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Suisse Romande

VS: Prix à la hausse, quotas à la baisse pour les vendanges 2023

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En augmentant de 20 centimes le prix indicatif du kilo de vendange, la branche vitivinicole valaisanne veut "mieux rémunérer un secteur dont les coûts de production ne cessent d’augmenter" (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Pour la deuxième année consécutive, la branche vitivinicole valaisanne revalorise le raisin et le travail de la vigneronne et du vigneron en augmentant de 20 centimes le prix indicatif par kilo de vendange. Un "signal fort" allant dans le sens d'une "rémunération juste" pour des produits à haute valeur ajoutée, estime la faîtière.

"Nous sommes conscients qu’il risque d’y avoir une répercussion sur le prix du vin au final, mais ce n’est pas à la branche seule de supporter la hausse des coûts. Consommer local et durable a un prix", commente Cynthia Chabbey, directrice adjointe de l’Interprofession de la Vigne et du Vin (IVV), citée dans un communiqué publié mardi.

Une manière aussi de soutenir une activité viticole qui souffre actuellement "d’un manque de relève, dû notamment à une baisse de rentabilité". Cette hausse de 20 centimes en moyenne, avec des différences selon les cépages, a été négociée par les familles de la production et de l’encavage de l’IVV.

A noter que les montants proposés par l'IVV sont indicatifs et non pas contraignants pour les acheteurs.

Abaissement des quotas

Suite à la récolte historiquement basse de 2021, le marché du vin suisse est sain, explique l'IVV. L’enjeu est de conserver cet équilibre. C’est pourquoi la branche "a choisi de maintenir la production au-dessous des limites quantitatives cantonales, afin d’assurer une récolte raisonnable".

La limite a été abaissée pour les cépages traditionnels, Chasselas, Pinot Noir et Gamay, qui couvrent la moitié du vignoble valaisan, ainsi que pour les spécialités rouges.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Musée de la Réforme lance une invitation à voir l'invisible

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Le Musée international de la Réforme propose de "voir l'invisible" dans sa nouvelle exposition (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

"Voir l'invisible", la nouvelle exposition de Musée international de la Réforme (MIR), à Genève, qui s'ouvre le 30 janvier, propose au public un voyage dans le royaume des esprits et dans l'au-delà à travers 14 oeuvres d'art brut provenant des quatre coins du monde.

Ces créateurs et créatrices autodidactes, solitaires et marginaux, expriment dans une grande diversité de formes des interrogations existentielles et métaphysiques. Leurs peintures, dessins, sculptures ou broderies sont "des productions qui ouvrent sur l'altérité et l'invisible", relève le MIR sur son site internet.

Chacune des créations présentées a vu le jour dans une cellule d'un asile, une chambre exiguë, une cave, un grenier, un lieu retiré, "hors du temps", propice à l'imaginaire et à l'utopie. Les oeuvres sont le résultat "d'une vision ou d'une épiphanie en relation avec des défunts ou des forces occultes".

Les auteurs et les autrices de ces oeuvres ne "se considèrent pas comme des artistes, mais des messagers reliés à des défunts ou des divinités, en communion avec la nature et le cosmos". Selon le MIR, les créations qui sont exposées "incitent à l'introspection et aux interrogations existentielles".

Robe pour l'au-delà

Le Ghanéen Oko Ataa a ainsi conçu un coq géant qui est en réalité un sarcophage préparé pour un défunt réel. Le public pourra aussi découvrir la robe créée par la Française Jeanne Laporte-Fromage. Le vêtement a été cousu et brodé après le décès de son mari. Elle le porte pour retrouver son bien-aimé dans l'au-delà.

L'exposition montre aussi deux diagrammes "prophétiques" de Henry Dunant. Le fondateur de la Croix-Rouge s'est inspiré des Livres bibliques de Daniel et de l'Apocalypse. L'Américain John B. Murray, de son côté, révèle sa foi à travers "des dessins entremêlant des écrits volubiles et des figures totémiques".

L'exposition "Voir l'Invisible", qui s'ouvre le 30 janvier, se terminera le 1er juin 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Musée de Carouge présente un siècle de photos de classe

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Cette photographie d'une classe de l'Ecole Jacques-Dalphin date de 1914. Elle est exposée au Musée de Carouge. (© @CRIEE)

La nouvelle exposition du Musée de Carouge (GE), qui débute le 25 janvier prochain, est consacrée aux photos de classe du 20e siècle. Le public peut découvrir des clichés provenant de l'Ecole Jacques-Dalphin et de celle des Pervenches. A découvrir jusqu'au 27 avril 2025.

La photographie de classe est un véritable rituel social. Parmi les objets scolaires, elle figure depuis des générations comme un élément soigneusement conservé dans les archives personnelles, relève le Musée de Carouge.

Il n'est donc pas surprenant d'en retrouver des traces dans les musées, les collections et les fonds d'archives, comme ceux de la CRIÉE (Communauté de recherche interdisciplinaire sur l'éducation et l'enfance) qui collabore à cette exposition. Les Archives de la Ville de Carouge, les Archives de la vie privée et le Service des écoles et institutions pour l'enfance ont aussi participé.

Une époque et ses modes

Chaque détail ouvre une porte sur une époque, ses modes vestimentaires et ses environnements scolaires. Au 19e siècle, ces photos étaient souvent utilisées pour montrer la discipline et l'ordre au sein des établissements. Les élèves sont alignés, les visages souvent plus graves qu'aujourd'hui aussi parce que les temps de pose étaient longs.

