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International

Israël envisage "une semaine" de raids sur Gaza

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L'armée israélienne assure viser à Gaza des sites appartenant au Jihad islamique. (© KEYSTONE/AP/Adel Hana)

L'armée israélienne annonce samedi se préparer à "une semaine" de raids sur la bande de Gaza. Les échanges de tirs avec le Jihad islamique palestinien y ont déjà fait plus d'une dizaine de morts côté palestinien.

La pire flambée de violence entre les deux ennemis depuis une guerre-éclair l'an dernier a déjà privé la petite langue de terre coincée entre l'Egypte, la Méditerranée et Israël et ses 2,3 millions d'habitants de leur unique centrale électrique.

Elle "a cessé (de fonctionner) en raison d'une pénurie" de carburant, a indiqué samedi la compagnie d'électricité après que l'Etat hébreu, qui impose un blocus sur Gaza depuis 2007, a bouclé les passages frontaliers ces derniers jours, interrompant de fait les livraisons de diesel.

D'un côté de la frontière, les alertes aux roquettes ne cessent de retentir dans des localités israéliennes adjacentes au territoire palestinien. De l'autre, la ville de Gaza est comme paralysée, entre rues désertes et magasins fermés. Et aucune issue ne semble poindre.

Feu nourri

Un porte-parole militaire israélien a assuré que l'armée "ne mène pas actuellement de négociations en vue d'un cessez-le-feu". Plus tôt, pourtant, des responsables égyptiens avaient indiqué à l'AFP que Le Caire, intermédiaire historique entre Israël et les groupes armés de Gaza, s'efforçait d'établir une médiation.

Depuis vendredi après-midi, Israël assure viser des sites appartenant au Jihad islamique, dont 15 combattants ont été tués selon l'armée israélienne, tandis que les autorités de Gaza font état de 15 morts, dont une fillette de cinq ans, et de 125 blessés.

La plupart des roquettes tirées depuis Gaza ont été interceptées par le bouclier antimissile israélien et n'ont pas fait de victime, selon l'armée israélienne. Un bâtiment a été endommagé à Sderot, dans le sud d'Israël, selon la police israélienne.

La branche armée du Jihad islamique, les brigades Al-Qods, ont affirmé vendredi après avoir tiré plus de 100 roquettes vers Israël qu'il ne s'agissait que d'une "première réponse" à l'assassinat d'un de ses chefs, Tayssir Al-Jabari, dans une frappe israélienne.

"Menace"

Les forces israéliennes ont également arrêté en Cisjordanie, territoire occupé depuis 1967 par l'Etat hébreu, 19 membres du Jihad islamique - considéré comme terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne.

C'est l'arrestation d'un chef du groupe en Cisjordanie, en début de semaine, qui a mené à cette nouvelle confrontation. Craignant des représailles, les autorités israéliennes ont affirmé lancer une "attaque préventive" à Gaza, tout petit territoire très densément peuplé gouverné par le mouvement islamiste Hamas et où le Jihad islamique est bien implanté.

Il s'agit de la pire confrontation entre l'Etat hébreu et des organisations armées de Gaza depuis la guerre de mai 2021 qui avait fait en onze jours 260 morts côté palestinien, parmi lesquels des combattants, et 14 morts en Israël, dont un soldat, d'après les autorités locales.

Le Jihad islamique a exclu samedi l'option d'un cessez-le-feu, disant "se concentrer sur le terrain".

Après les premiers raids, l'organisation a accusé l'Etat hébreu d'avoir "déclenché une guerre".

Pour le Premier ministre israélien Yaïr Lapid, c'est une "opération de contre-terrorisme précise contre une menace immédiate", celle du Jihad islamique, "un supplétif de l'Iran" voulant "tuer des Israéliens innocents".

"Retenue"

Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique iranienne, a menacé Israël de "payer un lourd tribut", assurant que les Palestiniens n'étaient "pas seuls".

La Russie s'est dite "profondément inquiète" des violences et l'Union européenne a exprimé sa "vive inquiétude", appelant toutes les parties à un "maximum de retenue".

En 2019, la mort d'un commandant du Jihad islamique dans une opération israélienne avait déjà donné lieu à plusieurs jours d'échanges de tirs meurtriers. Le Hamas, qui a combattu Israël lors de quatre guerres depuis sa prise du pouvoir en 2007, s'était lui tenu à distance.

Pour Jamal al-Fadi, professeur de sciences politiques à l'université Al-Azhar de Gaza, le Hamas ne veut pas "être entraîné dans une guerre totale" et "comme il ne s'implique pas", cette nouvelle flambée de violence devrait prendre fin "dans les jours à venir".

"Mais si davantage de civils sont tués, il se sentira obligé de riposter", souligne Mairav Zonszein, expert de l'International Crisis Group (ICG).

