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Aucune chance pour Laaksonen face à Peniston

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Ryan Peniston a dominé Henri Laaksonen en trois sets mardi (© KEYSTONE/AP/Kirsty Wigglesworth)

Henri Laaksonen (ATP 96) n'a pas fait honneur à son nouveau statut de no 1 helvétique à Wimbledon.

Le Schaffhousois a été battu dès le 1er tour, dominé 6-4 6-3 6-2 par le gaucher Britannique Ryan Peniston (ATP 135) après 1h58' de jeu.

La défaite de Henri Laaksonen, dont le dernier succès sur gazon remonte au 1er tour des qualifications de Wimbledon 2018, était attendue. Ryan Peniston s'est en effet révélé cet été en atteignant les quarts de finale au Queen's puis à Eastbourne, sur herbe.

Henri Laaksonen a connu un bref sursaut d'orgueil dans le troisième set, signant son unique break de la journée pour revenir à 3-2. Mais il a perdu les trois derniers jeux du match, concédant ses deux derniers jeux de service.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un nouveau sprint pour Jonathan Milan

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La fête continue pour Jonathan Milan. (© KEYSTONE/EPA/LUCA ZENNARO)

Jonathan Milan (Lidl-Trek) a remporté la 11e étape du Tour d'Italie. L’Italien s’est imposé lors d'un sprint massif à Francavilla al Mare, sur les bords de la mer Adriatique.

C'est la deuxième victoire dans ce Giro pour le spécialiste de la piste qui a devancé le Belge Tim Merlier alors qu'une violente chute a mis plusieurs coureurs par terre dans le dernier kilaomètre. Le Slovène Tadej Pogacar conserve le maillot rose de leader avec une avance inchangée de 2’40’’ sur le Colombien Daniel Martinez à l'issue de cette étape de transition.

Cette journée a également été marquée par Cian Ujtdebroeks. Cinquième mercredi matin du général, le Belge a dû renoncer en raison d'un virus. La formation Visma a ainsi perdu un quatrième coureur dans ce Giro.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le Premier ministre, blessé par balle, entre la vie et la mort

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Le Premier ministre slovaque Robert Fico se trouve "entre la vie et la mort" après avoir été blessé par plusieurs balles mercredi. (archives) (© KEYSTONE/AP/Denes Erdos)

Le Premier ministre slovaque Robert Fico se trouve "entre la vie et la mort" après avoir été blessé par plusieurs balles mercredi après une réunion de cabinet, a indiqué le gouvernement de ce pays d'Europe centrale.

Robert Fico - un populiste nommé Premier ministre l'année dernière et dont l'allié a été récemment élu président - se trouve "entre la vie et la mort", selon le gouvernement.

Selon sa page officielle Facebook, il a été touché par balle "plusieurs fois".

"Il est actuellement acheminé par hélicoptère à Banska Bystrica", une ville du centre de la Slovaquie, a encore précisé le gouvernement dans un communiqué.

L'attaque est intervenue après une réunion de cabinet à Handlova, dans le centre de la Slovaquie, selon le journal Dennik N, dont un reporter a vu le chef de gouvernement emmené dans une voiture par des gardes du corps.

Selon le journal, le tireur présumé a été appréhendé par la police.

"Aujourd'hui, après une réunion gouvernementale à Handlova, il y a eu une tentative d'assassinat sur le Premier ministre", a confirmé le gouvernement.

"Nous confirmons l'attaque sur le Premier ministre", a également déclaré à l'AFP le porte-parole de la police Matej Neumann.

M. Fico avait tout d'abord été transporté à l'hôpital de Handlova, dans "l'unité de chirurgie vasculaire", a indiqué à l'AFP la directrice de l'établissement, Marta Eckhardtova, qui n'a pas donné de précisions sur la nature de ses blessures.

La présidente slovaque Zuzana Caputova a condamné une l'attaque "brutale et irresponsable". "Je suis choquée. Je souhaite à Robert Fico beaucoup de force dans ce moment critique pour se remettre de cette attaque", "brutale et irresponsable", a affirmé la présidente sortante dans un communiqué.

