Sport
Tiger Woods souffre de fractures à la cheville et à la jambe
Tiger Woods a subi des "blessures multiples aux jambes" après une sortie de route. Selon le Los Angeles Times, il souffre d'une cheville brisée et de fractures aux jambes, dont une multiple.
Le golfeur était encore "conscient" après l'accident, survenu mardi matin peu après 07h00, et les secours l'ont extrait de son véhicule avec "des blessures graves aux deux jambes", a déclaré lors d'une conférence de presse un responsable des pompiers de Los Angeles, le chef Daryl Osby.
Tiger Woods était "lucide et calme" alors même qu'il était encore prisonnier de son véhicule accidenté, a souligné Carlos Gonzalez, premier policier à être arrivé sur les lieux.
Les secours ont dû utiliser un outil spécialisé et une hache pour extraire de sa voiture Tiger Woods, qui a ensuite été évacué vers un hôpital voisin disposant d'une unité de traumatologie, a précisé le chef Osby.
Dans un communiqué, l'agent de Tiger Woods a indiqué que le sportif "souffrait de blessures multiples aux jambes". "Il est actuellement en salle d'opération", précisait Mark Steinberg à la mi-journée
Aucun autre véhicule ne semble être impliqué dans l'accident, selon les services du shérif du comté de Los Angeles, qui ont ouvert une enquête pour en élucider les circonstances.
Le shérif Alex Villanueva a précisé que ses hommes n'avaient trouvé "aucune preuve" laissant penser que Tiger Woods conduisait sous l'influence de stupéfiants, de médicaments ou d'alcool au moment de l'accident.
Le policier Carlos Gonzalez a estimé que Tiger Woods "a eu beaucoup de chance de s'en sortir vivant", citant notamment "la nature du véhicule" au volant duquel il se trouvait, un SUV de luxe, et "le fait qu'il avait bouclé sa ceinture de sécurité". Le policier a relevé que la portion de route où le golfeur a vraisemblablement perdu le contrôle de sa voiture était propice aux accidents, sinueuse et au pied d'une descente.
Selon les premières constatations des policiers, Tiger Woods a franchi le terre-plein central et effectué plusieurs tonneaux, percutant au passage un arbre, avant de s'immobiliser sur le bas-côté.
Le shérif Villanueva a estimé que Woods circulait "à une vitesse relativement plus élevée que la normale" en descente, précisant qu'aucune trace de freinage n'avait été relevée.
Des images diffusées par les télévisions locales ont montré le SUV couché sur le flanc, le capot semblant très endommagé et les airbags déployés, dans la végétation bordant la route entre les localités de Rolling Hills Estates et Rancho Palos Verdes, au sud de Los Angeles.
Tiger Woods se trouvait dans la mégalopole californienne en raison d'un tournoi qu'il parraine, le Genesis Invitational, qui s'est achevé le week-end dernier.
15 titres en Grand Chelem
Récemment opéré du dos, pour la cinquième fois, il avait confié dimanche ne pas être sûr de jouer le Masters en avril. Le champion a remporté dans sa carrière 82 tournois du circuit américain (PGA), à égalité avec le légendaire Sam Snead (1912-2002).
A son palmarès quasiment sans équivalent figurent 15 titres du Grand Chelem, soit trois de moins que son mentor Jack Nicklaus.
De nombreux golfeurs et sportifs lui ont envoyé des messages d'encouragement, comme l'ancien numéro un Justin Thomas ou la star de la NBA Magic Johnson.
Lui-même féru de golf et propriétaire de nombreux parcours, l'ex-président Donald Trump a également adressé ses voeux de rétablissement à Woods. "Remets-toi vite, Tiger. Tu es un vrai champion", a-t-il tweeté via un conseiller.
"Je n'ai aucun doute à ce sujet, il va revenir", a lancé plus tard le milliardaire lors d'une interview avec la télévision Fox.
Son prédécesseur Barack Obama a lui aussi souhaité un "prompt rétablissement" au champion. "Si nous avons appris quelque chose durant toutes ces années, c'est qu'il ne faut jamais considérer que Tiger est hors jeu", a-t-il écrit sur Twitter.
Tiger Woods (Eldrick Woods pour l'état-civil) avait largement dominé les tournois entre 1996 et 2008, conférant à son sport une notoriété qui dépassait l'audience de ses habituels adeptes.
Après un passage à vide lié à sa vie privée, notamment la révélation de nombreuses liaisons adultères, Woods avait réussi à revenir au sommet avant de s'effondrer de nouveau, victime de graves problèmes de dos.
Il avait alimenté de nouveau la rubrique des faits divers en se faisant arrêter, endormi au volant de sa voiture, sous l'emprise d'un cocktail de médicaments et d'antidépresseurs un soir de mai 2017 en Floride.
