Genève
Loi abrogée à Genève: Exit Suisse romande lance un référendum

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A Genève, Exit lance un référendum contre l'abrogation de deux dispositions de la loi sur la santé qui garantissent l'assistance au suicide sous certaines conditions dans les EMS et les hôpitaux. L'association craint de ne plus avoir accès à certains établissements.
Exit Suisse romande a jusqu'au 18 octobre pour réunir les 5479 signatures nécessaires, a-t-elle indiqué lundi. Les modifications législatives auxquelles s'oppose Exit Suisse romande ont été adoptées par la majorité de droite du Grand Conseil au début septembre. L'association dénonce une décision prise "dans la précipitation" et "en catimini".
Les députés ont voté l'abrogation d'une disposition qui instaurait une commission de surveillance en matière d'assistance au suicide ainsi que celle d'une disposition qui empêchait les institutions de refuser une assistance au suicide si certaines conditions étaient réunies. Ces articles de la loi sur la santé avaient été adoptés en 2018.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Mityukov vit "une saison particulière"
Comme il en a pris l'habitude, Roman Mityukov ne se fixe pas d'objectif précis avant les Mondiaux en grand bassin de Singapour (27 juillet-3 août).
"C'est une saison particulière après des JO", lors desquels le Genevois s'était paré de bronze sur 200 m dos l'été dernier.
"Je ne sais pas vraiment où j'en suis par rapport à la concurrence internationale. Cela fait quasiment un an que je ne me suis pas mesuré à elle", souligne Mityukov, qui n'avait pas trop eu l'occasion de le faire lors des Mondiaux 2024 en petit bassin avec trois courses disputées seulement à Budapest en décembre.
"Je ne sais toujours pas ce que je faisais là-bas", rigole le Genevois, joint au téléphone par Keystone-ATS vendredi dernier. Aligné sur trois disciplines en Hongrie (100 et 200 dos, 100 libre), il avait été éliminé à chaque fois dès les séries. "Je voulais rentrer le plus vite possible pour m'entraîner", souligne-t-il.
"J'emmagasine de l'énergie"
"Je n'étais pas affûté, ça arrivait trop tôt pour moi dans la saison. J'ai coupé longtemps après les Jeux de Paris. Or, j'ai l'habitude de monter en puissance", rappelle Mityukov, qui n'a en outre pas l'habitude de nager en bassin de 25 mètres. "Ca s'est transformé en mini-camp d'entraînement", glisse-t-il.
Depuis, il a eu tout loisir de préparer son seul "vrai" grand rendez-vous de la saison, les Championnats du monde en bassin de 50 m. "Je me réjouis d'y être", lâche le Genevois (25 ans le 30 juillet), dont le voyage en Asie était prévu ce mercredi.
"Je me sens très bien, tant physiquement que mentalement. Je relâche peu à peu le kilométrage", souligne-t-il. Les entraînements les plus durs sont derrière lui. "Je me détends, j'emmagasine de l'énergie", explique Mityukov, qui devrait ne nager plus que 3 kilomètres quotidiennement lors des jours précédant son entrée en lice.
Si la mécanique est bien huilée, il faut en revanche toujours faire preuve de souplesse dans la planification. "L'affûtage dépend de mes sensations. Clément (Bailly, son coach) sait mieux que moi si j'ai besoin de nager plus ou moins", précise-t-il.
"Pas trop se relâcher"
"Mais il en faut pas trop se relâcher, car il faudra tenir", rappelle Mityukov, qui s'alignera sur les trois distances du dos (50, 100 et 200 m) et éventuellement en relais. Sa première course individuelle est prévue le lundi 28 juillet, avec les séries du 100 m dos. Celles du 200 m, sa distance fétiche, sont prévues le 31.
Présent sur le podium du 200 m dos lors des trois dernières compétitions intercontinentales en grand bassin (bronze en 2023 et argent en 2024 aux Mondiaux, bronze olympique en 2024), le Genevois peut-il viser autre chose qu'un podium à Singapour? "C'est vraiment dur de donner un objectif précis", coupe-t-il.
"Je suis confiant, je serai compétitif", rassure Roman Mityukov, 8e performeur 2025 sur 200 m dos avec les 1'55''64 réalisés lors des championnats de Suisse de Sursee début avril. "Mais il faudra à coup sûr se battre, d'abord pour passer en demi-finale, puis pour aller en finale", souffle-t-il.
