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Le Stick'Air en rupture de stock dans de nombreux points de vente

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Touché par un pic de pollution, le canton de Genève applique pour la première fois la circulation différenciée, une mesure qui oblige les véhicules les plus polluants à rester au garage. (CREDIT: KEYSTONE/MT)

Touché par un pic de pollution, le canton de Genève a appliqué jeudi pour la première fois la circulation différenciée. Selon la police, seuls 10% des véhicules contrôlés étaient équipés du macaron Stick'Air désormais obligatoire.

Cinq motards et huit agents ont procédé à des contrôles jeudi, a indiqué Alexandre Brahier, porte-parole des forces de l'ordre. Les policiers ont rappellé aux automobilistes les règles à respecter, mais aucune amende n'a été infligée aux contrevenants. Cette phase de tolérance dédiée à la sensibilisation se terminera fin mars.

Le nouveau dispositif de circulation différenciée vise à empêcher les véhicules les plus polluants de rouler en cas de pic de pollution. Seuls les véhicules motorisés arborant un macaron Stick'Air 0 (véhicules électriques),1, 2, 3 et 4 sont autorisés à circuler au centre de Genève entre 06h00 et 22h00.

Cet autocollant permet d'identifier les performances des voitures en termes de pollution d'air. Il peut être acquis dans les garages, les stations-service, à la Fondation des parkings et à l'office cantonal des véhicules. Mais de nombreux points de vente sont déjà en rupture de stock, selon la police.

Le premier niveau d'activation touche peu d'usagers, mais la pollution émise est fortement diminuée, relève le Département du territoire (DT) dans un communiqué. En effet, avec 11% de véhicules en moins, le niveau de particules fines provenant du trafic baisse de 37%, précise le DT. La mesure devait à nouveau être appliquée vendredi, selon le Service de l'air (SABRA).

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Une sous-commission devra faire la lumière sur l'affaire Fischer

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La députée socialiste Jennifer Conti présidera la sous-commission chargée d'enquêter sur l'utilisation des ressources publiques lors des campagnes électorales (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, la commission de contrôle de gestion du Grand Conseil a institué une sous-commission pour faire la lumière sur l'utilisation potentielle de fonctionnaires par l'ex-conseillère d'Etat Fabienne Fischer dans le cadre de sa campagne électorale. Trois députés vont investiguer.

La socialiste Jennifer Conti présidera la sous-commission composée du député MCG Thierry Cerutti et de l'UDC Yves Nidegger, indique lundi la commission de contrôle de gestion dans un communiqué. La sous-commission se penchera sur les faits relayés par la presse concernant le département de l'économie et de l'emploi, qui était alors dirigé par Mme Fischer.

L'ex-magistrate écologiste, qui briguait un nouveau mandat, est soupçonnée d'avoir réquisitionné des fonctionnaires, sur leur temps de travail, pour sa campagne électorale du printemps dernier. Une procédure est aussi en cours auprès du Ministère public genevois. Si les faits sont avérés, la sous-commission étendra ses investigations à d'autres départements.

La commission de contrôle de gestion a également institué lundi une autre sous-commission qui se penchera sur le dispositif de protection des mineurs et de soutien à la parentalité. Cette décision a été prise suite aux nombreuses pétitions déposées au Grand Conseil concernant des parents en souffrance. Cette sous-commission est composée de Francisco Taboada (LJS), d'Alexis Barbey (PLR) et de Pierre Eckert (Vert-e-s).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le sentiment d'insécurité de la population genevoise diminue

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La conseillère d'Etat genevoise Carol-Anne Kast veut renforcer la collaboration entre la police cantonale et les communes pour améliorer la sécurité dans l'espace public en particulier. (© KEYSTONE/MAGALI GIRARDIN)

Le sentiment d'insécurité de la population genevoise continue à baisser, révèle le dernier diagnostic local de sécurité (DLS) publié lundi. Cette cartographie fine de la sécurité dans le canton est réalisée par un expert indépendant tous les trois ans depuis 2004.

"Cette 7e édition du DLS révèle des résultats plus qu'encourageants avec une nette amélioration du sentiment de sécurité", indique lundi la Département des institutions et du numérique (DIN). En 2023, 28,9% des résidents s'estiment en insécurité quand ils se promènent seuls dans les rues de leur quartier après 22h00, contre 32,8% en 2020.

