International
Swiatek est "encore plus fière qu'en 2020"

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Après un 1er titre surprise en 2020 dans un quasi-huis clos, Iga Swiatek s'est dite "encore plus fière" d'avoir remporté Roland-Garros pour la 2e fois. Elle se dit "prête à faire la fête encore plus".
-Que ressentez-vous après ce titre par rapport à celui de 2020?
"C'est très différent parce que je me sens prête, cette fois, pour ce qui va arriver. Je suis mieux préparée, plus solide. Il y a deux ans, ça avait été mouvementé. Là, je me sens même prête à faire la fête encore plus. En 2020, une fois la balle de match gagnée, j'ai ressenti de la confusion parce que je n'avais jamais vraiment cru à 100% pouvoir remporter un tournoi du Grand Chelem. Cette fois, c'est le résultat d'un gros travail. Je sais mieux ce que c'est que de gagner un tournoi du Grand Chelem, ce qu'il faut faire pour y parvenir, à quel point chaque pièce du puzzle doit se mettre en place et qu'il faut que tout dans mon jeu fonctionne. En sachant ça, je suis encore plus heureuse et fière de moi cette fois qu'en 2020 parce qu'alors, je m'étais juste sentie chanceuse. Cette fois, je sens que j'ai vraiment fait le boulot. L'entrée sur le court était aussi plus agréable, il était plus facile de me concentrer parce que quand le stade est vide (comme en 2020 en raison du huis clos lié au covid), on s'entend réfléchir. Là, on peut s'appuyer sur le public, et quand on est stressé, l'écouter pour ne pas entendre toutes les pensées parasites qu'on peut avoir. En plus, voir les drapeaux polonais et savoir qu'il y a des gens qui sont là pour moi, qui crient mon nom, c'est une grande émotion. C'est difficile à décrire, mais ça donne vraiment beaucoup, beaucoup d'énergie."
-Vous êtes devenue multi-lauréate de Roland-Garros comme votre modèle Rafael Nadal, qu'y a-t-il à apprendre de lui dans sa capacité à répéter l'excellence?
"Sa sérénité par rapport à tout ce qui se passe autour de lui. Parce que parfois dans les têtes, beaucoup de joueurs suranalysent tout. Nous faisons de ces finales des montagnes qui tout à coup rendent nos vies tristes si nous les perdons. J'ai l'impression que tous ces grands champions acceptent d'une certaine manière la possibilité de la défaite. Je me souviens l'an passé quand Rafa a perdu en demi-finale, je l'ai croisé le jour suivant au petit-déjeuner à l'hôtel et je lui ai dit que j'avais pleuré toute la soirée parce qu'il avait perdu. Il était assis et a dit quelque chose comme "Oh, c'est juste un match de tennis, tu sais. Tu gagnes, tu perds. C'est normal". Ca peut sembler facile mais tout le monde ne peut pas absorber ces grands moments comme si c'était seulement un autre match. C'est quelque chose de spécial."
-Comment gérer la pression?
"C'est la partie la plus compliquée de la vie de joueuse. On voit dans les tournois du Grand Chelem qu'il y a beaucoup de surprises. Ce n'est pas facile de faire face à cette atmosphère particulière et à la pression parce que tout le monde se prépare toujours spécialement pour ces tournois. Moi, j'ai ressenti ce poids. La chose la plus difficile est ne pas trop analyser, ne pas se laisser penser à tous les chiffres et à toutes les probabilités. J'y arrive depuis quelques mois maintenant mais c'est sûr que les deux semaines ici ont été plus difficiles, aussi parce que vous (les journalistes) n'arrêtez pas de me rappeler tout ça (sourire). Mais ça fait partie du travail et je m'améliore (...) Le jour de repos (vendredi) a été presque le moment le plus dur parce qu'on ne peut pas s'empêcher de penser au match, à l'adversaire. On veut rester serein mais c'est difficile."
-Comment expliquez-vous votre réussite exceptionnelle en finale?