"Je devrai simplement faire ma course, sans me mettre de pression", lâche le 21e nageur le plus rapide de l'histoire dans la discipline. "J'avais fait cette erreur aux Européens de 2022, où je voulais absolument l'or", mais où il avait dû digérer trois 4es places (100 et 200 m dos, 4x200 m libre). On ne l'y reprendra plus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Girelli envoie l'Italie en demi-finales
Le premier quart de finale de l'Euro féminin a souri à l'Italie. A Genève, les Transalpines ont dominé la Norvège 2-1 grâce à un doublé de Cristiana Girelli.
Grâce à l'attaquante de la Juventus, les "Azzurre" mettent fin à une disette de 28 ans en rejoignant cette fois le dernier carré.
Ce sont d'ailleurs les Italiennes qui ont été les premières à mettre le feu aux poudres dans cette rencontre. A la 50e, Girelli a pu habilement dévier un centre de Cantore pour ouvrir le score.
Les Norvégiennes ont eu l'opportunité de revenir à la marque dix minutes plus tard sur penalty, mais la star Ada Hegerberg a tiré à côté, ratant son deuxième penalty de la compétition après celui contre la Suisse en ouverture de cette compétition.
Seulement l'attaquante de Lyon, qui a fêté ses 30 ans il y a six jours, n'a pas été la première Ballon d'Or féminine par hasard. A la 66e, Hegerberg a pu égaliser en étant la plus prompte à toucher le ballon dans la surface de réparation transalpine.
Et alors que l'on imaginait des prolongations, un nouveau centre parfait de Cantore à la 90e a trouvé la tête de Girelli pour faire exploser le stade de la Praille et toute l'Italie avec.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Fermeture de la plage de la Plaine, à Dardagny (GE)
La baignade à la plage de la Plaine, à Dardagny (GE), est interdite jusqu'à nouvel avis. Les autorités de surveillance de la qualité sanitaire des eaux ont découvert à cet endroit une concentration de cyanobactéries trop élevée.
Des cyanobactéries de type Woronichinia sp. excèdent le seuil de 20'000 cellules par millilitre recommandé par l'OMS pour les eaux de baignade, relèvent les départements du territoire et de la santé et des mobilités dans un communiqué conjoint diffusé mercredi.
Les cyanobactéries peuvent produire des toxines potentiellement dangereuses pour la santé humaine et animale. Lorsqu'on les avale ou que l'on entre en contact direct avec elles ou qu'on les respire, ces bactéries peuvent irriter la peau, provoquer des troubles digestifs, causer des maux de tête et des vertiges.
Les fortes chaleurs ont favorisé la multiplication des bactéries à la plage de la Plaine. Le fait que l'étang de baignade soit peu profond et que l'eau y stagne peut aussi expliquer le phénomène. Un suivi hebdomadaire de la qualité de l'eau est mis en place à cet endroit par l'office cantonal des eaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Genève: au fil du Rhône sur le D'Artagnan, barge poubelle des SIG
Depuis près de six décennies, les barges poubelles des SIG transportent au fil du Rhône des milliers de tonnes de déchets ménagers du centre-ville de Genève jusqu'à l'usine des Cheneviers. Une équipe de Keystone-ATS a fait le trajet sur un long fleuve pas toujours tranquille.
A la bucolique pointe de la Jonction, vers 8h30, quelques rares coureurs et un ballet de camions poubelles. Les poids lourds déversent tour à tour les ordures ménagères de la ville de Genève et des communes de la rive gauche dans une barge abritée sous un couvert.
Sous des brumisateurs qui luttent contre les nuages de poussière, les tas de déchets sont égalisés, aplatis. Puis la benne d'une soixantaine de mètres de long, baptisée "D'Artagnan", est fermée par des stores mécaniques pour éviter les odeurs, la dispersion des ordures et d'attirer les gourmands rapaces qui tournoient non loin.
Sur 12 km
"Aujourd'hui, nous avons 165 tonnes, ce qui n'est pas loin du maximum", explique Philippe Riesen, responsable de la réception des marchandises et chef de l'équipe. La barge n'étant pas motorisée, un bateau pousseur, le "Tréville", la tire avec douceur hors du quai de chargement, avant de repousser une benne vide dans le chenal.
