Économie
Démystifier les mythes du Forex
Si vous découvrez un marché capable de négocier environ 5 milliards d'euros chaque jour, et qui est également ouvert à toute personne disposant d'une connexion Internet, alors vous pourriez être tenté d'entrer sur ce marché et d'avoir également une part du gâteau.
Comme pour tout ce qui semble aussi miraculeux, la méfiance grandit parmi les sceptiques, qui sont naturellement enclins à penser que c'est tout simplement trop beau pour être vrai. Les marchés comme le Forex sont naturellement un pôle d'attraction pour les mythes et les idées fausses. Laissez-nous vous guider à travers certains des mythes les plus populaires entourant le trading en ligne.
Mythe #1 : Vous n'avez pas besoin d'un diplôme pour trader
Beaucoup de gens pensent que toute activité qui implique d'investir ou de vendre des actions nécessite d'avoir un diplôme en finance ou en économie. Mais ce n'est pas le cas pour le Forex. Cela ne signifie pas que vous n'avez rien à étudier pour commencer à trader.
Même lorsqu'il existe de nombreuses ressources éducatives sur le Web, vous devez toujours investir beaucoup de temps, d'attention et d'énergie dans l'étude des fondamentaux de l'économie et de la finance, en particulier lorsqu'il s'agit de faire des affaires à l'international. Vous n'avez peut-être pas besoin d'un diplôme, mais vous avez encore beaucoup de travail à faire.
Mythe #2 : Vous devez avoir beaucoup de capital pour démarrer
Il y a quelques décennies, vous deviez avoir accès à de grosses sommes d'argent si vous vouliez investir de manière sérieuse. Cet accès impliquait d'avoir des connexions dans les réseaux des banques ou des sociétés de fonds financiers. En d'autres termes, vous deviez avoir de l'argent et beaucoup de connaissances puissantes.
De nos jours, si vous souhaitez commencer à trader sur des marchés comme le Forex, vous pouvez le faire en investissant dans l’euro-dollar, par exemple, de petites sommes d'argent. Cette ouverture a été rendue possible grâce à l'avènement d'outils technologiques qui ont rendu le marché accessible à tous ceux qui sont prêts à tenter leur chance en échangeant des devises étrangères.
Mythe #3 : Le marché est imprévisible
Ce n'est pas un mythe, c'est juste la pure réalité. Ce qui relève des idées fausses, c'est l'idée que vous ne pouvez pas vraiment investir dans un marché instable et volatil. Le marché financier est très dynamique, ce qui est généralement un euphémisme pour dire qu'il rejette toute forme de prédiction, mais votre travail en tant que trader consiste en fait à rester attentif aux modèles de comportement toujours changeants du marché.
C'est là que le travail entre en jeu. Vous devez suivre l'actualité financière et économique, vous devez rester en contact avec d'autres commerçants, vous devez être encadré par des commerçants plus expérimentés. En un mot, vous devez rester au top du marché afin de pouvoir reconnaître les opportunités de trading que vous pouvez saisir.
Mythe #4 : On peut devenir millionnaire très rapidement
C'est, sans aucun doute, le mythe le plus dangereux entourant le Forex. Ce marché échange une énorme somme d'argent chaque jour, mais cela ne signifie pas que quiconque y participera finira par gagner des millions d'euros. Le trading sur le Forex peut être accessible, mais vous devez acquérir une bonne compréhension du marché. Et cela prend beaucoup d'années à accomplir.
Les gens, en particulier les commerçants débutants, aiment entendre les histoires de commerçants qui ont pu gagner beaucoup d'argent en peu de temps. C'est peut-être en partie vrai, mais cela représente aussi une petite et rare exception. Les mythes appartiennent au domaine de la fantaisie, donc ce qui vous ramènera vraiment sur terre, c'est le travail acharné, rien d'autre, rien de plus.
Économie
Italie: nouvelle baisse de la production industrielle en avril
La production industrielle en Italie a enregistré en avril une baisse pour le quatrième mois consécutif. Elle a cédé 1,9% par rapport à mars, a indiqué vendredi l'Institut national des statistiques (Istat).
Elle avait déjà baissé de 0,6% en mars, de 0,1% en février et de 0,7% en janvier. Sur la période février-avril, la production industrielle a diminué en moyenne de 1,3% par rapport au trimestre précédent. La production industrielle en Italie n'avait progressé que de 0,5% en 2022, dans un contexte de crise de l'énergie et de guerre en Ukraine.
