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Suisse Romande

Amiante: plus de contrôles inopinés dans les décharges valaisannes

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Les députés valaisans veulent davantage de contrôles inopinés dans la gestion des déchets contenant de l'amiante (photo d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BRUN)

Le Grand Conseil valaisan a accepté jeudi un postulat en lien avec le stockage des déchets contenant de l'amiante sur le territoire cantonal. Les députés préconisent une hausse des contrôles non-annoncés dans les décharges situées à Charrat, Riddes et Grône. Dans cette dernière, des dysfonctionnements ont été repérés.

L'Ordonnance fédérale sur la limitation et l'élimination des déchets mentionne l'obligation de séparer les déchets spéciaux des autres types de détritus. Ce texte stipule également que "l'exploitant de la décharge est tenu de prendre toutes les mesures pour limiter le risque d'émission de fibres d'amiante lors du déchargement. La hauteur de chute doit être réduite à son minimum, afin que les emballages ne se rompent pas." En ce sens, il est préconisé d'utiliser un camion-grue ou un élévateur pour déposer les sacs dans les fosses.

Selon les députés Melissa Cavallo (PS et Gauche citoyenne) et Marcel Bayard (Le Centre du Valais romand), ces exigences ne seraient pas respectées au centre de recyclage et de stockage des Paujes (CRSP) à Grône, "où ces sacs sont jetés dans les mêmes fosses que les déchets non-contaminés et éventrés dans leurs chutes, laissant s'échapper des poussières nocives".

Le Parlement s'est rallié aux postulants en demandant une augmentation des contrôles non-annoncés dans les trois décharges de type B, afin d'assurer un traitement adéquat de ces déchets amiantés.

Par ailleurs, les députés ont accepté une motion du Centre du Haut-Valais demandant que le nom de la décharge utilisée à l’occasion d'un chantier soit clairement indiqué dans les appels d'offres public effectués par le Canton et les communes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Des bureaux facilement réversibles en logements: la justice dit non

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La justice genevoise annule une loi qui obligeait les promoteurs de prévoir une future modification de bureaux en logements dans les plans de construction (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La justice genevoise a annulé une loi qui visait à transformer aisément les bureaux en logement. Votée en août 2024 par le Grand Conseil, ce texte, qui émanait de la gauche, a été considéré comme disproportionné par la Chambre constitutionnelle de la Cour de justice.

Révélé vendredi par Le Temps, cet arrêt daté du 26 juin souligne aussi que les effets de la nouvelle loi étaient contraires à la garantie de la propriété et à la liberté économique. La loi litigieuse est annulée dans son intégralité.

Ce texte prévoyait que les espaces destinés à l’utilisation de bureaux dans toute nouvelle construction devaient pouvoir être transformés en habitations sans que des travaux majeurs soient nécessaires. Les plans devaient montrer qu’une transformation ultérieure en habitation était possible.

Pour la gauche, soutenue par le MCG et LJS, cette mesure visait à favoriser la construction d'appartements dans un contexte de pénurie logement. La Chambre genevoise immobilière (CGI) a fait recours aux côtés de deux autres recourants. Tous contestaient les coûts importants engendrés par ces nouvelles exigences en termes de réversibilité de construction.

Selon la Chambre constitutionnelle, "ce n'est pas la possibilité de transformation en soi, voulue par le législateur, qui est remise en cause, mais l'obligation de la prévoir dans tous les cas sans étude spécifique". A noter qu'un des juges a émis une opinion séparée. Il estime que la justice aurait pu énoncer des cautèles pour rendre la loi conforme au principe de proportionnalité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Lancement d'une pétition pour "sauver" le projet du nouveau Bioparc

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Le Bioparc de Genève, qui accueille notamment des suricates photographiés en juin 2023, est à l'étroit à Bellevue. Le nouveau projet, qui devrait voir le jour à Belle-Idée à Thônex, soulève quelques réticences de la part du canton (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, une pétition a été lancée vendredi afin de "sauver" le projet du nouveau Bioparc prévu sur le site de Belle-Idée à Thônex. L'Association des Amis du Bioparc craint que le canton ne remette en question la nouvelle infrastructure en exigeant des modifications par rapport au projet initial.