Vive émotion en Europe

Les dirigeants des institutions de l'Union européenne ont vivement réagi à la nouvelle.

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a déploré "l'attaque ignoble" contre le Premier ministre slovaque.

"De tels actes de violence n'ont pas leur place dans notre société et sapent la démocratie, notre bien commun le plus précieux. Mes pensées vont vers le Premier ministre Fico et sa famille", a écrit sur X la présidente de la Commission.

"Rien ne peut jamais justifier la violence ni de telles attaques", a aussi souligné le président du Conseil européen Charles Michel.

La présidente du Parlement européen Roberta Metsola s'est également dite "choquée par l'horrible attaque" contre le dirigeant slovaque. "Au nom du Parlement européen, je condamne cet acte de violence", a ajouté la responsable maltaise.

Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg s'est déclaré "consterné".

En Hongrie, frontalière avec la Slovaquie, le Premier ministre Viktor Orban s'est dit "profondément choqué par l'attentat odieux perpétré contre mon ami, le Premier ministre Robert Fico". Le dirigeant a ajouté sur le reseau X qu'il priait "pour sa santé et son prompt rétablissement".

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé l'attaque "épouvantable" contre le Premier ministre slovaque, un populiste ayant tenu des déclarations vues comme favorables à la Russie avant d'adopter un ton plus conciliant ces derniers mois.

Le chancelier allemand Olaf Scholz s'est pour sa part dit "bouleversé par le lâche attentat". "La violence ne peut avoir sa place dans la politique européenne. En ces heures, mes pensées vont à Robert Fico, à la famille et aux citoyens slovaques", a-t-il ajouté sur le réseau X.

La cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni s'est déclarée "choquée" par ce "vil attentat" et a exprimé "la plus ferme condamnation de toute forme de violence et d'attaque aux principes de base de la démocratie et de la liberté".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Mathieu van der Poel a fait son choix

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Mathieu van der Poel visera le titre olympique sur route (© KEYSTONE/AP/CHRISTOPHE ENA)

Le Néerlandais Mathieu van der Poel (29 ans) disputera bien le Tour de France. Il participera ensuite aux Jeux olympiques de Paris, mais seulement à la course sur route, renonçant ainsi au VTT.

"C'est le choix le plus logique", a déclaré le champion du monde en titre dans un communiqué de son équipe Alpecin. Après avoir remporté le Tour des Flandres et Paris - Roubaix au printemps, il a longtemps hésité ces dernières semaines sur son programme pour cet été et la possibilité de cumuler route et VTT aux JO.

"Cette année, la combinaison est trop compliquée. Ma première partie de saison a été assez longue avec d'abord le cyclo-cross et ensuite, après une courte pause, la campagne des classiques jusqu'à Liège - Bastogne - Liège", a-t-il expliqué.

Période de repos

"Si je voulais me concentrer entièrement sur le VTT et être parfaitement préparé, je devrais commencer dès le week-end prochain à Nove Mesto, l'étape tchèque de Coupe du monde. En concertation avec mon équipe, j'ai opté plutôt pour une période de repos plus longue avant de commencer la préparation pour le Tour de France et la course sur route des JO sans être pressé par le temps", a ajouté le petit-fils de Raymond Poulidor qui avait chuté lors de l'épreuve de VTT aux JO de Tokyo en 2021.

"Le fait que je porte actuellement le maillot arc-en-ciel a joué un rôle indirect aussi. C'est une année spéciale. En tant que champion du monde (en titre sur route), j'aimerais porter ce maillot le plus possible. Et je ne voudrais pas manquer non plus le Tour de France que je considère comme la meilleure préparation possible pour les JO", a développé Van der Poel.

Pas de course avant le Tour

Il a repris l'entraînement chez lui, en Espagne, et n'a pas prévu de disputer la moindre course avant le Tour (29 juin-21 juillet). Sur la Grande Boucle, il veut aider une nouvelle fois le sprinter d'Alpecin, Jasper Philipsen, à gagner le maillot vert tout en visant lui-même une victoire d'étape.

