International
L'Ukraine se prépare, les séparatistes appellent à l'aide
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Mobilisation des réservistes, état d'urgence: l'Ukraine a multiplié mercredi les préparatifs face à la menace d'une invasion russe, alors que Moscou a annoncé avoir reçu un appel à l'aide des séparatistes prorusses pour "repousser" l'armée ukrainienne.
L'Ukraine a mobilisé ses réservistes âgés de 18 à 60 ans, voté l'état d'urgence et annoncé être la cible d'une nouvelle cyberattaque "massive" visant des sites Internet officiels, tandis plus de 150'000 soldats russes, selon Washington et Kiev, sont déployés à ses frontières.
Le président russe Vladimir Poutine est prêt à une invasion de son voisin, avec "près de 100%" des forces nécessaires en position, a estimé mercredi un haut responsable américain. Le monde se trouve "à un moment de péril", a alerté le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, à l'ouverture d'une réunion de l'assemblée générale de l'ONU.
Etat d'urgence
A une large majorité, les députés ukrainiens ont voté en faveur de l'introduction de l'état d'urgence demandé par le président ukrainien Volodymyr Zelensky. "L'Ukraine a besoin de garanties de sécurité, claires et concrètes, immédiatement", avait auparavant déclaré M. Zelensky. C'est "l'avenir de la sécurité européenne" qui se joue en Ukraine, avait-il ajouté.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, le Kremlin a annoncé que les responsables des "républiques" séparatistes prorusses autoproclamées dans l'est de l'Ukraine avaient demandé l'"aide" de Vladimir Poutine pour "repousser l'agression" de l'armée ukrainienne.
L'agence de presse russe d'Etat Tass a publié les courriers à cet effet, datés du 22 février, soit mardi, le jour où les parlementaires russes ont autorisé Vladimir Poutine à déployer l'armée en Ukraine.
Mercredi, la Russie a commencé à évacuer son personnel diplomatique de l'Ukraine et le drapeau russe ne flotte plus sur son ambassade à Kiev. Les Etats-Unis avaient eux déjà fermé la leur.
Le président russe avait martelé juste avant que les intérêts russes étaient "non négociables". Lundi, dans un discours aux accents de colère, il avait remis en cause la légitimité même de l'existence de l'Ukraine, l'accusant d'être un outil dans les mains de la politique d'agression antirusse de l'OTAN.
Gazoduc Nord Stream 2
Au plan international, un sommet d'urgence des dirigeants des 27 pays de l'UE sur la crise Russie-Ukraine se déroulera jeudi soir à Bruxelles. Cette réunion devra montrer que "nous sommes unis", a souligné la présidence française.
Le président américain Joe Biden a quant à lui annoncé des sanctions contre l'entreprise chargée d'exploiter le gazoduc Nord Stream 2, qui relie la Russie à l'Allemagne, et que Berlin avait déjà mis en sommeil. La veille, il avait déjà rendu publiques des mesures à l'encontre de banques et d'oligarques russes, dénonçant le "début d'une invasion" russe en Ukraine.
La ministre britannique des affaires étrangères, Liz Truss, a jugé mercredi "hautement probable" une invasion, tandis que son homologue français Jean-Yves Le Drian considérait que "le pire" était possible.
Vladimir Poutine, qui depuis le début de la crise en décembre fixe le tempo, a reconnu lundi l'indépendance des "républiques" séparatistes prorusses de Donetsk et de Lougansk, puis obtenu le lendemain de la chambre haute du Parlement son feu vert à un déploiement de forces russes.
Trésor de guerre russe
Si ces décisions posent les bases d'une intervention d'envergure, sur le terrain, aucun mouvement de troupes significatif n'a été signalé. Dans la région russe de Rostov, à une cinquantaine de kilomètres de la frontière, des forces russes sont présentes en nombre: camions militaires, lance-roquettes ou obusiers, sans signes d'activité particulière, selon des journalistes de l'AFP.
Beaucoup redoutent que la crise ne mène au plus grave conflit en Europe depuis 1945. Washington et ses alliés occidentaux ont pris de premières sanctions en réaction à la reconnaissance des séparatistes que Kiev combat depuis huit ans, un conflit qui a fait plus de 14'000 morts à ce jour.
Si Berlin a gelé le gigantesque projet de gazoduc Nord Stream 2, M. Biden a de son côté annoncé une "première tranche" de sanctions pour empêcher la Russie de lever des fonds occidentaux pour rembourser sa dette. Moscou a, pour sa part, promis une riposte "forte" et "douloureuse" aux Américains.