Tous les principaux secteurs industriels ont connu une baisse en avril sur un mois, les biens intermédiaires (-2,6%), les biens de consommation (-0,4%), le secteur de l'énergie (-0,3%) et les biens d'équipement (-2,1%). Comparé à avril 2022, la production industrielle a diminué de 7,2%, en données corrigées des effets de calendrier.
L'Italie a vu son Produit intérieur brut (PIB) augmenter de 0,6% au premier trimestre par rapport au précédent, notamment grâce à la bonne tenue des services. Après avoir enregistré un recul du PIB de 0,1% au quatrième trimestre 2022, l'Italie a échappé ainsi à la récession et affiche une croissance nettement supérieure à la moyenne de la zone euro, entrée en récession technique en début d'année avec un PIB reculant de 0,1%.
La croissance économique de l'Italie a atteint 3,7% en 2022, après une hausse record du PIB de 7% en 2021.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Imposition du télétravail des frontaliers
Les frontaliers travaillant partiellement en télétravail doivent être totalement imposés en Suisse. Le Conseil fédéral a mis vendredi en consultation une révision de loi visant à inscrire une base légale nationale.
Les frontaliers paient en Suisse l'impôt à la source sur le revenu de leur activité lucrative. Cependant, en vertu des conventions en vigueur, la part exercée en télétravail peut être imposée par le pays de résidence.
L'imposition de cette part en Suisse est possible si le droit d'imposer revient à la Suisse en vertu d'un traité international et s'il existe une norme d'imposition expresse en droit interne.
Le gouvernement entend donc répondre à cette deuxième condition. Des recettes fiscales sont garanties. La consultation court jusqu'au 2 octobre.
Depuis le 1er janvier, conformément à un accord entre Berne et Paris, les frontaliers paient en Suisse l'impôt à la source sur l'entier de leur salaire, à condition qu'ils n'effectuent pas plus de 40% en télétravail.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Berne et UBS signent le contrat de garantie contre les pertes
La Confédération et UBS ont signé le contrat de garantie contre les pertes, convenu dans le cadre de la reprise forcée de Credit Suisse par son homologue zurichois.
Le numéro un bancaire helvétique ne pourra puiser dans cette garantie plafonnée à 9 milliards de francs qu'après avoir pris à sa charge 5 milliards.
"La Confédération a accordé à UBS une garantie couvrant les pertes éventuelles liées à la réalisation des actifs de Credit Suisse", a précisé le Département fédéral des finances (DFF) vendredi dans un communiqué. Le contrat a été signé ce vendredi.
Le DFF a souligné que "la Confédération et UBS ont pour priorité de réduire les pertes éventuelles et les risques afin d'éviter si possible un recours à la garantie de la Confédération".
Concrètement, les garanties portent sur un portefeuille précis d'actifs de Credit Suisse représentant environ 3% du total des actifs d'UBS au terme de l'acquisition. Dans le détail, il est composé de crédits, de produits dérivés, d'instruments non stratégiques et de produits structurés ne faisant pas partie du coeur de métier de la banque aux deux voiles.
Le soutien public ne couvre que les pertes réalisées et définitives.
Des bénéfices à la clé
Si UBS ne recourt pas à cette aide, la Confédération pourrait ressortir bénéficiaire de l'opération. UBS doit en effet verser une prime de garantie à Berne, se composant d'un versement de départ à hauteur de 40 millions de francs, de l'émolument annuel de 0,4 % prélevé sur les 9 milliards (soit 36 millions par année) et d'une prime de risque entre 0% et 4% en fonction des pertes déjà réalisées et encore attendues.
Credit Suisse a de son côté remboursé à la Banque nationale suisse (BNS) la totalité des emprunts accordés au titre du mécanisme public de garantie des liquidités (PLB). "La garantie n'a donc engendré aucune perte pour la Confédération, mais lui a au contraire rapporté des recettes de 111 millions francs", s'est réjoui le DFF.
Le contrat de garantie d'UBS prendra fin lorsque le portefeuille concerné par la garantie aura été définitivement réalisé. Le numéro un bancaire helvétique peut résilier le contrat de garantie à tout moment, mais renoncerait alors à la garantie de la Confédération.
La banque aux trois clés devra se plier à des règles strictes: elle doit gérer les actifs de manière à réduire les pertes et à maximiser les recettes, créer une structure dédiée, instituer un comité de surveillance et s'engager à conserver son siège en Suisse. La Confédération dispose quant à elle de droits d'information et d'audit étendus.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La Confédération et UBS signent un contrat de garantie
La Confédération et UBS ont signé le 9 juin un contrat de garantie couvrant les pertes éventuelles liées au rachat de Credit Suisse. Le Conseil fédéral en a pris connaissance vendredi. Cette garantie est limitée à 9 milliards de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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