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Suisse

2022 a été une bonne année pour plus de la moitié des Suisses

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Plus de la moitié des Suisses est satisfaite de l'année 2022 (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/DPA/A2942/_INGO WAGNER)

Plus de la moitié des Suisses disent être satisfaits de l'année passée, selon un sondage de l'institut de recherche Link diffusé mardi. 59% des personnes interrogées jugent l'année écoulée plutôt bonne ou très bonne.

En revanche, pour 15% des sondés, elle a été mauvaise ou très mauvaise. Les 26% restants affirment que 2022 n'a été ni mauvais ni bon.

L'institut Link a interrogé en janvier 1238 personnes de toute la Suisse en tenant compte de l'âge, du sexe et de la région. Alors que 80% des Suisses s'étaient déclarés heureux en janvier 2022, ils étaient 83% un an plus tard.

En Allemagne, où 2046 personnes âgées de 18 ans et plus ont été interrogées, seuls 31% des sondés ont indiqué qu'ils jugeaient l'année 2022 plutôt bonne ou très bonne, note Link. Les Allemands n'étaient en outre que 65% à se dire heureux en 2023, contre 61% en 2022.

Une autre différence, au niveau de l'argent, ressort également entre la Suisse et l'Allemagne. 39% des Suisses ont déclaré en janvier 2022 ne pas connaître de soucis à cause de l'argent, contre 41% en 2023. Outre-Rhin, la proportion atteignait 25% en 2022 et 21% en 2023.

Le sentiment de satisfaction au travail a augmenté en Suisse entre 2022 et 2023, passant de 75% à 82%, précise Link. Même constat en ce qui concerne l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, qui croît également de sept points entre 2022 et 2023, à 76%.

La charge de travail augmente

87% des personnes interrogées étaient satisfaites de leur domaine d'activité (90% en 2022), 86% (89% en 2022) de leurs collègues et 84% (88% en 2022) du contenu de leur travail. En ce qui concerne les supérieurs hiérarchiques (76% en 2023) et les possibilités d'évolution (64% en 2023), le taux de satisfaction a baissé de 6 points de pourcentage. Un quart des personnes interrogées ne sont pas satisfaites de ces dernières.

La moitié des sondés considérait la charge de travail comme élevée (plus 5%). Environ un tiers se plaignait, comme en 2022, de ne pas avoir assez de temps pour une bonne qualité.

Un peu moins de consommation d'alcool

La consommation de différentes substances telles que le tabac et l'alcool n'a pas beaucoup changé "selon l'évaluation subjective". Seule la consommation (très) fréquente d'alcool est significativement plus faible en moyenne (moins 5 points de pourcentage).

En janvier 2022, les hommes (34%) étaient significativement plus nombreux que les femmes (20%) à déclarer une telle consommation. La même situation se présente en janvier 2023 (hommes : 30%, femmes : 15%).

Doute de soi et peur de l'échec

Le doute de soi et la peur de l'échec sont actuellement (très) fréquents chez plus d'un quart de la population, ajoute l'étude. Celle-ci n'observe que de faibles différences par rapport à 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

L'ASF va aller au bout de son contrat avec Credit Suisse

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Credit Suisse toujours sur les maillots de l'équipe de Suisse (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le logo du "Credit Suisse" continuera à figurer sur les vestes d'entraînement et les maillots des joueurs de l'équipe nationale. Cela restera ainsi pour le moment, a déclaré l'ASF.

Du moins tant que la marque "Credit Suisse" existera encore, a avancé lundi le chef de la communication Adrian Arnold avant l'entraînement public de l'équipe nationale à Bâle.

Cette déclaration montre qu'il y a encore beaucoup de questions ouvertes concernant cette collaboration. Depuis 1993, le Credit Suisse est le sponsor principal de l'ASF et soutient non seulement l'équipe A, mais aussi toutes les équipes nationales de la relève avec des contributions considérables. Le contrat actuel court jusqu'au 30 juin 2024. "Nous avons eu de bonnes discussions avec nos contacts au CS, qui nous ont assuré que les contrats existants seraient honorés", a expliqué Arnold.

La suite des événements reste ouverte. "Nous souhaiterions que le partenariat se poursuive par la suite, sous quelque forme que ce soit", a fait savoir l'ASF. Des signaux positifs ont été émis quant à la poursuite de la collaboration. Mais tout est encore trop frais pour se fendre de déclarations fermes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

CS: manifestation à Zurich contre une forme d'"arnaque"

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Credit Suisse a distribué des milliards en bonus et en dividendes, critiquent les manifestants. (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Après la reprise de Credit Suisse par UBS, plusieurs centaines de personnes ont manifesté lundi soir sur la Paradeplatz à Zurich. Les Jeunes socialistes et d'autres organisations et partis avaient appelé à protester contre une forme d'"arnaque".

