Élections cantonales vaudoises
Luisier, Moret et Borloz sur le ticket PLR pour le Conseil d'Etat
Deux femmes et un homme figureront sur le ticket PLR pour la course au Conseil d'Etat vaudois du 22 mars prochain. Christelle Luisier, Isabelle Moret et Frédéric Borloz ont été désignés mercredi soir par les délégués du congrès du PLR Vaud à Tolochenaz.
Il n'aura fallu qu'un tour de vote, mais un long dépouillement, pour choisir les deux candidats accompagnant la conseillère d'Etat sortante Christelle Luisier, plébiscitée, elle, plus tôt dans la soirée par acclamation. Une "standing ovation" de l'assemblée appréciée par Christelle Luisier :
Les résultats ont été très serrés. Au total, 413 membres du parti ont pris part au scrutin. La conseillère nationale Isabelle Moret a obtenu 230 voix et le conseiller national et ancien syndic d'Aigle Frédéric Borloz 227 voix. Ce dernier devance le député au Grand Conseil Alexandre Berthoud de deux petites voix (225 voix). Le député et ancien judoka Sergei Aschwanden ferme la marche avec 138 voix. La majorité absolue était de 206 voix sur 410 bulletins valables.
Assemblée record
Après que chaque candidat se soit présenté devant l'assemblée, les 413 membres du congrès, un record, ont largement opté pour un ticket à trois candidats après un court mais animé débat. Ils se sont finalement ralliés à la direction et au comité directeur du parti, qui plaidaient pour trois représentants, tout comme les candidats eux-mêmes.
Aucun des autres candidats ne revendiquant le siège de l'actuelle cheffe du Département des institutions et du territoire (DIT), élue au gouvernement en février 2020 en remplacement de Jacqueline de Quattro, élue en octobre 2019 au Conseil national, Mme Luisier a été plébiscitée par applaudissement. Ancienne députée au Grand Conseil (2012-2020) et ex-syndique de Payerne (2011-2020), elle fêtera ses 47 ans dans cinq jours.
Elus à Berne favorisés
Le choix de faire figurer la conseillère nationale Isabelle Moret, 50 ans, sur le ticket libéral-radical vaudois ne constituait pas une surprise. Son parcours a plaidé en sa faveur, elle qui a été présidente de la Chambre du peuple en 2020, vice-présidente du PLR Suisse durant huit ans et députée vaudoise durant sept ans (1999-2006).
C'est finalement Frédéric Borloz qui a réussi à voler la vedette aux deux étoiles montantes du PLR Vaud, Alexandre Berthoud et Sergei Aschwanden. Son expérience a visiblement fait la différence, mais de justesse. Hors Conseil d'Etat, le politicien de 55 ans a assumé quasiment toutes les fonctions à l'échelle vaudoise.
Il a oeuvré pendant plus de deux décennies à Aigle, dont quinze ans comme syndic. Il a été député au Grand Conseil de 2002 à 2015, avant de partir pour Berne comme conseiller national. Il a aussi présidé les premières années du PLR vaudois entre 2012 et 2018, après la fusion entre radicaux et libéraux. Il faut maintenant prendre la relève des deux machines politiques sortantes, Pascal Broulis et Philippe Leuba.
Pas de limitation des mandats
En ouverture de soirée, le président du PLR Vaud, Marc-Olivier Buffat, a parlé d'un "congrès historique" qui laissera des traces pour longtemps, évoquant le renouvellement de génération voulu par les instances du parti. "La bataille s'annonce compliquée et difficile", a-t-il affirmé, pour garder les trois sièges au futur gouvernement.
Le PLR est donc le premier parti a officiellement lancer la course au Conseil d'Etat vaudois, dont les élections se dérouleront en mars prochain. Marc-Olivier Buffat :
La mini-surprise de la soirée aura finalement été le refus par le congrès de modifier les statuts du parti et de dire non à une limitation des mandats électoraux. La direction et le comité directeur du PLR Vaud avait prévu de la fixer à quinze ans au maximum, soit trois mandats, pour un élu PLR au gouvernement cantonal, et de 16 ans au maximum, soit quatre mandats, pour ses représentants à Berne.
Après un débat nourri, l'assemblée a finalement voté de justesse, par 197 non contre 195 oui, de ne pas modifier les statuts actuels.
Avant ce congrès, les deux actuels conseillers d'Etat Pascal Broulis (quatre mandats) et Philippe Leuba (trois mandats) avaient joué les prolongations pour prendre leur décision de se représenter ou non, faisant durer le suspense et agitant les esprits dans le landerneau libéral-radical vaudois. Le ministre de l'économie Leuba a finalement annoncé le 12 août qu'il ne se représentait pas, suivi une semaine après par le ministre des finances Broulis.
