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Football : Haaland et le Borussia dominent le PSG, Liverpool perd

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Erling Haaland a marqué deux fois mardi soir face au PSG. (AP Photo/Martin Meissner)

Grâce au génie d'Erling Haaland, ce prodige norvégien de 19 ans venu de Salzbourg, le Borussia Dortmund de Lucien Favre est toujours en vie. Sa qualification contre le PSG ne relève pas de l'utopie.

Auteur d'un doublé, Erling Haaland a donné la victoire 2-1 au Borussia en match aller de ce huitième de finale de la Ligue des Champions tant attendu. Même si le but de Neymar pour le 1-1 de la 75e minute, dû en grande partie à une erreur de Dan Zagadou, place le PSG en ballottage presque favorable, Lucien Favre et ses joueurs peuvent décrocher la lune dans trois semaines au Parc des France. Le potentiel offensif de cette équipe apparaît sans limite. Et Paris sera privé de Marco Verratti, suspendu, qui fut son meilleur homme dans cette acte I à Dortmund.

Erling Haaland a ouvert le score à la 69e après une action digne du manuel menée par Jadon Sancho et par Achraf Hakimi, les deux puncheurs de Lucien Favre. A la 77e, le Norvégien signait un véritable chef-d'oeuvre avec une frappe imparable dans la lucarne de Keylor Navas. On veut croire que cet attaquant, en état de grâce depuis sa venue à Dortmund, trouvera à Paris les espaces pour exploiter tout son potentiel et pour emmener le Borussia vers l'exploit tant espéré.

Manuel Akanji encore écarté

On avait promis un feu d'artifice ! Mais Lucien Favre et Thomas Tuchel se sont efforcés dans un premier temps d'assurer leurs arrières pour que cette rencontre n'épouse pas un scénario improbable. Ainsi, le technicien vaudois avait à nouveau opté pour une défense à trois qui laissait Manuel Akanji sur le banc. Dans le camp adverse, Thomas Tuchel n'a pas osé jouer avec les quatre "fantastiques". Mauro Icardi était ainsi sacrifié pour permettre, là aussi, la tenue d'une défense à trois.

Emmené par le formidable Jadon Sancho, le Borussia fut l'équipe la plus entreprenante au cours la première période. Seulement, il aura manqué une certaine justesse dans le dernier geste pour que la supériorité des Allemands se concrétise. En face, Paris a choisi de limiter les prises de risque pour s'en remettre au génie de Neymar ou de Kylian Mbappé. Mais lors de ces 45 minutes initiales, le Brésilien et le Champion du monde ne parvenaient pas à trouver l'ouverture devant une défense bonifiée par le retour en grâce du capitaine Lukasz Piszczek.

Liverpool méconnaissable

Le retour de Liverpool au Wanda Metropolitano, le théâtre de son succès en finale l'an dernier face à Tottenham, n'a pas été couronné de succès. Les Reds se sont inclinés 1-0 sur une réussite de Saul Niguez tombée à la 4e minute déjà.

Méconnaissable, Liverpool ne méritait pas mieux. La formation de Jürgen Klopp n'a jamais pu imposer son jeu face à un onze qui demeure maître dans l'art de bien défendre. Ce résultat laisse présager un match retour à Anfield Road bien indécis. Liverpool devra retrouver son football pour mettre à terre une équipe qui se battra pour chaque mètre avec toute la rage que ne manquera pas d'insuffler son entraîneur.

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Hockey

Lausanne s'est donné le droit de rêver

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La prophétie de Damien Riat s'est avérée exacte: il y aura bien un match 7 en finale (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

En remportant l'acte VI de la finale à Malley samedi soir (5-3), Lausanne s'est donné le droit de rêver au titre. Tout se jouera mardi soir à Zurich dans une finalissima qui promet.

