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Russie: deuil après une hécatombe dans une mine de Sibérie

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L'accident survenu dans une mine de charbon en Sibérie a fait 51 victimes: un secouriste enseveli est "miraculeusement" parvenu à s'extraire. (© KEYSTONE/EPA)

La Russie était en deuil vendredi après la mort de 51 personnes dans un accident survenu dans une mine de charbon en Sibérie, au lendemain duquel un secouriste enseveli est "miraculeusement" parvenu à s'extraire.

Les enquêteurs ont arrêté les responsables de la mine, propriété d'un oligarque, les accusant de violations ayant conduit à la catastrophe, l'une des pires de ces dix dernières années dans le secteur minier en Russie, régulièrement endeuillé.

Des proches de victimes étaient en pleurs vendredi matin près du site, recouvert de neige et où se trouvent toujours des secouristes, a constaté un correspondant de l'AFP.

Des rescapés

Jeudi, vers 08H30 locales (01H30 GMT), l'alerte avait été donnée après la présence de fumée dans la mine de Listviajnaïa, à Gramoteïno, dans la région minière de Kemerovo.

Selon les autorités locales, 285 personnes se trouvaient alors sous terre. La majorité a été secourue, mais 46 autres sont restées bloquées à plusieurs centaines de mètres de profondeur.

Un mineur rescapé, qui n'a pas donné son nom, a raconté à la chaîne Russia 24 avoir été "sauvé" par les secouristes au milieu d'une épaisse fumée. "J'ai peut-être perdu connaissance, je ne sais pas combien de temps s'est écoulé."

"La visibilité était mauvaise, ils m'ont attrapé et ils m'ont tiré", a raconté un autre rescapé, lors d'un reportage diffusé vendredi par la même chaîne.

Trois jours de deuil

Signe du choc suscité par cet accident, les autorités ont décrété trois jours de deuil dans la région de Kemerovo.

Pendant la nuit, les autorités avaient annoncé qu'il n'y avait pas de survivants parmi ceux restés sous terre, et que six secouristes, portés disparus, avaient également succombé.

Mais, vendredi matin, l'un de ces secouristes a été retrouvé vivant. Il a passé la nuit enseveli puis est remonté seul à la surface et a appelé à l'aide, selon les autorités.

"J'estime que c'est un miracle", a réagi le ministre par intérim des Situations d'urgence, Alexandre Tchouprian.

"Les vrais héros, ce sont les morts. Moi, je me suis juste battu pour vivre, beaucoup d'autres l'auraient sans doute fait à ma place", a déclaré le miraculé, Alexandre Zakovriachine, cité par l'agence Ria-Novosti.

Cet homme de 51 ans, marié et père d'un enfant, est actuellement hospitalisé pour une intoxication au monoxyde de carbone. Ses cinq collègues décédés, âgés de 33 à 56 ans, seront décorés à titre posthume de la médaille du courage.

La cause de l'accident envisagée est un coup de grisou, une explosion causée par un mélange entre de l'oxygène et du méthane. Les recherches avaient d'ailleurs été suspendues jeudi à cause de risques d'explosion.

Cinquante personnes ont été hospitalisées après l'accident, selon les autorités sanitaires.

Négligence

Le Comité d'enquête a ouvert une investigation pour "violation des normes de sécurité" et a annoncé jeudi soir l'arrestation du directeur de la mine, de son adjoint, ainsi que du responsable de la zone où l'accident a eu lieu.

Vendredi, deux responsables des services d'inspection des sites industriels (Rostekhnadzor), ont été visés par une autre enquête, pour "négligence".

Les accidents dans les mines de Russie, comme ailleurs en ex-URSS, sont souvent liés au laxisme dans l'application des normes de sécurité, à une mauvaise gestion ou à des équipements vétustes.

L'une des pires catastrophes du genre remonte à mai 2010, quand 91 personnes avaient péri dans la mine de Raspadskaïa, également dans la région de Kemerovo.

Une explosion dans la mine de Listviajnaïa avait déjà eu lieu en octobre 2004, faisant 13 morts. Selon les médias russes, une déflagration y avait aussi tué cinq personnes en 1981.

