International
Procès pour le "cerveau" du 11 septembre demandé par le Pentagone
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/08/khalid-cheikh-mohammed-a-subi-des-mauvais-traitements-assimiles-a-de-la-torture-dans-une-prison-secrete-de-la-cia-de-2002-a-2006-notamment-183-simulations-de-noyade-archives-1000x600.jpg&description=Procès pour le "cerveau" du 11 septembre demandé par le Pentagone', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le ministre américain de la défense Lloyd Austin a estimé mardi que les familles de victimes et les Américains méritaient de voir le "cerveau" des attentats du 11 septembre 2001 et d'autres accusés être jugés. Il a annulé vendredi un accord de peine négociée.
Khalid Cheikh Mohammed, "cerveau" autoproclamé de ces attaques qui ont bouleversé les Etats-Unis, avait accepté un accord censé lui éviter la peine capitale. L'accord avait rapidement été révoqué par le Pentagone après une levée de boucliers des familles de victimes et de responsables politiques.
"Les familles des victimes, les membres de nos forces armées et les Américains méritent de voir les procès de la commission militaire être tenus dans cette affaire", a déclaré Lloyd Austin lors d'une conférence de presse à Annapolis, près de Washington.
Tortures
Khalid Cheikh Mohammed, un Pakistanais âgé de 60 ans, est, après Oussama ben Laden, la figure la plus honnie liée aux attentats du 11 septembre. L'accord annoncé le 31 juillet par le ministère de la défense lui-même avait choqué de nombreux proches des près de 3000 victimes et suscité de virulentes critiques dans le camp républicain.
Les termes de l'accord depuis révoqué n'ont pas été rendus publics. Selon le New York Times, Khalid Cheikh Mohammed et deux complices avaient accepté de plaider coupable d'association de malfaiteurs en échange d'une peine de prison à perpétuité, au lieu d'un procès qui aurait pu conduire à leur exécution.
Les affaires portant sur le 11 septembre se sont enlisées pendant des années et les accusés sont restés détenus dans la base militaire américaine de Guantanamo Bay, une prison qui a largement terni l'image des Etats-Unis à l'international.
Au coeur de l'embarras autour de ces affaires, les tortures subies par les accusés. Elles soulèvent la question du caractère équitable ou non d'un éventuel procès à leur encontre. Une question épineuse, et un scandale gênant pour les Etats-Unis, que les accords de plaider-coupable auraient permis d'éviter.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël appelle à évacuer deux villages iraniens avant des frappes
L'armée israélienne a appelé jeudi à évacuer les villages iraniens d'Arak et de Khondab situés près d'installation nucléaires, annonçant des frappes imminentes.
"Les Forces de défense israéliennes appellent urgemment les habitants, les travailleurs et toute personne présente dans les villages iraniens d'Arak et de Khondab (...) à évacuer immédiatement avant qu'elles ne frappent des infrastructures militaires", a-t-elle déclaré sur Telegram.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
A l'approche des côtes du Mexique, l'ouragan Erick se renforce
L'ouragan Erick dans le Pacifique s'est renforcé en catégorie 3 sur l'échelle de Saffir-Simpson, qui en compte 5, à l'approche des côtes du Mexique, a indiqué mercredi le Centre national des ouragans de Miami (NHC).
Devenu un ouragan majeur, Erick accompagné "de vents potentiellement destructeurs" pourrait provoquer "des inondations soudaines potentiellement mortelles dans certaines parties du sud du Mexique". Il se trouvait à 02h00 à quelque 90 kilomètres de Port Angel (sud), selon le NHC.
Erick devrait toucher terre dans la nuit de mercredi à jeudi, heure locale, à la jonction des Etats côtiers du Oaxaca et du Guerrero.
Le cyclone tropical se déplaçait vers le nord-ouest à une vitesse de 15 km/h avec des rafales de vent pouvant atteindre les 195 km/h, a ajouté le NHC.
Les autorités ont lancé des messages de prévention dans les stations balnéaires de Puerto Escondido et surtout d'Acapulco, durement touchée par l'ouragan Otis de catégorie 5 en octobre 2023.
Dans l'ex-capitale de la jet-set sur le Pacifique, perdue aux mains des narcotrafiquants, des habitants ont commencé à se rendre dans les centres d'accueil aménagés face à la menace de l'ouragan, a constaté l'AFP. Des petites embarcations de plaisance ont été retirées de l'eau pour éviter qu'elles ne coulent.