Élections cantonales vaudoises
Au lendemain des élections vaudoises, l'avis d'un politologue
Le Conseil d'Etat vaudois est passé à droite hier. Un changement de majorité, décidé par les électeurs suite à la nomination de Valérie Dittli en lieu et place de Cesla Amarelle. Retour sur ces résultats avec René Knüsel, politologue.
On connaît désormais le visage du Conseil d'Etat vaudois pour la législature 2022-2027: il sera composé de trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste. Un verdict sorti des urnes ce dim anche, à l'issue du second tour de l'élection au Conseil d'Etat vaudois. Ce nouveau gouvernement entrera en fonction dès le mois de juillet.
Quatre nouvelles têtes, un basculement de majorité, un changement attendu de présidence, de nombreux changements sont suspectés au sein du Conseil d'Etat vaudois.
Retrouvez ici notre entretien avec le politologue René Knüsel, réalisé 24heures après les résultats du second tour des élections vaudoises :
Élections cantonales vaudoises
"La terre politique a tremblé" dans le canton de Vaud
Entre la sensation Valérie Dittli et la non-réélection de Cesla Amarelle, la presse revient lundi sur les élections vaudoises. Des élections qui ont abouti à un renversement de majorité au Conseil d'Etat, qui repasse à droite après 11 ans de domination de la gauche.
Pour Le Temps, la majorité rose-verte "ne s'est pas remise suffisamment en question" en se contentant, surtout en début de campagne, de simplement défendre son bilan. "Beaucoup d'observateurs lui reprochent un manque d'humilité, pour ne pas parler d'arrogance. Il faut aussi reconnaître qu'onze ans de pouvoir, cela use", écrit le journal.
Les journaux reviennent surtout sur l'éviction de Cesla Amarelle, qui a fait les frais d'un département très exposé, celui de la formation. "La droite, bien aidée par les syndicats, a fait de Cesla Amarelle la cible et le maillon faible de ces cantonales", remarque 24 heures. Le quotidien vaudois estime désormais "logique" que la droite s'essaie à ce dicastère, en main de la gauche depuis 1994.
Pour La Région, les 15'000 voix qui séparent Cesla Amarelle de ses colistières socialistes Nuria Gorrite et Rebecca Ruiz sont "un gouffre qui ressemble à une sanction." Le journal du Nord vaudois s'interroge sur l'avenir politique de l'Yverdonnoise, qui veut "se donner le temps de la réflexion."
La Liberté affirme que "la terre politique a tremblé" dans le canton de Vaud. Le journal fribourgeois rappelle que peu de monde aurait osé miser, il y a encore quelques semaines, sur cet "incroyable renversement de majorité" au Conseil d'Etat. Le canton "dit adieu à un compromis efficace gauche-droite qui lui a tant réussi et doit se préparer à une vie politique nettement plus rude", prévient La Liberté.
Défaite amère pour l'UDC
Pour 24 heures, l'UDC figure aussi parmi les perdants, même si elle a contribué à faire basculer la majorité du gouvernement à droite. Son candidat Michaël Buffat a terminé dernier dimanche. "Durant des années, les candidats UDC ont fait les porteurs d'eau pour les élus PLR. Cette fois, l'UDC fait encore mieux, elle permet l'accession au Conseil d'Etat d'une candidate (la centriste Valérie Dittli) qui n'a pas de socle électoral dans le canton de Vaud. La pilule est dure à avaler", remarque 24 heures.
La Côte s'interroge sur le futur positionnement de Valérie Dittli. "Sans groupe parlementaire, celle qui assure vouloir conserver ses valeurs risque de devoir néanmoins renvoyer l'ascenseur au camp bourgeois qui l'a propulsée au Conseil d’Etat", écrit le journal. Il ajoute que la jeune centriste devra "avoir les épaules solides" pour assumer ses nouvelles fonctions.
Conseil de campagne
La presse alémanique s'est aussi intéressée à l'élection vaudoise, du fait notamment de l'origine zougoise de Valérie Dittli. La NZZ donne la parole à sa soeur aînée, Laura, qui tentera elle aussi cet automne de devenir conseillère d'Etat à Zoug. Laura Dittli, qui était présente dimanche à Lausanne, dit avoir retenu qu'une campagne se gagne "dans la rue, en discutant avec la population."
De son côté, le Tages-Anzeiger revient également sur la "débâcle électorale" de la gauche. Selon le quotidien zurichois, le PS s'est contenté de "défendre ses acquis" sans apporter de nouveaux arguments aux électeurs. Il reproche aussi aux socialistes de ne pas avoir assez soutenu Cesla Amarelle dans sa gestion de l'école vaudoise, et d'avoir considéré les Verts comme un simple "partenaire junior."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Élections cantonales vaudoises
Election au Conseil d'Etat VD: la gauche perd la majorité
La gauche ne sera plus majoritaire au gouvernement vaudois pour la législature 2022-2027. La sortante socialiste Cesla Amarelle n'a pas été réélue, laissant sa place à la centriste Valérie Dittli.
