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Genève

Le MAH, un futur campus muséal

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Le rapport de la commission d'experts chargé de plancher sur le futur Musée d'art et d'histoire est tombé.
Les experts mandatés par la Ville de Genève ont rendu leur rapport sur le futur Musée d’art et d’histoire. Le MAH sera agrandi sur le site de Charles Galland dans ses sous-sols et le bâtiment de la Haute école d’art et de design (HEAD) viendra compléter son périmètre. L’idée pour les experts est d’en faire un véritable «campus muséal au cœur de la cité ». Le Conseiller administratif en charge de la culture, Sami Kanaan:

Sami KanaanConseiller administratif en charge de la culture

 

Les expositions permanentes seront divisées en deux parties, avec Genève en ligne de mire. Les explications de Roger Mayou, directeur du Musée de la Croix-Rouge et membre de la commission d’experts:

Roger MayouDirecteur du musée de la Croix-Rouge et membre de la commission

 

En plus des expositions permanentes et temporaires, un véritable centre scientifique dédié aux arts et à l’histoire sera créé en collaboration avec l’Université. Le Conseiller administratif en charge de la culture Sami Kanaan:

Sami KanaanConseiller administratif en charge de la culture - Ville de Genève

 

Notez que les objets de la Maison Tavel seront rapatriés à Charles Galland et le musée Rath servira de lieu d’exposition au futur projet du MAH.

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Genève

Baume-Schneider: "l'OMS n'érodera pas la souveraineté des Etats"

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La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider estime qu'il ne faut pas "des décennies" avant de conclure un accord contre les pandémies mais qu'il ne faut pas non plus se précipiter pour un arrangement. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La désinformation autour de l'OMS impose aux politiques d'expliquer son rôle, dit Elisabeth Baume-Schneider. A deux semaines de la votation sur l'initiative pour l'intégrité physique, elle exclut toute possibilité pour l'OMS "d'éroder la souveraineté" des Etats.

"Nous devons prendre nos responsabilités pour expliquer le rôle des institutions" de gouvernance de la santé, a affirmé lundi à Keystone-ATS la conseillère fédérale, en marge de l'Assemblée mondiale de la santé à Genève. Depuis le début des négociations pour un accord contre les pandémies il y a deux ans, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'a cessé de battre en brèche les allégations qui l'accusent de vouloir se substituer aux Etats.

Une contre-offensive répétée lundi encore devant les membres par le directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus qui s'en est à nouveau pris à cette "désinformation". Une campagne de dénigrement aussi observée en Suisse sur les réseaux sociaux.

"Certaines affirmations sont erronées et la pandémie n'a pas contribué à apaiser certaines parties de la population", explique la cheffe du Département fédéral de l'intérieur (DFI). Il faut rassurer ces personnes et même certains parlementaires, ajoute-t-elle.

Les initiants du texte "Pour la liberté et l'intégrité physique" souhaitent que chaque individu puisse décider librement ce qui est injecté dans son corps, même en cas d'urgence sanitaire. "La Constitution est claire" et elle est "sans équivoque pour la protection de l'intégrité physique et psychique" des Suissesses et des Suisses, insiste la conseillère fédérale.

"Précipitation" à éviter

Pour le moment, les 194 membres de l'OMS n'ont pas trouvé de consensus dans les deux ans prévus pour un accord contre les pandémies. Des divergences entre pays du Nord et du Sud subsistent sur des questions de propriété intellectuelle, d'accès équitable aux vaccins ou de partage des indications sur les pathogènes.

La Suisse est notamment épinglée par les ONG et certains pays pour sa protection de ses entreprises pharmaceutiques. "Il faut laisser les personnes qui négocient faire leur travail", se contente de dire, prudente, la conseillère fédérale, qui admet que, "dans une négociation, chacun doit faire un pas", notamment pour établir la "confiance" indispensable à un consensus.

