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International

Max Verstappen, champion du monde pour la troisième fois de rang

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Le Néerlandais Max Verstappen peut bomber le torse. Il a enchaîné trois titres mondiaux de rang. (© KEYSTONE/AP/Darko Bandic)

Max Verstappen (Red Bull) a décroché un troisième titre consécutif de champion du monde de Formule 1 à seulement 26 ans lors du sprint du GP du Qatar, samedi sur le circuit de Lusail.

Il a profité de l'abandon de son coéquipier Sergio Pérez.

Le Néerlandais n'avait besoin que de trois points pour être titré, et le pilote mexicain était le seul adversaire qui pouvait encore retarder son sacre. Il a dû abandonner après avoir été percuté par le Français Esteban Ocon (Alpine).

Verstappen, troisième au moment de l'accident de Pérez, n'a finalement même pas eu besoin d'attendre la fin du sprint, qu'il a terminé en deuxième position derrière l'Australien Oscar Piastri (McLaren), pour être couronné: il aurait été titré même s'il avait abandonné avant la fin de la course longue de 19 tours.

Ce dénouement, attendu depuis des semaines, vient récompenser la saison presque parfaite du Néerlandais, qui a remporté 13 des 16 premiers Grands Prix cette saison, dont une série record de dix victoires consécutives.

A part sur le circuit urbain de Singapour, où il a fini cinquième mi-septembre, Verstappen a toujours terminé à l'une des deux premières places cette année et décroche sa troisième couronne à six courses de la fin de la saison, égalant la marque de la légende allemande Michael Schumacher en 2002.

Le pilote Red Bull, qui avait déjà offert le titre des constructeurs à son écurie au Japon il y a deux semaines, a parfaitement exploité l'immense supériorité de sa monoplace RB19 tout au long de la saison, ne commettant quasiment jamais d'erreur.

Verstappen, qui s'était approprié le record de victoires consécutives en F1 début septembre à Monza, sur les terres du grand rival Ferrari, devrait battre encore plusieurs records dans les prochaines semaines, comme celui du plus grand nombre de points inscrits en une saison ou de l'écart le plus important avec son premier poursuivant.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hockey

Alina Müller et Boston battus dans la "finalissima"

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Alina Müller (à droite) et Boston ont été battus 3-0 par Minnesota dans le match décisif de la finale des play-off (© KEYSTONE/AP/Mary Schwalm)

Boston et Alina Müller ne sont pas parvenus à décrocher le premier titre de la Ligue professionnelle nord-américaine de hockey féminin.

L'équipe du Massachusetts s'est inclinée 3-0 à domicile face à Minnesota mercredi dans le cinquième match décisif de la finale de PWHL.

Alina Müller - qui avait marqué l'unique but du match 4 en prolongation - et ses coéquipières ont donc été blanchies pour la deuxième fois dans cette série. Elles avaient déjà perdu l'acte II dans leur arène de Lowell, à environ 50 kilomètres de Boston, sur le même score.

Alina Müller a réussi au total 7 buts et 12 assists en 32 matches disputés dans cette première saison de la PWHL. En play-off, l'attaquante zurichoise de 26 ans a réalisé trois points dont deux buts, tous deux inscrits en finale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

14 militants hongkongais prodémocratie "coupables" de subversion

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Parmi les accusés figure l'ex-député Leung Kwok-hung (à gauche sur le cliché). (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Quatorze personnes ont été reconnues "coupables" de subversion jeudi à Hong Kong lors du plus important procès contre des militants prodémocratie depuis que Pékin y a instauré une loi de sécurité nationale. Le prononcé des peines est attendu plus tard dans l'année.

Cette loi promulguée à la mi-2020 a permis d'écraser toute dissidence à Hong Kong après d'importantes manifestations prodémocratie, parfois violentes, en 2019 dans ce territoire du sud de la Chine.

Les autorités hongkongaises ont inculpé 47 figures de proue de l'opposition, issues de l'ensemble du spectre politique, pour "conspiration à des fins de subversion", affirmant que leurs activités politiques visaient à faire tomber le gouvernement.

