Suisse
Déduire plus de primes maladie des impôts
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Les déductions des primes maladie du revenu imposable pourraient doubler. Par 30 voix contre 13, le Conseil des Etats a transmis mercredi au Conseil fédéral une motion en ce sens. Il a en revanche refusé une déduction échelonnée en fonction du revenu.
Aujourd'hui, au niveau fédéral, les époux en ménage commun peuvent déduire jusqu'à 3500 francs et les autres contribuables jusqu'à 1700 francs. Avec la motion déposée par Jean-Pierre Grin (UDC/VD), la déduction pour une personne seule passerait à 3000 francs, celle pour couple marié serait de 6100 francs et celle pour enfant et personne à charge de 1200 francs, a expliqué Isidor Baumann (PDC/UR) au nom de la commission.
"Il est nécessaire d'agir", estime ce dernier. Les primes d'assurance-maladie ne cessent d'augmenter et mènent à une perte réelle de salaire. Une augmentation des déductions paraît justifiée.
Peu d'effet
Pour Roberto Zanetti (PS/SO), une hausse des déductions profitera surtout aux hauts revenus. Pour les couples mariés avec des enfants, une telle déduction n'aura que peu d'effet.
Un avis que partage le ministre des finances Ueli Maurer. Cela coûtera 500 millions de francs à la Confédération. "L'argent ne pousse pas sur les arbres", a-t-il lancé. Il faudra compenser cette perte par des augmentations d'impôts ailleurs ou par des coupes dans les budgets des collectivités publiques. Au final, les contribuables en feront les frais.
Entièrement déductible?
Pas question en revanche de déduire entièrement les primes si le revenu imposable est de 150'000 francs ou inférieur. Les sénateurs ont tacitement enterré une motion de Fabio Regazzi (PDC/TI). Le système aurait été dégressif. A partir de 301'000 francs, seuls 10% du total des primes versées auraient été déductibles.
Le Conseil des Etats a estimé que l’échelonnement des déductions était problématique et qu’il compliquerait le système fiscal. Le National avait accepté le texte en mai 2017 par 120 voix contre 53.
(KEYSTONE-ATS)
Sport
La relation entraîneur-athlètes au coeur de la corruption sexuelle
Une étude démontre l'omniprésence de la "sextortion", soit la corruption sexuelle entre entraîneur et athlète. La pratique est avérée dans la plupart des sports et des pays, quel que soit le niveau de professionnalisme.
Du fait de la relation de pouvoir hiérarchique entre le coach et ses athlètes, des cas de corruption sexuelle peuvent émerger, selon une étude publiée par Crime, Law and Social Change citée dans 24H et La TdG que Keystone-ATS a pu consulter.
Dans cette étude menée auprès de 478 sportifs issus de 49 pays, 96 personnes sondées ont vécu des évènements où des athlètes ont été amenés à accepter de tels actes contre des privilèges ou opportunités perçues.
Les autrices Whitney Bragnolo et Yanei Lezama soulignent que la très grande majorité des sports évalués sont touchés, comme les nationalités et le niveau de pratique. Près de 45% des sondés indiquent "très ou catégoriquement probable" que des personnes en position d'autorité exploiteraient leur position afin d'obtenir des faveurs sexuelles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Embroussaillement des alpages malgré les paiements directs
L’embroussaillement des alpages entraîne la perte de surfaces herbagères et la disparition de paysages culturels typiques. Or, malgré des paiements directs plus élevés, les buissons continuent de progresser, selon une étude d’Agroscope.
L'embroussaillement contribue en outre au recul de la biodiversité, a indiqué mardi le Centre fédéral de compétences pour la recherche agricole (Agroscope) dans un communiqué. En Suisse, l'embroussaillement est principalement dû à l'aulne vert.
Pour lutter contre ce phénomène, il existe diverses incitations sous forme de paiements directs pour l'économie alpestre. En 2014, la Confédération a augmenté l'un d'entre eux ou en a introduit deux nouveaux. Les contributions d'estivage ont ainsi été revues à la hausse.
Dans cette étude, Agroscope a examiné pour la première fois les effets des subventions sur les prairies et l'embroussaillement à l'aide de données provenant d'exploitations alpestres du canton des Grisons.
Les résultats montrent que l’augmentation des paiements directs a entraîné, en moyenne, une perte de 2% des surfaces herbagères par exploitation en raison de l’embroussaillement. Cela correspond à une perte moyenne de 4,7 ha d’herbages par exploitation en 10 ans.