Comme d'autres, Mme Baume-Schneider estime que le délai de deux ans était "ambitieux". La Suisse veut un accord, "mais il ne faut pas se précipiter", dit-elle, appelant à réfléchir à une approche politique et technique adaptée au défi. Pour autant, "cela ne doit pas durer des décennies", dit la conseillère fédérale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Accusé de viol, Tariq Ramadan clame son innocence

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Acccusé de viol, Tariq Ramadan a de nouveau dû s'expliquer devant les juges genevois. (© KEYSTONE/Valentin Flauraud)

Le procès en appel de Tariq Ramadan s'est ouvert lundi à Genève. L'islamologue est accusé de viol et de contrainte sexuelle par une femme âgée aujourd'hui de 58 ans. Acquitté en première instance, l'intellectuel genevois a de nouveau clamé son innocence.

"Je suis absolument innocent de tout ce qui est dit et de tout ce qu'on affirme que j'ai pu faire", a déclaré Tariq Ramadan devant la Chambre pénale d'appel et de révision. L'islamologue a répété qu'il n'a jamais eu de relations sexuelles avec la plaignante une nuit d'octobre 2008, dans la chambre d'un hôtel genevois.

Il a expliqué avoir été abordé par la plaignante sur les réseaux sociaux. La femme se montrait "extrêmement entreprenante". Finalement, piqué par la curiosité, et mu par la volonté de savoir à qui il avait affaire, il lui a proposé de prendre un café entre deux avions.

D'emblée, Tariq Ramadan dit avoir douté de la véracité des propos tenus par cette femme qu'il ne connaissait pas. Dans la chambre d'hôtel, la situation a mal tourné, selon les dires de l'accusé. Ce dernier a raconté s'être retrouvé avec des extensions de cheveux dans ses mains et avoir vu du sang sur les habits de la plaignante.

"J'ai eu de la répulsion et l'impression d'avoir été piégé", a-t-il déclaré. Il a avoué avoir été grossier avec elle, mais, se sentant coupable de l'avoir blessée, il l'a autorisée à rester dans la chambre pour dormir, car il était trop tard pour qu'elle rentre chez elle.

Une vengeance

Tariq Ramadan a ensuite indiqué que cette femme s'est répandue sur les réseaux sociaux en affirmant de manière mensongère qu'il s'était passé quelque chose entre eux. Selon lui, la plaignante, humiliée d'avoir été éconduite, a voulu se venger, se liguant contre lui avec d'autres femmes pour "le faire tomber".

Interrogée par la Cour, la plaignante a donné une tout autre version de l'histoire. Elle a affirmé avoir bien été violentée et abusée dans cette chambre d'hôtel. L'acquittement en première instance de l'islamologue a été un choc pour elle. "J'ai dénoncé un viol et je m'étonne de n'avoir pas été reconnue en tant que victime".

Un rouleau compresseur

"On subit l'horreur et on cherche à se reconstruire. Quand on voit qu'on n'y arrive pas, on saisit la justice et c'est le rouleau compresseur", a déclaré celle que les médias surnomment "Brigitte". Quand le président de la Cour lui a demandé d'estimer son tort moral, la plaignante a balbutié et a fondu en larmes.

Lundi matin, la plaignante a été interrogée par la Cour sur certains détails du dossier, notamment concernant des messages qu'elle aurait postés sur les réseaux sociaux à propos de Tariq Ramadan et sur un blog qu'elle aurait géré, intitulé "va, cours, vole et nous venge", en référence à un vers du Cid de Corneille.

L'accusatrice a admis avoir écrit "compulsivement" à Tariq Ramadan pendant une période. "On m'a raillée et dit que j'étais une fofolle." La plaignante a toutefois déclaré n'avoir plus eu d'échanges avec l'islamologue à partir de février 2009, à l'exception d'un courriel en 2010.

Tariq Ramadan, de son côté, a rappelé que la plaignante lui avait envoyé des messages très suggestifs avant leur rencontre, avec des "je t'aime" et autres déclarations enflammées. Et que les messages qu'il a reçus de cette femme après leur rendez-vous étaient "exactement de la même teneur".

