International
Pékin envoie un "loup combattant" comme ambassadeur à Washington
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La Chine a envoyé à Washington un ambassadeur connu pour son intransigeance, Qin Gang. Les relations entre les deux premières puissances mondiales sont "dans l'impasse", de l'aveu même de la diplomatie chinoise.
M. Qin, dont la nomination n'avait pas été confirmée de source officielle en dépit de multiples rumeurs, est arrivé mercredi à l'aéroport JFK de New York, a annoncé l'ambassade de Chine à Washington.
L'homme s'est taillé une réputation de "loup combattant", cette nouvelle race de diplomates chinois connus pour leur tonalité agressive envers les pays occidentaux. A son arrivée, il s'est toutefois montré conciliant envers ses hôtes.
"Je m'efforcerai de bâtir des canaux de communication et de coopération avec tous les secteurs aux Etats-Unis et m'emploierai à remettre la relation Chine-Etats-Unis sur les rails", a-t-il promis, selon des propos rapportés par son ambassade.
"Un ennemi imaginaire"
Hong Kong, Taïwan, Xinjiang, droits de l'homme, commerce, technologies et origines du Covid-19: les sujets de contentieux ne manquent pas entre les deux premières puissances mondiales. Le président américain Joe Biden n'a jusqu'à présent guère modifié la politique de confrontation suivie par son prédécesseur à la Maison-Blanche Donald Trump.
Lundi, la Chine a adressé un réquisitoire en règle contre la politique de Washington lors de la première visite dans le pays d'une haute responsable de la diplomatie américaine de l'ère Biden, Wendy Sherman. La relation bilatérale est "dans une impasse", lui avait lancé son interlocuteur chinois, accusant les Américains de voir la Chine "comme un ennemi imaginaire".
La nouvelle administration américaine n'a toujours pas nommé d'ambassadeur à Pékin, mais des informations de presse ont fait état de la nomination du diplomate de carrière Nicholas Burns.
International
Arensman remporte la 14e étape
Le Néerlandais Thymen Arensman a remporté la 14e étape du Tour de France entre Pau et Superbagnères dans les Pyrénées. 2e, Tadej Pogacar a conservé son maillot jaune sans difficulté.
Le Slovène a repris 6 secondes à Jonas Vingegaard pour disposer d'un matelas de 4'13 sur le Danois.
Pour cette grande étape des Pyrénées avec le triptyque Tourmalet, Aspin, Peyresourde, l'équipe UAE a contrôlé le peloton, mais une échappée a tout de même pu se former et compter jusqu'à 3'30 d'avance. Au sein de cette échappée, Thymen Arensman s'est montré le plus fort. Il enlève la plus belle victoire de sa carrière, lui qui n'avait jusqu'ici remporté qu'une seule étape sur un grand Tour (Vuelta en 2022).
Le Batave d'Ineos Grenadiers a pu maintenir son avance dans la dernière ascension vers Superbagnères dans le brouillard et a devancé Pogacar de 1'08.
Le Slovène a donné l'impression d'être magnanime avec ses sujets en laissant cette victoire, plutôt que de se payer un triplé pyrénéen. Vingegaard a tenté d'attaquer le patron à un peu plus de trois kilomètres de l'arrivée, mais Pogacar n'a pas eu de soucis. Et au moment de sprinter il a collé une mine qui lui a non seulement permis de bénéficier des 6 secondes de bonification (4 pour Vingegaard), mais aussi de reprendre 4 secondes supplémentaires à son dauphin.
Cette étape a été marquée par l'abandon du 3e du général, le Belge Remco Evenepoel, qui n'avait plus d'énergie et qui a lâché dès les premières pentes du Tourmalet.
Dimanche, le peloton partira de Muret pour rejoindre Carcassonne sur 169,3 km. Une étape propice aux baroudeurs avec deux bonnes bosses. Lundi, c'est la deuxième journée de repos qui attend les coureurs avant l'étape du Mont Ventoux mardi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Graves émeutes à Limoges, dix policiers blessés
Une centaine de personnes encagoulées et armées ont attaqué au mortier des véhicules en circulation à Limoges, dans le centre de la France, lors d'affrontements nocturnes avec les forces de l'ordre qui ont fait dix blessés parmi les policiers.
Les faits se sont produits vers 01h00 du matin samedi près d'un quartier populaire de Limoges où "une centaine de personnes" ont bloqué une route nationale et s'en sont pris aux véhicules, "principalement par des tirs de mortiers", selon la préfecture de Haute-Vienne.
"Il y a eu entre 100 et 150 individus encagoulés, armés de cocktails Molotov, mortiers, cailloux, barres de fer et battes de baseball", a détaillé Laurent Nadeau, secrétaire départemental du syndicat de police Alliance.
Les forces de l'ordre ont utilisé des lanceurs de balles de défense (LBD) et des gaz lacrymogènes et les échauffourées ont cessé vers 04h00 du matin.
Guérilla
"C'est une guérilla urbaine", a dénoncé le maire de la ville, Émile Roger Lombertie. "Ça fait 4-5 ans que ça explose dans ce quartier. Pour moi, il y a danger", a-t-il ajouté, décrivant un "quartier de grande pauvreté avec des jeunes issus de l'immigration" devenu selon lui "une zone de non-droit".