Il ne reviendra sur les greens qu'en janvier 2018, après plusieurs tentatives ratées et quatre opérations du dos, dont une arthrodèse, une douloureuse fusion de vertèbres.
En avril 2019, Tiger Woods avait de nouveau renoué avec le succès en remportant le prestigieux Masters d'Augusta à l'issue d'un improbable come-back.
Football
"Il faut l'accepter et repartir de l'avant"
"L'arbitrage n'était pas de notre côté cette semaine. Il faut l'accepter et repartir de l'avant !" Murat Yakin la joue sobre. Le coach national ne veut pas faire un roman de l'arbitrage.
"Ce soir, le premier but de l'Espagne n'est peut-être pas valable. Qui peut dire que le ballon a complètement franchi la ligne ? Ensuite, on nous prive de l'égalisation pour une main, explique le sélectionneur. Je veux bien. Mais il y a aussi une main dans la surface espagnole qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty pour nous offrir une chance de revenir à 2-2..."
Murat Yakin reconnaît toutefois que son équipe aurait dû défendtre d'une manière bien plus intelligente en fin de match. "Surtout à onze contre dix, fulmine-t-il. Nous avons aussi eu de la peine à tenir le rythme qui était le nôtre en première mi-temps durant tout le match. Il y a des joueurs qui ont dû prendre la place des absents et qui n'étaient peut-être pas armés pour jouer avec une telle intensité. L'absence de Xhaka a, par ailleurs, pesé. Avec la qualité de ses passes et sa faculté de trouver les bonnes solutions, il aurait pu nous apporter énormément ce soir. Et il ne faut pas oublier que Dan Ndoye était également absent. On a vu tout ce qu'il a pu apporter lors du dernier Euro."
"Je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas été en mesure d’enchaîner après la pause, se désole également le capitaine d’un soir Manuel Akanji. Nous aurions dû exploiter notre supériorité numérique, notamment sur les côtés. En première période, nous avions su trouver Breel (Embolo). Ruben (Vargas) a fait mal dans les un-contre-un et Zeki (Amdouni) a su jouer entre les lignes."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le Portugal bat l'Ecosse grâce à Ronaldo
Le Portugal a beaucoup souffert pour s'imposer face à l'Ecosse (2-1) pour le compte de la deuxième journée de la Ligue des nations.
La Seleçao a fait la différence grâce à un but décisif de Cristiano Ronaldo, sur le banc en début de match dimanche à Lisbonne.
Les Ecossais ont ouvert le score sur une tête de Scott McTominay (7e, 1-0). Bruno Fernandes, qui fêtait dimanche son 30e anniversaire, a rétabli l'égalité d'une frappe lointaine du gauche (54e, 1-1). Entré à la mi-temps, Ronaldo a délivré les siens peu avant le coup de sifflet final, en marquant à bout portant sur un service de Nuno Mendes (88e, 2-1).
Après avoir battu la Croatie (2-1) jeudi, également à Lisbonne, le Portugal est donc en tête du classement de sa poule, où la Croatie a battu la Pologne (1-0) dans l'autre match du soir.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Trop naïve, la Suisse s'incline 4-1 face à l'Espagne
Valeureuse mais bien trop naïve en défense, la Suisse n'a pas signé l'exploit face à l'Espagne. Elle a été battue 4-1 à Genève par la Roja malgré une supériorité numérique de plus de 70 minutes.
Trois jours après avoir perdu 2-0 au Danemark, cette défaite place la Suisse en fâcheuse posture dans cette Ligue des nations. Elle devra impérativement faire un résultat le mois prochain en Serbie pour repousser la menace d'une relégation directe en Ligue B. Battre deux fois les Serbes et une fois le Danemark serait, par ailleurs, souhaitable pour assurer son rang de tête de série lors du tirage au sort le 13 décembre à Zurich du tour préliminaire de la Coupe du monde 2026.
Sans Granit Xhaka dont l'absence a été cruellement ressentie lors d'une seconde période bien trop monocorde, la Suisse a laissé passer sa chance dans une première mi-temps riche en rebondissements. Elle a, malheureusement, été incapable de poursuivre avec le même élan au retour des vestiaires pour concéder au final sa défaite la plus lourde depuis le 6-1 du funeste huitième de finale de la Coupe du monde 2022 face au Portugal.
Une première mi-temps déroutante
Trois buts, une réussite annulée par la VAR pour une faute de main de Remo Freuler à l'aube d'une action splendide de Breel Embolo conclue par l'appelé de la dernière heure Becir Omeragic et, enfin, une main de Lamine Yamal qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty: la première mi-temps fut déroutante, mais elle fut un régal pour tous les amateurs de football malgré la pluie et la qualité de la pelouse.
