Rejoignez-nous

Vaud

Début des travaux pour le très attendu futur Hôpital des Enfants

Publié

,

le

Autorités, direction du CHUV et jeunes patients ont symboliquement marqué le début des travaux de l'Hôpital des Enfants. (Photo: D.R.)

Supposés débuter en mars 2018, les travaux de l'Hôpital des Enfants ont commencé hier. Contigu à la Clinique infantile et à la Maternité, il permettra de centraliser les soins des petits patients et de leur offrir des locaux adaptés à leurs besoins spécifiques.

Le CHUV a lancé hier officiellement le chantier du futur Hôpital des Enfants. Edifié au cœur de la cité hospitalière, il sera doté de 115 lits. A l’heure actuelle, les soins des enfants se font à deux endroits : Montétan et au 11e étage du CHUV. Une configuration qui ne permet pas une prise en charge optimale et qui la complique même. Cette nouvelle réalisation est donc attendue avec impatience. Pierre-François Leyvraz, directeur général du CHUV :

Pierre-François LeyvrazDirecteur général du CHUV

Le lancement du chantier était prévu pour mai 2018, mais un recours a reporté sa mise en oeuvre. Le nouvel hôpital ouvrira donc finalement ses portes en 2023. Pierre-François Leyvraz, directeur général du CHUV, relève l’importance de voir cette nouvelle réalisation sortir de terre :

Pierre-François LeyvrazDirecteur général du CHUV

Cette nouvelle réalisation offrira donc aux enfants et adolescents, ainsi qu’aux familles, des espaces adaptés sur un seul site. Mais l’Hôpital des Enfants profitera également de sa proximité directe avec le CHUV. Pierre-François Leyvraz, directeur général du CHUV :

Pierre-François LeyvrazDirecteur général du CHUV

Notons enfin que le lancement du chantier était la dernière apparition publique de Pierre-Yves Maillard en tant que conseiller d’Etat.

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Lausanne

Le travail des proches aidants valorisé à Lausanne

Publié

le

© KEYSTONE/GAETAN BALLY

Ce jeudi marque la Journée mondiale de la santé mentale. A cette occasion, pour la quatrième reprise, un événement dédié aux proches aidants se tient à Lausanne.

En partenariat avec l’Association de Proches aidants Vaud et la Croix-Rouge vaudoise, la Haute École de Santé Vaud (HESAV) organise ce jeudi 10 octobre la 4ème Journée Proches Aidants. Cette nouvelle édition vise à soutenir et donner la parole aux nombreuses personnes concernées par ce travail bénévole. Dans un contexte de pénurie de personnel soignant, ce rendez-vous invite à réfléchir aux facteurs qui influencent la santé mentale des proches aidants, à l’identification des signaux d’alerte ainsi qu’aux prestations disponibles. Ce rôle souffre notamment d'un manque de reconnaissance.

Anne LouisAnne Louis, maître d'enseignement à l'HESAV

Cet événement veut aider les proches aidants à lutter contre l'épuisement et le découragement. Il a également pour but de favoriser les échanges entre les personnes concernées et les acteurs de la santé.

Depuis plus de 10 ans, Raphele, membre de l'Association de Proches aidants Vaud, accompagne quotidiennement son fils qui a souffert de troubles psychiques. Son travail n'a pas toujours été entendu par le personnel médical.

Raphele IssautierProche aidante, membre de l'Association de Proches aidants Vaud

Si le quotidien de Raphele s'est quelque peu allégé ces derniers temps, son fils se portant de mieux en mieux, sa routine a toutefois été bouleversée pendant des années.

Raphele IssautierProche aidante, membre de l'Association de Proches aidants Vaud

Ce rendez-vous veut aussi sensibiliser les étudiants de l'HESAV à la situation des proches aidants. Ils seront amenés à collaborer avec eux dans leur future profession.

Continuer la lecture

Culture

Le Musée du Léman à Nyon expose bien plus que des cartes

Publié

le

Une centaine de cartes consacrées au Léman sont exposées à Nyon au Musée du Léman. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Pour sa nouvelle exposition temporaire, inaugurée jeudi à Nyon, le Musée du Léman met en lumière une centaine de cartes consacrées au plus grand lac d'Europe. Pour les concepteurs, il ne s'agit pas tant de parler de géographie, que de s'intéresser au regard porté sur cette étendue d'eau à différentes époques.

"Une carte est le reflet plus ou moins fidèle de l'espace qu'elle représente. Mais c'est aussi le reflet de son époque, de son cartographe, des préoccupations et des intentions de ce dernier. Une carte peut permettre de se repérer ou de planifier un itinéraire, mais aussi de revendiquer un territoire, de transmettre un savoir scientifique ou d'attirer des touristes", écrivent les organisateurs dans le dossier de presse.

