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Suisse

Kudelski s'attend à une rentabilité moindre que prévu pour 2022

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Kudelski a prévenu que son résultat d'exploitation sera inférieur aux attentes pour l'exercice 2022, en raison de ventes plus faibles qu'attendu dans l'activité de télévision numérique à la fin du quatrième trimestre. (archives) (© KEYSTONE/ADRIEN PERRITAZ)

Kudelski a prévenu que son résultat d'exploitation brut (Ebitda) sera inférieur aux attentes pour l'exercice 2022, en raison de ventes plus faibles qu'attendu dans l'activité de télévision numérique à la fin du quatrième trimestre.

Cet indicateur de rentabilité "sera inférieur aux 55 à 75 millions de dollars précédemment annoncés", a fait savoir mardi le spécialiste du cryptage et des accès sécurisés basé à Cheseaux-sur-Lausanne et à Phoenix (Arizona). Il souligne toutefois, qu'à taux de change constants, le chiffre d'affaires annuel du groupe a été légèrement supérieur à celui de l'année précédente, grâce à la dynamique positive des ventes de ses trois autres segments d'activité.

Dans le détail, le chiffre d'affaires de la division Accès public a retrouvé une forte croissance, de l'ordre de 10% à taux de change constants. "Toutefois, en raison de charges d'exploitation plus élevées afin d'assurer la livraison de son carnet de commandes grandissant, la profitabilité à taux de change constant n'a que légèrement progressé comparé à l'année précédente".

Le segment Cybersécurité a enregistré une réduction de sa perte Ebitda par rapport à 2021. Le segment IoT (Internet des objets) a réalisé "un bon exercice 2022", doublant son chiffre d'affaires par rapport à 2021 et réduisant ses pertes d'exploitation.

Kudelski assure que les résultats de ces deux derniers segments, qui ont généré plus de 20% du chiffre d'affaires total l'an dernier, "viennent confirmer la pertinence de la stratégie d'investissement du groupe en vue d'assurer sa croissance future". Il "confirme son plan à long terme visant à faire évoluer ses segments d'activité, sachant que trois segments sur quatre ont "démontré leur dynamique de croissance" en 2022.

Cet avertissement se base sur des résultats préliminaires, qui sont encore susceptibles d'évoluer. La présentation de la copie détaillée est agendée au 23 février.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Lausanne: un espace de "crossfit" dans l'ancien Mövenpick

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Le futur espace dédié au "crossfit" sera voisin de l'édicule de la Riponne et sa terrasse de 125 m2 (archives). (© KEYSTONE/MAXIME SCHMID)

Les anciens locaux du restaurant Mövenpick sur la place de la Riponne accueilleront un espace dédié au "crossfit" dès février de l'an prochain. Quelque 120 cours hebdomadaires y seront dispensés, avec une offre particulière pour les enfants, les adolescents et adolescentes et les personnes du troisième âge.

Le nouvel espace, baptisé "CrossFit Lausanne", sera situé dans les niveaux inférieurs du bâtiment Riponne 10, a fait savoir la Ville de Lausanne lundi dans un communiqué. Il se déploiera sur "deux étages et quelque 760 m2".

Des travaux seront réalisés, comme l’ouverture d’une dalle sur une surface de 30m2 pour obtenir une hauteur se prêtant à des exercices tels que cordes et anneaux. Des vestiaires, des sanitaires et des douches devront être installés, tout comme une salle polyvalente destinée au yoga, à des exercices cardio ou encore à l'organisation de séminaires.

"La Municipalité se réjouit d’accueillir à Riponne 10 une nouvelle activité qui contribue à enrichir la diversité du lieu, de façon conviviale et active", a déclaré la conseillère municipale Natacha Litzistorf, citée dans le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Le Valais veut améliorer le soutien à ses remontées mécaniques

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Le remboursement n'est prévu que pour les sociétés de remontées mécaniques octroyant un dividende à leurs actionnaires, les autres sociétés en étant exemptées (archives / image symbolique). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Le canton du Valais veut assouplir les règles en vigueur dans le cadre de la loi sur l'encouragement des remontées mécaniques afin d'attirer les investissements privés. La modification concerne le versement de dividendes. Seul le groupe socialiste a refusé d'entrer en matière sur le projet présenté lundi au Grand Conseil.

Depuis 2019, le Valais dispose d'une loi qui permet notamment à l'Etat d'octroyer des subventions d'un montant maximal de 4 millions de francs par projet. Une manne prévue pour la réalisation d'infrastructures exceptionnelles d'importance régionale ou cantonale qui permettraient notamment une liaison plaine-montagne ou la liaison de domaines skiables.

En contrepartie, si une société reçoit cette aide, et qu'elle décide de verser des dividendes à ses actionnaires, alors celle-ci doit rétrocéder un pourcentage équivalent de l’aide reçue au canton. Et ce durant dix ans. Cette disposition avait pour vocation à empêcher les sociétés percevant une subvention de distribuer parallèlement des dividendes élevés, rappelle le canton.

Disposition "confiscatoire"

Seulement cette disposition pèse sur les investissements, estimait un postulat en 2021, qui revient aujourd'hui sous la forme d'un projet du Conseil d'Etat. En discussion cette semaine, celui-ci veut réduire cette durée d'obligation de remboursement à trois ans. De son côté, la commission thématique propose de l'abaisser à cinq ans.

L'entier de la droite s'est dit en faveur de l'une ou l'autre modification. "Les investissements dans les remontées mécaniques sont coûteux et les bailleurs de fonds rares. Il faut donner un signal politique visant à faciliter la recherche d'investisseurs et stimuler l'actionnariat en main locale", ont estimé plusieurs députés du Centre en plénum. Cette disposition est "confiscatoire et dissuasive" pour les privés, a abondé l'UDC.