Depuis mardi, Israël a fermé tous ses passages frontaliers, contraignant les milliers de Gazaouis titulaires de permis de travail en Israël à rester chez eux.

Et à Tel-Aviv, plus au nord, le match amical de football entre l'Atlético Madrid et la Juventus Turin a été annulé pour "raisons de sécurité".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Une haute juridiction française laisse la Joconde au Louvre

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La Joconde se trouve en France depuis 1516 (archives). (© KEYSTONE/AP/Amel Pain)

Le tableau le plus célèbre au monde pourra rester au Louvre: sans surprise, le Conseil d'Etat français a débouté mardi une association qui estimait illicite la décision du roi François 1er de "s'approprier" la Joconde, le chef-d'oeuvre de Leonard de Vinci, en 1519.

La démarche de International Restitutions, une mystérieuse association dont on ignore où se trouve le siège et qui sont ses dirigeants, est "manifestement irrecevable", a estimé la plus haute juridiction administrative française, qui l'a en conséquence condamnée à 3000 euros d'amende pour procédure "abusive".

L'association prétend agir pour obtenir la restitution de biens faisant partie du domaine public à leurs "légitimes propriétaires". Mais pour le Conseil d'Etat, seuls ces derniers seraient fondés, "le cas échéant", à saisir la justice.

Les juges administratifs ont par ailleurs estimé qu'il ne leur revenait pas de se pencher sur les "décisions" - terme qu'ils ont encadré de guillemets - prises sous la monarchie française.

International Restitutions affirmait agir "pour le compte des descendants des héritiers du peintre", et souhaitait qu'en cas de victoire, la Joconde soit "radiée" de l'inventaire du musée parisien du Louvre.

Demandes similaires

Des demandes similaires de l'association, pour des oeuvres moins emblématiques que La Joconde, n'ont jamais abouti.

Fin 2022, elle avait ainsi demandé d'annuler "l'inscription à l'inventaire du musée chinois du château de Fontainebleau de l'intégralité des objets issus de la mise à sac du Palais d'Eté de Pékin" par les troupes françaises en 1860. Mais le Conseil d'Etat l'avait déboutée, en estimant déjà qu'elle n'avait pas "la qualité pour agir".

La Joconde se trouve en France depuis 1516, année où Léonard de Vinci, tombé en disgrâce auprès des Médicis, était venu se placer sous la protection de François 1er.

Dans ses bagages, il avait pris quelques-uns de ses tableaux dont le portrait de Mona Lisa (peint entre 1503 et 1506). Il avait offert ses oeuvres au souverain français qui en échange lui avait versé une coquette pension.

Ces oeuvres, entrées dans les collections royales, n'ont plus jamais quitté la France. La Joconde est au Louvre depuis 1797... et devrait y rester encore longtemps.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Raids israéliens et combats meurtriers à Gaza

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Avant l'aube, des frappes ont visé différents secteurs de la bande de Gaza, y compris Rafah (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Les bombardements israéliens incessants sur la bande de Gaza ont fait plus de 80 morts ces dernières 24 heures, a indiqué mardi le Hamas. Près de 450'000 Palestiniens ont dû fuir des secteurs pilonnés de la ville de Rafah menacée d'une offensive d'envergure.

Au huitième mois de la guerre déclenchée le 7 octobre par une attaque sans précédent sur le sol israélien du mouvement islamiste palestinien Hamas, les Israéliens commémorent le 76e anniversaire de la création de leur Etat.

Dans le petit territoire palestinien assiégé et ravagé par les bombardements et les combats entre les soldats et le Hamas, la population civile, déplacée plusieurs fois depuis le début de la guerre, est de nouveau sur les routes pour tenter de trouver un refuge, même si l'ONU affirme qu"il "n'y a pas d'endroit sûr à Gaza".

Avant l'aube, des frappes ont visé différents secteurs de la bande de Gaza, y compris Rafah, ville de l'extrême sud du territoire où s'entassent des centaines de milliers de Palestiniens en grande majorité des déplacés, selon des témoins et des correspondants de l'AFP.

Ces dernières 24 heures, au moins 82 Palestiniens ont péri, ce qui porte à 35'173 le bilan des morts, en majorité des civils, dans la bande de Gaza en un peu plus de sept mois de guerre, a indiqué le ministère de la Santé du Hamas. La défense civile a dénombré au moins huit morts dans une frappe sur un immeuble à Nousseirat (centre).

Des combats acharnés ont lieu dans l'est de Rafah, où le Hamas a dit avoir tiré des obus sur des soldats déployés au passage éponyme après leur entrée à bord de chars le 7 mai dans l'est de la ville, située à la frontière sud d'Israël.