Menée 2-0 après seulement 13 minutes de jeu sur des réussites qui ont souligné les limites actuelles des deux joueurs de Bologne Remo Freuler et Michel Aebischer, la Suisse a eu l'immense mérite de ne pas lâcher prise face sans doute à la meilleure équipe au monde du moment.
Le grand tournant de cette rencontre fut l'expulsion de Robin Le Normand, coupable d'une faute de dernier recours à la 21e minute sur Embolo qui avait pris la profondeur sur une ouverture du capitaine Manuel Akanji. Sur le coup franc sifflé après la faute du défenseur de l'Atletico Madrid, Zeki Amdouni trouvait la transversale de David Raya comme pour sonner la révolte. Titularisé à la place de Fabian Rieder, le Genevois était plus heureux à la 41e minute pour réduire la marque. Sur un corner de Ruben Vargas, il surgissait au second poteau après une déviation involontaire de Dani Carvajal.
L'arbitrage à nouveau en question
L'ouverture du score de Joselu à la 4e minute avait planté le décor de cette mi-temps pas vraiment comme les autres. La tête de l'ancien attaquant du Real Madrid avait-elle été vraiment détournée derrière la ligne par Gregor Kobel comme l'a indiqué le juge de ligne ? En l'absence de la "goal line technology" et d'une image qui aurait pu lever le doute, l'arbitre ne pouvait que suivre son assistant. Déjà lésée par l'arbitrage à Copenhague, la Suisse peut se croire maudite dans cette Ligue des nations.
La seconde période fut une véritable attaque/défense avec une Roja désormais incapable de sortir de ses 30 mètres. Avec les remplacements de Lamine Yamal et de Nico Williams, les Champions d'Europe basculaient vraiment en mode combat avec comme unique ambition de conserver ce 2-1. Murat Yakin attendait l'heure de jeu pour redonner un second souffle à son équipe avec les introductions de Fabian Rieder et de Vincent Sierro. "Epargné" par le coaching du sélectionneur, Gregory Wüthrich héritait de la première chance dans cette mi-temps cadenassée avec une tête qu'il ne pouvait cadrer.
La tentative du joueur du Sturm Graz fut malheureusement la seule action à porter au crédit des Suisses après le repos. Cette seconde période tournait à la confusion avec les réussites de Ferran Torres (77e) et de Fabian Ruiz (80e) inscrites sur deux ruptures face à une défense suisse aux abonnés absents. A onze contre dix, on n'a pas vraiment le droit de se faire piéger de la sorte.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Trois changements dans l'équipe de Suisse
Murat Yakin a apporté trois changements pour affronter l’Espagne ce soir par rapport à l’équipe battue 2-0 au Danemark. La titularisation de Zeki Admouni est le choix fort arrêté par le sélectionneur.
Le nouveau joueur de Benfica sera aligné en attaque aux côtés de Breel Embolo et de Ruben Vargas. Les deux autres entrants sont Gregoiry Wüthrich et Denis Zakaria. Le Bernois et le Genevois remplacent Nico Elvedi et Granit Xhaka, qui ont tous les deux vu rouge jeudi à Copenhague.
Introduit à quatre reprises à l’Euro, Zeki Amdouni prend la place de Fabian Rieder. Dans sa ville le Genevois bénéficie ce soir d’une occasion en or pour reprendre la main en sélection.
Enfin, Embolo honorera sa 70e sélection ce soir, Vargas sa 50e.
La Suisse évoluera dans la composition suivante ce soir contre l’Espagne : Kobel ; Wüthrich, Akanji, Rodriguez ; Widmer, Freuler, Zakaria, Aebischer : Amdouni, Embolo, Vargas.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
SuisseIl y a 3 jours
Les permis bleus ne seront plus valables dès novembre
-
Bons Plans LFMIl y a 3 jours
La Night Run soutient cette année Make-A-Wish Switzerland
-
HockeyIl y a 3 jours
Pour préparer la saison, Geoff Ward a revu tous les matchs de playoffs
-
SuisseIl y a 2 jours
La cagnotte de 139,7 millions est tombée à l’Euro Millions
-
SuisseIl y a 22 heures
Incendie dans un dépôt de ferraille au Mont-sur-Lausanne
-
SuisseIl y a 3 jours
Swiss étend son réseau depuis Genève cet hiver
-
SuisseIl y a 3 jours
Fausse alerte à la bombe à Sierre, jeune auteur interpellé
-
InternationalIl y a 2 jours
Crash au Brésil: l'équipage a rapporté un problème de dégivrage