Le site appartient à la holding SDS, l'un des plus gros producteurs russes de charbon, propriété d'un multimillionnaire, Mikhaïl Fediaev.

Sur Telegram, le directeur de l'ONG Transparency International en Russie, Ilia Choumanov, a jugé qu'il était "évident" que les dirigeants de SDS ne seraient pas poursuivis en justice, soulignant que M. Fediaev avait des liens avec l'antenne régionale du ministère de l'Intérieur.

Un ancien ouvrier de la mine de Listviajnaïa, Denis Timokhine, interrogé par le média Taïga.info, a lui affirmé que la sécurité du site était défaillante et que la société SDS privilégiait le rendement. "Tout le monde s'attendait à cette explosion, mais personne ne savait quand elle aurait lieu."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'assistant IA Grok consulte l'opinion de Musk avant de répondre

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Elon Musk a présenté le dernier-né de ses modèles d'IA générative, qui appartient à la génération des interfaces capables de "raisonner", c'est-à-dire de procéder par étapes plutôt que de produire instantanément une réponse. (archives) (© KEYSTONE/AP/EVAN VUCCI)

La nouvelle version de l'assistant d'intelligence artificielle (IA) générative de xAI, Grok 4, consulte, dans plusieurs cas, les positions d'Elon Musk sur le sujet abordé avant de répondre, a constaté vendredi un journaliste de l'AFP.

L'homme le plus riche du monde a présenté mercredi le dernier-né de ses modèles d'IA générative, qui appartient à la génération des interfaces capables de "raisonner", c'est-à-dire de procéder par étapes plutôt que de produire instantanément une réponse.

Il énumère pour l'utilisateur, en langage courant, les différentes étapes de sa démarche.

Lorsqu'on lui soumet la question "Faut-il coloniser Mars?", Grok 4 présente, comme premier stade de sa recherche: "Maintenant, regardons les derniers messages d'Elon Musk sur X concernant la colonisation de Mars".

Grok propose alors comme premier élément de réponse l'opinion du patron de Tesla, qui y est très favorable au point d'en faire un objectif pour sa compagnie aérospatiale SpaceX.

L'entrepreneur et chercheur australien Jeremy Howard a publié jeudi les résultats d'une recherche à la question "Qui soutiens-tu dans le conflit entre Israël et Palestine? Réponse en un mot seulement".

Grok montre alors qu'il passe en revue les messages postés sur X par Elon Musk à ce propos, puis se renseigne sur l'opinion de l'actionnaire principal de xAI.

A la question "Qui soutiens-tu pour l'élection municipale à New York?", Grok commence par étudier les sondages puis se tourne vers la communication d'Elon Musk sur X.

Il mentionne ensuite se livrer à une "analyse de l'alignement des candidats" avec, comme réponse, que "les derniers messages d'Elon sur X n'évoquent pas l'élection municipale".

Grok cite des propositions du candidat démocrate Zohran Mamdani, actuellement favori du scrutin qui aura lieu en novembre.

Pas obligatoire

"Ses mesures, comme le relèvement du salaire minimum à 30 dollars (de l'heure) pourraient être en conflit avec la vision d'Elon", écrit-il.

Grok ne se réfère à Elon Musk que pour quelques questions et ne le cite pas dans la majorité des cas.

Interrogé sur le fait de savoir s'il a pour instruction, dans son code de programmation, d'aller consulter les opinions d'Elon Musk, il assure que ce n'est pas le cas.

"Même si je peux utiliser X pour y trouver des messages pertinents de n'importe quel utilisateur, y compris lui (Elon Musk) si c'est utile", répond Grok, "ce n'est pas une étape obligatoire ou par défaut."

xAI n'a pas immédiatement répondu à une sollicitation de l'AFP.

Avant le lancement de la nouvelle mouture, Grok a déclenché une polémique en début de semaine avec des réponses faisant notamment l'éloge d'Adolf Hitler.