Plus qu'une marche. La dernière. La plus difficile à gravir. Mais aussi probablement la plus excitante, celle que tout joueur ambitionne de vivre dans une carrière. Mardi à Zurich, cela sera quoi qu'il arrive la dernière manche du championnat et comme dans Highlander, il ne pourra en rester qu'un.

Pour parvenir à cette conclusion, il a fallu que le LHC renverse une troisième fois le "Z" à domicile. Durant cette finale, le LHC a profité à plein de son public. Samedi, tout a tourné en sa faveur, malgré une frayeur en fin de match. Suomela a ouvert la marque après cinq minutes. Puis dans le tiers médian, les Lions de Malley ont rugi comme jamais. Ils ont ainsi marqué quatre buts sans réplique et ont vu une réussite annulée pour une obstruction sur le gardien. Marc Crawford, le coach zurichois, a préféré reposer son titulaire Simon Hrubec à la suite du 4-0 vaudois.

Ne rien changer

Le LHC a contraint Zurich à faire des erreurs. Les Vaudois ont mis de l'intensité dans leur jeu et les joueurs de Crawford ont parfois précipité leurs gestes, d'où certaines erreurs. Mardi, la situation sera tout autre. Le coach zurichois aura le dernier changement de ligne et la possibilité de choisir quel quintette envoyer. On ne sait pas si Yannick Weber, Rudolfs Balcers et Yannick Zehnder, absents samedi, pourront être sur la glace. Mais Zurich possède assez de joueurs pour faire face à ces problèmes avec notamment Scott Harrington en défense.

"On n'aura rien à perdre, assène Damien Riat, double buteur lors de ce match VI. On ne va rien faire de différent, il faudra jouer le même jeu qu'à la maison. Il nous reste une étape. On n'a encore rien fait." Interrogé sur ce qui lui est passé par la tête au moment du 2-0, l'attaquant genevois n'a pas trouvé les mots: "C'était malade avec cette ambiance, je ne réalise pas encore."

Confiance en chacun

Ce que le numéro 9 des Lions lausannois réalise en revanche, c'est le chemin parcouru depuis le début de la saison. "Jamais je n'aurais cru à une telle issue lorsqu'on a commencé au mois de septembre, confie-t-il. On est monté crescendo au cours de la saison. Et depuis le début, notre état d'esprit fait notre force. On est une équipe. Quand on est face au mur, on sait qu'on va tout donner. On a confiance en ce groupe, en chacun de nous."

Jeudi à Zurich après la défaite 3-0 du LHC, Damien Riat avait donné rendez-vous à la presse mardi soir à Zurich. Samedi soir à 22h30, sa prophétie s'est révélée exacte. Alors, peut-on parler de prophète Riat? "J'ai un peu dit ça sur le ton de la boutade, tout en sachant que c'était clairement faisable pour nous, reconnaît-il. Maintenant on va récupérer et se préparer pour 60 minutes de bataille. Il n'y aura rien à perdre pour les deux équipes et je pense qu'on est prêt pour ça."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Le PSG champion de France pour la 12e fois de son histoire

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Kylian Mbappe et les siens ont encore raflé le titre national. (© KEYSTONE/EPA/Christophe Petit Tesson)

Le PSG a décroché le 12e titre de champion de France de son histoire, après la défaite concédée par son dauphin Monaco à Lyon (3-2), dimanche lors de la 31e journée de Ligue 1.

Avec douze points d'avance sur les Monégasques, les Parisiens ne peuvent plus être rattrapés au classement alors qu'il ne reste plus que trois journées à disputer.

Le club de la capitale peut désormais se projeter vers son objectif de triplé puisqu'il est encore en lice en Ligue des champions (demi-finales contre le Borussia Dortmund, les 1er et 7 mai) et en Coupe de France (finale face à Lyon, le 25 mai à Lille).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Timothé Cognat: "Cela n'a pas dû être très beau à voir"

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Timothé Cognat avait l'impression que le ballon allait passer sur son action décisive (© KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

"J'ai eu le feeling que le ballon allait passer", a lâché Timothé Cognat, auteur du but de la qualification pour Servette.