L'association rappelle vendredi dans un communiqué que le projet qui comprend un "biodôme" fait l'objet de démarches administratives depuis 2022. "Il nous est demandé de remettre l’ouvrage sur le métier et revoir le tout à la baisse", relève-t-elle.

Mais ce biodôme ainsi que tout le parc ont été conçus avec des architectes appuyés par des spécialistes du bien-être animalier et en concertation avec tous les partenaires du Bioparc, ajoute l'association. Le projet du nouveau Bioparc doit aussi générer des revenus essentiels à l’accomplissement de ses missions.

Le Bioparc, actuellement à l'étroit à Bellevue, prend soin aussi bien d'espèces locales qu'exotiques. Plus de 600 animaux issus de saisies ou d'abandons sont hébergés dans ce parc qui a accueilli 70'000 visiteurs en 2024.

Les pétitionnaires demandent ainsi aux autorités cantonales d’accorder l’autorisation de construire au projet initial. Cette démarche fait suite à un courrier reçu en juin par le Bioparc concernant une demande préalable d'autorisation de construire. Le canton estimait que le projet était hors cadre et ostentatoire.

Terrain public

Dans un entretien publié fin juin dans la Tribune de Genève, le conseiller d'Etat en charge du dossier, Antonio Hodgers, expliquait que "le projet initial visait un centre de soins pour animaux, avec quelques visiteurs. Là, on a l’impression que les animaux servent de prétexte à un centre de loisirs lucratif, sur terrain public". Mais il se défend de vouloir couler le projet.

Le Bioparc a décidé de mettre le projet sur pause jusqu'au départ d'Antonio Hodgers. Le conseiller d'Etat démissionnaire termine son mandat le 31 octobre. Les signatures seront remises après cette date.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Décès d'un motocycliste sur la bretelle autoroutière de Perly (GE)

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Un accident mortel de la circulation s'est produit vendredi matin vers 5h00 sur la bretelle autoroutière de Perly (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Un motocycliste né en 1998 est décédé vendredi après avoir perdu le contrôle de son engin sur la voie de raccordement de Perly menant à l'autoroute A1 en direction de Lausanne. L'accident s'est produit peu après 5h00. Il s'agit du quatrième décès sur les routes genevoises depuis le début de l'année.

L'homme a perdu la maîtrise de son deux-roues et est venu heurter à plusieurs reprises la glissière de sécurité, côté gauche, indique vendredi la police genevoise dans un communiqué. Le motocycliste a ensuite chuté. Malgré l'intervention des secours, il est décédé sur place.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La Ville de Genève exhorte le Conseil fédéral à agir pour Gaza

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La Ville de Genève demande à la Suisse d'entamer le processus de reconnaissance de l'Etat de Palestine (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La Ville de Genève demande au Conseil fédéral d'adopter des mesures fortes pour faire cesser les atrocités commises à Gaza. La Municipalité veut que la Suisse fasse pression sur Israël afin de faire respecter le droit international humanitaire et qu'elle entame le processus de reconnaissance de l'Etat de Palestine.

"Les mots ne suffisent plus", indique vendredi le Conseil administratif de la Ville de Genève dans un communiqué. L'exécutif rappelle notamment "la mort de plus d’un millier de civils lors de distributions alimentaires depuis le mois de mai, les décès insoutenables d’enfants affamés" et les bombardements incessants sur Gaza City et sur des camps de personnes déplacées.

"Il s’agit d’un nettoyage ethnique en cours, sous les yeux du monde: personne ne pourra dire qu’il ne savait pas", souligne le Conseil administratif. Il insiste sur "la responsabilité historique et morale" de la Suisse, gardienne des Conventions de Genève.

La Ville de Genève demande notamment que le Conseil fédéral impose un embargo sur tous les produits provenant des colonies et sur l'importation et l'exportation d'armement. Elle demande aussi à la Suisse de se positionner comme médiatrice, afin de travailler à une sortie de crise durable.

En mai dernier, la Ville de Genève avait, conjointement avec Lausanne, lancé un appel au Conseil fédéral afin qu'il se positionne clairement face au conflit en cours à Gaza. Cette déclaration avait été reprise par de nombreuses communes et grandes villes en Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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