Neuf des dix policiers blessés souffrent d'acouphènes et le dixième d'une blessure à une main, selon le parquet de Limoges. Une enquête a été ouverte pour participation à un attroupement armé et violences sur les policiers, a déclaré à l'AFP Émilie Abrantes, procureure de la République à Limoges.
Cette nuit d'échauffourées fait suite à d'autres heurts survenus dans la même zone le soir du 14 juillet, jour de la fête nationale en France.
Le ministère de l'Intérieur a annoncé le déploiement dans cette ville d'une compagnie de policiers spécialisée dans le maintien de l'ordre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Rassemblement géant du principal parti islamiste à Dacca
Le principal parti islamiste du Bangladesh a réuni des dizaines de milliers de partisans samedi dans la capitale Dacca. Cette démonstration de force consacre son grand retour sur le devant de la scène politique à quelques mois des élections.
Interdit pendant le règne de l'ex-Première ministre Sheikh Hasina (2009-2024), le Jamaat-e-Islami est ressorti de l'ombre depuis la chute de son gouvernement en août dernier après des semaines d'émeutes réprimées dans le sang.
Avec les autres mouvements islamistes, il avait été la cible favorite de la répression de la "bégum de fer", qui a fait exécuter plusieurs de leurs dirigeants et emprisonner nombre de leurs partisans.
Le mois dernier, la Cour suprême a autorisé le Jamaat-e-Islami à participer aux prochaines élections générales, annoncées par le gouvernement provisoire en avril 2026. Le rassemblement de ce samedi à Dacca est le plus important organisé par le parti islamiste depuis de très nombreuses années.
"Nous avons beaucoup souffert ces quinze dernières années. Nous avons été emprisonnés et privés de nos droits politiques. C'est un peu notre libération", s'est réjoui auprès de l'AFP un partisan, Mohammad Abdul Mannan, 29 ans. "Nous sommes ici en masse pour soutenir nos demandes, dont la représentation proportionnelle au Parlement", a-t-il ajouté au milieu de la foule.
"Etablir un Etat islamique"
Le parti avait été empêché de participer aux élections en 2013 par les juges de la Haute cour qui avaient estimé que sa charte était contraire à la Constitution laïque du Bangladesh.
"Il était de mon devoir de musulman de venir. Le Jamaat-e-Islami a promis d'établir un Etat islamique et c'est pour ça que je suis là", a renchéri un autre, Md Shafiqul Islam, 58 ans.
Le parti islamiste avait soutenu le Pakistan pendant la guerre qui a abouti à la séparation du Bangladesh et à son indépendance en 1971. Ce rôle suscite encore la colère de nombreux Bangladais. "Le Jamaat est blamé à tort. Il n'a rien fait d'autre que de défendre l'intégrité de la nation", a estimé sous couvert de l'anonymat un participant au rassemblement de samedi.
Principal adversaire de Mme Hasina, le Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) fait figure de grand favori du prochain scrutin.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Remco Evenepoel abandonne dans le Tourmalet
Remco Evenepoel a abandonné samedi lors de la 14e étape du Tour de France alors qu'il était dans l'ascension du col du Tourmalet. Le Belge était en difficulté depuis l'arrivée dans les Pyrénées.
Le maillot blanc et troisième du classement général avait été incapable de suivre le rythme des deux favoris au général, Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard lors des deux premières étapes pyrénéennes. Samedi, le double champion olympique en titre a été lâché par le peloton dès les premières rampes du Tourmalet, col hors catégorie.
Un temps dans un groupe à une quarantaine de secondes du peloton maillot jaune, Evenepoel a fini par sortir de la roue de son coéquipier Pascal Eenkhoorn avant de se laisser décrocher, passablement agacé par la présence d'une moto-caméra à ses côtés. Il a finalement mis pied à terre et est monté à bord d'une voiture de l'équipe à 9 km du sommet.
Un "chrono" et c'est tout
Evenepoel, 25 ans, avait pourtant réussi un début de Tour de France encourageant. Vainqueur du contre-la-montre autour de Caen lors de la 5e étape, il avait abordé les Pyrénées maillot blanc sur le dos, avec un retard d'une minute sur Pogacar et 16 secondes d'avance sur Vingegaard.
Mais dès la première étape dans le premier gros massif montagneux de ce Tour de France, jeudi, le Belge a été en difficulté, distancé dès le col du Soulor, limitant cependant la casse en terminant l'étape à son rythme à Hautacam.
Le lendemain, il a semblé vidé de ses forces dans le contre-la-montre de 10,9km jusqu'à l'altiport de Peyragudes, et a même vu Jonas Vingegaard, parti deux minutes après lui, le dépasser à quelques mètres de la ligne d'arrivée. Il a peiné à trouver des explications à sa défaillance, finalement confirmée samedi.
Evenepoel a connu une préparation hivernale tronquée par un grave accident, lorsqu'il avait heurté la portière d'une voiture de la Poste belge. Pour sa première course par étapes de l'année, il avait pris la 5e place du Tour de Romandie en mai, assurant toutefois être dans les temps pour viser le podium sur la Grande Boucle.
Deux autres abandons
Ce début d'étape entre Pau et Luchon-Superbagnères a aussi été marqué par l'abandon du Danois Mattias Skjelmose. Le vainqueur de l'Amstel Gold Race a été victime d'une chute. Le leader belge de l'équipe TotalEnergies Steff Cras, lâché dans la plaine en tout début d'étape, a lui aussi jeté l'éponge.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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