On connaît désormais le visage du Conseil d'Etat vaudois pour la législature 2022-2027: il sera composé de trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste. Un verdict sorti des urnes ce dimanche, à l'issue du second tour de l'élection au Conseil d'Etat vaudois.
Dans le détail, sont arrivées en tête de ce second tour de l'élection: les socialistes sortantes Nuria Gorrite et Rebecca Ruiz (55% des voix). Un résultat qui n'empêche pas la gauche de perdre la majorité au gouvernement, la sortante Cesla Amarelle n'ayant pas été réélue. La réaction de Nuria Gorrite.
Le centre-droit en force
Les deux socialistes sont suivies des PLR Isabelle Moret et Frédéric Borloz (53% des suffrages). Une élection qui permet à l'ancien syndic d'Aigle, actuellement conseiller national de retrouver un exécutif.
Le Vert Vassilis Venizelos est, lui, arrivé en cinquième position avec 49% des suffrages. Le parti écologiste n'est d'ailleurs pas passé loin de perdre sa place au gouvernement, à la suite du retrait de Béatrice Métraux.
Valérie Dittli, la centriste, remporte le septième et dernier fauteuil avec un peu moins de 49% des voix. Valérie Dittli, candidate sur le ticket bourgeois, prône désormais une alliance forte au gouvernement :
Echec pour l'UDC
L'UDC, de son côté, échoue à nouveau à reconquérir un siège au gouvernement. Michaël Buffat a fermé la marche pour ce second tour avec 44% des voix.
Ce nouveau gouvernement, composé donc de trois PLR, deux socialistes, un Vert et une centriste, entrera en fonction début juillet.
Élections cantonales vaudoises
Election au Conseil d'Etat VD: suivez l'avancée du dépouillement
Les Vaudoises et les Vaudois élisent leur nouveau gouvernement en ce dimanche 10 avril. Ils doivent encore attribuer six sièges du Conseil d'Etat, après l'élection de la PLR Christelle Luisier Brodard au premier tour.
15h00: Les résultats définitifs viennent de tomber pour ce 2ème tour. C'est donc officiel, Cesla Amarelle n'est pas réélue en terminant 7ème (46,20%). Dans l'ordre, Nuria Gorrite (55,7%) et Rebecca Ruiz (55,02%) terminent aux deux premières positions.
Isabelle Moret (53,24%) et Frédéric Borloz (53,08%) du PLR suivent juste derrière. Le Vert Vassilis Venizelos (49,51%) fera aussi son apparition à l'exécutif du canton de Vaud en finissant 5ème. Valérie Dittli (48,86%) occupera la 6ème et dernière place pour le Conseil d'Etat.
Enfin, l'UDC Michaël Buffat termine en dernière position (44,57%).
14h30: Il ne reste que le dépouillement de la commune de Morges avant d'avoir les résultats complets de ce second tour d'élections au Conseil d'Etat. Peu de changement : Nuria Gorrite (55,6%) et Rebecca Ruiz (54,96%) restent toutes deux en tête.
Les deux PLR suivent : Isabelle Moret (53,3%) et Frédéric Borloz (53,1%) devancent le Vert Vassilis Venizelos (49,4%). Valérie Dittli est à la sixième et dernière place pour le Conseil d'Etat. Cesla Amarelle et Michaël Buffat sont les deux candidats non retenus. Avec la seule commune restante, les résultats ne devraient plus évoluer.
14h10: Aubonne et Yverdon-les-Bains ont dévoilé leurs résultats et confirment le classement chamboulé par Lausanne. 96% des bulletins ont été dépouillés.
Les socialistes Nuria Gorrite et Rebecca Ruiz restent en tête avec plus de 55% des voix. Elles sont suivies par les PLR Isabelle Moret et Frédéric Borloz (53,13 et 52,99%). Le Vert Vassilis Venizelos et la centriste Valérie Dittli prendraient les cinquième et sixième sièges avec 49,5 et 48,7% des voix.
Si ce classement se confirme, gauche et droite auraient chacun trois élus au gouvernement et le centre y ferait son entrée. Un scénario qui semble gentiment se confirmer, écartant la socialiste sortante Cesla Amarelle et l'UDC Michaël Buffat.
13h55: Seules quatre communes n'ont pas encore livré leurs résultats: Yverdon-les-Bains, Aubonne, Morges et Lutry.
