Genève
Des boîtes noires dans les nouveaux véhicules dès 2022 en Suisse
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Des boîtes noires seront obligatoires pour les nouveaux types de voitures particulières et de camionnettes dès juillet prochain en Suisse, après l'entrée en vigueur d'un règlement de l'ONU. Cette approche sera élargie en juillet 2024 à tous ces nouveaux véhicules.
Le nouveau règlement, entré en vigueur fin septembre, doit permettre une avancée importante dans les données sur les accidents de la route, a précisé jeudi à Genève la Commission économique de l'ONU pour l'Europe (CEE-ONU). De quoi améliorer les systèmes de sécurité des véhicules et la sécurité routière.
Grâce au nouveau dispositif, les enquêteurs pourront reconstituer un accident à partir de 5 secondes avant celui-ci jusqu'à l'immobilisation du véhicule. Approuvé en mars dernier lors d'une réunion internationale, le règlement sera appliqué dès juillet dans l'UE pour les nouveaux types de voitures particulières et de camionnettes.
Trois ans plus tard, l'obligation portera sur toutes les nouvelles voitures et camionnettes. Or, la Suisse s'aligne sur les dispositifs européens sur ces questions, a aussi précisé à Keystone-ATS un porte-parole de la CEE-ONU.
En janvier 2026, les boîtes noires seront obligatoires dans les nouveaux types d'utilitaires lourds, les camions et les bus. Avant un élargissement en 2029 à tous ces véhicules neufs.
Personne pas identifiée
Le nouveau règlement exige que le véhicule stocke des données sur l'activation et les performances de nombreux systèmes de sécurité active et passive du véhicule. De même que des indications sur la vitesse, l'activation de l'accélérateur et des freins et l'état des ceintures de sécurité du conducteur et du passager avant.
Le dispositif doit également enregistrer l'activité des systèmes de sécurité active comme les commandes de direction, ainsi que l'activation des éléments de sécurité passive comme les airbags. Le mouvement du véhicule, son accélération et sa décélération seront aussi analysés.
Selon le règlement, les données enregistrées ne doivent pas être liées au numéro d'identification du véhicule ou au numéro de châssis. Les données seront anonymes, sans possibilité de savoir qui est le propriétaire ou l'utilisateur d'un véhicule.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Le personnel de la RTS en première ligne contre l'initiative SSR
Le personnel de la RTS appelle à rejeter l'initiative "200 francs, ça suffit!", qui sera soumise en votation le 8 mars prochain. Dans une prise de position publique, des employés ont défendu jeudi leur mission de service public, mise à mal par ce texte.
Un manifeste contre cette initiative de l'UDC a été diffusé dans la foulée. "Ce manifeste du personnel n'est pas une plainte, mais un appel", a souligné Alexandre Madrigali, président du syndicat des médias SSM Genève. Il dénonce une nouvelle salve contre la SSR.
Quatre employés de la RTS - journalistes, réalisateurs et techniciens - ont fustigé l'initiative, qui selon eux met en péril la mission même de service public. Ils témoignaient anonymement en raison des restrictions imposées par la direction de la RTS pendant la campagne, ont-ils précisé.
L'initiative SSR vise à abaisser la redevance à 200 francs par année, et à exonérer toutes les entreprises. "Si elle passe, c'est la fin de la RTS", a insisté Valérie Perrin, secrétaire régionale du SSM.
Complément d'ici 15h00
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
La Ville de Genève autorise la musique sur les terrasses à Noël
De la musique d'ambiance pourra exceptionnellement être diffusée sur les terrasses du centre-ville de Genève pendant la période de l'Avant. La Ville de Genève a donné son feu vert à ce type d'animation pour les trois samedis qui précèdent Noël.
Cette décision répond à la demande de la Société des cafetiers, restaurateurs et hôteliers de Genève et du Groupement professionnel des restaurateurs et hôteliers, tout en étant soutenue par l'association Genève commerce, a indiqué jeudi le département de la sécurité et des sports. Elle fait suite à une pétition acceptée au printemps par le Conseil municipal.
La mesure vise à dynamiser le centre-ville et à créer une ambiance conviviale et chaleureuse, estiment les associations professionnelles. Le département précise avoir tenu compte de l'expérience positive menée par la Ville de Lausanne en décembre dernier.