Les paiements directs peuvent donc avoir des effets non souhaités, selon les auteurs. En revanche, leur influence sur la richesse en espèces, la diversité des éléments structurels ou le revenu n’a pas été étudiée dans le cadre de cette recherche.
Explications possibles
Plusieurs hypothèses pourraient expliquer le phénomène. La répartition spatiale des animaux de rente a changé: afin de protéger les espèces sensibles dans les surfaces de promotion de la biodiversité, ces dernières ont parfois été exclues de la pâture, ce qui a eu pour conséquence indirecte d’accélérer l’embroussaillement.
Les animaux de rente jouant un rôle prépondérant dans la lutte contre l’embroussaillement, exclure des surfaces de la pâture peut ainsi avoir des conséquences fâcheuses, note Agroscope.
Les paiements directs ont parfois entraîné une diminution du broyage sur les surfaces de promotion de la biodiversité nouvellement mises en place. Le broyage est considéré comme la méthode la plus efficace et la moins coûteuse pour lutter contre l’embroussaillement.
Cette combinaison d’incitations inopportunes pourrait avoir favorisé de manière significative l’évolution observée. Des recherches supplémentaires sont toutefois nécessaires pour mieux comprendre ces mécanismes, conclut Agroscope. L'étude est parue dans le Journal of Agricultural Economics.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les Suisses sont globalement satisfaits de leur vie
Les Suisses, romands et alémaniques, sont globalement satisfaits de leur vie. C'est ce qui ressort d'un sondage du comparateur en ligne Moneyland. La politique et la situation financière privée ont récolté par contre de moins bonnes notes.
Interrogés sur leur satisfaction générale dans la vie, les participants à l'enquête ont indiqué en moyenne 7,3 points sur un maximum de 10, écrit Moneyland dans un communiqué publié mardi. Par rapport à la dernière enquête menée il y a deux ans, cette valeur est restée inchangée.
Les personnes âgées de 50 à 74 ans se sont montrées les plus satisfaites, avec une moyenne de 7,5 points, soit un peu plus que les personnes plus jeunes (7,1). Selon Moneyland, les différences sont encore moins marquées sous l'angle du sexe et de la région linguistique.
La plus grande satisfaction des Suissesses et des Suisses réside dans la famille, selon le sondage. Les personnes interrogées en Suisse romande se disent particulièrement heureuses de leurs enfants et de leurs parents.
Insatisfaction sur la politique
Avec 5,5 points, les politiciens suisses ont obtenu le score le plus bas des différents facteurs examinés. Le Conseil fédéral suit juste derrière avec une note de seulement 5,6 sur 10.
L'insatisfaction s'est surtout manifestée chez les personnes issues de régions rurales, selon Moneyland. Les personnes vivant dans des communes de moins de 2000 habitants ont donné en moyenne 4,9 points dans cette catégorie.
Les finances sont également mentionnées en bas de l'échelle. La situation financière privée (5,7 points) et le salaire (5,9 points) notamment n'ont pas obtenu de bons résultats. Les hommes sont globalement plus satisfaits de leurs finances personnelles que les femmes.
Selon Moneyland, 1500 personnes de Suisse alémanique et romande ont participé à l'enquête, réalisée par l'institut de sondages Ipsos au printemps 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Finma: le chef de la division bancaire, Thomas Hirschi, part
L'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers fait savoir que Thomas Hirschi, chef de la division Banques, a décidé de quitter le gendarme des marchés financiers au 31 août 2025. De par ses fonctions, il a participé à la gestion de la chute de CS.
"Le conseil d'administration et la direction de la Finma remercient Thomas Hirschi pour sa précieuse contribution pendant toutes les années qu'il a passées au service de" l'Autorité, selon le communiqué paru mardi, qui ajoute qu'"il a aussi été fortement impliqué dans la gestion et le traitement de la crise de Credit Suisse", avalée par sa concurrente UBS en mars 2023.
En tant que membre de la direction, Thomas Hirschi a dirigé la division dédiée à la gestion d'actifs à partir de 2020 avant de prendre la responsabilité de la division Banques en février 2022. Il a déjà occupé diverses fonctions dirigeantes au sein de la Finma et de l'autorité qui l'avait précédée de 2004 à 2015. Il a aussi été suppléant par intérim de la directrice par intérim d'octobre 2023 au 31 mars 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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