d'un appel de l'armée israélienne aux habitants à évacuer. Elles ont causé "des dégâts mineurs" dans des bâtiments de l'aéroport international de Beyrouth, "mais pas dans le terminal", a indiqué à l'AFP un responsable de l'aéroport qui a requis l'anonymat.

Le ministre des Travaux publics et des transports, Ali Hamié, a assuré à l'AFP que "les avions décollent et atterrissent" sans problème. Un photographe de l'AFP a vu un hangar contigu à l'aéroport, très endommagé par la frappe intervenue après que le Hezbollah a annoncé mercredi avoir visé une base militaire proche de l'aéroport Ben Gourion, principal aéroport d'Israël.

2600 morts

L'armée israélienne poursuit par ailleurs ses frappes contre le Hezbollah dans le sud et l'est du Liban où elle a indiqué avoir visé des dizaines de cibles et éliminé une "soixantaine de terroristes" du mouvement chiite "dans plusieurs frappes à Baalbeck (est) et au nord du fleuve Litani", situé à une trentaine de km de la frontière israélienne.

Mercredi soir, le ministère libanais de la Santé a fait état d'un bilan de 40 morts et 53 blessés dans des frappes israéliennes dans l'est du Liban, notamment à Baalbeck.

Plus de 2600 personnes ont été tuées au Liban depuis le début de l'escalade entre Israël et le Hezbollah le 23 septembre, pour la majorité des civils, a déclaré le ministre libanais de la Santé, Firass Abiad, à l'AFP.

Naïm Qassem, le nouveau chef du Hezbollah, soutenu par Téhéran, avait affiché mercredi sa détermination à poursuivre le combat contre Israël, malgré les coups infligés à son mouvement depuis que l'armée israélienne a réorienté contre lui la guerre qu'elle mène depuis plus d'un an contre le Hamas palestinien soutenu lui aussi par l'Iran.

Hezbollah affaibli

Le Hezbollah, dont la direction a été largement affaiblie, assure que ses hommes repoussent les incursions israéliennes et annonce quotidiennement des tirs sur Israël.

L'Agence nationale d'information libanaise (Ani, officielle) a fait état jeudi de "combats violents depuis minuit" entre des combattants du mouvement chiite et des soldats israéliens après une "tentative d'incursion de l'ennemi israélien" dans le territoire libanais depuis le nord d'Israël.

A sa frontière sud, Israël poursuit sa guerre contre le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza assiégée et en proie à un désastre humanitaire.

"Approches erronées"

Dans la foulée de la victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et le président élu ont discuté mercredi au téléphone de la "menace iranienne" et "ont convenu de coopérer pour la sécurité d'Israël", selon le bureau de M. Netanyahu.

Téhéran, qui entretient depuis des décennies des relations tendues avec les Etats-unis, a dit jeudi espérer que l'élection de Donald Trump à la Maison Blanche permette à Washington de "revoir les approches erronées du passé".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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