Les exploitants qui veulent pouvoir diffuser de la musique sur leur terrasse entre 10h00 et 20h00 pendant les jours autorisés doivent annoncer les dates concernées d'ici au 28 novembre. Le volume sera limité à 75 dB(A) au maximum. La Ville de Genève prévoit, elle aussi, de tirer un bilan de cette expérience.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Martin Pfister pris à partie à l'Université de Genève
Le conseiller fédéral Martin Pfister a été pris à partie mercredi soir à l'Université de Genève par des manifestants pro-palestiniens. Invité à s'exprimer sur les accords bilatéraux III, il n'a pu reprendre la parole qu'après 25 minutes d'interruption.
Le ministre de la Défense a été hué et sifflé dès qu'il est apparu sur l'estrade pour prendre la parole, à 18h45. En cause: sa décision de maintenir l'achat de drones israéliens. "Pas de collabos dans nos unis", "Israël terroriste, Pfister complice" ou encore "Free Palestine", ont scandé une cinquantaine de personnes dans l'auditoire de 600 places, tout en frappant dans les mains.
M. Pfister a quitté la salle après cinq minutes, tandis que la conseillère d'Etat genevoise Nathalie Fontanet, en charge des Finances, a tenté de discuter avec un groupe de manifestants. A 18h57, des policiers en tenue anti-émeute sont apparus, imposant le silence par leur seule présence. Escortés par des policiers en civil, les manifestants sont peu à peu sortis dans le calme.
Avant la conférence organisée par l'UNIGE et le Comité CH-UE, une quarantaine de personnes s'étaient réunies devant le bâtiment d'UniDufour pour dénoncer "la complicité de la Suisse avec le génocide" à Gaza. D'abord empêchées de rejoindre l'auditoire, elles ont finalement été autorisées entrer. D'autres manifestants, keffieh autour du cou, étaient déjà assis dans la salle.
"Notre ligne est de laisser les gens s'exprimer et poser des questions. La règle est l'écoute, par opposition à l'interruption totale d'un événement", a expliqué le porte-parole de l'alma mater Marco Cattaneo, interrogé par Keystone-ATS. Alors que le conseiller fédéral revenait sur l'estrade sous les applaudissements du public, les manifestants se faisaient entendre à l'extérieur du bâtiment.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
L'Université de Genève s'intéresse à la défense de l'Etat de droit
La défense de l'Etat de droit sera au coeur de la Semaine des droits humains de l'Université de Genève (UNIGE) dès lundi. Théâtre participatif, faux procès, colloques et tables rondes offriront un espace de réflexion et de dialogue autour des fondements juridiques et politiques de l'Etat de droit.
L'événement s'ouvrira avec les lauréats du Prix Nobel de la paix 2022. Une représentante de l'ONG biélorusse Viasla témoignera de l'importance de défendre l'Etat de droit "et les sacrifices que cela peut impliquer", en compagnie de la directrice du Centre pour les libertés civiles en Ukraine et du président du conseil d'administration du Centre des droits humains, indique l'UNIGE.
Pierre Haski, président de Reporters sans frontières, présentera son documentaire "L'Amérique en guerre", sur l'histoire militaire de ce pays, suivi d'une table ronde. Plus actuel, le combat des femmes baloutches au Pakistan contre les disparitions forcées sera ensuite abordé.
Théâtre et grand procès
Des conférences sur la désinformation politique, une table ronde sur les violences policières sont aussi au programme. L'Etat de droit devra littéralement se défendre devant un tribunal, lors de son "Grand procès" organisé en partenariat avec la Société de rhétorique genevoise.
Pour donner corps à la thématique, un spectacle de théâtre participatif a été créé spécifiquement pour cette semaine par la troupe Specta(c)tor. "Scènes d'arbitraire ordinaire" permettra au public de réaliser "combien de nombreuses situations pratiques, quotidiennes, engagent le thème de l'Etat de droit".
La semaine se clôturera par une rencontre dédiée à la catastrophe en cours au Soudan, avec des représentants de l'ONG soudanaise Emergency Response Room. Cette "organisation horizontale d'entraide communautaire" constituée dans le pays face à la crise de l'Etat est "un des endroits où l'on s'autorise à penser à un Soudan post-guerre civile", précise l'UNIGE.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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