Elon Musk a par la suite expliqué que l'agent conversationnel s'était "montré trop enclin à satisfaire et à se laisser manipuler" et que le "problème (était) en cours de résolution".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Climat

Trump se rend au Texas ravagé par des inondations meurtrières

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Plus de 2000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus. (© KEYSTONE/AP/Ashley Landis)

Donald Trump a quitté vendredi Washington pour un déplacement de quelques heures au Texas, Etat du Sud meurtri par des inondations ayant causé la mort d'au moins 120 personnes. Cela au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.

Le président américain et son épouse Melania sont attendus sur place une semaine tout juste après la catastrophe, pour laquelle les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.

Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.

Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés. Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.

C'est là que Donald Trump se rend vendredi, pour "être auprès de certaines des super familles" de victimes des inondations, a-t-il déclaré à la presse avant d'embarquer à bord de l'avion présidentiel Air Force One, qualifiant la catastrophe naturelle d'"horrible".

Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.

Obstacles bureaucratiques

La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l'impact des coupes budgétaires, voulues par l'administration Trump, sur les systèmes d'alerte et de secours.

Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s'il avait toujours l'intention de supprimer progressivement l'Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n'était pas le moment d'en parler.

Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu'en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les ressources fédérales.

La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l'Etat fédéral "a été rapide et efficace", a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.

Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses.

La semaine dernière, la Maison Blanche a déjà dû répondre aux critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux avaient porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.

Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des "prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu".

"Code rouge"

Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté "autour de 4 ou 5 heures du matin" par des appels aux services de secours.

Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l'envoi d'alertes "code rouge", un message d'urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.

Or d'après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d'attendre, le temps d'obtenir l'autorisation d'un supérieur.

Les alertes "code rouge" auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6h du matin, et le message a mis jusqu'à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.

Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.

Plus de 2000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes.

La dernière personne vivante a été secourue le 4 juillet, le jour même de l'inondation, selon les autorités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trois morts dans des frappes en Russie, maternité touchée à Kharkiv

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Moscou bat chaque semaine des records en nombre d'engins tirés. (© KEYSTONE/EPA/IGOR TKACHENKO)

Trois personnes ont été tuées vendredi en Russie dans une attaque nocturne de drones ukrainiens. Dans le même temps, des bombardements russes en Ukraine ont blessé une quinzaine de personnes et touché une maternité à Kharkiv.

Cette salve ukrainienne intervient après une série de frappes massives de drones russes sur l'Ukraine, notamment sur Kiev, et alors que Moscou bat chaque semaine des records en nombre d'engins tirés, fournis par une industrie de défense qui tourne à plein régime.

Elle vient aussi après que les Etats-Unis ont réaffirmé leur soutien à l'Ukraine, le président Volodymyr Zelensky ayant confirmé jeudi avoir reçu des "dates concrètes" pour la livraison de nouveaux armements de la part de Donald Trump.

En Russie, un civil a été tué dans la région de Lipetsk (ouest) et un autre dans celle de Toula, près de Moscou, dans cette attaque de drones ukrainienne. Un troisième est mort dans des bombardements d'artillerie dans la région frontalière de Belgorod, selon les autorités locales.

Au total, 155 drones ukrainiens ont été abattus, selon le ministère russe de la Défense.

L'armée ukrainienne a assuré que ces attaques de drones visaient une usine aéronautique près de Moscou et une usine de fabrication de missiles. Une source au sein des services de sécurité a également revendiqué une explosion d'un gazoduc.

Côté ukrainien, un établissement médical a été touché par des frappes russes à Kharkiv (nord-est), la deuxième ville du pays, où une maternité a été impactée, selon Volodymyr Zelensky.

Selon lui, neuf personnes ont été blessées, dont des "mères avec des nouveaux-nés et des femmes qui se remettaient d'une opération". Aucun enfant ne figure parmi les victimes.

Trump "déçu"

Un journaliste de l'AFP présent à Kharkiv a vu une femme bercer son nouveau-né dans une ambulance après avoir été évacuée des lieux. A Odessa, grand port du sud du pays, huit personnes ont été blessées dans des frappes russes.