Les autorités ont par ailleurs demandé aux habitants de suspendre les activités non-essentielles à partir de 20h00 locales. Les supermarchés devaient fermer à 18h00.
La pluie a commencé à tomber en fin d'après-midi après une journée ensoleillée.
C'est cependant Puerto Escondido et ses 30'000 habitants dont des touristes étrangers, qui pourraient être le plus proches des murs de vents du cyclone.
Les restaurants étaient déjà fermés malgré la présence de touristes qui ne voulaient pas renoncer à leurs vacances, a constaté sur place un journaliste de l'AFP.
"On dit qu'il va frapper de ce côté-ci de la côte, on va prendre nos précautions pour ne rien regretter par la suite", a déclaré Adalberto Ruiz, un pêcheur de 55 ans qui mettait sa barque à l'abri.
Militaires déployés
La présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, a demandé mercredi à la population de rester attentive aux annonces des autorités.
"Qu'elle se protège chez elle, qu'elle ne sorte pas. Si vous êtes dans des zones basses, près des rivières, près des cours d'eau, il vaut mieux aller dans les refuges", a déclaré la cheffe de l'Etat au cours de sa conférence de presse matinale habituelle.
Les autorités ont également suspendu les cours dans les villes concernées et fermé les ports à la navigation.
Le gouvernement a déployé des centaines de militaires et des agents de la Commission fédérale d'électricité (CFE) dans le cadre de son plan d'urgence.
Les ouragans menacent de mai à octobre les côtes du Mexique, celles du Pacifique et celles du golfe.
En octobre 2023, le front de mer d'Acapulco, la capitale de la jet-set internationale sur le Pacifique dans les années 1960, a été détruit par Otis, qui s'est converti en quelques heures en ouragan de force maximale. Il a fait au moins 50 morts et 30 disparus, selon les autorités mexicaines.
En septembre 2024, Acapulco a été de nouveau frappée par un ouragan, John, de force 3, qui a causé la mort d'au moins 15 personnes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Poutine affirme que le réarmement de l'Otan n'est pas une "menace"
Vladimir Poutine a affirmé jeudi que le réarmement de l'Otan n'était pas une "menace" pour la Russie car son pays a, selon lui, les "capacités de défense" nécessaires pour y faire face, après plus de trois ans de conflit en Ukraine qui a militarisé l'Etat russe.
En parallèle, le président russe s'est félicité que son armée progresse "tous les jours" sur la ligne de front, face à une armée ukrainienne moins nombreuse et en difficulté.
L'Alliance atlantique, qui doit se réunir en sommet la semaine prochaine à La Haye (Pays-Bas), pousse ses membres à accroître leurs dépenses de sécurité, dans le contexte brûlant du conflit en Ukraine, déclenchée par l'assaut russe de 2022 contre son voisin.
Mais, selon M.Poutine, "nous ne considérons aucun réarmement de l'Otan comme une menace pour la Fédération de Russie, car nous sommes autosuffisants en matière de sécurité".
"Nous améliorons constamment nos forces armées et nos capacités de défense", a-t-il encore affirmé lors d'un échange avec des représentants d'agences de presse étrangères, dont l'AFP, à Saint-Pétersbourg.
Une augmentation des dépenses des pays membres de l'Otan à 5% de leur PIB créerait des défis "spécifiques" pour la Russie, a admis Vladimir Poutine, jugeant toutefois que cette hausse des dépenses n'avait "aucun sens" pour les membres de l'Alliance eux-mêmes.
"Nous contrerons toutes les menaces qui se dresseront. Cela ne fait aucun doute", a-t-il lancé.
Le chef de l'Etat russe présente l'offensive russe à grande échelle lancée en Ukraine en 2022 comme faisant partie d'un conflit plus large entre la Russie et l'Otan, qu'il considère comme une menace "existentielle" aux frontières de son pays.
Dans le cadre des discussions de paix sur l'Ukraine, il souhaite ainsi discuter --notamment avec le dirigeant américain Donald Trump-- de l'architecture sécuritaire sur le Vieux Continent.
Kiev, de son côté, cherche à obtenir des garanties de sécurité de l'Alliance atlantique dans la perspective de tout accord visant à mettre fin aux combats.
"Trouver une solution"
A ce stade, les pourparlers de paix entre les deux belligérants, engagés sous la pression de Donald Trump, sont bloqués, ceux-ci campant sur leurs positions, très éloignées.
