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Suisse Romande

Le Valais crée une task force dédiée aux soins infirmiers

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Le manque de relève dans les métiers des soins préoccupe la Confédération et les cantons. (Archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Valais a annoncé vendredi créer une task force spécifique aux soins infirmiers. Son but: accroître l'attractivité de la formation et améliorer les conditions de travail du personnel soignant.

L'initiative sur les soins infirmiers largement acceptée en novembre 2021 demande qu'un nombre suffisant d'infirmières et d'infirmiers soient formés pour répondre aux besoins croissants en Suisse. Le Valais dispose chaque année d'environ 100 nouveaux diplômés HES et ES en soins infirmiers et de 200 nouveaux détenteurs de CFC en soins et santé communautaire alors qu'il en faudrait respectivement plus de 200 et 300 pour assurer la relève, précise le canton dans un communiqué.

La nouvelle task force mettra autour de la table des représentants des institutions de la santé et de la formation ainsi que des services étatiques concernés. Ensemble, ils discuteront et listeront les besoins spécifiques du canton dans le but de rendre la profession en soins infirmiers plus attractive et d'améliorer les conditions de travail.

La task force déposera ses propositions et demandes de soutien auprès de la Confédération. Les aides concerneront notamment les institutions socio-sanitaires qui accueillent des étudiants-stagiaires en soins infirmiers, les écoles supérieures et hautes écoles spécialisées ainsi que les personnes en formation.

Le Conseil fédéral a annoncé le 25 janvier dernier la deuxième étape de la mise en oeuvre de l’initiative sur les soins infirmiers (amélioration des conditions de travail dans le domaine des soins). La première étape (offensive en matière de formation) a déjà été lancée par la Confédération et les cantons et elle prévoit un financement conjoint d’un milliard de francs sur huit ans. Les nouvelles bases légales fédérales sont prévues d’ici au printemps 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Ministère public VS: "Il faut redonner confiance aux magistrats"

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"Notre objectif aujourd'hui est de redonner confiance aux magistrats et à la population et d'amener davantage de pragmatisme", a indiqué la procureure générale valaisanne Béatrice Pilloud mercredi en conférence de presse. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

La nouvelle procureure générale valaisanne Béatrice Pilloud n'estime pas avoir pris ses fonctions dans un ministère public "en crise" mais débordé. Elle l'a dit mercredi en réponse aux médias réunis pour une conférence de presse, six mois après son élection.

"Je n'ai pas constaté de crise au sein du ministère public depuis que j'ai pris mes fonctions début janvier 2024", a expliqué la procureure générale. Elle dit en revanche avoir "constaté des magistrats en souffrance en raison du manque de confiance qu'on a dans leur travail ainsi qu'un manque de ressources humaines", a-t-elle ajouté.

"Je ne pense pas qu'on puisse parler de crise, car il n'y a jamais eu de manquements ou flottements dans le traitement des affaires", a abondé Catherine Seppey, la procureure générale adjointe lors d'une conférence de presse durant laquelle les deux magistrates ont insisté sur leur complémentarité. Celle-ci a été élue lors de la même session parlementaire, il y a six mois.

Cette double élection était intervenue alors que le ministère public, en particulier l'office central, était sous le feu des critiques. Elle devait permettre de tirer un trait sur les dysfonctionnements d'un ministère public valaisan "en crise", connus depuis plusieurs années et au coeur de divers rapports.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Anne Hidalgo et près de 500 maires en congrès à Lausanne

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Anne Hidalgo présidera l'assemblée générale de l'institution (archives) (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

Lausanne accueille de mercredi à vendredi prochain le 44e Congrès de l’Association internationale des maires francophones (AIMF). Quelque 500 représentants de villes, dont la maire de Paris Anne Hidalgo, sont attendus dans le chef-lieu vaudois.

"Ce réseau offre une proximité entre plus de 325 villes du monde entier", explique mercredi Grégoire Junod, syndic de Lausanne, cité dans un communiqué. De nombreuses villes seront représentées, dont Paris, Liège, Kinshasa, Luxembourg, Nouakchott, Québec, Bordeaux, Casablanca, Dakar, Namur, Phnom Penh, ou encore Yaoundé.

Pour le syndic de Lausanne, c'est "un plaisir et un honneur" d'accueillir ce congrès. Durant trois jours, du 22 au 24 mai, des cas concrets de partenariat et de projets de développement seront présentés. Ils montrent "la force de la coopération de ville à ville pour relever les grands défis mondiaux", note le communiqué.

Les changements climatiques, l’eau, l’égalité femmes hommes, le sport et les dialogues régionaux constitueront le fil rouge des discussions. Le vendredi, l'AIMF, présidée par Anne Hidalgo, tiendra son assemblée générale au Palais de Beaulieu.