13h40: Lausanne vient de dévoiler ses résultats. Le classement évolue à 92% du dépouillement : les deux socialistes Nuria Gorrite (55,6%) et Rebecca Ruiz (55%) viennent de prendre la tête des résultats provisoires. Les deux PLR Isabelle Moret (53,4%) et Frédéric Borloz (53,33%) suivent. Vassilis Venizelos remonte (49,28%), Valérie Dittli baisse (49%). Celsa Amarelle reste encore hors des places élective (46%) et c'est désormais l'UDC Michaël Buffat qui clôt le classement (44,7%).
13h30: A 77% du dépouillement dans le canton, le classement de ce second tour ne change pas. Les deux PLR Frédéric Borloz (56,25%) et Isabelle Moret (56,17%) sont toujours en tête. Les deux socialistes remontent, notamment grâce au vote des villes : Nuria Gorrite (53,4%) et Rebecca Ruiz (52,7%).
La centriste Valérie Dittli (51,45%), et l'UDC Michaël Buffat (47,45%) complètent les places électives et seraient, à l'heure actuelle, élus.
Vassilis Venizelos à 46,3% et Cesla Amarelle à 43,5% seraient actuellement les candidats malheureux de cette élection.
13h00: Certaines des grandes villes vaudoises commencent à dévoiler leurs résultats au second tour de l'élection. Par exemple à Montreux, un vote plutôt diversifié : le PLR Frédéric Borloz sort en tête, devant les deux socialistes Nuria Gorrite et Rebecca Ruiz et Isabelle Moret.
A Vevey, c'est un vote compact pour le ticket de gauche qui est sorti en tête. Nuria Gorrite, Rebecca Ruiz, Vassilis Venizelos et Cesla Amarelle se retrouvent aux quatre premières places. La commune de Nyon a également voté en ce sens, plaçant le ticket complet de gauche aux quatre premières places.
12h55: Ce sont désormais 66% des bulletins qui ont été dépouillés pour ce second tour de l'élection. Deux des candidates socialistes remontent dans les résultats.
C'est toujours le PLR Frédéric Borloz qui domine la course avec 56,90% des voix. Sa colistière Isabelle Moret le suit de très près, à moins de 30 suffrages, à 56,88%.
Les deux sortantes Nuria Gorrite (53,1%) et Rebecca Ruiz (52,4%) dépassent Valérie Dittli (51,96%) lors de ce pointage. Michaël Buffat, le candidat UDC, complète les six premières places avec 48,2% des suffrages.
Les deux candidats de la gauche, Vassilis Venizelos (45,6%) et Cesla Amarelle (42,9%) seraient actuellement les deux candidats malheureux.
12h20: Le dépouillement des bulletins de ce second tour de l'élection au Conseil d'Etat avance rapidement. Le contenu de 47% des enveloppes est déjà connu.
Pour l'heure, c'est le PLR Frédéric Borloz qui est en tête de la course avec 58,5% des voix, juste derrière sa colistière Isabelle Moret (58,4%). Suivent la centriste Valérie Dittli (53,1%), Nuria Gorrite (52,1), Rebecca Ruiz (51,3), Michaël Buffat (49,7).
A ce stade, les deux candidats malheureux seraient Vassilis Venizelos (44%) et Cesla Amarelle (41,5%). Et la majorité basculerait à droite.
La campagne des élections cantonales vaudoises prend fin ce dimanche. Les bureaux de vote viennent tout juste de fermer leurs portes. Le dépouillement peut commencer. On devrait connaître la composition du gouvernement de la législature 2022-2027 en milieu d'après-midi.
Six sièges à distribuer
Pour l'heure, un seul des sept sièges de l'exécutif a été attribué. Il sera occupé par la PLR Christelle Luisier Brodard, élue au premier tour qui s'est tenu le 20 mars dernier.
Huit candidats sont en lice pour ravir un siège lors de ce deuxième tour. Quatre font partie de l'alliance vaudoise, formée par le PLR, le Centre et l'UDC. Il s'agit des libéraux-radicaux Isabelle Moret et Frédéric Borloz, de l'UDC Michaël Buffat et de la centriste Valérie Dittli. A gauche, l'alliance PS-Verts présente les socialistes sortantes Rebecca Ruiz, Cesla Amarelle et Nuria Gorrite, ainsi que l'écologiste Vassilis Venizelos.
Deux enjeux majeurs
Les enjeux pour cette élection sont au nombre de deux. Il s'agit déjà de savoir si la gauche va parvenir à conserver la majorité, après un premier tour plutôt favorable à l'alliance PLR-Centre-UDC. Autre enjeu: celui de la participation. Elle était plutôt faible au premier tour: 34%. Reste à savoir si les deux listes ont réussi à mobiliser l'électorat.
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MARCHAND
23 septembre 2021 à 10:12
Rien à faire vu que je ne vote plus depuis des années suite à la lecture de la "Note sur la suppression générale des partis politiques" de la philosophe Simone WEIL.
On est lucide et donc hyper intelligent ou on est con, c'est selon !