Suisse
Les partis au chevet de l'accord-cadre
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Des représentants de tous les partis au Parlement ont rencontré trois membres du Conseil fédéral à Berne lundi pour discuter de l'accord-cadre institutionnel avec l'Union européenne (UE). A l'issue de la rencontre, les fronts ne semblaient pas avoir bougé.
Le président de la Confédération Maurer et les conseillers fédéraux Ignazio Cassis, du Département des affaires étrangères, et Guy Parmelin, chef du Département de l'économie, de la formation et de la recherche, ont participé à la réunion.
La "consultation" des chefs de parti a été une belle conversation, a dit Regula Rytz, la présidente des Verts sur Twitter. "Malheureusement, elle a confirmé que le Conseil fédéral n'avait pas de stratégie pour l'une des affaires les plus importantes de la législature."
Les Vert'libéraux ont aussi fustigé l'attitude du Conseil fédéral: "Le gouvernement manque de leadership. Au lieu de faire preuve de fermeté, il mène une consultation non contraignante, alors que rien ne se passe au niveau institutionnel."
Un "échange d'opinions"
"Je ne pense pas que l'idée était de produire des résultats aujourd'hui, a dit Beat Walti, président du groupe PLR au Parlement, après la rencontre. C'était plutôt un échange d'opinions et de positions."
"Le Conseil fédéral nous a expliqué son point de vue et tous les partis ont fait la même chose. Aucun parti n'a fait de déclaration fracassante", selon le Zurichois.
"On a posé des questions et remis notre liste, a poursuivi Roger Nordmann, président du groupe socialiste au Parlement. On attend les réponses."
Un accord "mort"
Selon Albert Rösti, le président de l'UDC, "le Conseil fédéral est plus proche du non que du oui. Pour moi, cet accord est mort, mais on verra après les élections fédérales, a-t-il souri. Actuellement seuls le PLR et les Vert'libéraux y sont favorables, a-t-il encore résumé.
Le président de l'UDC a trouvé intéressant d'entendre les autres partis critiquer l'accord-institutionnel. "Le peuple suisse n'a plus rien à dire. La Suisse perd sa souveraineté s'il faut reprendre automatiquement le droit européen."
La prochaine rencontre devrait avoir lieu mercredi entre les partenaires sociaux et le Conseil fédéral.
(KEYSTONE-ATS)
Suisse
Une colonie d'abeilles suisse sur cinq n'a pas survécu à l'hiver
Près d'un cinquième des colonies d'abeilles en Suisse n'a pas survécu à l'hiver. Les pertes ont été plus importantes que les années précédentes. La région lémanique est la plus touchée, indique mercredi la société Apisuisse.
Selon l'enquête traditionnelle sur la mortalité hivernale, 18,9% des colonies n'ont pas passé la saison froide, une proportion en hausse de 4 points par rapport à l'année précédente.
La mortalité des colonies d'abeilles la plus élevée a été enregistrée dans la région lémanique (GE, VD, VS) avec un taux de 28,9%. Le canton de Zurich (23,3%) et le Tessin (22,5%) se situent également au-dessus de la moyenne nationale. La Suisse centrale (LU, UR, SZ, OW, NW, ZG) enregistre le taux de mortalité le plus bas avec 15,8%.
"Miel de ciment"
La mortalité hivernale des colonies d'abeilles est un phénomène complexe. Depuis environ deux décennies, les pertes fluctuent à un niveau élevé, sans tendance claire, selon Apisuisse.
Cet hiver, le miel de forêt a particulièrement attiré l'attention. Les colonies qui ont passé l'hiver sur du miel de forêt ont enregistré des taux de pertes nettement plus élevés (23,4%) que celles qui ont reçu d'autres aliments (16,4%).
La raison pourrait être liée au miel dit de ciment, un miel contenant une forte proportion de mélézitose, un sucre qui fait cristalliser le miel dans les rayons. Selon Apisuisse, les abeilles ont alors besoin de beaucoup d'énergie et d'eau pour pouvoir traiter ce miel. En outre, il leur est peu digeste. Deux facteurs qui ont peut-être augmenté la mortalité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Région nyonnaise: fusion entre la NStCM et les TPN
Dans la région nyonnaise, sur la Côte, les transports publics s'associent. La fusion entre les Transports publics de la région nyonnaise (TPN) et la Compagnie du chemin de fer Nyon–St-Cergue–Morez (NStCM) a été formellement validée lors d'une assemblée générale des actionnaires à Genolier.
