Vaud
Nouvelle loi pour améliorer la protection du patrimoine culturel
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Le canton de Vaud veut encore mieux bichonner son patrimoine culturel immobilier. Le gouvernement a présenté jeudi son projet de nouvelle loi visant à améliorer et renforcer sa protection. Dix millions de francs sont en outre prévus pour le fonds cantonal des monuments historiques pour les frais de fouilles archéologiques.
Le patrimoine culturel immobilier "fait partie de notre vivre ensemble", a plusieurs fois déclaré le conseiller d'Etat Pascal Broulis, en charge de ce dossier, durant la présentation du nouvel arsenal législatif. Il a rappelé que le canton a pour mission de sauvegarder et de protéger le patrimoine historique du canton qui compte aujourd'hui quelque 200'000 objets architecturaux et archéologiques.
Renforcer le recensement
Parmi ceux-ci, près de 80'000 sont documentés au moyen d'une note allant de 1 ("importance nationale") à 7 ("altère le site"), dont 6000 sont inscrits à l'inventaire cantonal et 2000 bâtiments, sites bâtis, objets isolés (cloches, fontaines, etc) figurent, eux, sur la liste des objets classés monuments historiques.
C'est donc tout ce patrimoine que le nouveau dispositif législatif vise à mieux encadrer. Les objectifs de la Loi sur la protection du patrimoine culturel immobilier sont notamment de moderniser et améliorer des textes qui ne sont plus au goût du jour, de renforcer le recensement (qui figure désormais dans la loi) et l'inscription à l'inventaire ou encore de clarifier les compétences entre le canton et les communes.
La loi concerne désormais l'intégralité du bâti architectural et archéologique: sites bâtis et aménagements liés, monuments historiques et leurs abords, infrastructures et ouvrages d'art, espaces publics, jardins et parcs historiques, et sites archéologiques. Seul le volet "nature et paysage" n'en fait pas partie.
Prise en charge des fouilles précisée
La question de la prise en charge financière des fouilles archéologiques a soulevé le plus de remarques lors de la phase de consultation de la loi, a expliqué M. Broulis. Elles ont été prises en compte et cet aspect fait l'objet d'articles spécifiques. La nouvelle loi distingue par exemple les propriétaires privés des communes.
Pour les privés, le canton finance désormais les frais de fouilles archéologiques, le propriétaire restant astreint à une participation de 30 à 70%. Les frais de sondages sont, eux, entièrement à la charge de l’Etat.
Pour les communes, le projet de loi prévoit qu'elles assurent les coûts de sondages et de fouilles. Elles pourront toutefois obtenir une subvention grâce au projet de décret sur la participation de l'Etat aux frais de fouilles archéologiques et de restauration des objets classés qui vient compléter la nouvelle loi.
Dix millions de francs de soutien
Ce décret est doté d'un financement de 10 millions de francs versés au fonds cantonal des monuments historiques, a indiqué M. Broulis. "Une somme relativement considérable", selon l'archéologue cantonale Nicole Pousaz. Elle a pour but de soulager les communes en créant un subventionnement à hauteur de 15% et d'augmenter l'aide en faveur des propriétaires fonciers privés pour les frais de restauration des bâtiments classés, a-t-il affirmé.
Cette nouvelle loi sur la protection du patrimoine va être transmise au Grand Conseil qui l'examinera durant le second semestre. L'objectif est une entrée en vigueur de ce dispositif législatif au 1er janvier 2021, a souligné le conseiller d'Etat.
Lausanne
Deux francs le train entre Vuiteboeuf et Ste-Croix cet été
Alors que la route cantonale sera fermée du 23 juin au 24 août 2025 entre Vuiteboeuf et Sainte-Croix, le canton de Vaud et Travys proposent des trajets en train entre les deux localités au tarif unique de deux francs sur l'application Fairtiq. Des places de parc gratuites permettront de faciliter le report modal vers le train durant cette période.
Débuté en mars 2025, le chantier de réhabilitation de la route cantonale entre Vuiteboeuf et Sainte-Croix franchira cet été une étape importante. Les parois rocheuses nécessaires à la rénovation et à l’élargissement de la chaussée seront excavées, annonce le canton lundi dans un communiqué.
Pour permettre la réalisation de ces travaux tout en garantissant la sécurité des usagers, la route sera entièrement fermée à la circulation du 23 juin au 24 août 2025. Afin de proposer une alternative de mobilité efficace, économique et durable durant cette période, des rabais seront déployés (jusqu’à 1,90 franc avec le demi-tarif ou jusqu’à 5,80 francs en plein tarif). Ils permettront de circuler en train à prix avantageux, au départ et à destination de Sainte-Croix.
L'offre permettra concrètement de voyager entre Sainte-Croix et Vuiteboeuf pour un tarif unique de 2 francs par trajet, en 2e classe. Condition: le trajet devra comprendre au moins les arrêts de Six-Fontaines et Sainte-Croix.
Travys mettra également à disposition durant cette période des places de stationnement gratuites dans les gares et haltes de Vuiteboeuf, Baulmes, Six-Fontaines et Sainte-Croix (à proximité de la halle TRAVYS).