La justice s'est prononcée jeudi sur le cas des seize accusés qui, parmi les 47, avaient plaidé non coupables. Les ex-députés "Long Hair" Leung Kwok-hung et Ray Chan ainsi que l'ancienne journaliste Gwyneth Ho font partie des 14 accusés reconnus coupables de subversion. En revanche, le tribunal a déclaré non coupables deux anciens conseillers de district.

Réclusion à perpétuité encourue

Les militants condamnés avaient prévu de saper l'autorité du gouvernement et, "selon nous, cela aurait entraîné une crise constitutionnelle pour Hong Kong", ont écrit trois juges de la haute cour. Les trois magistrats avaient été triés sur le volet.

La plupart des accusés sont derrière les barreaux depuis 2021. Tous ont été inculpés en 2021 de "conspiration en vue de commettre des actes de subversion", des faits passibles de la réclusion à perpétuité. Ils sont poursuivis pour avoir organisé en 2010 une élection primaire officieuse destinée à sélectionner des candidats de l'opposition en vue des législatives.

Leur objectif était d'obtenir une majorité au sein de l'assemblée partiellement élue de la ville, afin d'opposer notamment leur veto aux budgets et de forcer potentiellement à la démission la dirigeante pro-Pékin de Hong Kong alors en place, Carrie Lam, selon le parquet.

La défense a fait valoir que la loi fondamentale, qui sert de constitution à Hong Kong, prévoyait les mécanismes permettant ce projet et qu'il s'agissait donc "d'une question purement politique plutôt que d'une question juridique".

Pas de jury

Le procès s'est tenu sans jury, ce qui constitue une entorse à la tradition judiciaire de Hong Kong.

L'affaire a été suivie de près par la communauté internationale. Des diplomates des consulats français et italien et d'autres de l'Union européenne se sont rendus au tribunal jeudi.

Les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux ont émis des critiques à l'encontre de Pékin, estimant qu'il réduisait les libertés promises lors de la rétrocession de l'ancienne colonie britannique à la Chine en 1997.

L'arrestation des principaux accusés en janvier 2021, dont Leung Kwok-hung, le juriste Benny Tai et l'ex-députée pro-démocratie Claudia Mo, avait conduit les Etats-Unis à imposer des sanctions à six responsables chinois et hongkongais. Benny Tai et Claudia Mo ont décidé de plaider coupable.

Le consul général des Etats-Unis à Hong Kong Gregory May, a indiqué en mai que Washington allait "suivre de près les verdicts attendus et leurs condamnations".

Nouvelles arrestations

Cette semaine, la police de Hong Kong a annoncé avoir arrêté sept personnes en deux jours pour la publication sur le réseau social Facebook de "messages à caractère séditieux".

Ces arrestations sont les premières en lien avec une nouvelle loi sur la sécurité nationale entrée en vigueur en mars et qui prévoit des peines de prison pouvant aller jusqu'à la perpétuité pour cinq catégories de crimes, dont la trahison, l'insurrection, l'espionnage, le sabotage et l'ingérence extérieure.

Ce texte a supprimé par ailleurs les possibilités de réduction de peine d'un tiers pour bonne conduite pour les personnes condamnées au titre de la sécurité nationale, ce qui a porté un coup aux 31 accusés prodémocratie qui avaient choisi de plaider coupable avec l'espoir d'une éventuelle libération anticipée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Premiers déplacés climatiques du Panama relogés sur le continent

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Une cinquantaine des 365 îles de l'archipel de la comarque indigène Guna Yala sont habitées. (© KEYSTONE/EPA/Bienvenido Velasco)

Une communauté indigène du Panama a officiellement reçu mercredi du gouvernement les logements sur le continent où elle va progressivement s'installer pour fuir son îlot menacé par la montée du niveau des mers. Ce sont les premiers déplacés climatiques au pays.

Lors d'une cérémonie, le président Laurentino Cortizo a inauguré le quartier Nuevo Carti, construit dans la région indigène de Guna Yala pour reloger les 1200 habitants de l'île Carti Sugdupu, située à environ 15 minutes en bateau des côtes.

D'une superficie de 41 m2, les maisons disposent de l'eau courante et de l'électricité et sont entourées d'un terrain de 300 m2.