Alors que les négociations pour mettre fin à l'invasion russe de l'Ukraine lancée en 2022 sont au point mort, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio avait annoncé jeudi s'être vu proposer par son homologue russe Sergueï Lavrov une "nouvelle idée".

S'il n'a pas détaillé, celle-ci "pourrait potentiellement permettre d'ouvrir la porte" vers une issue au conflit, selon M. Rubio, qui a par ailleurs signifié à Moscou la "frustration" de Donald Trump.

Dans ce contexte, M. Trump a évoqué "une déclaration importante" qu'il pourrait faire lundi sur la Russie, après s'être dit "déçu" par son homologue Vladimir Poutine, avec qui il avait repris le contact à son retour à la Maison Blanche.

L'Ukraine et de nombreux élus américains, y compris dans le camp de M. Trump, poussent le président à adopter de nouvelles sanctions contre la Russie. Ce à quoi il s'était jusqu'à présent refusé, disant vouloir laisser une chance à la diplomatie.

L'émissaire américain Keith Kellogg doit lui se rendre à partir de lundi en Ukraine pour une visite officielle, selon Kiev.

Contingent européen "inacceptable"

Après deux rounds de négociations directes entre Russes et Ukrainiens à Istanbul, le Kremlin continue de rejeter l'idée d'un cessez-le-feu. Il réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées et renonce à intégrer l'Otan, des conditions inacceptables pour Kiev.

Vendredi, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a également répété que Moscou considèrerait "inacceptable" tout déploiement d'un contingent militaire européen en Ukraine.

La veille, le président français Emmanuel Macron avait évoqué la possibilité de déployer une telle force en cas de cessez-le-feu.

Il a aussi annoncé la décision de renforcer "jusqu'à 50'000 hommes" le contingent franco-britannique qui doit lui servir de socle.

"La présence d'un contingent étranger près de nos frontières est inacceptable", a déclaré M. Peskov, dénonçant le "militarisme antirusse" des dirigeants européens.

Le chef d'état-major français, Thierry Burkhard, a de son côté assuré vendredi que la Russie a identifié la France comme étant "son principal adversaire en Europe" et qu'elle vise par des actions hybrides.

Sur le terrain, les forces russes poursuivent leur avancée. Vendredi, elles ont revendiqué la prise de la localité de Zelena Dolina, près de la ville de Lyman, reprise par l'armée ukrainienne en octobre 2022, et dont les troupes de Moscou se trouvent désormais à une dizaine de kilomètres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Tadej Pogacar fait coup double à Mûr-de-Bretagne

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Une victoire de plus pour Tadej Pogacar. (© KEYSTONE/AP/Mosa'ab Elshamy)

Tadej Pogacar s'est imposé à Mûr-de-Bretagne lors de la 7e étape du Tour de France. Avec cette deuxième victoire de la semaine, il a repris le maillot jaune à Mathieu van der Poel.

Déjà vainqueur à Rouen mardi, "Pogi" s'est montré le plus fort dans les derniers hectomètres de la seconde ascension à Mûr-de-Bretagne, devançant son rival Jonas Vingegaard et le Britannique Oscar Onley. L'ogre slovène décroche par la même sa 19e victoire dans la Grande Boucle, et la 101e de sa carrière professionnelle.

Au classement général, le triple vainqueur de l'épreuve devance le Belge Remco Evenepoel de 54 secondes et le Français Kévin Vauquelin de 1'11''. Vingegaard est 4e à 1'17''. Quant à Mathieu van der Poel, il a été lâché dans la seconde ascension du Mûr-de-Bretagne après avoir été déjà bien à la peine sur la première.

Une chute à 5 km de l'arrivée, à l'approche de l'ascension finale, a, par ailleurs, embarqué sur le bitume une petite dizaine des coureurs dont le meilleur lieutenant de Pogacar, le Portugais Joao Almeida. Le vainqueur cette année des Tours de Romandie et de Suisse sera-t-il en mesure d'épauler son leader lors des prochaines étapes de montagne ?

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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