Il est scandaleux que la grande banque se soit enrichie pendant des années et que la collectivité doive maintenant payer. L'établissement a distribué des milliards en bonus et en dividendes, relèvent les organisateurs dans l'appel à manifester. Les responsables doivent rendre des comptes.

"Profits privés, pertes pour l'Etat", pouvait-on lire sur une banderole. Durant la manifestation, des slogans comme "brisons le pouvoir des banques et des multinationales!" ont été scandés.

La lutte contre la crise climatique, une prévoyance vieillesse sûre ou l'aide aux personnes en quête de protection sont soi-disant trop chères, mais pas le sauvetage des banques, ont souligné plusieurs orateurs. Ils ont appelé à la "décence" et à la "responsabilité". "Si le monde était une banque, vous l'auriez sauvé depuis longtemps", proclamait une banderole.

Outre les Jeunes socialistes, le mouvement de la grève du climat, les Jeunes Verts, le PS zurichois, les Verts zurichois, la Liste Alternative, le collectif de la grève féministe de Zurich et Unia ont également participé à cette manifestation, qui était autorisée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Appel à témoignages en Valais pour la semaine contre le racisme

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Chaque année dans le monde, des actions de sensibilisation sont organisées la semaine du 21 mars, date de la Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale, proclamée par l'ONU en 1966. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Semaine valaisanne d'actions contre le racisme 2023 a été lancée lundi à Sion. Le point fort est une campagne de recensement de témoignages, par le Bureau d'écoute contre le racisme de la Croix-Rouge Valais.

"Cette campagne a pour objectif d'aller au-delà des cas recensés officiellement, afin de réaliser un état des lieux de l'expérience du racisme", lit-on dans un communiqué du Canton du Valais. "Le racisme prend différentes formes", ajoute le texte.

Les victimes ou témoins sont invités à faire part de leur expérience jusqu'au mois de septembre. Un formulaire en ligne permet de témoigner anonymement. Un rapport détaillé des témoignages récoltés sera présenté lors de l'édition 2024.

De nombreuses activités ont par ailleurs lieu dans tout le canton durant cette semaine d'actions, jusqu'au 26 mars. Elle est organisée conjointement par le Service de la population et des migrations, les délégués à l'intégration des communes et des régions ainsi que la Croix-Rouge Valais.

Chaque année en Suisse et dans le monde, des actions de sensibilisation sont organisées la semaine du 21 mars, date de la Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale, proclamée par l'ONU en 1966, rappelle le communiqué. Cette date rappelle ce jour de 1960 où, à Sharpeville (Afrique du Sud), la police a ouvert le feu et tué 69 personnes lors d'une manifestation pacifique contre l'apartheid.

www.croix-rouge-valais.ch/boite-racisme

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Rachat de Credit Suisse: 9500 à 12'000 postes sont menacés (BAK)

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Des milliers d'emplois pourraient disparaître à Zurich. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le rachat de Credit Suisse par UBS ne causera pas de graves dommages à l'économie suisse, estime lundi l'institut de recherches et conseils économiques BAK Economics. Néanmoins, jusqu'à 12'000 emplois pourraient disparaître.

Les deux banques comptent actuellement au total 37'000 emplois (équivalents plein temps/ETP) en Suisse. A moyen terme, le démantèlement du réseau de succursales et d'autres mesures de rationalisation consécutifs au rachat "entraîneront probablement la perte de 9500 à 12'000 ETP", ont calculé les experts.

Zurich sera le canton le plus touché: le potentiel de suppressions d'emplois est évalué entre 6500 et 8000 ETP. Soit 0,9% de l'ensemble des emplois cantonaux.

Malgré cela, il ne faut pas craindre une augmentation soudaine du taux de chômage, relève l'institut. Le processus de rationalisation d'UBS prendra plusieurs années. De plus, une partie des personnes concernées devrait être facilement employable sur le marché du travail, qui se caractérise par une pénurie de travailleurs qualifiés.

Selon BAK Economics, les effets négatifs de l'opération resteront largement limités au secteur bancaire. Le deal "réduit le risque d'une crise bancaire générale et permet de maintenir les services financiers sans restriction pour les clients de Credit Suisse".

BAK Economics maintient ses prévisions de croissance du PIB réel suisse pour 2023 à 0,7% et à 1,6% pour 2024.

Les sorties de fonds de la part de clients à l'étranger devraient désormais cesser, prévoit encore l'institut. En revanche, la perte de valeur ajoutée subie par la place financière suisse "risque d'être permanente". S'y ajoutent les incertitudes quant à l'éventuel impact sur le développement des activités internationales de gestion de fortune des banques suisses.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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