International
Simmons encore sanctionné financièrement par les Sixers
Le feuilleton entre Ben Simmons et les Sixers se poursuit à Philadelphie.
Le meneur, qui veut quitter le club, a écopé d'une amende de 360'000 dollars pour son absence lors de la victoire contre Detroit en NBA jeudi, rapporte ESPN vendredi.
Plus que le fait de ne pas avoir joué cette rencontre ni d'y avoir assisté, c'est son manque de coopération avec le corps médical de l'équipe qui a conduit ses dirigeants à sanctionner Simmons. Ce dernier se dit pourtant "mentalement inapte à jouer" ou à se mettre à la disposition de l'équipe, explique ESPN.
Ben Simmons a consulté des professionnels de la santé mentale par l'intermédiaire du syndicat des joueurs (NBPA). Mais il n'a pas voulu partager les détails de ses entretiens ou évaluations résultant de ses consultations, ni d'un éventuel traitement dont il ferait l'objet, avec les médecins des 76ers.
Voilà quatre mois que l'Australien est en conflit avec la franchise de Philadelphie, dont il a demandé à partir cet été après l'échec en demi-finale de la Conférence Est (défaite contre les Hawks de Clint Capela). Lors du match no 7, sa piètre performance offensive avait été pointée du doigt, son entraîneur Doc Rivers s'interrogeant alors publiquement sur sa capacité à faire gagner un championnat.
D'autres sanctions à venir
Après avoir refusé de prendre part au stage de présaison, sans que ses dirigeants ne cèdent à ses envies de départ, le sanctionnant déjà financièrement de 2 millions de dollars, Simmons a fini par réintégrer le groupe. Ne souhaitant pas, dans un premier temps, suivre le programme imposé par Rivers, il s'y plie désormais de façon quotidienne mais aménagée et n'a donc toujours pas refoulé le parquet depuis le début de saison.
Simmons, à qui il reste quatre ans de contrat pour une valeur de 147 millions de dollars, pourrait ainsi écoper d'autres amendes, non seulement pour avoir manqué des rencontres, mais aussi pour ne pas avoir assisté aux séances vidéo, à certaines séances d'entraînement, de musculation et aux exercices de tir les jours de match, avance ESPN.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un dernier saut réussi pour Simon Ehammer
Simon Ehammer a conclu sa saison sur une belle note. L’Appenzellois a pris la deuxième place du concours de la longueur de la finale de la Diamond League à Bruxelles.
Dans le froid du Heysel, Simo Ehammer a réussi 8,16 m lors de son ultime essai. La victoire est revenue au Jamaïcain Tajay Gayle avec un bond mesuré à 8,28 m. Incapable de sortir des qualifications lors des Jeux de Paris, Tajay Gayle savoure ainsi sa revanche puisqu’il avait été battu par... Ehammer l’an dernier à Eugene dans cette même finale de la Diamond League.
Récompensé pour cette deuxième place par un chèque de 12'000 euros, Simon Ehammer a battu ses deux rivaux de l’été, le Grec Mitiadis Tentoglou et l’Italien Mattia Furiani, les deux hommes qui l’avaient devancé aux Championnats d’Europe de Rome et aux Jeux de Paris. Tentoglu avait pris la deuxième place du concours avec ses 8,15 m au dernier essai. Mais cette fois, Ehammer a su réagir pour le battre d’un centimètre sur son ultime saut de l’année.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Accord migratoire conclu entre l'Allemagne et le Kenya
L'Allemagne et le Kenya ont conclu vendredi un accord migratoire. Il est destiné notamment à faire venir du personnel qualifié de ce pays d'Afrique de l'Est dans la première économie européenne, confrontée à une importante pénurie de main-d'oeuvre.
Au Kenya, il y a notamment "un nombre incroyable de spécialistes en informatique hautement qualifiés", a déclaré le chancelier allemand Olaf Scholz, au cours d'une conférence de presse à Berlin avec le président kényan William Ruto.
Ce dernier a quant à lui souligné "l'immense capital humain", "la force d'innovation et la créativité" de son pays où l'âge moyen est de 20 ans.
Grâce à cet accord, "des travailleurs spécialisés ou des jeunes gens pourront venir en Allemagne pour une formation", a déclaré M. Scholz, estimant que cela pourra aider à juguler "la pénurie de main-d'oeuvre qualifiée", dont les effets se font déjà sentir sur l'économie allemande.