"J'essaie de la considérer comme n'importe quel autre match, ce qui est presque impossible parce qu'il y aura toujours plus de stress et que vous sentez que le tournoi se termine et que c'est le dernier match, et que vous voulez bien finir. Mais j'imagine que j'accepte ça un peu mieux et j'essaie de m'appuyer sur mes forces. Je sais aussi que mes adversaires vont être stressées également. Alors j'essaie de ne pas paniquer et d'être moins stressée qu'elles."
-De quoi êtes-vous la plus fière?
"Ca va peut-être paraître bizarre, mais obtenir cette 35e victoire (consécutive) et faire quelque chose de mieux que Serena (Williams), c'est particulier. J'ai toujours voulu détenir un record, et en tennis, c'est très difficile après la carrière de Serena. Et la série va peut-être être encore plus longue..."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'évolution des religions depuis 2010 documentée
Le christianisme reste la première religion dans le monde, mais l'islam est en croissance et les non-croyants de plus en plus nombreux, selon une vaste étude du Pew Research Center sur l'évolution du paysage religieux entre 2010 et 2020.
Avec 2,3 milliards de personnes (+122 millions), "les chrétiens restent le plus important groupe religieux dans le monde" et ils représentent 28,8% de la population, souligne cette méta-analyse réalisée sur la base de plus de 2700 études et recensements et publiée le 9 juin.
Le christianisme n'a toutefois pas réussi à progresser au rythme de la population mondiale, et son poids a reculé de 1,8 point.
Deuxième religion du monde avec 2 milliards de personnes (+347 millions), l'islam a connu "la croissance la plus rapide de la décennie". Il représente 25,6% de la population mondiale (+1,8 point).
Sans religion en progression
Les non-croyants sont eux aussi de plus en plus nombreux (1,9 milliard de personnes) soit près d'un quart (24,2%) de la population mondiale.
En effet, "de nombreux croyants dans le monde, essentiellement des chrétiens, 'sortent' de la religion", explique l'étude qui parle de progression "frappante".
En dix ans, les Etats-Unis (où le christianisme a reculé de 14 points sur la période) ont ainsi vu le nombre de non-croyants quasiment doubler à 101 millions de personnes: ce sont 30% de la population qui se définissent comme athées, agnostiques ou "rien de particulier".
Les sans-religions représentent également plus de la moitié de la population aux Pays-Bas, en Uruguay et en Nouvelle-Zélande.
Le monde comptait aussi 1,2 milliard d'hindous, 300'000 bouddhistes et 14,8 millions de juifs en 2020.
Géographiquement, la région abritant le plus de chrétiens (30,7%) est désormais l'Afrique sub-saharienne, et non plus l'Europe (22,3%): une tendance que l'étude explique par la démographie et "la désaffiliation chrétienne généralisée en Europe occidentale".
Le christianisme reste majoritaire dans 120 pays, contre 124 dix ans auparavant. Mais pour la première fois il est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay.
Dans chacun de ces pays "les non-croyants représentent désormais 40% ou plus de la population", tandis que les autres croyants (musulmans, hindous, juifs...) pèsent ensemble "11% ou moins".
Deux mécanismes
Pourquoi ces changements ? L'étude invoque "deux mécanismes primordiaux": la désaffection religieuse, "principal moteur du déclin de la proportion de chrétiens dans la population mondiale" et l'augmentation démographique.
La progression de l'islam s'explique donc largement par la croissance générale de la population dans les pays musulmans, du fait "d'une pyramide des âges relativement jeune et d'un taux de natalité relativement élevé".
L'étude note aussi que "les habitants des pays les plus riches sont en moyenne moins croyants que ceux des économies moins avancées".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Rebeka Masarova déclasse Sofia Kenin à Berlin
Rebeka Masarova (WTA 112) s'est hissée en huitièmes de finale à Berlin. La Bâloise de 25 ans a battu l'Américaine Sofia Kenin (WTA 29) en 67 minutes 6-3 6-2.
Sofia Kenin a autrefois occupé la 4e place du classement WTA et a remporté l'Open d'Australie en 2020 avant d'atteindre la finale de Roland-Garros quatre mois plus tard. Depuis, Kenin n'a plus jamais atteint les huitièmes de finale d'un tournoi du Grand Chelem.