Le pic avait été atteint en 2013: 49,9% des résidents se disaient alors en insécurité. Ce DLS, réalisé en collaboration avec la Ville de Genève, Meyrin, Carouge, Plan-les-Ouates et Lancy se base sur les réponses d'un sondage mené auprès de près de 5000 personnes, de données policières sur la criminalité et de l'analyse des interventions sur appel au 117.

La petite et la moyenne criminalité poursuit également sa baisse enregistrée depuis une décennie. En 2010, le taux d'incidence de ce type de criminalité était de 60 événements pour 1000 habitants. En 2022, ce taux tombe à 24 cas pour 1000 habitants, soit le plus bas enregistré depuis 2007. Le recul touche davantage les délits contre le patrimoine (-54,4%) que les délits contre les personnes (-29,1%).

Espace public

Le sondage mesure également le niveau du harcèlement de rue depuis 2020. Il y a trois ans, 23,7% des personnes interrogées déclaraient avoir fait l'objet de harcèlement de rue durant les cinq dernières années. En 2023, ce taux est en léger recul (22,7%). Mais le problème de la sécurité sur l'espace public, en particulier pour les jeunes femmes, reste l'un des points noirs de ce DLS.

"Ce qui rend les gens insécurisés, c'est de sortir dans l'espace public, comme dans une jungle", a relevé devant la presse la nouvelle cheffe du Département des institutions et du numérique Carole-Anne Kast. La magistrate socialiste a insisté sur l'importance de poursuivre la collaboration entre les polices municipales et la police cantonale.

Trottinettes problématiques

La 7e édition du DLS met aussi en évidence les craintes de la population par rapport aux trottinettes et aux vélos qui roulent dangereusement sur les trottoirs. Le sentiment d'insécurité à cause de ce type de comportement est particulièrement marqué chez les femmes âgées de plus de 64 ans. La police qui effectue régulièrement des contrôles va les renforcer et des campagnes de prévention sont prévues.

Interrogé sur le sentiment d'insécurité de la population par rapport aux consommateurs de crack, l'expert Dominique Wisler a précisé que l'échantillon du sondage n'était pas assez représentatif pour en tirer des conclusions. Cet élément pourrait toutefois ressortir dans le prochain DLS qui sera publié en 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un scootériste meurt après une collision avec une voiture

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Un accident mortel de la circulation s'est produit dimanche soir à Genève dans le quartier de l'hôpital (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Un scootériste est décédé dimanche en fin de soirée à la suite d'une collision avec une voiture qui arrivait en sens inverse sur l'avenue de la Roseraie à Genève. Suite au choc, le conducteur du deux-roues a été projeté sur plusieurs mètres.

Le scootériste venait du pont de la Fontenette quand il s'est engagé sur l'avenue de la Roseraie, indique lundi la police cantonale dans un communiqué. Selon les premières constatations, le conducteur du deux-roues se serait déporté sur la gauche dans une courbe avant le choc. Il s'agit du septième décès sur les routes du canton en 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Loi abrogée à Genève: Exit Suisse romande lance un référendum

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A Genève, l'association Exit Suisse romande a lancé le référendum contre une modification de la loi sur la santé qui remet en cause, selon elle, l'aide au suicide dans les EMS (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, Exit lance un référendum contre l'abrogation de deux dispositions de la loi sur la santé qui garantissent l'assistance au suicide sous certaines conditions dans les EMS et les hôpitaux. L'association craint de ne plus avoir accès à certains établissements.

Exit Suisse romande a jusqu'au 18 octobre pour réunir les 5479 signatures nécessaires, a-t-elle indiqué lundi. Les modifications législatives auxquelles s'oppose Exit Suisse romande ont été adoptées par la majorité de droite du Grand Conseil au début septembre. L'association dénonce une décision prise "dans la précipitation" et "en catimini".

Les députés ont voté l'abrogation d'une disposition qui instaurait une commission de surveillance en matière d'assistance au suicide ainsi que celle d'une disposition qui empêchait les institutions de refuser une assistance au suicide si certaines conditions étaient réunies. Ces articles de la loi sur la santé avaient été adoptés en 2018.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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