International
Biden alerte contre le risque d'une "apocalypse" nucléaire
Les menaces russes d'utilisation de l'arme nucléaire dans le conflit en Ukraine font courir un risque d'"apocalypse", a estimé jeudi le président américain Joe Biden. C'est la première fois que le monde se retrouve dans cette situation depuis la guerre froide.
"Nous n'avons pas été confrontés à la perspective d'une apocalypse depuis Kennedy et la crise des missiles cubains" en 1962, a-t-il déclaré lors d'une collecte de fonds à New York. Selon lui, son homologue russe Vladimir Poutine "ne plaisantait pas" en proférant ces menaces.
"Il existe, pour la première fois depuis la crise des missiles cubains, une menace directe d'utilisation d'armes nucléaires, si les choses continuent de suivre la voie qu'elles empruntent actuellement", a encore dit le 46e président des Etats-Unis d'Amérique.
Du 14 au 28 octobre 1962, la crise des missiles installés à Cuba par l'Union soviétique et repérés par les Etats-Unis avait fait trembler la planète, laissant craindre une guerre nucléaire.
"Tous les moyens"
Confronté à une résistance ukrainienne tenace, alimentée par l'aide militaire occidentale, Vladimir Poutine a fait une allusion à la bombe atomique dans un discours télévisé le 21 septembre. Il s'était dit prêt à utiliser "tous les moyens" dans son arsenal face à l'Occident, qu'il a accusé de vouloir "détruire" la Russie. "Ce n'est pas du bluff", avait-il assuré.
Selon les experts, de telles attaques emploieraient probablement des armes nucléaires tactiques, plus petites en charge explosive qu'une arme nucléaire stratégique. Mais Joe Biden a prévenu que même une frappe nucléaire tactique risquerait de déclencher une conflagration plus large.
"Je ne pense pas que l'on puisse facilement [utiliser] une arme nucléaire tactique sans finir par provoquer l'apocalypse", a-t-il dit.
Vladimir Poutine "ne plaisante pas quand il parle d'un usage potentiel d'armes nucléaires tactiques ou d'armes biologiques ou chimiques, car son armée, on pourrait le dire, est très peu performante", a encore jugé le président américain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Decathlon défend le versement d'un milliard d'euros de dividendes
Le président de Decathlon, Fabien Derville, a justifié le versement d'un milliard d'euros de dividendes à la famille Mulliez, en soulignant, dans un entretien paru mercredi dans La Voix du Nord, que l'objectif était "un usage plus créateur de valeur, pas de richesse".
"Ce n'est évidemment pas de l'argent qui va dans la poche des actionnaires", a-t-il assuré, alors que les syndicats ont critiqué cette décision prise peu après l'annonce d'un plan social chez Auchan, autre entreprise appartenant à l'Association familiale Mulliez (AFM).
L'argent distribué lundi correspond à des "résultats cumulés de l'entreprise qui n'ont pas été distribués par le passé au travers de dividendes", a indiqué M. Derville, également membre du conseil de gérance de l'AFM.
"Si l'entreprise Decathlon a largement les moyens de suivre son propre développement, sa propre transformation, on est en droit de pouvoir en faire un autre usage au travers des enjeux de l'AFM", a-t-il dit.
M. Derville n'a pas voulu détailler l'usage prévu des fonds, indiquant seulement que "la vocation est entrepreneuriale": "nouveaux métiers, accélération de nos entreprises coeur et le cas échéant support à la transformation".
Après l'annonce début novembre d'un plan social menaçant 2389 emplois chez Auchan, "le momentum n'était pas idéal au niveau médiatique", a-t-il reconnu.
La CFDT a appelé à faire grève samedi chez Decathlon, en déplorant que les dividendes, versés alors que l'entreprise n'a selon ce syndicat pas atteint ses objectifs, ne soient pas utilisés pour des augmentations de salaires.
Le fonds ne provenant pas du "compte d'exploitation" de l'entreprise, le versement des dividendes n'affecte pas les négociations salariales en cours, a affirmé M. Derville, en soulignant que "Decathlon fait de la croissance" et ne prévoit pas de modifier ses prévisions de résultats même si "on peut ne pas atteindre tous les objectifs".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le fonds souverain norvégien exclut 2 sociétés israélienne et russe
Le fonds souverain de la Norvège, le plus gros au monde avec quelque 1700 milliards d'euros d'actifs, a exclu deux groupes israélien et russe. Cela en vertu de ses règles éthiques, a annoncé la banque centrale norvégienne mardi soir.
Le fonds s'est désengagé du groupe de télécoms israélien Bezeq, accusé de fournir ses services aux colonies israéliennes en Cisjordanie occupée, illégales au regard du droit international.
