Économie
Société Générale: abandon des poursuites dans deux dossiers
Société Générale a annoncé vendredi l'abandon définitif des procédures judiciaires aux Etats-Unis après des accords conclus avec les autorités américaines en 2018 concernant deux dossiers.
"Société Générale annonce l'abandon définitif des deux procédures judiciaires engagées par le Département américain de la Justice (...) concernant, d'une part, les soumissions IBOR de Société Générale et certaines opérations impliquant des contreparties libyennes et, d'autre part, le respect des sanctions économiques américaines", a fait savoir la banque dans un communiqué.
Ces décisions, rendues les 30 novembre 2021 et 2 décembre 2021 par les tribunaux fédéraux américains, signifient qu'aucune poursuite ne pourra plus être menée dans le cadre de ces deux dossiers.
Elles font suite à l'expiration de deux accords transactionnels conclus par Société Générale avec plusieurs autorités américaines en 2018.
Ces accords prévoyaient qu'aucune poursuite ne serait engagée à l'encontre de la Banque "à l'issue d'une période probatoire de trois ans", "à condition que celle-ci se conforme aux termes des accords".
En demandant aux tribunaux d'abandonner ces procédures judiciaires, le département de la Justice américain a ainsi reconnu "que Société Générale avait rempli ses obligations au titre des accords de suspension des poursuites (DPA ou deferred prosecution agreement)", a assuré la banque dans son communiqué.
Société Générale avait versé 1,3 milliard de dollars au parquet national financier (PNF) au département de la Justice (DOJ) et à la U.S. Commodity Futures Trading Commission (CFTC) pour le dossier libyen et le dossier Libor.
Environ 1,3 milliard de dollars de pénalités supplémentaires avaient été versées aux Autorités américaines dans le cadre d'un accord mettant fin aux enquêtes relatives aux sanctions économiques.
"Ces dernières années, Société Générale a mobilisé des ressources et des moyens très importants pour renforcer son système de conformité et de contrôle afin (...) de répondre aux standards les plus élevés du secteur bancaire en matière de conformité et d'éthique. Société Générale s'engage à poursuivre ces efforts", a affirmé la banque.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Immobilier: sensibilité accrue aux prix des acquéreurs de biens
Les personnes cherchant à acquérir un bien immobilier affichent désormais une sensibilité accrue aux prix, d'autant plus si les objets convoités s'affichent à des tarifs supérieurs à leur valeur de marché. De ce fait, la durée de vente se prolonge.
Examinant quelque 7000 financements de biens immobiliers sur la période entre 2021 et 2024, l'assureur st-gallois et la plateforme de comparaison d'hypothèques constatent mercredi une plus grande retenue des acquéreurs à investir des fonds propres supplémentaires en vue d'acquérir un objet immobilier dont le prix dépasse la valeur de marché. Actuellement, un bien immobilier sur cinq est encore vendu au-dessus de sa valeur de marché. Pendant la pandémie de coronavirus, la proportion atteignait un quart.
Selon l'analyse, le montant supplémentaire perçu par les vendeurs représente en moyenne 7% de la valeur de marché d'un objet. Ainsi, pour un objet d'une valeur marchande fixée à 1 million de francs, il se monte à pas moins de 70'000 francs.
Les potentiels acquéreurs devenus plus regardants à la dépense, la durée de vente s'allonge. Il y a deux ans, il fallait en moyenne cinq mois pour conclure une transaction, selon Moneypark. Aujourd'hui, ce délai atteint sept mois. "Il y a longtemps que tous les biens immobiliers ne se vendent plus comme des petits pains", commente Lukas Vogt, le directeur général de Moneypark, cité dans le communiqué.
Toutefois, l'emplacement d'un bien immobilier peut en accélérer la vente. Ainsi, dans les endroits jugés attrayants, un objet sur quatre trouve preneur en l'espace de trois mois environ. Dans les lieux moins demandés, la durée de vente peut s'allonger jusqu'à environ huit mois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Une année 2023/24 record pour Glacier 3000 aux Diablerets (VD)
Glacier 3000 aux Diablerets a enregistré un exercice 2023-2024 record. Pour la première fois de leur histoire, les remontées mécaniques de la station des Alpes vaudoises ont dépassé la barre des 200'000 visiteurs.
Le groupe clôture l'année comptable, au 30 septembre, avec un chiffre d'affaires, là aussi record, de 19 millions de francs, indique-t-il mercredi dans un communiqué.
Dans le détail, 50% des recettes proviennent du transport, 35% des hébergements, et 15% de la restauration. Le ski reste une activité importante de l'entreprise et représente environ 40% de la clientèle, tandis que les piétons l'emportent désormais et représentent 120'000 visiteurs, précise Glacier 3000.
Le pont suspendu "Peak Walk" sur les cimes est le principal motif de visite de ce segment, toujours composé à 40% de Suisses. Appréciés pour leur impact positif sur la saisonnalité, les visiteurs internationaux complètent le tableau avec 30% de clientèle asiatique (Chine, Inde et Asie du Sud-Est en tête), suivi de près par les Français et les Américains, relève encore le groupe.
Ouverture a priori le 9 novembre
Parmi les nouveautés pour la saison 2024/2025, le nouveau restaurant Botta ouvrira mi-novembre, avec 400 places assises et une terrasse panoramique sur le toit, et le Snow Park a été déplacé dans le secteur du Scex Rouge afin d'améliorer l'offre de ski freestyle en début de saison. Sur les pistes, la descente de la Combe d'Audon a été élargie dans son passage le plus étroit afin d'améliorer l'offre de ski.