Intitulée "Ceci n'est pas une carte", l'exposition brosse un "portrait protéiforme du Léman" en s'appuyant sur ces documents. Les visiteurs découvriront ainsi la Table de Peutinger, représentant le réseau routier de l'Empire romain à l'époque d'Auguste et qui constitue la plus ancienne carte sur laquelle figure le Léman, identifié comme "lac de Lausanne".

Lac de Vevey, d'Evian ou de Morges

Le public aura également l'occasion de s'étonner d'une représentation du Léman "à l'envers", héritage d'une convention moyenâgeuse selon laquelle une carte devait être orientée vers Jérusalem. Les divers documents exposés montreront en outre que le nom du lac a changé plusieurs fois, puisque suivant les cartes, il est fait mention du lac de Genève, de Thonon, de Vevey, de Morges, d'Evian, ou encore du lac Léman.

Pour décliner la thématique plus largement et toucher un public étendu, divers événements auront lieu jusqu'à la clôture de l'exposition le 31 août 2025. Au menu: visites guidées, ateliers de dessin, course d'orientation, randonnées pédestres ou encore livret de visite destiné aux plus jeunes.

L'exposition donnera également lieu à la publication du "Grand Atlas du Léman". Plus qu'un précis de géographie, l'ouvrage fera office de "livre d'histoire qui remonte les siècles de carte en carte", écrivent les organisateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Vaud

Hôpital d'Yverdon-les-Bains: les études doivent se poursuivre

Publié

le

L'avenir de l'hôpital d'Yverdon n'est pas encore connu (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le sort de l'hôpital d'Yverdon-les-Bains ne sera pas connu avant le premier trimestre 2025 "au plus tôt". Les Etablissements hospitaliers du Nord vaudois (eHnv) annoncent jeudi que les analyses liées au programme "eHnv du futur" nécessitent encore du temps.

Dans leur communiqué, les eHnv disent continuer d'explorer "divers scénarios", à savoir le maintien de l'hôpital sur le site existant ou son déménagement. La répartition sur deux sites demeure aussi l'une des pistes de réflexion, précisent-ils.

"L'allocation des surfaces aux différentes activités est en cours de réévaluation dans chaque scénario, tout comme les éventuelles économies réalisables en cas de centralisation sur un seul site", écrivent les eHnv. Ils ajoutent qu'il s'agit aussi d'estimer les dépenses d'exploitation et de maintenance des bâtiments existants en cas de retard dans l'ouverture des nouvelles structures.

Surcoûts

Pour rappel, le programme "eHnv du futur" vise à la transformation complète de l'hôpital d'Yverdon. Objectif: regrouper les activités somatiques aiguës des eHnv sur un site unique. Parallèlement, un nouveau centre de traitement et de réadaptation doit ouvrir à Orbre. Cela s'accompagnera par le désengagement progressif des deux autres sites des eHnv, soit l'hôpital de Saint-Loup à Pompaples et celui de Chamblon.

Début mai toutefois, la phase d'avant-projet pour transformer l'hôpital d'Yverdon avait débouché sur une estimation des coûts supérieure de 180 millions de francs par rapport au devis initial de 308 millions. La majeure partie de ces surcoûts (106 millions) provient de facteurs incompressibles, à savoir le renchérissement des prix de la construction en Suisse et la nature des sols de l'hôpital d'Yverdon.

Ces augmentations ont conduit le comité directeur des eHnv à suspendre temporairement le programme.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Lausanne

Le CHUV vise un retour à l'équilibre financier en 2028

Publié

le

De gauche à droite: Nicolas Demartines, directeur général ad intérim du CHUV, Gianni Saitta, président de la task force "Impulsion" et Emmanuel Bourquin, directeur administratif et financier du CHUV, ont détaillé le plan de réduction des coûts pour l'hôpital vaudois d'ici à 2028. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le CHUV à Lausanne vise un retour à l'équilibre financier en 2028. Pour éviter un déficit structurel qui pourrait atteindre 100 millions de francs d'ici quatre ans, le plan de réduction des coûts "Impulsion" passe à la vitesse supérieure pour corriger la situation.

Ce plan d'action, précisé jeudi au CHUV devant les médias, va déployer dès cet automne de nouvelles mesures conjoncturelles, structurelles et organisationnelles ainsi qu'une réforme de la gouvernance. Il se fera en deux phases.

Une première phase (2024-2028) reposera principalement sur l'optimisation des charges et l'augmentation des revenus nets, avec pour cible des économies de 35 millions de francs. La seconde phase (2025-2028) se concentrera sur l'amélioration de l'efficience et la recherche de financements supplémentaires pour couvrir le reste du déficit, soit 65 millions, tout en incluant une révision de la gouvernance et une planification des investissements.

Lancé en 2022, le plan de réduction des coûts "Impulsion" est piloté par une "task force".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Les Sujets à la Une

X