Les forces israéliennes ont fermé ce passage crucial pour les convois transportant de l'aide à une population menacée de famine à Gaza selon l'ONU.

"Très effrayant"

Depuis que l'armée a ordonné aux civils de quitter les secteurs est à Rafah le 6 mai, "près de 450'000 personnes ont été déplacées de force" dans la ville, a indiqué l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa). Elles "sont épuisées, affamées, et constamment apeurées", a dit l'Unrwa sans préciser si ces déplacés s'étaient rendus ailleurs dans Rafah ou hors de la ville.

Les bombardements israéliens ont aussi touché l'ouest de Rafah, ville survolée sans cesse par l'aviation, selon des témoins.

"Les tirs d'obus et les raids aériens sont continus. C'est très effrayant. J'ai peur pour mes enfants", affirme à l'AFP Hadil Radwane, 32 ans, déplacée de Gaza dans l'ouest de Rafah.

"Nous avons fui le nord du territoire vers Rafah à cause des bombardements et maintenant nous avons préparé nos affaires pour fuir à nouveau, mais nous n'avons aucun endroit où aller", dit-elle.

Dans le nord de la bande de Gaza, les Palestiniens ont été aussi sommés de quitter certaines zones après que les combats violents ont repris notamment à Jabaliya et Gaza-Ville, où selon l'armée le Hamas tente de "reconstituer ses capacités militaires".

Après l'attaque sanglante du 7 octobre, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a juré d'anéantir le Hamas qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007 et qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne.

Pour ce faire, il est déterminé à lancer une opération d'envergure à Rafah où sont retranchés selon lui les derniers bataillons du Hamas, au grand dam de la communauté internationale inquiète pour la population civile.

"Une erreur"

Premier allié d'Israël, les Etats-Unis s'opposent à une telle opération. "Ce serait une erreur de lancer une opération militaire majeure au coeur de Rafah qui mettrait en danger un nombre énorme de civils sans gain stratégique clair", a estimé la Maison Blanche.

La Cour internationale de justice (CIJ) a, elle, annoncé la tenue d'audiences jeudi et vendredi à la demande de l'Afrique du Sud, qui a saisi la juridiction pour demander à Israël le retrait de ses troupes de Rafah.

Camions d'aides vandalisés

Alors que l'aide humanitaire ne parvient plus aux habitants de Gaza depuis le 9 mai selon le Qatar, le ministère de la Santé du Hamas a affirmé que le système de soins dans le territoire était sur le point de "s'effondrer" faute de carburant pour faire fonctionner les générateurs des hôpitaux et les ambulances.

"Si nous ne sommes pas approvisionnés en carburant, la vie de dizaines de patients en unités de soins intensifs et en couveuses, ainsi que de centaines de patients dans les différents services de l'hôpital, sera en danger", a déclaré Saleh al-Hams, directeur des soins infirmiers à l'hôpital européen de Khan Younès.

La police israélienne a par ailleurs ouvert une enquête après que des activistes ont bloqué et vandalisé en Israël des camions d'aides destinées à Gaza. "Aucune aide ne devrait être acheminée avant que nos otages ne soient rentrés chez eux sains et saufs", a dit Hana Giat, une militante.

Alors qu'Israël fête mardi l'anniversaire de sa création, le pays est hanté cette année par l'absence des otages. "Nous sommes toujours là, mes filles sont toujours là, Israël est toujours là, mais ce n'est pas un vrai jour d'indépendance", lâche Lishay Lavi Miran, parce que son mari "Omri est là-bas", à Gaza.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Giro: Valentin Paret-Peintre remporte la 10e étape

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Un nouveau maillot rose pour Pogacar (© KEYSTONE/AP/Gian Mattia D'Alberto)

Le Français Valentin Paret-Peintre a remporté la 10e étape du Tour d'Italie en s'imposant en solitaire au sommet du Bocca della Selva. Le Slovène Tadej Pogacar a conservé le maillot rose.

Valentin Paret-Peintre a devancé de 0'30 son compatriote Romain Bardet et de 1'00 le Slovène Jan Tratnik, qui avait abordé l'ultime ascension seul en tête mais qui a été repris à 2 km de la ligne d'arrivée. Tous trois faisaient partie de l'échappée du jour, partie avec la bénédiction des leaders.

C'est la première victoire professionnelle du jeune grimpeur de Décathlon-AG2R La Mondiale, âgé de 23 ans. La France avait déjà fêté un succès lors de cette édition avec Benjamin Thomas (5e étape).