Le Néerlandais sera ensuite l'un des grands favoris de l'épreuve en ligne des JO de Paris le samedi 3 août sur un parcours long et exigeant qui lui convient parfaitement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'inflation a ralenti aux USA, pour la première fois depuis janvier

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Le ralentissement de l'inflation, une bonne nouvelle pour le président Joe Biden, en campagne pour sa réélection. (© KEYSTONE/EPA/Samuel Corum / POOL)

L'inflation a repris sa trajectoire à la baisse en avril aux Etats-Unis, après trois mois de rebond. Il s'agit d'une bonne nouvelle pour le président Joe Biden, la hausse des prix étant un enjeu crucial de son duel avec Donald Trump pour l'élection présidentielle.

L'inflation est repartie à la baisse en avril pour la première fois depuis janvier, à 3,4% sur un an contre 3,5% en mars, selon l'indice CPI sur lequel sont indexées les retraites, publié mercredi par le département du Travail. Cette évolution est conforme aux attentes des analystes, selon le consensus de Market Watch.

La hausse des prix à la consommation a également été moins forte sur un mois seulement, à 0,3% contre 0,4% le mois précédent. Ce sont notamment les prix du logement et de l'essence à la pompe qui ont tiré l'inflation en avril, représentant plus de 70% de la hausse.

La hausse des prix à la consommation s'était de nouveau accélérée début 2024, après avoir largement ralenti au cours des derniers mois de 2023. "Les pressions sur les prix restent élevées mais évoluent dans la bonne direction", relève Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour High Frequency Economics.

Pour les consommateurs, le ralentissement de l'inflation redonne du pouvoir d'achat. Et cela signifie aussi que la banque centrale américaine (Fed) pourra baisser les taux, lorsqu'elle considèrera que la hausse des prix ralentit durablement.

Cette baisse des taux aura pour effet de rendre le crédit moins onéreux pour les ménages, qui pourront plus facilement acheter un logement ou une voiture, par exemple.

La Fed veut ramener l'inflation à 2%, et privilégie pour cela une autre mesure, l'indice PCE, qui avait aussi accéléré en mars, à 2,7% sur un an. Les données d'avril seront publiées le 31 mai.

Président de la FED prudent

Le président de la Fed, Jerome Powell a estimé mardi que la persistance d'une inflation toujours élevée avait réduit son niveau de confiance quant au fait qu'elle puisse se rapprocher de l'objectif de 2%. "Les chiffres ont été plus élevés que tout ce que n'importe qui anticipait", a-t-il déclaré.

"Ce que cela nous apprend est que nous devons nous montrer plus patients et laisser la politique restrictive faire son effet", a-t-il souligné, ne jugeant cependant pas nécessaire de monter de nouveau les taux, qui sont déjà à des niveaux "restrictifs".

La Fed avait, le 1er mai à l'issue de sa réunion, acté l'"absence de progrès" récents sur le front de l'inflation. Par conséquent, afin d'empêcher les prix de continuer à flamber, elle avait maintenu ses taux d'intérêt inchangés, au plus haut depuis plus de vingt ans, entre 5,25% et 5,50%.

L'indice des prix de gros, qui mesure la hausse des prix côté producteurs, a lui continué a grimper en avril, plus rapidement même que ne l'anticipaient les marchés.

"Il nous reste encore beaucoup à faire"

L'évolution de l'inflation aux Etats-Unis contraste avec la zone euro, où elle a nettement ralenti, et où une baisse des taux de la Banque centrale européenne (BCE) en juin semble désormais quasiment acquise. Le taux d'inflation en zone euro pour avril sera publié vendredi. En France, il a ralenti à 2,2%, selon l'Insee.

Le président américain Joe Biden, en campagne pour sa réélection, a salué mercredi le ralentissement de l'inflation. "Bien que nous ayons progressé, il nous reste beaucoup à faire", a-t-il toutefois déclaré dans un communiqué de la Maison-Blanche, accusant par ailleurs les républicains d'avoir un programme qui "ferait monter l'inflation en flèche".

L'opposition républicaine et notamment le candidat républicain à l'élection présidentielle, Donald Trump, ont imputé largement à Joe Biden la responsabilité de la flambée des prix.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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