Rejoignez-nous

Lausanne

Quatre cas de rougeole à l'UNIL

Publié

,

le

Quatre cas de rougeole se sont déclarés à l'Université de Lausanne. La vaccination est recommandée aux personnes qui ne le sont pas (photo prétexte). (©KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

Quatre personnes ont contracté la rougeole à l'Université de Lausanne (UNIL). L'alma mater recommande à tous les membres de la communauté qui ne seraient pas vaccinés de le faire dans les meilleurs délais.

L'Université a été informée par le médecin cantonal qu'une personne atteinte de la rougeole avait fréquenté la Faculté des sciences et de l'environnement la semaine dernière, a déclaré mercredi à Keystone-ATS la porte-parole de l'UNIL Géraldine Falbriard.

Des mesures immédiates ont été prises à l'égard des personnes ayant été en contact direct avec cet étudiant, soit quelque 200 personnes. Dix d'entre elles, non vaccinées, ont dû quitter le campus pour une dizaine de jours.

"Pour l'heure, quatre cas ont été déclarés à l'UNIL. Et trois autres personnes pourraient être atteintes. Nous attendons les résultats", a souligné Mme Falbriard.

 

(ATS)

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Lausanne

JO 2030: la Suisse recalée par le CIO

Publié

le

Le Parlement du sport suisse avait plébiscité le projet des JO pour 2030, mais le CIO a recalé la Suisse (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Suisse n'a pas convaincu le CIO pour les Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver 2030. L'instance a décidé de ne pas entamer la phase de dialogue avec la candidature suisse.

La candidature française est plébiscitée, alors que la Suède, candidate elle aussi, se retrouve dans une situation identique à la Suisse.

Cette décision négative du CIO intervient cinq jours après celle unanime du Parlement du sport suisse de faire avancer les projets olympiques pour 2030. L'instance basée à Lausanne n'a pas été convaincue par l'idée de Jeux décentralisés, avec des sites de compétition existants et répartis sur tout le territoire.

La Suède et la France ont également présenté un projet pour 2030. Et finalement seule cette dernière a reçu le feu vert du CIO pour entrer dans la phase de dialogue. Ainsi, six ans seulement après les JO de Paris en 2024, la France obtient également les Jeux d'hiver. Après la décision du CIO prise à Paris, l'acceptation en juillet prochain ne semble plus être qu'une formalité.

Une chance en 2038?

Pour la Suisse, c'est un nouveau chapitre de candidatures olympiques ratées. Après avoir accueilli deux fois les Jeux d'hiver en 1928 et 1948 (les deux fois à St-Moritz), la Suisse a tenté à plusieurs reprises de présenter sa candidature au cours des dernières décennies, mais plusieurs d'entre elles ont échoué dans les urnes. Ce n'est pas le cas cette fois. Selon une étude de faisabilité, deux tiers de la population suisse sont favorables au projet actuel.

La Suisse n'a pas non plus été retenue pour l'année 2034, envisagée comme alternative. La candidature américaine de Salt Lake City est la seule à être retenue par le CIO.

Le rêve d'organiser des JO d'hiver en Suisse n'est toutefois pas totalement abandonné. Le CIO a accordé à la Suisse un droit de préférence pour 2038, au cas où elle se porterait à nouveau candidate. L'instance n'a pas précisé ce que cela signifiait exactement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Lausanne

Lausanne accueille la 1re édition du Forum du rail romand

Publié

le

Plus de 200 invités ont participé mercredi au premier Forum du rail romand organisé au SwissTech Convention Center de l'EPFL à Lausanne. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le premier Forum du rail romand s'est tenu mercredi à Lausanne sur le site de l'EPFL. Organisé par les CFF, la Conférence des transports de Suisse occidentale (CTSO) et Ouestrail, il a rassemblé plus de 200 personnalités politiques et du secteur de la mobilité.

Ni opération de communication ni de conciliation, ce forum est une idée du conseiller national Roger Nordmann (PS/VD) de réunir une fois les différents acteurs des transports en Suisse romande, a confié à Keystone-ATS Vincent Ducrot, le patron des CFF. La démarche se veut didactique et vise à offrir un espace d'échanges et de débats autour des grands enjeux de la mobilité, a-t-il résumé.

L'expérience avait déjà eu lieu dans d'autres régions de Suisse alémanique et avait rencontré des échos très positifs, ajoute Frédéric Revaz, porte-parole des CFF. Elle sera amenée à se renouveler en terres romandes, a affirmé M. Ducrot.

Le temps long du ferroviaire

Lors d'une table ronde, le CEO des CFF a beaucoup insisté sur le fait que "le temps ferroviaire était très long", par opposition à une société actuelle où la temporalité est très rapide. "La partie de l'étude des travaux est plus longue que la partie de la réalisation du chantier. Les études se multiplient, elles sont plus fouillées et détaillées et il y a aussi beaucoup plus d'oppositions lors de la mise à l'enquête", a expliqué M. Ducrot.

Il a par exemple aussi rappelé que le chantier de la gare de Lausanne, c'était quelque 4000 plans de travaux. "C'est donc un travail colossal." Plus globalement, M. Ducrot a encouragé les Romands à "travailler ensemble, de manière unie et d'une seule voix au niveau politique".

Invitée à cette même table ronde, la vice-directrice de l'Office fédéral des transports (OFT) Anna Barbara Remund a affirmé que les gares de Lausanne et Genève ainsi que le tunnel de 9 km prévu entre Morges et Perroy étaient "des priorités" pour l'OFT. Elle en a profité pour souligner que "construire" le réseau du futur et "continuer à transporter les voyageurs et les marchandises" était "un équilibre pas facile à atteindre".