L'ouverture du domaine skiable est prévue le week-end du 9 novembre en fonction des conditions d'enneigement, est-il encore indiqué.
Créé en 2005 lors du rachat des installations du Glacier des Diablerets alors en faillite, le groupe Glacier 3000 exploite dix remontées mécaniques, quatre restaurants et 350 lits répartis dans deux établissements hôteliers. L'entreprise ouverte à l'année emploie 170 collaborateurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'élargissement des autoroutes serait accepté, selon un sondage
Les Suisses accepteraient l'extension des autoroutes, selon un premier sondage. Aucune majorité ne se dégage en revanche pour les autres objets soumis au peuple le 24 novembre, à savoir le financement uniforme des soins (EFAS) ainsi que des révisions du droit du bail.
Selon le premier sondage de 20 minutes et Tamedia publié mercredi, les Suisses approuveraient à 56% les six projets d'extensions autoroutières prévus, dont un romand. La part du non s'élève à 42%, celle des indécis à 2%.
L'argument qui convainc le plus les partisans est que cette extension permettra de réduire les embouteillages et donc de décharger les villes et les villages du trafic d'évitement.
Les autres objets ne réunissent pas de majorité. Le projet de financement uniforme des prestations de santé ambulatoires et stationnaires (EFAS) récolte 38% d'avis favorables pour autant d'avis défavorables et 24% d'indécis.
Le texte relatif aux sous-locations réunit 47% de oui, 42% de non et 11% d'indécis. Les sondés sont 43% à être favorables au second texte sur le bail (résiliation pour besoin propre). Cinquante pour cent sont contre et 7% sont indécis.
Le sondage a été réalisé en ligne les 2 et 3 octobre en collaboration avec l'institut LeeWas. Y ont pris part 11'170 personnes, dont 3852 en Suisse romande. La marge d'erreur est de +/- 1,7 point de pourcentage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Grève: Boeing suspend les négociations
Boeing a annoncé mardi le retrait de l'offre faite au syndicat des machinistes IAM, qu'il accuse d'avoir formulé des demandes déraisonnables. Les discussions, pour mettre fin à la grève qui paralyse ses deux principales usines depuis la mi-septembre, sont suspendues.
Le constructeur aérien américain a pris cette décision, officialisée par une communication interne consultée par l'AFP. Un troisième tour de négociations de deux jours s'est achevé mardi.
Région de Seattle, berceau de Boeing
Le syndicat IAM (International Association of Machinists) a décrété une grève depuis le 13 septembre, qui concerne 33'000 adhérents dans la région de Seattle, berceau de Boeing.
Les deux principales usines du groupe à Renton (produisant le 737, son avion le plus vendu) et Everett (produisant le 777 et abritant plusieurs programmes militaires) font partie des sites totalement à l'arrêt.
Dans le courrier interne, la responsable de l'aviation commerciale de Boeing Stephanie Pope affirme que la direction de l'avionneur a soumis, lors de ce troisième round de discussions, de nouvelles propositions, améliorées par rapport à la précédente version.
Le groupe a notamment revalorisé le salaire net et les pensions de retraite, selon la dirigeante.
"Malheureusement, le syndicat n'a pas pris ces propositions au sérieux", préférant, selon elle, faire des demandes "non négociables qui dépassent de loin les limites de l'acceptable si nous voulons rester compétitifs".
"De ce fait, poursuivre les négociations n'aurait pas de sens à ce stade et nous avons retiré notre offre", a conclu Stephanie Pope.
Boeing se dit néanmoins prêt, selon elle, à de nouveaux pourparlers une fois que l'IAM sera prêt "à discuter d'un accord qui soit respectueux de nos employés et préserve l'avenir de notre entreprise".
"Nous obtiendrons gain de cause", a réagi l'IAM dans un communiqué posté sur son site, affirmant que Boeing avait refusé "de proposer toute (nouvelle) hausse de salaires", de mesures de progression de carrière ou de contributions au fonds de pension des employés.
Période difficile pour le constructeur
Le constructeur, qui traverse une période difficile du fait de problèmes de qualité de sa production, a pris des mesures pour préserver sa trésorerie pendant le débrayage.
Il a notamment eu recours à du chômage technique, qui touche des dizaines de milliers de salariés du groupe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
CultureIl y a 1 jour
Kate Winslet à Zurich pour présenter son film "Lee"
-
InternationalIl y a 2 jours
Google doit ouvrir sa boutique d'applications à la concurrence
-
InternationalIl y a 1 jour
Le Hezbollah vise une base du renseignement près de Tel-Aviv
-
SuisseIl y a 2 jours
Rente mensuelle de 30 ans décrochée à l'Eurodreams
-
SuisseIl y a 3 jours
La Foire du Valais rassemble plus de 245'00 personnes
-
À gagner en écoutant LFMIl y a 2 jours
Chaplin's World : Remportez vos entrées pour Hollywood Monsters
-
InternationalIl y a 3 jours
Marc Hirschi remporte la Coppa Agostini
-
Suisse RomandeIl y a 24 heures
Course-poursuite avec un véhicule volé à Vionnaz (VS)