La Russie a rejeté la trêve "inconditionnelle" voulue par l'Ukraine, qui a pour sa part qualifié d'"ultimatums" les exigences russes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé Vladimir Poutine à se rencontrer en personne pour trouver une issue au conflit, une option rejetée par le président russe, tout comme les demandes de Kiev pour un cessez-le-feu inconditionnel.
Jeudi, celui-ci a dit être ouvert à un tel sommet, mais uniquement dans le cadre de la "dernière étape" des négociations.
"Je suis même prêt à rencontrer (M.Zelensky), mais seulement si c'est la dernière étape" des pourparlers, a affirmé le président russe face aux représentants des agences de presse étrangères.
Il a toutefois de nouveau mis en doute la légitimité du dirigeant ukrainien, dont le mandat présidentiel a officiellement expiré en mai 2024.
Kiev n'a pas pu organiser d'élection présidentielle du fait de l'assaut russe et la mise en place de la loi martiale.
"Je suis prêt à rencontrer tout le monde, même Zelensky. Là n'est pas la question. Si l'Etat ukrainien fait confiance à une personne en particulier pour mener des négociations, mon Dieu, cela peut être Zelensky", a dit le chef de l'Etat russe lors de cette table ronde.
"Peu importe qui négocie, même si c'est le chef actuel du régime", a-t-il abondé.
Il a également estimé qu'il fallait "trouver une solution qui, non seulement mette fin au conflit actuel, mais qui crée également les conditions nécessaires pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à long terme".
Deux rounds de pourparlers entre Russes et Ukrainiens ont eu lieu à Istanbul, mais n'ont débouché sur aucun progrès vers une trêve dans ce conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés.
Moscou, dont l'armée occupe toujours près de 20% du territoire ukrainien, demande notamment à Kiev le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.
Sur le terrain, les forces russes continuent de pilonner chaque jour les villes et villages d'Ukraine. Elles ont mené tôt mercredi une série d'attaques contre Kiev, faisant au moins 28 morts, selon les autorités ukrainiennes, l'un des pires bilans dans la capitale depuis 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Poutine dit qu'une rencontre avec Zelensky est possible
Vladimir Poutine a déclaré jeudi être "prêt" à rencontrer son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky uniquement dans le cadre de la "dernière étape" des négociations entre Moscou et Kiev, après plus de trois ans de guerre.
"Je suis même prêt à rencontrer (Volodymyr Zelensky), mais seulement si c'est la dernière étape" des pourparlers, a dit le président russe lors d'un échange avec des représentants d'agences de presse étrangères, dont l'AFP.
Mais il a de nouveau mis en doute la légitimité de Volodymyr Zelensky, dont le mandat a officiellement expiré en mai 2024.
Kiev n'a pas pu organiser d'élection présidentielle du fait de l'assaut russe et la mise en place de la loi martiale.
"Je suis prêt à rencontrer tout le monde, même Zelensky. Là n'est pas la question. Si l'Etat ukrainien fait confiance à une personne en particulier pour mener des négociations, mon Dieu, cela peut être Zelensky", a dit le chef de l'Etat russe lors de cette table ronde organisée à Saint-Pétersbourg.
"Peu importe qui négocie, même si c'est le chef actuel du régime".
Il a également estimé qu'il fallait "trouver une solution qui, non seulement mettre fin au conflit actuel, mais qui crée également les conditions nécessaires pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à long terme".
Deux rounds de pourparlers entre Russes et Ukrainiens ont eu lieu à Istanbul, mais n'ont débouché sur aucun progrès vers un cessez-le-feu dans ce conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés.
Moscou demande notamment à Kiev le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 2 jours
Vaud: les enseignantes des 1-2P manifestent à Lausanne
-
SuisseIl y a 3 jours
Roche avance sur son traitement contre la maladie de Parkinson
-
InternationalIl y a 3 jours
Le salon du Bourget décolle dans l'ombre du drame d'Air India
-
InternationalIl y a 3 jours
Meta introduit la publicité sur WhatsApp
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne: aucun incident majeur pendant la 1e partie de la FFG
-
HockeyIl y a 3 jours
Rob Cookson assistant de Geoff Ward au LHC
-
InternationalIl y a 2 jours
Départ anticipé de Trump, appel à la désescalade au Moyen-Orient
-
InternationalIl y a 2 jours
L'évolution des religions depuis 2010 documentée