Rebeka Masarova a toujours mené la danse, réussissant le break pour mener 5-3 dans le premier set. Elle a ravi l'engagement de l'Américaine à deux reprises durant le deuxième set.
En huitièmes de finale, Masarova affrontera la numéro un mondiale Aryna Sabalenka.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'ONU accuse le M23 de possibles crimes de guerre en RDC
Les parties au conflit dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) ont perpétré des violations des droits humains et du droit international humanitaire (DIH), selon l'ONU. Elle accuse le M23 de possibles crimes de guerre.
"La situation est encore plus grave et alarmante", a affirmé lundi le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk à Genève devant le Conseil des droits de l'homme. Les violences ont fait des milliers de victimes et environ un million de déplacés.
En avril, le Haut-Commissariat avait parlé de plus de 600 victimes d'exécutions sommaires et extrajudiciaires dans le Nord et Sud-Kivu. Selon ses indications préliminaires, la Mission d'établissement des faits pilotée par l'agence onusienne affirme désormais que ces exactions du M23, rebelles soutenus par le Rwanda, pourraient constituer des crimes de guerre.
Le Haut-Commissariat avait relayé en avril une augmentation de plus de 270% des violences sexuelles de janvier à février. Toutes les parties sont en cause, ajoute encore la mission.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Meta introduit la publicité sur WhatsApp
WhatsApp a annoncé lundi l'introduction prochaine de nouveaux espaces publicitaires, un tournant important pour la messagerie qui avait jusqu'ici largement échappé à la publicité.
Contrairement à Facebook, Instagram ou d'autres plateformes du groupe Meta, WhatsApp a conservé un modèle économique quasiment sans annonces depuis son rachat par le géant des réseaux sociaux en 2014.
L'application est notamment plébiscitée pour sa facilité d'utilisation et ses fonctionnalités (appels audio et vidéo, messages vocaux, etc), ses messages chiffrés et son apparente neutralité commerciale.
Jusqu'à présent, les seuls formats publicitaires consistaient en des messages promotionnels envoyés via l'outil WhatsApp Business à des utilisateurs ayant donné leur accord, ainsi que quelques expérimentations sur certains marchés.
L'entreprise précise que les nouveaux espaces publicitaires apparaîtront exclusivement dans l'onglet "Actus", qui regroupe les "Statuts" et les "Chaînes", et est utilisé quotidiennement par environ 1,5 milliard de personnes dans le monde.
Les nouvelles fonctionnalités incluent des abonnements payants à certaines Chaînes, la promotion de Chaînes dans l'annuaire de découverte et des publicités intégrées dans les Statuts, équivalents des Stories d'Instagram.
"Nous parlons depuis des années de notre intention de créer une activité qui n'interrompt pas vos conversations personnelles et nous pensons que l'onglet Actus est le bon endroit pour ces nouveaux outils", a déclaré la filiale de Meta.
Les utilisateurs qui se servent de WhatsApp uniquement pour discuter avec leurs proches ne verront aucun changement, cet onglet pouvant par ailleurs être désactivé dans les paramètres.
"Je veux être très claire: vos messages personnels, vos appels et vos statuts resteront chiffrés de bout en bout. Cela signifie que personne, pas même nous, ne peut les voir ou les écouter. Ils ne seront jamais utilisés pour de la publicité", a souligné Nikila Srinivasan, une vice-présidente de Meta, lors d'un appel à la presse.
L'entreprise s'est engagé à ne jamais vendre ou partager les numéros de téléphone avec des annonceurs, et a assuré que les informations issues des discussions personnelles, des appels ou des groupes ne serviront pas au ciblage publicitaire.
Les publicités diffusées dans l'onglet Actus reposeront uniquement sur des données basiques comme la localisation approximative, la langue du téléphone ou l'activité dans cet espace de la messagerie.
Meta cherche à tirer des revenus de l'énorme base d'utilisateurs de WhatsApp, qui compte plus de deux milliards d'utilisateurs actifs mensuels.
Les analystes du secteur spéculent depuis longtemps sur le fait que le groupe californien finira par ajouter de la publicité sur la messagerie, compte tenu de sa taille et de ses taux d'engagement.
Le calendrier de déploiement des nouvelles fonctionnalités n'a pas été précisé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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