Pour le chef du département de l'économie et de la formation Christophe Darbellay, il faut éviter de donner d'une main et reprendre de l'autre. "Le compromis à cinq ans est quelque chose de minimaliste. C'est bien si vous choisissez cette option, mais le Conseil d'Etat aurait souhaité être de ceux qui donnent un signal clair et positif aux remontées mécaniques", a-t-il lancé en plénum.

"L'argent du contribuable"

Le groupe socialiste a lui refusé d'entrer en matière. "Actuellement, peu de remontées mécaniques versent des dividendes. L'exception qui frappe c'est Zermatt", a détaillé Doris Schmidhalter-Näfen. "Ce changement dans la loi sur les remontées mécaniques est une lex Zermatt", a-t-elle ajouté. Le présent projet propose en effet une prise en compte rétroactive et Zermatt fait partie des sociétés ayant reçu une aide.

La socialiste dit "se réjouir d'avoir en Valais une destination qui fonctionne aussi bien, mais Zermatt sur le plan touristique se trouve sur une autre planète. Elle n'a pas besoin d'aide ni pour les finances, ni pour se vendre. Rappelons-nous qu'il s'agit de l'argent du contribuable", a-t-elle souligné.

A noter que ce remboursement n'est prévu que pour les sociétés octroyant un dividende à leurs actionnaires, les autres sociétés en étant exemptées.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le manque de durabilité des smartphones pèse sur l'environnement

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Près d'un habitant sur deux en Suisse laisse son ancien smartphone dormir dans un tiroir. (archives) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

En Suisse, près d'un habitant sur deux garde à domicile ses anciens smartphones, tablettes ou ordinateurs portables, constate l'Office fédéral de la statistique (OFS). Dans le secteur numérique, la durabilité n'en est donc qu'à ses débuts.

Selon les estimations, entre deux tiers et 80% de l'empreinte carbone du numérique provient des appareils des consommateurs, écrit lundi l'OFS dans un rapport sur l'équipement TIC (technologies de l’information et de la communication) et la durabilité. En Suisse, 8,2% de la consommation électrique est attribuée au domaine "médias de divertissement, information et communication".

Lors de l'achat et de l'élimination de smartphones, tablettes et ordinateurs portables, il conviendrait d'accorder davantage d'attention à la durabilité. La majeure partie de l'empreinte carbone est générée lors de la fabrication des appareils, et non lors de la période d'utilisation. Dans le cas des smartphones, la fabrication est responsable d'au moins 80% de l'empreinte carbone totale.

Le bilan des smartphones est aussi spécialement défavorable parce qu'ils sont utilisés pendant une période particulièrement courte: en Suisse, elle est estimée à deux ou trois ans.

Prolonger l'utilisation

Pour minimiser l'impact environnemental du numérique, il serait important de prolonger la durée d'utilisation effective des appareils via des réparations, des reventes ou des réhabilitations. En outre, le recyclage des matières premières qu'ils contiennent devrait être encouragé.

Or, selon l'OFS, 48% des internautes laissent dormir leur ancien smartphone dans un tiroir. Cette proportion n'est que légèrement inférieure pour les ordinateurs portables ou les tablettes (44%).

Le comportement est différent avec les ordinateurs fixes inutilisés: un quart des personnes les gardent à domicile, tandis que 45% les éliminent dans le cadre de la collecte de déchets électroniques. Les smartphones ne sont recyclés ou éliminés comme déchets électroniques que par un cinquième des personnes, les ordinateurs portables et les tablettes par 25%.

En comparaison internationale, la Suisse apparaît globalement comme "bonne élève". Mais l'enquête montre que la prise de conscience de la durabilité dans le domaine numérique reste encore très minoritaire dans la population, constate l'OFS.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Des comptes bien meilleurs que prévu pour Montreux

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Les comptes 2023 de la Ville de Montreux surpassent largement les prévisions budgétaires (image d'illustration). (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

A Montreux (VD), les comptes de l'exercice 2023 se soldent par un bénéfice de 2,1 millions, surpassant de manière significative les prévisions budgétaires, à savoir un déficit de 6,6 millions. Cette performance est largement attribuable à des recettes extraordinaires découlant de l'exercice précédent.

Outre la rigueur dans la gestion des coûts exercée par la Municipalité, ce bon résultat s’explique par une restitution en 2023 des acomptes versés en 2022 pour la contribution communale à la cohésion sociale, explique la Ville de Montreux lundi dans un communiqué.

A cela s’ajoute une restitution des acomptes 2022 versés aux transports publics VMCV. Ils ont finalement terminé leur exercice sur un déficit moindre que prévu, ce qui a permis le versement de l’excédent aux communes concernées.

Pour la troisième année consécutive, la marge d’autofinancement de près de 9,9 millions permet le financement des investissements. Cette situation réjouissante permet de réduire l’écart entre la marge d’autofinancement moyenne et les investissements nets moyens.

Parmi les recettes récurrentes, l’impôt sur le revenu et la fortune est en dessous des prévisions de près de 4 millions. Cet écart s’explique par des prévisions budgétaires réalisées sur la base des chiffres 2021 comprenant des recettes extraordinaires de 4 millions.

La croissance des recettes de la taxe de séjour communale reflète, quant à elle, l’évolution positive de l’économie touristique.

La Municipalité affiche une "satisfaction mesurée", consciente que cette situation est imputable à des évènements antérieurs à l’année 2023. Sans cela, le résultat aurait été proche de l’équilibre, souligne-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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