Sur l'îlot surpeuplé de Carti Sugdupu, de la taille de cinq terrains de football, les habitants vivent dans des conditions très précaires, manquant d'eau potable et souvent sans électricité. Le sol des habitations est en terre battue, les murs et les toits en bois ou tôle.

"Pays développés" pointés

Et pour couronner le tout, la mer ne cesse de monter. Selon les scientifiques, le réchauffement climatique entraîne une élévation du niveau des mers, principalement en raison de la fonte des glaciers et des calottes glaciaires.

"La crise climatique que connaît le monde [...] nous a contraints, ici au Panama, à procéder à ce déménagement de l'île à ce lotissement d'environ 300 maisons", a déclaré M. Cortizo, en remettant les clés d'une maison à une famille.

Le président panaméen, qui achèvera son mandat le 1er juillet, a rendu les "pays développés" responsables de la "crise" climatique "que connaît le monde", en raison de la production de gaz à effet de serre.

"Nous devons nous conformer à l'accord de Paris, qu'ils ne respectent pas. C'est très important", a-t-il estimé, faisant état d'autres îles au Panama "dans une situation de vulnérabilité" similaire en raison de l'élévation du niveau de la mer.

Carti Sugdupu est l'une des 365 îles de l'archipel de la comarque indigène Guna Yala, dans le nord-ouest du Panama. Une cinquantaine d'entre elles, toutes situées entre 50 cm et un mètre au-dessus du niveau de la mer, sont habitées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Mort de Maradona: le procès de son équipe médicale encore reporté

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Maradona est décédé d'une crise cardio-respiratoire le 25 novembre 2020, à l'âge de 60 ans, sur un lit médicalisé d'une résidence de Tigre, où il était en convalescence après une neurochirurgie pour un hématome à la tête (archives). (© KEYSTONE/AP/MARCOS BRINDICCI)

Le procès très attendu de huit professionnels de santé pour négligence potentielle ayant entraîné la mort de l'ancien footballeur Diego Maradona en 2020 a été reporté au 1er octobre par un tribunal argentin. Il devait commencer la semaine prochaine.

La légende argentine du football est décédée d'une crise cardio-respiratoire le 25 novembre 2020, à l'âge de 60 ans, seul, sur un lit médicalisé d'une résidence de Tigre, au nord de Buenos Aires, où il était en convalescence après une neurochirurgie pour un hématome à la tête.

En mars 2023, la justice argentine avait confirmé en appel le procès à venir de huit professionnels de santé, qui avaient été envoyés en 2022 devant la justice pour négligence potentielle ayant entraîné la mort de Maradona. Ces huit praticiens sont un neurochirurgien et médecin traitant, un médecin clinicien, une psychiatre, une psychologue, un chef infirmier et des infirmiers. Tous demeurent en liberté.

Les accusés avaient contesté soit leur renvoi en procès, soit le chef retenu, évoquant un homicide involontaire. Mais la justice, en appel, a maintenu la qualification d'"homicide avec dol éventuel", soit une infraction caractérisée lorsqu'une personne commet une négligence tout en sachant que celle-ci peut entraîner la mort. Elle est passible de 8 à 25 ans de prison.

Un mausolée

Mercredi, la chambre d'appel du tribunal de San Isidro, dans la province de Buenos Aires, a décidé de "suspendre l'audience prévue le 4 juin et de la reprogrammer le 1er octobre à partir de 09h30 locales". Il existe "une série de questions soulevées par les différentes parties qu'il reste encore à résoudre avant le début des audiences".

Dans la même résolution mercredi, le juge a décidé de ne pas accéder "pour le moment, au transfert de la dépouille" de Maradona, une sollicitude présentée il y a quelques semaines par ses filles et son ex-compagne Veronica Ojeda.

L'idée est de transférer les restes de l'ancien numéro 10, qui repose dans un cimetière privé à Bella Vista, en banlieue de Buenos Aires, vers le quartier central de Puerto Madero pour en faire un mausolée, où "le peuple argentin et les citoyens du monde puissent rendre hommage à celui qui fut la plus grande idole de l'Argentine".

Le juge a motivé sa décision temporaire d'"éventuelles mesures qui pourraient être requises" dans le cadre du procès.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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