Ouverture au monde
"Le fondement de notre prospérité est notre ouverture sur le monde. Et nous devons la défendre", a estimé M. Scholz. Tout en prônant cette ouverture, le chancelier allemand a plaidé pour "limiter clairement l'immigration illégale".
L'accord signé vendredi prévoit justement "des procédures de retour efficaces pour ceux qui sont venus chez nous du Kenya mais qui n'ont pas ou ne peuvent pas acquérir le droit de rester chez nous", a ajouté le dirigeant allemand.
Le gouvernement allemand a déjà signé des accords migratoires avec l'Inde en décembre 2022 et la Géorgie un an plus tard. Un autre devrait suivre la semaine prochaine à l'occasion de la visite de M. Scholz en Ouzbékistan.
D'autres accords négociés
Berlin négocie également des accords avec la Moldavie, le Kirghizstan et les Philippines.
Ces dernières semaines, l'Allemagne a été touchée par une série d'attaques à caractère islamiste qui ont poussé le gouvernement de M. Scholz à durcir sa politique d'immigration et à combattre l'entrée de clandestins.
En ce qui concerne l'immigration irrégulière vers l'Allemagne, le poids du Kenya est relativement faible. Au cours des huit premiers mois, seules 225 personnes originaires de ce pays ont déposé une première demande d'asile en Allemagne.
Toutefois, de janvier à août, l'asile n'a été accordé que dans un seul cas et le statut de réfugié n'a été octroyé que dans dix autres.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trafic de drogue: "El Mayo", plaide "non coupable" à New York
L'un des plus puissants barons de la drogue au Mexique, le cofondateur du cartel de Sinaloa, Ismael "El Mayo" Zambada, a plaidé non coupable vendredi de trafic international de drogue à New York. Il avait été arrêté fin juillet de manière rocambolesque aux Etats-Unis.
En tenue de détenu, visiblement diminué physiquement, Ismael Zambada, 76 ans, a plaidé "non coupable" par le biais de son avocat des 17 chefs pour lesquels il a été inculpé.
Il est poursuivi notamment pour association de malfaiteurs en vue d'un trafic international de cocaïne et de fentanyl, assassinat, trafic et détention d'armes. Il a eu besoin d'aide pour se lever de sa chaise et quitter la salle d'audience.
En requérant sa détention, qui a été ordonnée par le juge, le procureur fédéral Francisco Navarro a souligné que "l'accusé" était avant son arrestation l'"un des plus, sinon le plus, puissant seigneur de la drogue recherché" par les autorités. Il est "responsable d'avoir inondé les Etats-Unis de fentanyl, cocaïne et d'autres drogues qui ont conduit à la mort et à la violence dans nos rues", a-t-il ajouté. "Assassinats, enlèvements, torture, extorsions, corruption : tels sont ses instruments".
La prochaine audience est prévue le 31 octobre et l'inculpé attendra son procès en prison.
Ismael Zambada avait accepté il y a une semaine son transfert vers New York en provenance du Texas où il était détenu depuis son arrestation fin juillet.
Thriller
Il a déjà plaidé non coupable au Texas de chefs de trafic de drogue, blanchiment d'argent et association de malfaiteurs en vue de commettre un meurtre dans cet Etat du sud des Etats-Unis.
S'il est reconnu coupable à son futur procès à New York, "El Mayo" encourt la réclusion criminelle à perpétuité, comme le narcotrafiquant Joaquin "El Chapo" Guzman avec lequel il a cofondé le puissant et meurtrier cartel de Sinaloa. "El Chapo" purge une peine similaire dans une prison de haute sécurité américaine.
Zambada avait lui échappé jusqu'ici aux polices antidrogue mexicaine et américaine, malgré une récompense de 15 millions de dollars promise par les Etats-Unis.
Il a finalement été arrêté, dans des conditions obscures, près de la ville américaine frontalière d'El Paso, au Texas, le 25 juillet, après avoir atterri du Mexique à bord d'un avion privé en compagnie de Joaquin Guzman Lopez, fils d'"El Chapo".
Le septuagénaire a déclaré avoir été piégé par Joaquin Guzman Lopez, pris en embuscade, kidnappé et emmené de force dans l'avion. Arrêté aussi, Joaquin Guzman Lopez a nié tout accord avec la justice américaine en vue de livrer "El Mayo".
