Suisse
Les avions de combat soumis au peuple
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Le Parlement veut soumettre au peuple la question de l'acquisition des avions de combat. Après le National, le Conseil des Etats a adopté par 22 voix contre 18 une motion du groupe bourgeois-démocrate en ce sens.
Le texte exige que le peuple suisse puisse se prononcer rapidement sur l'achat de nouveaux avions de combat. La question devrait être tranchée indépendamment du type d'avion, de la quantité et du coût du matériel, et s'effectuer dans le cadre du budget de l'armée.
S'ils ne contestent pas la nécessité de remplacer les avions actuels, les sénateurs se sont toutefois écharpés sur la voie à emprunter. Pour la majorité, l'adoption du texte renforce la démarche du Conseil fédéral.
Les acquisitions d'armement ne sont pas soumises à référendum. Toutefois, vu l'ampleur du renouvellement des moyens de protection, le gouvernement a choisi la voie d'un arrêté de planification soumis à référendum. Le projet mis en consultation porte sur 8 milliards et intègre la défense sol-air. Le Conseil fédéral doit bientôt décider s'il maintient le cap, après les critiques émises de tout bord.
Question rhétorique
Inquiets d'un nouveau refus après la votation sur les Grippen, les conservateurs ont poussé pour ne soumettre qu'une question de principe au peuple et le plus rapidement possible, soit avant les discussions sur l'acquisition elle-même au Parlement. Ils entendent ainsi éviter un débat de fond sur le nombre ou le prix de nouveaux avions.
Une position vivement critiquée. "Il faut solliciter le peuple au bon moment. Les Chambres doivent d'abord donner un visage à ces avions. Demander au peuple de voter sans savoir sur quoi, c'est aller un peu vite", a tenté de faire valoir Claude Hêche (PS/JU).
Et le Jurassien d'ajouter que la question posée est rhétorique. "Demander à quelqu'un de voter pour une armée opérationnelle dotée d'avions de combat modernes, c'est comme demander à quelqu'un s'il souhaite une voiture qui roule."
Initiative populaire possible
D'autres sénateurs ont argumenté qu'un rejet de la motion pourrait être interprété comme une opposition à la votation populaire. Et les projets du Conseil fédéral pourraient être combattu par une initiative populaire, ce qui retarderait le processus d'acquisition et provoquant des surcoûts.
Un référendum sur une question de principe maintenant n'empêcherait pas une initiative populaire plus tard, une fois les types d'avions et leurs coûts définis, a fait remarquer le ministre de l'armée. Guy Parmelin a cependant jugé la possibilité faible.
Crainte d'un référendum financier
Pour Hans Wicki (PLR/NW), l'acceptation de la motion mène sur la voie du référendum financier. Pourquoi ne devrions-nous soumettre que les avions au peuple et pas l'artillerie par exemple, a-t-il lancé, appelant à rejeter le texte.
Un argument balayé par le conseiller fédéral. Ni le nombre d'avion, ni le prix, ni encore les détails des équipements ne seront soumis au vote, a souligné Guy Parmelin. "Il ne s'agit donc pas d'un référendum financier. Le Parlement garde toutes ses compétences."
(ATS)
Suisse
L'auteur de l'attentat à la grenade écope de 17 ans et 6 mois
Le Tribunal pénal fédéral a prononcé une peine de 17 ans et 6 mois contre l'homme qui avait placé une grenade contre la voiture de son ancienne amie. Il est reconnu coupable de tentative d'assassinat. La peine est suspendue à l'exécution d'un traitement stationnaire.
Outre la tentative d'assassinat, l'accusé est condamné pour dommages à la propriété qualifiés, mise en danger au moyen d'explosifs et de nombreux délits routiers. La peine prononcée est supérieure à celle demandée par le Procureur fédéral qui avait requis 17 ans et une mesure thérapeutique également
Le prévenu, un Bâlois âgé de 54 ans, a expliqué aux enquêteurs qu'il ne supportait pas la rupture avec son amie. Au soir du 31 janvier 2024, il avait coincé une grenade à fragmentation dégoupillée contre sa voiture. Lorsque la femme s'était installée au volant, l'engin était tombé et avait explosé sous le véhicule. Elle s'en était tirée indemne.
Le jugement de la Cour des affaires pénales n'est pas définitif et peut être attaqué devant la Cour d'appel.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Défense: la Suisse revoit sa stratégie face à la menace actuelle
Le gouvernement suisse s'est doté d'une nouvelle stratégie de politique de sécurité pour les prochaines années afin de faire face à une "menace grandissante". Le plan, mis en consultation vendredi, doit prendre effet rapidement.
Les travaux ont déjà été lancés compte tenu de la menace actuelle, indique le Conseil fédéral dans un communiqué. La stratégie, dont la consultation court jusqu'au 31 mars 2026, comprend trois grands axes et une quarantaine de mesures.
Le renforcement de la cybersécurité et des effectifs de l'armée ainsi que l'accélération et la simplification des processus d'acquisition comptent parmi elles. Le gouvernement veut également contribuer à la sécurité européenne en renforçant sa coopération avec l'UE et l'OTAN.
La politique de sécurité de la Suisse se fondait jusqu'ici principalement sur des rapports publiés tous les 4 à 10 ans. La stratégie présentée vendredi se veut globale et intègre tous les partenaires. Aucun chiffre sur d'éventuels coûts n'est indiqué dans le plan.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La Suisse achètera moins de F-35 que prévu pour respecter le budget
La Suisse achètera "autant d'avions F-35 que possible" dans la limite de l'enveloppe financière de 6 milliards de francs. Aucun crédit supplémentaire ne sera alloué, a indiqué vendredi le Conseil fédéral. La volonté populaire sera respectée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Le Conseil fédéral est contre l'initiative pour la protection des frontières
Le Conseil fédéral ne veut pas de contrôles systématiques aux frontières. Il a décidé vendredi de rejeter l'initiative de l'UDC pour la protection des frontières, sans lui opposer de contre-projet.
L'initiative populaire "Stop aux abus de l'asile! (initiative pour la protection des frontières)" demande un contrôle systématique aux frontières et des restrictions dans le domaine de l'asile. Si ces mesures ne sont pas compatibles avec un accord international, le Conseil fédéral doit le renégocier, voire le dénoncer.
Pour le gouvernement, le texte serait difficile à mettre en oeuvre. Contrôler l'intégralité des frontières nécessiterait du personnel supplémentaire, ce qui engendrerait davantage de coûts et de contraintes. Cela créerait aussi des embouteillages et pénaliserait l'économie.
Le système de l'asile serait en outre surchargé, parce que le nombre de personnes dépendant de l'aide d'urgence augmenterait. La Suisse devrait également sortir du système de Schengen/Dublin. L'initiative serait incompatible avec d'autres traités internationaux.
Le Conseil fédéral rappelle que des mesures ont déjà été prises pour renforcer la sécurité aux frontières. Il devrait transmettre son message sur l'initiative au Parlement en automne 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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