Le congrès permettra aux délégations de nouer de nouveaux accords de coopération et d'assurer le suivi de leurs partenariats. Ce sera notamment le cas pour Nouakchott - capitale de la Mauritanie -, Lausanne et les communes suisses solidaires qui fêtent cette année le 15e anniversaire de leur coopération pour l’accès à l’eau en faveur des populations les plus démunies. Bordeaux, Metz et bientôt Montpellier participent désormais à ce programme "emblématique" de coopération décentralisée, souligne le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Le procès Broulis/ex-Tamedia a repris mercredi à Lausanne

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Le journaliste pour le Tages-Anzeiger (au centre) et ses deux avocats à leur arrivée au Tribubal de Montbenon à Lausanne. (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

La justice vaudoise a commencé mercredi à se pencher à nouveau sur la plainte civile pour atteinte à la personnalité portée par l'ancien conseiller d'Etat Pascal Broulis contre un journaliste du Tages-Anzeiger. Le politicien exige le retrait d'articles incriminés.

Plusieurs tentatives de conciliation ayant échoué, le procès devait entrer dans le vif du sujet, à savoir le contenu de neuf articles sur onze publiés dans le grand quotidien zurichois sur la situation fiscale et des voyages en Russie de l'ex-ministre des finances vaudois.

Cinq ans après le dépôt de l'action civile par l'actuel conseiller aux Etats (VD/PLR), le Tribunal d'arrondissement de Lausanne a procédé dans la matinée aux interrogatoires du politicien et du journaliste du "Tagi" ainsi qu'à l'audition de six témoins - journalistes, anciens rédacteurs en chef, ex-médiateur, juriste et fonctionnaire. Les plaidoiries des avocats, elles, étaient prévues cet après-midi.

S'agissant des articles ciblés, M. Broulis s'estime victime d'une campagne de dénigrement. L'auteur de ces papiers, à charge selon le point de vue du sénateur, est le correspondant en Suisse romande du "Tagi", qui, lui, s'en défend.

"Compromis, illusoire"

Cette procédure civile a été engagée contre l'ex-groupe Tamedia (aujourd'hui TX Group), le journaliste et l'ancienne rédactrice en chef du média zurichois. Une conciliation entre les deux parties n'avait pas abouti en avril 2019. La plainte avait été déposée ensuite en septembre de la même année. Une deuxième tentative de conciliation avait encore échoué après une audience en décembre 2021.

Le juge a de nouveau demandé mercredi si une éventuelle conciliation n'était pas envisageable. "Cela paraît très compromis", a répondu l'avocat du journaliste Me Kevin Guillet. "Illusoire", a dit celui du politicien, Me Alexandre Curchod.

Leur interrogatoire n'a rien apporté de nouveau et de très intéressant. Tout au plus, M. Broulis a évoqué sa grande curiosité pour la géographie, l'histoire et la culture de la Russie, et le journaliste a affirmé n'avoir "jamais voulu se venger" contre l'ex-ministre des finances, en lien aux "critiques" du Conseil d'Etat vaudois sur les choix économiques et les restructurations à l'époque chez Tamedia.

"Strictement privés"

Témoin, l'organisateur des voyages en Russie, ayant défrayé la chronique quant à leur prise en charge financière et posé la question des conflits d'intérêts, Eric Hoesli, a rappelé que ces voyages étaient "strictement privés". Et que leurs "frais nécessaires et prévisibles étaient répartis entre chaque participant et payés à l'avance".

L'ancien rédacteur en chef de l'Hebdo et du Temps, ex-directeur des publications romandes de Tamedia et grand connaisseur de la Russie, a aussi souligné qu'il était le seul organisateur et responsable de ces voyages. Il a aussi affirmé que plusieurs articles concernés étaient "truffés d'inexactitudes et d'erreurs de faits" et contenaient parfois même des informations "complètement farfelues".

Pascal Broulis espère obtenir la suppression des articles incriminés d'internet - y compris des archives et des réseaux sociaux - et le versement d'un franc symbolique à titre de réparation du tort moral. Il demande aussi le versement d'une somme correspondant au bénéfice réalisé par Tamedia avec la publication de ces articles, une somme qui devra être estimée par le Tribunal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Vaud: erreur vert'libérale dans la documentation électorale

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La documentation de vote envoyée aux électeurs contient une erreur (Image prétexte). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le matériel électoral vaudois pour le scrutin fédéral du 9 juin contient une erreur dans son résumé des recommandations de vote des Vert'libéraux. Il n'est plus possible de corriger le document qui est envoyé ces jours aux électeurs.

Les Vert'libéraux vaudois expliquent s'être trompés lors de la transmission de leurs positions à la Chancellerie vaudoise. "Le OUI est imprimé sur la ligne de l'initiative "Maximum 10% du revenu pour les primes d’assurance-maladie" au lieu du NON voté par l'assemblée générale", annonce mercredi le parti dans un communiqué.

"Nous avons commis, hélas, cette erreur. Trois petites lettres ne sont pas justes", a expliqué Claire Richard, présidente du parti. Celle-ci se souvient que ses membres étaient relativement partagés lors du vote en assemblée, avec 28 non, 20 oui et 1 abstention.

Le parti présente ses excuses à ses membres, partenaires et électeurs. Concernant les votations du 9 juin, il rappelle qu'il est "pleinement investi" pour soutenir la loi sur l'approvisionnement en électricité, qui est "essentielle pour garantir un avenir énergétique durable et sûr".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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