Dix ateliers spécifiques

Autour de la table sur la scène du SwissTech Convention Center, le président d'Ouestrail Olivier Français, le président de la CTSO Jean-François Steiert et le directeur régional des CFF pour la Suisse romande David Fattebert se sont aussi exprimés à tour de rôle.

Après cette partie plénière, dix ateliers participatifs étaient programmés sur des problématiques spécifiques: tarification, construire et transporter en même temps, gestion des infrastructures (cadre légal, financement et fonctionnement), chantier Léman 2030, nouvel horaire 2025, construction de l'offre du trafic régional, fret, transports publics et loisirs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Lausanne

Le Conseil d’Etat vaudois concrétise ses premiers soutiens

Publié

le

Le Centre de congrès de Montreux en rénovation est l'un des premiers bénéficiaires de l'aide à fonds perdu du canton de Vaud pour le tourisme durable (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le Conseil d’Etat vaudois apporte ses premiers soutiens à la transformation de deux infrastructures touristiques, le Chalet du Carroz à Ormont-Dessous et le Montreux Music & Convention Centre (2m2c). Elles bénéficieront d'aides cantonales à fonds perdu, issues du crédit-cadre de 50 millions pour le tourisme régional durable.

Le tourisme représente un secteur significatif à l'échelle du canton, voire essentiel dans certaines régions. Il compte presque 15'000 emplois directs et génère une valeur ajoutée brute d'environ 1,3 milliard de francs, rappelle le Canton mercredi dans un communiqué.

Adopté par le Grand Conseil, le crédit-cadre du tourisme durable doté de 50 millions de francs pour la période 2023-2026, soutient la création ou la rénovation d'infrastructures touristiques répondant à des critères de durabilité. Il complète la palette d'outils à la disposition de l'Etat figurant dans la loi sur l'appui au développement économique (LADE).

Performance énergétique

La rénovation du Montreux Music & Convention Centre (2m2c) figure parmi les premiers projets soutenus. Elle permettra d'optimiser la performance énergétique du bâtiment qui compte parmi les infrastructures clés de l'économie touristique de la Riviera, relève le communiqué.

Une aide cantonale à fonds perdu de 10 millions de francs, (8,3 millions de francs issus du nouveau crédit-cadre ainsi que 1,7 million sur le budget LADE ordinaire) sont octroyés. Un prêt fédéral de 12 millions s'y ajoute. Ces soutiens sont conditionnés à la rénovation complète de la toiture du Miles Davis Hall, le doublement de la surface de panneaux solaires ainsi que le remplacement complet des monoblocs et autres installations techniques.

Quant au Chalet du Carroz à Ormont-Dessous, une aide cantonale à fonds perdu de 105'000 francs et un prêt fédéral de 260'000 francs permettront de boucler le financement de la rénovation et de la transformation de ce chalet construit en 1860. Une nouvelle offre d'hébergement collectif au c½ur de la nature y verra le jour. Avec ce soutien, le Canton contribue au développement d'une activité touristique sur quatre saisons.

Rapport d'ici deux ans

De nombreux autres projets sont actuellement à l'étude au sein du Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI), en coordination avec les associations régionales concernées. Ces dossiers portent en particulier sur le renouvellement de l'offre hôtelière, l'assainissement des centres sportifs et la création de nouvelles offres thématiques touristiques.

A noter encore que le SPEI, en charge d'assurer un suivi des dossiers, remettra au plus tard dans 24 mois un rapport au Grand Conseil faisant état de l'utilisation du crédit-cadre. L'Etat pourra ainsi évaluer la nécessité de demander au Parlement son renouvellement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Lausanne

Les dangers de l’épilation laser pour le personnel mis en lumière

Publié

le

L'Inspection du travail Lausanne (ITL) veut renforcer l’information sur l’épilation définitive au laser (image prétexte). © KEYSTONE/Ti-Press/Pablo Gianinazzi

L’inspection du travail de la Ville de Lausanne a mené une campagne de prévention auprès des instituts qui proposent l’épilation laser. Sur les 13 établissements lausannois visités, la plupart ne sont pas conformes et la formation à l'utilisation des machines est lacunaire.

L’épilation définitive au laser n’est pas assez encadrée à Lausanne. En collaboration avec Unisanté, l’Inspection du travail Lausanne s'est penchée sur les instituts qui proposent cette prestation. Résultats, la santé et la sécurité du personnel, voire des clients sont souvent mises en danger. L'inspectrice du travail pour la Ville de Lausanne Raquel Morgado Marques décrit les constats établis lors de la visite des différents établissements lausannois.

Raquel Morgado MarquesInspectrice du travail pour la Ville de Lausanne

Les 13 établissements visités possèdent des équipements très nocifs pour les yeux. Mais 80% des instituts n’avaient pas de lunettes adaptées. Un tiers ne possède pas de certificat de conformité et, dans 30% des cas, les instructions d'utilisation des machines manquent.

Avant les établissements proposant l’épilation laser, les ongleries lausannoises avaient déjà été visées par une campagne. Alors est-il dangereux de se rendre dans un institut lausannois ?

Raquel Morgado MarquesInspectrice du travail pour la Ville de Lausanne

A noter qu’il s’agissait là d’une campagne de prévention. Mais à l’avenir, l’inspection du travail Lausanne pourrait donner des avertissements aux instituts qui ne respectent pas les directives de sécurité.

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Capricorne

N'hésitez pas à défendre vos idées, elles sont excellentes. Vous savez innover. Démontrez-le dans une activité qui sort de l’ordinaire !

Les Sujets à la Une

X