*J'ai surgi entre les deux défenseurs centraux pour le reprendre direct", a raconté Cognat, qui n'arrêtera pas de se passer le film de cette action de la 88e minute en demi-finale de la Coupe de Suisse.

L'inspiration du Lyonnais envoie le Servette FC en finale. Il y a deux mois, c'était déjà lui qui avait inscrit le but de la qualification à Razgrad en Coupe d'Europe." Les matches à enjeu m'inspirent", sourit le no 8 grenat, interrogé en zone mixte

Les deux premiers matches livrés cette année à la Schützenwiese n'avaient pas été, sur le plan comptable, une très belle opération pour le Servette FC avec un nul 3-3 et une défaite 1-0. Mais des leçons ont su être tirées. "Cette demi-finale n'a pas dû être très belle à regarder, glisse Timothé Cognat. Il fallait être solide, dans l'impact et dans les duels. Il fallait aussi bien être en place pour ne pas laisser d'espaces à Winterthour qui est une très bonne équipe à domicile. C'est vraiment difficile de venir ici. Beaucoup s'y sont cassé les dents".

Pour les Servettiens, le troisième voyage dans la cinquième ville de Suisse efface évidemment le souvenir des deux premiers. Il leur offre, surtout, cette finale de Coupe de Suisse que leurs supporters attendaient depuis si longtemps.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Servette, vingt-trois ans après

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Timothé Cognat (au centre) a offert la qualification à Servette en marquant dans les dernières minutes de jeu (© KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

Après une trop longue attente de 23 ans, le Servette FC goûtera à nouveau à l'ivresse d'une finale de la Coupe de Suisse. Les Grenat affronteront le FC Lugano le 2 juin au Wankdorf.

Le Servette FC s'est qualifié à la faveur de son succès 1-0 à Winterthour dimanche. Il a été acquis sur une réussite de Timothé Cognat à la 88e minute. Le no 8 des Grenat a armé une frappe imparable du gauche après un centre de Keigo Tsunemoto qui avait été décalé par Steve Rouiller.

Les Grenat ont eu le bonheur de marquer sur leur première véritable occasion, comme devait le rappeler perfidement le speaker du stade. Ce but a été l'½uvre d'un joueur qui avait été déjà été décisif en Conférence League à Razgrad, où il avait inscrit le but de la qualification. Il a, aussi, été amené par les deux hommes qui sont sans doute les deux meilleurs joueurs servettiens de la saison.

Cette qualification pour la finale de la Coupe de Suisse récompense la très belle saison des Grenat. Mais elle ne sera magnifique que si le Servette FC s'impose le 2 juin prochain. Le passé plaide en faveur des Genevois, qui avaient battu Lugano 2-0 en 1971 dans la seule finale ayant opposé à ce jour les deux équipes.

Le dos rond

Le dos rond pendant près d'une demi-heure avant de mettre le nez à la fenêtre: telle fut l'approche du Servette FC pour cette demi-finale. Le souvenir des deux rencontres de Super League, le 3-3 du 23 janvier et la défaite 1-0 du 30 mars, était encore bien présent dans les têtes des Grenat. Ne pas s'exposer aux ruptures adverses était le mot d'ordre.

Avec les deux têtes de Takuma Nishimura et les deux tentatives de Bendeguz Bolla, le Servette FC n'oubliait pas de rappeler en fin de première période pourquoi il était le favori logique de la rencontre. Mais il n'en avait pas encore fait assez pour vraiment mériter de la gagner.

Jusqu'à la 88e minute, le scénario ne bougeait pas. Les hommes de René Weiler avaient, certes, l'initiative du jeu, sans toutefois se livrer pleinement. Ils ont attendu le bon moment pour frapper, le moment où leurs individualités pouvaient enfin faire parler leur classe. Car de la classe, Timothé Cognat en possède vraiment !

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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