Dans son argumentaire, le Conseil d'éthique, organe consultatif qui guide les investissements du fonds, relève que Bezeq dit aussi desservir des territoires habités par les Palestiniens en Cisjordanie.
Droit international violé
Mais, souligne-t-il, "cela ne saurait compenser le fait que l'entreprise, par sa présence et la fourniture de services de télécoms aux colonies israéliennes en Cisjordanie, contribue à faciliter le maintien et l'expansion des colonies israéliennes (...) contribuant ainsi à violer le droit international".
Le fonds s'est aussi désinvesti d'Evraz, sidérurgiste russe coté à Londres, qui fournit de l'acier à l'industrie de défense russe, facilitant ainsi, selon le Conseil d'éthique, "la guerre d'agression illégale menée par la Russie contre l'Ukraine".
Sollicitations sans réponse
Faute d'avoir reçu des réponses à ses multiples sollicitations, le Conseil d'éthique dit avoir recommandé à la Banque de Norvège que l'entreprise russe soit exclue du portefeuille du fonds.
Au 30 juin, le fonds possédait 0,76% de Bezeq, une part alors valorisée à près de 23,7 millions de dollars, et 0,96% d'Evraz, soit une valeur de 1,4 million de dollar.
La Banque de Norvège annonce toujours ses décisions de désinvestissement après la vente de ses parts dans les entreprises concernées.
Alimenté par les revenus pétro-gaziers de l'Etat, le fonds souverain de la Norvège est le plus gros investisseur individuel au monde. Avec des parts dans près de 8800 entreprises et 71 pays, il détient en moyenne 1,5% de tous les groupes cotés sur la planète.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
L'armée syrienne lance une contre-offensive près de Hama
L'armée syrienne a lancé une contre-offensive mercredi pour repousser les rebelles qui s'approchent de Hama, dans le centre de la Syrie. La Russie, l'Iran et la Turquie sont en "contact étroit" pour stabiliser la situation dans ce pays.
La coalition de rebelles dominée par le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS), est arrivée aux portes de Hama, quatrième ville syrienne, où l'armée de Bachar al-Assad a dépêché des renforts.
"Après minuit, les forces du régime ont lancé une contre-offensive", sous une couverture aérienne, et ont pu repousser les assaillants, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
L'agence officielle syrienne Sana a affirmé mercredi que l'armée poursuivait ses opérations contre "les organisations terroristes" dans la province de Hama.
"Violents combats"
Elle a ajouté que "les unités de l'armée sont engagées dans de violents affrontements" avec les rebelles au nord-est et au nord-ouest de la ville.
L'OSDH, basée au Royaume-Uni mais qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie, a également fait état de "violents combats" en cours.
Deux villages repris
Selon l'Observatoire, les forces gouvernementales ont repris le contrôle de deux villages environnants et ont pu "repousser HTS à environ 10 km" de la ville de Hama.
Citée par Sana, une source militaire syrienne avait indiqué mardi que "d'importants renforts militaires" avaient été dépêchés dans cette ville stratégique du centre de la Syrie, sur la route reliant Alep à la capitale Damas.
La télévision syrienne a montré dans la nuit des images de Hama, où l'on peut voir des policiers et des soldats sur des places désertes.
Selon l'OSDH, les combats ont également déplacé "des dizaines de familles" de plusieurs zones de l'ouest et du nord de la province de Hama.
La perte d'Alep a constitué un revers majeur pour le régime de Bachar al-Assad.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Kyshawn George touché à la cheville
Coup dur pour Kyshawn George ! Le Valaisan s’est blessé à la cheville gauche lors de la défaite 118-87, la quinzième de rang, de Washington à Cleveland.
Kyshawn George souffre d’une entorse après être allé au duel avec Donovan Mitchell. Il s’est blessé au deuxième quarter alors qu’il comptabilisait un temps de jeu de 11 minutes riche de 6 rebonds et de 2 assists. Il a dû être aidé par des membres du staff des Wizards pour regagner les vestiaires. La durée de son indisponibilité n’est pas encore connue.
Le rookie n’a pas été le seul joueur de Washington à se blesser face à la meilleure équipe de la NBA. Corey Kispert a également été touché à la cheville alors que Malcolm Brogdon a ressenti des douleurs au genou.
Ce match s’est joué à la fin du deuxième quarter. Les Cavaliers ont signé un partiel de 10-0 pour mener 48-28 et voguer ainsi tranquillement vers une 19e victoire en 22 matches, la plus large de la saison avec cet écart de 31 points.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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