Pour les automobilistes, une déviation sera mise en place et signalée via Vuiteboeuf – Orges – Vugelles – Novalles – Fontaines-sur-Grandson – Villars-Burquin – Mauborget – Bullet – Sainte-Croix, dans les deux sens. L’accès aux riverains sera quant à lui maintenu pendant toute la durée des travaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: aucun incident majeur pendant la 1e partie de la FFG
La première partie de la Fête fédérale de gymnastique (FFG) s’est déroulée à Lausanne dans de très bonnes conditions sur le plan sécuritaire. Aucun incident majeur n’a été enregistré, ont communiqué les organisateurs.
Ce bilan sécuritaire positif est dû à un dispositif coordonné et réactif qui a mobilisé plus de 600 personnes pour la sécurité. Parmi eux, les forces de l’ordre, les sapeurs-pompiers, la sécurité privée, la protection civile et un important dispositif médico-sanitaire, précisent les organisateurs.
Une forte affluence a été constatée le week-end sur la place de fête à Bellerive. Quelque 50'000 personnes s'y sont rendues sur l’ensemble des soirées, ce dans un esprit festif. Aucun problème sécuritaire particulier n'a été signalé en lien avec la Fête, a indiqué lundi à Keystone-ATS Michel Gandillon, chef de la cellule communication DIAM.
Blessures légères
Le dispositif médico-sanitaire mobile disposait d'un effectif de 90 personnes par jour. Depuis jeudi, il a pris 450 personnes en charge sur les différents sites de compétition, un chiffre qui correspond à ce qui avait été imaginé, a relevé le responsable.
Parmi ces interventions, 404 sont imputables à des blessures légères suite aux activités sportives. Quarante-trois cas, dont la moitié dus à la chaleur, sont restés un moment en observation au sein des infirmeries. Par ailleurs, seize personnes ont été transportées en milieu hospitalier pour des investigations plus approfondies.
Côté mobilité, la circulation a été globalement fluide malgré quelques perturbations ponctuelles. La ligne de bus 2 a connu une forte affluence. Quelques retards se sont produits samedi, en raison notamment de la convergence avec la Grève féministe.
Volontaires toujours recherchés
A l’issue de ce premier week-end, les volontaires engagés ont permis de couvrir 91% des besoins de la manifestation, se réjouit le comité d'organisation. Il a lancé un nouvel appel à volontaires pour la deuxième partie de la Fête, dont les compétitions reprennent de jeudi à samedi.
La 77e Fête fédérale de gymnastique (FFG) a débuté jeudi dernier et s'achèvera dimanche par une cérémonie de clôture. Quelque 65'000 gymnastes participent à plus de 140 concours. Vingt-deux disciplines - réparties sur 27 sites et avec pas moins de 4000 juges - sont représentées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Gryon: une initiative pour préserver le plateau de Frience
Une initiative est lancée à Gryon (VD) pour protéger le plateau de Frience sur les hauts de la commune. Le texte, qui doit encore être validé par la Municipalité, vise à épargner "cet écrin de nature du tourisme de masse et de la construction d'hôtels", indiquent lundi les porteurs du texte, l'Association pour un tourisme écologiquement responsable (ATER).
Cette association locale, qui dit compter 154 membres, relève que la commune a mis à l'enquête une planification touristique qui prévoit jusqu'à 450 lits hôteliers et parahôteliers dans la zone. "Un projet disproportionné soumis en toute discrétion alors que le Conseil communal et la population aurait dû en être clairement informés", écrit-elle dans son communiqué.
L'ATER a fait opposition à la mise à l'enquête "afin de préserver le plateau de Frience qui est un modèle de tourisme familial". Une conciliation est prévue avec la Municipalité. Pour ne pas attendre, l'association lance toutefois une initiative "pour s'assurer que les habitants de Gryon pourront décider par eux-mêmes de l'avenir du plateau de Frience", poursuit le communiqué.
Le texte vise à interdire toutes nouvelles constructions. Mais il ne remet pas en cause les infrastructures actuelles (remonte-pentes, piste de ski, buvettes) ainsi que la future télécabine qui prévoit un arrêt intermédiaire à Frience.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Vaud se dote d'une unité de prévention des radicalisations
Le canton de Vaud crée une Unité de prévention des radicalisations (UPRAD) pour faire face au nombre croissant de jeunes, notamment mineurs, concernés par la problématique. Dirigée par l'actuel préfet de Lausanne, Serge Terribilini, elle pourrait voir le jour en 2026.
"La radicalisation est un phénomène bien vivant et qui se complexifie. Il touche des mineurs de plus en plus jeunes, notamment par le biais des réseaux sociaux", a déclaré lundi Vassilis Venizelos, conseiller d'Etat en charge du Département de l'environnement, de la jeunesse et de la sécurité (DJES), devant les médias à Lausanne.
La nouvelle structure fait suite à un projet-pilote "de désengagement et de réintégration" mis sur pied en 2018 dans le canton et qui a donné lieu à 300 suivis sur le terrain. Elle poursuivra les efforts de ce dispositif consistant à "prévenir les ruptures familiales, scolaires ou professionnelles pouvant conduire à des actes de violence en lien avec des référentiels idéologiques", précise le DJES.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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