Ces mesures restent modestes par rapport à celles promises en cas d'invasion et Moscou peut se targuer d'avoir accumulé près de 640 milliards de dollars de réserves de change et 183 milliards dans un fonds souverain pour y faire face.
Sur le front, la reprise des combats entre l'armée ukrainienne et les séparatistes pro-russes ces derniers jours n'a pas cessé mercredi. Les belligérants continuent d'échanger régulièrement des tirs d'artillerie, s'en accusant mutuellement. Un soldat ukrainien a été tué, le neuvième depuis janvier.
Les séparatistes de Lougansk ont annoncé, eux aussi, la mort d'un combattant. Un civil a également été tué dans des bombardements pendant la nuit, selon les rebelles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tchèques et Slovaques dans la rue par milliers pour la démocratie
Les Tchèques et les Slovaques se sont rassemblés par milliers lundi à l'occasion des commémorations de la Révolution de Velours. Ils accusent les dirigeants Andrej Babis et Robert Fico de trahir l'héritage de la transition vers la démocratie.
Le 17 novembre 1989, les communistes tchécoslovaques avaient réprimé une marche pacifique, déclenchant une riposte qui a renversé le régime affidé à Moscou, après quatre décennies de dictature. Cette révolution a restauré la démocratie en Tchécoslovaquie, qui s'est ensuite scindée en République tchèque et en Slovaquie quatre ans plus tard. Puis les deux pays ont intégré l'Union européenne (UE).
Une partie de la population tchèque s'oppose au milliardaire Andrej Babis, arrivé en tête des élections en octobre et qui cherche à monter un gouvernement avec deux partis eurosceptiques.
Le rassemblement dans le centre de Prague avait pour mot d'ordre "La République tchèque n'est pas à vendre", et des banderoles hostiles à M. Babis étaient nombreuses.
"Je ne veux pas perdre la liberté acquise", a déclaré à l'AFP Jachym Prokop, un étudiant de 19 ans, drapeau de l'UE sur ses épaules. Andrej Babis "nous entraîne vers l'Est plutôt que vers l'Ouest", a-t-il ajouté.
"Pacte mafieux"
En 2019, ce même mouvement avait réuni 250'000 personnes contre M. Babis lors de son premier mandat, dans un pays qui compte 10,9 millions d'habitants. Mais il a remporté les élections une seconde fois et cet admirateur du président américain Donald Trump, âgé de 71 ans, s'est allié au parti d'extrême droite SPD. Il a offert à son responsable, Tomio Okamura, poursuivi pour incitation à la haine, la présidence du parlement.
Anciennement communiste, M. Babis est aussi accusé de fraude aux subventions européennes. Il nie tout acte répréhensible, dénonçant une campagne de diffamation.
Selon l'un des organisateurs, Mikulas Minar, son retour au pouvoir émerge donc sur un possible "pacte mafieux", deux inculpés étant à présent en position de s'offrir mutuellement l'immunité contre la justice.
"Cheval de Troie"
En Slovaquie, c'est contre le Premier ministre Robert Fico que se sont mobilisés des dizaines de milliers d'opposants dans plusieurs localités, dont la capitale, Bratislava. "La liberté n'est pas un cadeau mais un droit", ont écrit les manifestants sur des panneaux.
Le dirigeant revenu au pouvoir en 2023 "prend des mesures contraires à la démocratie qui nous ramène avant 1989", estime un organisateur, Marian Kulich.
M. Fico, 61 ans, anciennement communiste lui aussi, exerce son quatrième mandat également grâce au soutien d'un parti d'extrême droite, le SNS. Sur le modèle de la Hongrie voisine, il combat les ONG, remplace les élites culturelles et sape l'indépendance des médias. Il a aussi fait renouer la Slovaquie avec la Russie, malgré l'invasion russe de l'Ukraine, pays qu'il refuse de soutenir.
"En 89, j'étais sur la place luttant contre le communisme et aujourd'hui, j'ai peur que cela ne se répète", a déclaré à l'AFP Lubos Dobsovis, un entrepreneur de 60 ans. "Je veux que nous nous en tenions à notre espace naturel, l'Union européenne", et "je refuse que nous devenions un cheval de Troie pour la Russie".
Gabriela Marienkova, une fonctionnaire de 52 ans, a aussi une impression de déjà-vu. "On était déjà dans la rue à l'époque et maintenant, c'est une véritable catastrophe, ce qui se passe ici. Nous nous battons aussi pour nos enfants", a-t-elle dit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Paul McCartney sort un morceau silencieux pour s'opposer à l'IA
Paul McCartney va sortir un morceau silencieux en décembre, à l’occasion de la réédition d’un album lui aussi muet. Des artistes comme Hans Zimmer ou Kate Bush participent pour dénoncer un projet assouplissant le droit d’auteur lié à l’IA.