Très techniques, les manoeuvres sur le Rhône se déroulent "pile poil à la Jonction, là où le Rhône mange l'Arve", commente le chef d'équipe. Elles permettent de placer D'Artagnan devant le Tréville qui poussera la benne sur douze kilomètres.
Aux manettes de l'imposant convoi, Cédric Bernard, responsable du service de transport fluvial et l'un des cinq pilotes de barges des Services industriels de Genève. La vie à bord serait-elle un long fleuve tranquille? "Cela dépend des périodes", répond-il.
"Les péniches peuvent naviguer par tous les temps, notre seule contrainte, c'est le courant qui peut être très irrégulier. Nous nous sommes fixé une limite à un débit de 650 mètres cubes. En hiver, le brouillard peut perturber la navigation, il faut alors l'aide du radar", poursuit-il.
Tout un système d'alerte
"La période estivale est, elle, particulièrement stressante: le Rhône est envahi de nageurs, d'embarcations et d'objets flottants non identifiés", glisse M. Bernard. "Il faut être hyper vigilant". Et de montrer à une centaine de mètres en avant un canoë qui ignore superbement le coup de corne du bateau, avant de finalement se ranger sur le côté.
Dès le milieu de la matinée, "c'est l'enfer", abonde M. Riesen, "si bien que des mesures ont dû être prises: depuis 2019, une escorte fluviale précède la barge l'après-midi. Elle invite les adeptes de la descente du Rhône à se ranger sur la droite ou à s'arrêter. Banderoles et pancartes lumineuses font de même avant le pont de la Jonction".
"Ce n'est pas pour embêter, mais il est vraiment compliqué d'arrêter un convoi frôlant les 400 tonnes: lorsqu'il part en dérive, il est difficilement rattrapable", note le capitaine.
Nature sauvage
Après deux virages délicats passés de main de maître, le bateau continue sa course paisible dans la nature sauvage, à une "vitesse de pointe de 17 à 18 km/h". Suivant les méandres du fleuve d'un vert émeraude, il se faufile entre les roselières, sous le pont Butin, les tours du Lignon, la passerelle de Chèvres, "la plus complexe à passer, car il faut tenir compte de la dérive", relève M. Bernard qui avoue parfois quelques petites frayeurs.
Descendue à fleur de l'eau verte du fleuve, la barge arrive à bon port à l'usine des Cheneviers à Aire-la-Ville, où sont déchargées et incinérées les ordures ménagères. La descente aura duré 45 minutes. "Il faudra une heure pour le retour, les bennes vides étant plus difficiles à diriger", observe le capitaine.
40% des ordures du centre-ville
Par année, en moyenne 40'000 tonnes de déchets sur les 90'000 produites par le centre de Genève et la rive gauche sont transportées sur le Rhône, soit environ 40%. Les quatre barges - toutes au nom de mousquetaires - réalisent en général neuf allers et retours hebdomadaires, relève Thomas Servant, responsable d'unité, lors de l'arrivée au chenal de l'usine d'incinération.
"Outre le nombre de camions en moins sur les routes, ce moyen de transport doux permet de limiter les émissions de CO2. La capacité d'une benne équivaut à celle d'une petite vingtaine de poids lourds. A titre de comparaison, un camion transporte environ 8 tonnes", illustre-t-il.
Crues plus importantes
Reste que ce type de transport est soumis aux aléas climatiques. L'été dernier, à la suite à de pluies torrentielles, "l'Arve a transporté beaucoup de sable. Un gros volume de sédiments s'est déposé dans le chenal à la Jonction. Conséquence: les coques touchaient le fond et le trafic a été interrompu".
"Le problème des crues est récurrent. Mais force est de constater une accentuation de la gravité de ces épisodes", indique M. Servant.
Le dragage des sédiments fait d'ailleurs partie du travail de l'équipe, deux fois par an. Là aussi, les volumes sont de plus en plus importants. Huit mille mètres cubes vont notamment été retirés à la Jonction lors de la prochaine campagne, de fin août à mi-octobre.
Selon Thomas Servant, "l'activité va rester pérenne encore très longtemps". Et de rappeler qu'elle avait été imaginée par des ingénieurs lors l'ouverture de la première usine d'incinération des Cheneviers en 1966. Le transport fluvial de déchets se pratique ailleurs, notamment en France et aux Pays-Bas, précise le responsable.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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