Dans les années de guerre, l'habillement est modeste. Jusqu'en 1960, les tenues des enfants sont assez uniformes. Puis, au fil des décennies suivantes, ces portraits de groupe sont de moins en moins posés, reflétant les courants d'émancipation de l'époque.

Les photos de classe modernes capturent non seulement les visages des élèves, mais parfois aussi des moments plus spontanés, reflétant une approche plus libre et inclusive de la vie scolaire et toujours en miroir de la société. Ces photos permettent ainsi de se rendre compte de l'évolution scolaire au fil des décennies.

https://www.carouge.ch/photos-de-classe-pose-ou-grimace

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Introspection, nouveau coach, travail, Yverdon Sport se dit prêt

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À l'instar de cet arrêt face au FC Bâle, Yverdon doit stopper la spirale négative des derniers mois. Le break aurait fait le plus grand bien. ©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

La Super League reprend ce weekend. Yverdon-Sport retrouve la pelouse avec un objectif en ligne de mire: le maintien.

Le championnat reprend ce dimanche pour les Nord-vaudois. Ils se déplaceront au Letzigrund pour y affronter le FC Zurich. Une reprise après une première partie de saison et des fêtes de fin d'année quelque peu compliquées. Au classement, YS pointe au 10e rang avec 17 points. Les Yverdonnois ne se sont en effet imposés que quatre fois en 18 matchs. La forteresse qu'ils avaient créée au Stade Municipal est devenue plus que franchissable.

Résultat: Alessandro Mangiarratti a été remercié avant Noël. C'est à présent Paolo Tramezzani qui entraîne l'équipe. Mais les joueurs ont aussi leur part à jouer. Lors du dernier match avant la pause hivernale (défaite 0-1 contre Sion), Paul Bernardoni nous expliquait qu’ils devaient tous se regarder dans un miroir et faire leur autocritique. Le gardien a-t-il l’impression que quelque chose a changé dans la dynamique du groupe pendant cette pause?

Paul BernardoniGardien d'Yverdon Sport

Lors de la rencontre organisée jeudi avec le club et les médias, Paul Bernardoni a aussi donné du crédit au stage d'entraînement effectué au Portugal en tout début d'année. "Le fait de se retrouver et d'être ensemble 24h/24, ça permet d'apprendre à se connaître", explique-t-il.

Avec cet enchaînement de mauvis résultats, les Yverdonnois se sont enlisés dans une sorte de cercle vicieux. "Mais je pense qu'on s'y est mis un peu tout seul par moment, lâche le portier. On voyait des trucs bêtes, des décisions litigieuses, des poteaux. Alors que c'est toi et ta tête, toi et ta mentalité." Il a aussi souligné qu'avec ses coéquipiers, "on sait se dire les choses". Ont-ils donc mis sur la table tout ce qu'ils avaient sur le cœur?

Paul BernardoniGardien d'Yverdon Sport

"Il nous demande de moins nous plaindre"

Paul Bernardoni avoue être impatient de retrouver la compétition. L'attente a été d'autant plus longue pour le Français qu'il n'avait jamais vécu une pause hivernale aussi longue. "On a envie de tout déchirer dans cette deuxième partie de saison", sourit-il.

Les Yverdonnois peuvent compter sur l'expérience d'un nouvel entraîneur pour parvenir à leurs fin. Paolo Tramezzani connaît bien la Super League avec des passages à Lugano et surtout Sion. Même si le coach n’est pas là depuis longtemps, on ressent déjà quelques changements.

Paul BernardoniGardien d'Yverdon-Sport

Ce qui est demandé au technicien transalpin, c'est de maintenir l'équipe en Super League. Un défi qui lui plaît.

Paolo TramezzaniEntraîneur d'Yverdon-Sport

Fort de cette expérience, qu'espère-t-il apporter au club?

Paolo TramezzaniEntraîneur d'Yverdon-Sport

Dimanche, YS reprend le championnat avec un gros match contre le FC Zurich, à l'extérieur. Une rencontre qui servira de test. "On cherchera à comprendre nos limites, où on doit s'améliorer. Même pour moi, pour voir quelle est la bonne direction à prendre", explique Paolo Tramezzani. Le message que l'entraîneur essaie de faire passer aux joueurs pour entamer de la meilleure façon cette deuxième partie de saison? "Faire sentir aux gars qu'on a confiance en eux." Coup d'envoi à 14h15.

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Culture

TKM: convention de subventionnement renouvelée pour 4 ans

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La convention de subventionnement du Théâtre Kléber-Méleau à Renens (VD) a été renouvelée en décembre, tout comme le mandat de son directeur Omar Porras (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La troisième convention de subventionnement multipartite entre le Théâtre Kléber-Méleau (TKM) et onze collectivités publiques a été signée en décembre. Elle assurera à l'institution un financement pérenne sur quatre ans, jusqu'en 2028. Le mandat du directeur Omar Porras a été, lui, renouvelé jusqu'en 2030.

Cette convention a été paraphée par la Fondation du TKM et les municipalités de Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Jouxtens-Mézery, Lausanne, Renens, Prilly, Saint-Sulpice, Villars-Sainte-Croix ainsi que par l'Etat de Vaud, indique le TKM vendredi dans un communiqué. Elle est entrée en vigueur le 1er janvier.

En décembre 2017, une première convention avait été signée, dans le but d'atteindre la somme de huit francs par habitant pour toutes les communes. Elle visait à soutenir durablement le TKM, reconnaissant ainsi sa place dans le paysage théâtral romand.

A l'occasion de cette signature, le mandat d'Omar Porras, directeur du TKM, a été renouvelé pour cinq ans. Le comédien et metteur en scène avait succédé en 2015 à Philippe Mentha, créateur du théâtre en 1979.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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