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Suisse

Novartis visé par une enquête de la Comco

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Le mastodonte pharmaceutique rhénan est soupçonné d'avoir entravé la concurrence de manière indue dans le domaine de la dermatologie en sollicitant la justice sur des questions de brevets. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le géant pharmaceutique Novartis est visé par la Commission de la concurrence (Comco), qui a ouvert lundi une enquête et mené une perquisition au siège du groupe à Bâle. Le laboratoire est soupçonné d'avoir utilisé un de ses brevets pour se protéger de ses rivaux.

En lançant des actions en justice basées sur le brevet susmentionné, Novartis aurait cherché à protéger un médicament destiné au traitement de maladies cutanées et entravé ses concurrents. La procédure doit déterminer si ces agissements relèvent de l'abus de position dominante illicite au sens de la loi sur les cartels, indique jeudi la Comco.

Dans un bref communiqué de presse, la multinationale bâloise confirme être visée par une enquête du gendarme de la concurrence. Cette procédure n'implique à ce stade aucun "acte repréhensible" ou "impact financier", souligne Novartis, qui assure coopérer avec le régulateur et se dit confiant au sujet de la "légitimité de sa position".

Dans le cadre de cette procédure, le gendarme de la concurrence a coopéré avec la Commission européenne, avec qui il travaille depuis 2014, date de la signature d'un accord bilatéral entre la Suisse et l'Union européenne (UE) en la matière.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Berset plaide en faveur de l'ordre juridique international

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Alain Berset a ouvert le Swiss Economic Forum par un plaidoyer en faveur de l'ordre juridique international (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

L'homme moderne est informé de tout, mais il est de plus en plus désorienté. Dans ce contexte, un petit pays doit miser sur l'ordre juridique international, a souligné jeudi Alain Berset en ouvrant le Swiss Economic Forum à Interlaken (BE).

Le monde s'est énormément accéléré depuis les années 1990, a relevé le président de la Confédération. A cette époque, la situation actuelle - avec la guerre en Ukraine, la montée en puissance d'Etats autoritaires et l'érosion de l'ordre d'après-guerre - aurait été considéré comme une dystopie, a-t-il ajouté.

C'est un énorme défi, en particulier pour la Suisse, qui a été "gâtée" par sa stabilité. Au niveau mondial, la situation est claire: l'ordre juridique international doit prévaloir.

Sur le plan intérieur, l'insécurité doit être l'occasion de se concentrer sur l'essentiel. Depuis la crise financière de 2008, l'économie et la société se sont éloignées. Les mondes politique et économique doivent à nouveau prendre conscience de leurs rôles respectifs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Percevoir l'aide sociale ne devrait plus être un motif d'expulsion des étrangers

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Quelque 745'000 personnes, soit 8,7% de la population, sont touchées par la pauvreté en Suisse, selon les derniers chiffres de l'Office fédéral des statistiques. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La perception de l'aide sociale ne doit plus être un motif d'expulsion pour les étrangers. Une alliance a déposé jeudi la pétition "la pauvreté n'est pas un crime", qui demande au Conseil des Etats d'accepter l'initiative éponyme.

La pétition, munie de 16'914 signatures, a été remise jeudi aux Chambres fédérales, a indiqué l'alliance "la pauvreté n'est pas un crime" dans un communiqué. Elle est composée du parti socialiste, d'Unia et de plus de 80 organisations.

L'initiative parlementaire "la pauvreté n'est pas un crime", déposée par la conseillère nationale socialiste Samira Marti (BL), demande qu'après dix ans de séjour en Suisse, la perception de l'aide sociale ne puisse pas être un motif d'expulsion pour les étrangers de Suisse.

Alors que le Conseil national a accepté l'initiative, le Conseil des Etats doit en débattre lundi prochain. Sa commission des institutions politiques avait refusé l'initiative par 7 voix contre 6.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Un suricate est né au Bioparc Genève, une première dans le canton

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Un bébé suricate est né le 5 mai dernier au Bioparc Genève. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Bioparc Genève a accueilli le 5 mai dernier la naissance d'un suricate. Après avoir passé les trois premières semaines de sa vie à l'abri dans le terrier, ce petit mammifère originaire d'Afrique passe désormais de plus en plus de temps à l'extérieur.

Le Bioparc Genève se réjouit de cette première naissance dans le canton. Le papa du petit suricate avait été recueilli par le Bioparc en mai 2022. Ce mâle adulte appelé Billy était auparavant détenu illégalement dans un appartement au Tessin. Le propriétaire avait traité l'animal comme un chat.

Billy s'est bien acclimaté à sa nouvelle vie au Bioparc Genève, notamment grâce à la présence de deux congénères, une femelle et un mâle, arrivés en même temps que lui, a précisé jeudi le Bioparc. Une année plus tard, la femelle a donné naissance à un petit suricate. La durée de gestation est d'environ 70 jours.

La femelle et Billy forment un couple dominant, mais le deuxième mâle participe aussi à l'élevage et à la survie du petit, précisent les spécialistes du Bioparc. L'équipe pense que le bébé suricate serait une femelle, mais il n'y a aucune certitude à ce stade.

Le Bioparc Genève a pour mission d'oeuvrer pour la biodiversité, à travers la conservation d'animaux, la biodiversité, la recherche, la sensibilisation à l'environnement et la zoothérapie. Le centre accueille plus de 250 animaux d'environ 85 espèces différentes. Situé à Bellevue, le Bioparc qui est actuellement à l'étroit, va déménager sur le site de Belle-Idée à Thônex.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La réforme peut aller de l'avant en dépit de grosses critiques

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La révision de la loi sur les douanes franchit une première étape non sans difficultés (photo d'illustration). (© KEYSTONE/TI-PRESS/MASSIMO PICCOLI)

La réforme des douanes peut aller de l'avant. Par 100 voix contre 78, le National a accepté jeudi de poursuivre les travaux. Mais de vives critiques ont fusé pour dénoncer un projet mammouth inabouti.

Le PS, le PLR, l'UDC et le Conseil fédéral ont plaidé pour poursuivre les travaux plutôt que de renvoyer le projet, comme le recommandait la commission préparatoire. La réorganisation est un vaste projet qui comprend notamment la numérisation des douanes (projet DaziT), le profil professionnel des douaniers et leur formation, ainsi que le traitement des données personnelles sensibles et la migration.

Il a été décrié à plusieurs reprises, tant par des commissions parlementaires que par une partie du personnel des douanes. "C'est un projet complexe qui touche beaucoup de cercles et qui a donné lieu à moult rapports et co-rapports et à une cascade de propositions d'amendements. Un examen sérieux par le Parlement n'est pas possible en l'état", a indiqué Sophie Gigon-Michaud (Vert-e-s/VD) pour la commission.

Le projet touche à 57 lois différentes, a précisé le rapporteur de langue allemande Markus Ritter (Centre/SG). Il pose de multiples problèmes juridiques et des questions de fond qui doivent être approfondis. Mais pour la majorité, le projet, bien que touffu, ne doit pas prendre davantage de retard.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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