Le titre de McCartney intitulé "(Bonus Track)", le premier depuis cinq ans, est un enregistrement d'un "studio vide", avec une succession de bruits de bande magnétique et de cliquetis, d'une durée de deux minutes et 45 secondes.
Il sortira à l'occasion de la réédition en vinyle de l'album "Is This What We Want" ("Est-ce bien cela que nous voulons?") le 8 décembre, a annoncé dimanche le collectif du même nom sur son site.
"Ne pas légaliser le pillage musical"
Plus d'un millier d'artistes dont Annie Lennox, Damon Albarn, Jamiroquai ou Max Richter ont collaboré à cet album muet, sorti en février 2025, qui exhorte le gouvernement britannique à "ne pas légaliser le pillage musical au profit des entreprises d'IA".
"L'album comporte des enregistrements réalisés dans des studios et des salles de spectacle vides, illustrant l'impact que les propositions du gouvernement auraient, selon nous, sur les moyens de subsistance des musiciens", affirment-ils. Seulement un millier de copies en vinyle seront éditées, ont-ils ajouté.
L'ex-Beatle de 83 ans
L'ex-Beatle de 83 ans avait déjà, avec 400 artistes dont Elton John, Coldplay ou Dua Lipa, signé une lettre ouverte exhortant le gouvernement à protéger l'industrie musicale britannique.
L'exécutif travailliste défend un projet de loi, a priori présenté en 2026, visant à appliquer une exception à la loi sur le droit d'auteur pour faciliter l'utilisation des contenus créatifs afin d'entraîner des modèles d'IA.
Ces entreprises technologiques n'auraient plus besoin d'obtenir l'autorisation des auteurs ni de les rémunérer, ce qui suscite la colère de l'industrie musicale.
Selon une étude menée auprès d'artistes et de producteurs par l'association UK Music, publiée mercredi dernier, deux sondés sur trois estiment que l'IA constitue une menace à leur carrière.
Plus de neuf sur dix veulent que leur image et leur voix soient protégées, et demandent aussi à être rémunérés par les entreprises d'IA qui utilisent leurs créations.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Une galerie du Louvre ferme à cause d'une "fragilité" de l'édifice
Une des galeries du Louvre va être fermée au public "par mesure de précaution". Un audit a révélé la "particulière fragilité" de certaines poutres d’une aile du bâtiment, a annoncé lundi le musée dans un communiqué.
Abritant neuf salles dédiées à la céramique grecque antique, la galerie Campana sera fermée le temps que des "investigations" soient menées "sur la particulière fragilité de certaines poutres portant les planchers du deuxième étage de l'aile sud" du quadrilatère Sully, qui enserre la cour carrée du Louvre. Il s'agit "d'évolutions récentes et imprévisibles", assure le musée.
Contacté par l'AFP, un porte-parole de l'établissement n'a pas pu préciser quand cette décision prendrait effet ni pour combien de temps.
Dans son communiqué, le musée le plus visité au monde précise également que les bureaux situés au 2e étage de cette aile sud et réservés à des agents du musée seront, eux, évacués "au cours des trois prochains jours".
A l'appui de cette décision, le musée invoque les conclusions d'un rapport d'un bureau d'études techniques qui lui a été remis vendredi, et assure avoir "immédiatement lancé une campagne complémentaire d'investigations afin de déterminer les causes de ces évolutions récentes et mener au plus tôt les travaux nécessaires".
La galerie Campana est située sur la même aile sud du Louvre où un commando de malfaiteurs a réussi à s'introduire le 19 octobre, dérobant huit joyaux de la Couronne d'une valeur estimée à 88 millions d'euros. Les bijoux restent aujourd'hui introuvables.
Grande vétusté du musée parisien
En janvier 2025, la présidente du Louvre Laurence des Cars, sous pression depuis ce spectaculaire casse, avait alerté le ministère de la Culture de l'état de grande vétusté du musée parisien, évoquant notamment "la multiplication d'avaries dans des espaces parfois très dégradés".
Peu après cette alerte, le président Emmanuel Macron avait annoncé le lancement d'un vaste chantier de rénovation et de modernisation du Louvre, centré notamment sur le quadrilatère Sully. Ces travaux ont été estimés par l'entourage du chef de l'Etat à quelque 800 millions d'euros, un montant revu nettement en hausse dans un récent rapport de la Cour des comptes qui évoque un coût d'au moins 1,15 milliard d'euros.