"Cette décision officialise la création d'une entité unique sur les plans juridique et comptable, tout en préservant l'identité visuelle de chacune des marques", écrivent mercredi les deux parties dans un communiqué commun. "Cette unification vise à optimiser la gouvernance, le financement et les processus internes".
Elle n'entraîne aucune suppression de poste, ni de modification des services pour la clientèle, assure-t-on. Les marques "NStCM" et "TPN" continueront d'exister avec leurs couleurs et leurs logos.
Mêmes lignes et horaires
"Pour le public, rien ne change. Les lignes, les horaires et les interlocuteurs restent les mêmes. Mais en interne, cette fusion nous permet de gagner en efficacité et en clarté administrative", explique Emmanuel Laurent, directeur de l'entreprise, cité dans le communiqué.
Depuis 1996, les TPN formaient une filiale du NStCM. Les deux entreprises partageaient déjà une direction commune ainsi que plusieurs services (finances, RH, IT, commercial). En revanche, elles conservaient jusqu'ici une gestion juridique, comptable et contractuelle distincte, rappellent leurs responsables.
Le processus de fusion a été validé par les deux conseils d'administration le 1er mai 2025. L'inscription au registre du commerce a suivi le 9 mai, sous le nom juridique unique de "Compagnie du chemin de fer Nyon-St-Cergue-Morez SA.". Lors de l'assemblée générale du 27 mai dernier, les nouveaux statuts ont été adoptés et le conseil d'administration renouvelé, avec à sa tête Regula Zellweger, syndique de Givrins et députée au Grand Conseil.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Valais: nouveau chef pour le Service des dangers naturels
Guillaume Favre-Bulle est le nouveau chef du Service valaisan des dangers naturels (SDANA). Actuellement responsable de la section dangers géologiques et ressources du sous-sol, il prendra ses fonctions le 1er octobre prochain à la place de Raphaël Mayoraz qui a fait valoir son droit à la retraite.
Formé à l'Université de Lausanne, Guillaume Favre-Bulle travaille comme géologue pour l'Etat du Valais depuis 2017. "Il jouit d'une expérience de plus de 15 ans dans la gestion des risques naturels, également acquise au sein de bureaux de géologie et d'ingénierie", indique mercredi l'Etat du Valais.
"Sa parfaite connaissance du secteur et sa maîtrise du fonctionnement étatique lui permettront de relever les défis inhérents à la conduite du SDANA ainsi que ceux découlant de la gestion intégrée et coordonnée des dangers naturels", poursuit le communiqué.
Raphaël Mayoraz avait annoncé en début d'année son intention de partir à la retraite cet automne. Arrivé en 2014 à l'Etat du Valais, il a notamment été responsable de la Section dangers naturels au sein du Service des forêts, des cours d'eau et du paysage. Puis, lorsque le SDANA a été créé, il en est devenu le chef en 2022.
Ces derniers mois, Raphaël Mayoraz a été particulièrement au front, par exemple lors des intempéries de l'été dernier ou tout récemment avec l'éboulement à Blatten.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Un double national suisse et tunisien est emprisonné en Tunisie
Un double national suisse-tunisien est détenu dans une prison en Tunisie. Ancien cadre du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), il a été arrêté il y a un an pour son engagement en faveur des droits des personnes réfugiées, écrit Amnesty.
Sa détention s'inscrit dans le cadre d'une vague de répression du gouvernement contre la société civile, écrit mercredi Amnesty International. En 2016, il a fondé le Conseil tunisien pour les réfugiés (CTR), une organisation qui aide au pré-enregistrement des demandeurs d'asile et à la fourniture d'une aide de base, en étroite collaboration avec le HCR.
En mai 2024, son organisation a publié une annonce recherchant des hôtels pour héberger des demandeurs d'asile et des personnes en situations précaires. Des médias et des réseaux sociaux tunisiens ont affirmé que le CTR encourageait l'installation de migrants illégaux, selon Amnesty.
L'ONG demande sa libération immédiate. Selon Amnesty, l'homme âgé de 81 ans partage une cellule avec une trentaine de codétenus, sans accès à des soins médicaux. Sa santé, déjà fragile, se détériore rapidement.
Intervention du DFAE
Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) suit de près l'évolution de ce cas, a-t-il indiqué mercredi à l'agence Keystone-ATS. L'ambassade de Suisse en Tunisie et la centrale du DFAE à Berne sont intervenues à très haut niveau auprès des autorités tunisiennes en faveur de ce citoyen binational.
L'ambassade assure la protection consulaire de l'homme et est en contact étroit avec ses proches et les autorités locales compétentes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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