Mercredi, la 11e étape se courra sur 207 km entre Foiano di Val Fortore et Francavilla al Mare. Les sprinters devraient pouvoir s'y exprimer.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Blinken rassure Kiev sur l'aide militaire, Moscou dit "avancer"

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Antony Blinken a promis lors d'une rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, que l'aide était "en route". (© KEYSTONE/EPA/CHUCK KENNEDY/US STATE DEPARTMENT HANDOUT)

Le chef de la diplomatie américaine, en visite surprise mardi en Ukraine, a tenté de rassurer Kiev sur l'arrivée de l'aide militaire américaine. Cela au moment où Moscou assure "avancer en profondeur" lors de son offensive dans la région frontalière de Kharkiv.

L'armée russe a assuré mardi avoir pénétré "en profondeur dans les défenses" ukrainiennes et a revendiqué la prise d'un nouveau village dans le nord-est du pays, où elle a lancé une offensive terrestre vendredi, après des semaines de bombardements.

Au même moment, le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken, arrivé le matin à Kiev, a promis lors d'une rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, que l'aide était "en route". "Une partie est déjà arrivée, plus arrivera" et "cela fera une réelle différence sur le champ de bataille", a-t-il assuré.

Moyens de défense aérienne

M. Zelensky a insisté sur la nécessité de recevoir plus de moyens de défense aérienne, réclamant deux batteries de missiles sol-air Patriot pour la région de Kharkiv, visée par un assaut terrestre russe depuis le 10 mai et qui subit des bombardements intenses ces dernières semaines, y entraînant notamment un rationnement de l'électricité.

M. Blinken, dont c'est la quatrième visite à Kiev depuis le début de l'invasion en février 2022, a déjeuné avec son homologue ukrainien Dmytro Kouleba dans une pizzeria de la capitale, avant de se promener quelques instants à pied dans le centre-ville.

"Rassurer les Ukrainiens"

Trois semaines après le déblocage de l'assistance américaine, les Etats-Unis ont dégagé quelque 1,4 milliard de dollars en aide militaire à puiser sur leurs stocks, essentiellement des systèmes antiaériens Patriot et NASAMS qui font cruellement défaut à l'Ukraine, ainsi que des munitions pour l'artillerie.

Mais le flot doit considérablement s'accélérer pour rattraper les mois perdus, d'autant que la Russie a l'initiative sur le champ de bataille, dispose de réserves d'hommes et d'armements et a mis en place une économie de guerre.

"Ce voyage a d'abord pour but d'envoyer un signal fort pour rassurer les Ukrainiens qui se trouvent manifestement dans une situation très difficile, à la fois en raison de l'intensification des combats sur le front de l'Est, mais aussi parce que les Russes étendent maintenant leurs attaques transfrontalières à Kharkiv", a indiqué, à des journalistes, un haut responsable américain à bord du train transportant le secrétaire d'Etat.

La Russie a lancé vendredi une offensive contre la région de Kharkiv, dont la capitale éponyme, deuxième plus grande ville d'Ukraine, est située près de leur frontière commune.

Le ministère russe de la Défense a assuré mardi que ses soldats avaient "libéré" un village près de la frontière russe et de la ville ukrainienne de Vovtchansk, et avaient "avancé en profondeur dans les défenses ennemies".

Situation "critique"

La situation à Vovtchansk est "critique", a indiqué à la télévision le chef de l'administration militaire local, Tamaz Gambarachvili, en évoquant des "bombardements constants" et des combats "aux environs de la ville".

De l'aveu de l'état-major ukrainien, la Russie remporte des "succès tactiques" et une trentaine de villages sont sous le feu ennemi. Quelque 7000 personnes ont été évacuées.

Cette opération fait craindre une percée russe face à une armée ukrainienne manquant de ressources et qui était déjà sous forte pression sur les fronts Est et Sud. Le président Zelensky a assuré lundi soir que des "contre-attaques" avaient lieu dans la région de Kharkiv et que le secteur avait été renforcé.

Le chef de la sécurité nationale ukrainienne, Oleksandr Lytvynenko, a indiqué à l'AFP que "plus de 30'000" soldats russes attaquaient dans cette zone, mais qu'aucune "menace" ne pesait pour l'instant sur Kharkiv, située à une trentaine de kilomètres des combats.

Dans un échange téléphonique avec M. Zelensky, le président français Emmanuel Macron a condamné "l'intensification des frappes russes" en Ukraine et l'offensive de Moscou dans le nord-est.

Il a "réitéré la détermination de la France à apporter tout le soutien nécessaire, dans la durée et avec l'ensemble de ses partenaires, pour faire échec à la guerre d'agression de la Russie".

De son côté, le nouveau ministre russe de la Défense, Andreï Belooussov, a dit vouloir atteindre la victoire en Ukraine avec "des pertes humaines minimales".

De nombreux experts militaires observent que l'armée russe a subi de lourdes pertes depuis le début de la guerre, estimées à plusieurs dizaines de milliers de morts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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