Tariq Ramadan, 60 ans, est atteint de sclérose en plaques. La maladie a été diagnostiquée en 2014.

Quatre femmes accusent également Tariq Ramadan de viol en France entre 2009 et 2016. Il n'a pas encore été jugé. A ce stade, l'avocat général a demandé que ne soit retenu qu'un seul viol aggravé, avec violences.

Le procès en appel se poursuit mardi avec l'audition de témoins.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Des dessins inédits d'Irène Zurkinden au Musée d'art et d'histoire

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Le Musée d'art et d'histoire à Genève présente dès samedi des dessins inédits de l'artiste suisse Irène Zurkinden, liée au mouvement surréaliste. (© )

Le Musée d’art et d’histoire de Genève (MAH) consacre du 1er juin au 29 septembre une exposition à l'artiste suisse Irène Zurkinden (1909-1987). Des oeuvres tirées d'un fonds de dessins inédit, découvert dans le cadre d'une recherche sur le surréalisme, seront montrées pour la première fois.

Irène Zurkinden a gravité dans le milieu surréaliste parisien dès 1929, tout en menant une carrière de peintre plus conventionnelle dans sa ville natale de Bâle, où elle retourne en 1939, en raison de la guerre. L'artiste reste dans l’ombre de Meret Oppenheim, son amie de jeunesse avec laquelle elle a échangé toute sa vie.

Le fonds de dessins, découvert récemment, permet de réévaluer sa place dans la scène artistique et les échanges qu'elle a eus avec des personnalités telles que Man Ray, Marcel Duchamp et Salvador Dali. L'exposition présente en trois volets 49 dessins, deux peintures et quatre carnets de croquis, se concentrant sur la période 1929-1939.

Les deux premiers volets portent sur la vie avant-gardiste parisienne, avec des figures comme Kiki de Montparnasse, et sur le milieu surréaliste, avec des dessins caractéristiques du mouvement. Le dernier propose des scènes plus intimes, voire érotiques, dans lesquelles apparaît son compagnon, le jazzman germano-brésilien Kurt Fenster, qu'elle a rencontré à Paris en 1934, et avec qui elle a deux fils, Nicolas (1937) et Stephan (1943).

Maîtrise du trait

Ces ½uvres graphiques témoignent d’une maîtrise du trait originale et décomplexée, note le MAH. Elles sont souvent accompagnées de textes poétiques faisant allusion au monde onirique: "Le retour à la réalité comme un rêve dissipé. (...) Laisser le temps partir seul, ne même pas le suivre du regard ni du regret".

Organisée à l'occasion du centième anniversaire du "Manifeste du surréalisme" (1924) par André Breton, cette exposition, qui se tiendra dans les cabinets du premier étage du MAH, donne l’occasion de rappeler les aspirations de liberté et de rêve du mouvement surréaliste. Elle fait partie d’un projet de recherche qui aboutira à la publication, en mai 2025, d'une importante monographie d'Irène Zurkinden.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Les avocats offrent deux journées de conseils gratuits

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L'Ordre des avocats de Genève organise l'Avocat dans la Cité, deux jours de conseils gratuits et sans rendez-vous. Cette année, l'association Juris Conseil Junior participera à l'opération en offrant des conseils juridiques aux enfants et aux jeunes de moins de 25 ans (illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Pour la neuvième fois, l'Ordre des avocats de Genève organise l'Avocat dans la Cité, deux jours de conseils gratuits et sans rendez-vous. Cette année, l'association Juris Conseil Junior participera à l'opération en offrant des conseils juridiques aux enfants et aux jeunes de moins de 25 ans.

D'une durée de 20 minutes, les consultations auront lieu jeudi et vendredi, de 9h à 19h, sous une tente à la place de la Madeleine. Une centaine d'avocats répondront, de manière confidentielle, à des questions dans tous les domaines du droit, qu'il s'agisse de droit du bail, de droit pénal, d'asile, des contrats, des successions ou encore des assurances sociales.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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