Ce scénario digne d'un thriller a conduit le Mexique à demander officiellement des explications aux Etats-Unis. Début août, le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador avait révélé que les États-Unis avaient bien eu des "discussions" avec le fils d'"El Chapo" avant sa capture.
A la mi-août, les autorités locales avaient rapporté que dix personnes, dont un narcotrafiquant présumé recherché par les Etats-Unis, avaient été assassinées dans l'Etat mexicain du Sinaloa (nord-ouest) dans des règlements de comptes liés à la capture d"El Mayo".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La campagne US se poursuit, diatribes de Trump contre les migrants
La campagne présidentielle se poursuit vendredi avec des déplacements de Kamala Harris et de Donald Trump dans des Etats décisifs. Cela alors que le candidat républicain multiplie les diatribes, en partie mensongères, contre les migrants.
Le déplacement du milliardaire de 78 ans dans le Nevada (ouest) sera en théorie consacré à l'économie.
Mais jeudi, pour un meeting en Arizona censé être consacré au même thème, Donald Trump a, comme à son habitude, balayé toutes sortes de sujets, en insistant particulièrement sur l'immigration, une thématique récurrente de sa course à la Maison Blanche et une préoccupation de premier rang des électeurs selon les sondages.
Dans cet Etat de l'Ouest, frontalier du Mexique, il a une nouvelle fois évoqué une affirmation mensongère et raciste selon laquelle des migrants haïtiens voleraient des chiens et des chats pour les manger à Springfield, une petite ville de l'Ohio.
"C'était une magnifique communauté, c'est horrible ce qui s'est passé", a-t-il lancé à la foule, évoquant aussi, sans preuve, le cas de migrants s'en prenant à des "oies" ou "violant des jeunes filles américaines".
Expulsions massives
Le candidat républicain promet en cas d'élection de lutter contre l'immigration illégale à coups d'expulsions massives.
Une activiste de droite radicale vue récemment dans son entourage de campagne, Laura Loomer, a pour sa part violemment attaqué Kamala Harris, dont la mère est indienne, en écrivant récemment sur X qu'en cas de victoire de la démocrate, la Maison Blanche "sentirait le curry."
Kamala Harris sera vendredi dans le "swing state", l'Etat pivot, peut-être le plus crucial de la présidentielle du 5 novembre: la Pennsylvanie, avec ses 19 grands électeurs.
Théorie complotiste
La vice-présidente n'a jusqu'ici pas rebondi sur ces propos de son rival. Lorsque Donald Trump avait évoqué la théorie complotiste sur les animaux domestiques lors de leur débat télévisé mardi, elle avait réagi en secouant la tête avec véhémence et en arborant un air mi-amusé mi-scandalisé.
Cette fille d'une mère indienne et d'un père jamaïcain, première femme vice-présidente des Etats-Unis, n'a jamais embrayé sur les attaques visant son identité depuis le début de sa campagne, menée de manière très méthodique et avec un positionnement résolument centriste.
Jeudi, la démocrate de 59 ans a déroulé son discours déjà bien rodé en Caroline du Nord, un autre Etat pivot du Sud historique américain, sur la façade Atlantique. "Il est temps de tourner la page" Trump, a-t-elle martelé, en promettant de défendre la classe moyenne et le droit à l'avortement.
Election serrée
A nouveau, Kamala Harris, arrivée avec fracas dans la course après le retrait du président Joe Biden il y a moins de deux mois, a martelé que l'élection serait "très serrée" et qu'elle n'était "pas donnée favorite".
La candidate, qui de l'avis général a dominé son adversaire lors du débat de mardi, ne pourra pas compter sur une nouvelle confrontation de ce type pour lui donner de l'élan: Donald Trump s'est en effet opposé jeudi à un autre débat.
Dans une Amérique qui semble aujourd'hui irrémédiablement divisée sur le plan politique, les deux candidats sont au coude-à-coude dans les sondages.
Comme en 2016 et 2020 tout devrait donc se jouer sur quelques dizaines de milliers de voix d'électeurs indécis dans six ou sept Etats stratégiques, et ce quel que soit le total de voix à l'échelle du pays, puisque l'élection se déroule selon le principe du suffrage universel indirect.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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