Après avoir été interrogée par des sénateurs dans la foulée du casse du 19 octobre, Laurence des Cars est entendue mercredi matin par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Attaquée sur sa taxe carbone, l'UE se défend à la COP30
La COP30 en Amazonie brésilienne est entrée lundi dans sa deuxième et dernière semaine avec des sujets de blocage majeurs, dont la taxe carbone aux frontières européennes attaquée par la Chine et d'autres pays, mais déclarée non négociable par l'Union européenne.
"La tarification du carbone est une mesure que nous devons mettre en oeuvre avec le plus grand nombre possible, et le plus rapidement possible", a lancé lundi Wopke Hoekstra, commissaire européen au climat, à son arrivée à Belem.
Le Néerlandais a opposé une fin de non-recevoir à toute discussion de la taxe dans les débats sur les "mesures commerciales unilatérales".
C'est pourtant ce que la Chine, l'Inde et des pays alliés exigent. Le chef de la délégation chinoise à la COP30 Li Gao a, la semaine dernière, mis en garde auprès de l'AFP contre "les effets néfastes de l'unilatéralisme géopolitique ou du protectionnisme", visant implicitement l'UE.
Acier, aluminium, ciment...
Pour verdir ses importations, l'UE imposera à partir de janvier un "mécanisme d'ajustement carbone" aux frontières (CBAM) sur l'acier, à l'aluminium, le ciment, les engrais, l'électricité et l'hydrogène, des secteurs extrêmement polluants et exposés à une forte concurrence internationale.
Elle vise à imposer aux importations dans l'UE un prix du carbone similaire à celui en vigueur en Europe, où les entreprises payent déjà pour polluer. Plusieurs pays, dont les États-Unis et la Chine, y voient une mesure protectionniste déguisée. Certains ont décidé d'élever le sujet dans les négociations climatiques.
"Le meilleur CBAM est en fait celui qui ne rapporte pas d'argent, c'est là son essence même", a répondu lundi M. Hoekstra au cours d'une conférence de presse. Il a souligné que l'idée d'une tarification du carbone faisait son chemin au Brésil et dans une trentaine d'autres pays.
Une réunion bilatérale Chine-UE aura lieu lundi à la COP30, où sera logiquement abordé ce sujet qui est de toutes les conversations entre délégués à Belem.
Obstructions
Il reste cinq jours aux ministres, arrivés lundi, pour sortir au niveau politique de l'impasse.
"Nous ne pouvons absolument pas nous permettre de perdre du temps à cause de retards tactiques ou d'obstructions", a lancé le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, dans un appel qui fait écho à d'autres similaires aux COP précédentes à mi-parcours.
Peu après lui, le ministre de l'Agriculture de l'archipel pacifique des Palaos et représentant des petits États insulaires Steven Victor a affirmé que "1,5°C n'est pas un slogan politique. C'est un seuil de survie non négociable pour notre peuple", en référence à l'objectif de réchauffement fixé par l'accord de Paris il y a dix ans, désormais clairement hors de portée à moyen terme.
La COP30 est censée se terminer vendredi soir, mais aucune COP n'a terminé à l'heure depuis 2003.
Une semaine de consultations ont montré qu'en plus des "mesures commerciales unilatérales", deux sujets bloquent encore les tractations.
D'une part, les États insulaires, soutenus par des pays d'Amérique latine et les Européens, estiment évident que la COP doit appeler les pays à rehausser leurs engagements climatiques. Mais de grandes économies, de la Chine à l'Arabie saoudite, ne veulent pas d'une décision qui sous-entendrait qu'elles n'en font pas assez.
D'autre part, de nombreux pays du Sud, notamment les Africains, veulent rappeler aux pays développés l'insuffisance de leurs financements vers les pays en développement.
"La question, pour les ministres, est de trouver un équilibre délicat entre ces trois sujets", décrypte pour l'AFP Li Shuo, expert de l'Asia Society présent à Belem.
Le Brésil s'est aussi montré ambitieux aussi sur son désir d'envoyer un signal sur la sortie des énergies fossiles, même si la forme exacte de ce signal reste à clarifier.
Lundi, Steven Victor s'est dit "déçu" que la question des énergies fossiles avance si lentement. Le vice-président brésilien Geraldo Alckmin a de nouveau évoqué lundi un "plan d'action intégré" pour "sortir de la dépendance aux combustibles fossiles". Mais toujours sans expliciter l'intention brésilienne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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