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Sport

Football : Lausanne sourit à moitié en Coupe

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KEYSTONE/LAURENT GILLIERON

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Ça passe dans la douleur pour le LS. Victorieux contre le Stade-Nyonnais grâce à Turkes, Zeqiri et Bares. Le voisin du SLO à pour sa part dû s'avouer vaincu contre l'un des cadors attendus de Challenge League.

Un week-end contrasté. Mené 1-0 par Stade Nyonnais, le LS a su réagir rapidement pour finalement l’emporter 3 buts à 1 à Colovray samedi.

En revanche, le FC Stade-Lausanne Ouchy peut nourrir de gros regrets après sa défaite face à Grasshopper 2 à 1 à Samaranch.

Une erreur de jugement du gardien vaudois sur le deuxième but et une tête manquée dans les cinq mètres zurichois à la 92ème minute auraient en effet de quoi frustrer, mais ce n’est pas ce que Mickaël Perrier préfère retenir  :

Mickaël PerrierMilieu de terrain du SLO

De son côté, le FC Sion s’est imposé 3-0 dans le canton de Lucerne hier après-midi. Les joueurs de Fabio Grosso étaient opposés à Schötz, pensionnaire de 1ère Ligue.

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Football

Blondel et Gartenmann: deux expatriés retrouvent leurs racines

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Lucas Blondel découvre l'équipe de Suisse cette semaine (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Lucas Blondel et Stefan Gartenmann sont les deux grands inconnus dans la dernière sélection de Murat Yakin. Les deux défenseurs n'ont pas grandi en Suisse et sont heureux de retrouver leurs racines.

Une grande maison au bord du lac de Constance: c'est ce que Stefan Gartenmann évoque lorsqu'il se plonge dans ses souvenirs de la Suisse. Sa famille s'y réunissait chaque année, durant les vacances d'automne. Pour son grand-père, parti de Thurgovie pour travailler comme fromager au Danemark, c'était à chaque fois un retour au pays. Pour le jeune Stefan, c'était un lieu qui est toujours resté dans son coeur.

Il n'aurait jamais imaginé que, 20 ans plus tard, il enfilerait le maillot de l'équipe de Suisse. Et pour cause: Stefan Gartenmann a fait toutes ses classes de footballeur au Danemark et a disputé une bonne trentaine de matches internationaux des M16 danois jusqu'aux espoirs. Mais il n'a jamais été appelé chez les A.

"Défenseur old school"

Peut-être était-ce en raison de son style, lui qui ne se considère pas comme un "beau footballeur". Son agent l'a toujours comparé à Jaap Stam lors des négociations. Et le joueur de 28 ans l'a bien intégré: "Je suis un défenseur +old school+. Pas très rapide, pas très fort, mais très efficace".

La comparaison avec Stam, né en 1972, semble avoir fait mouche auprès de Murat Yakin, né en 1974. Lorsqu'il a été contacté l'année dernière par l'agent de Gartenmann et que ce dernier a attiré son attention sur les origines suisses de son poulain, le sélectionneur de l'équipe de Suisse a écouté avec attention, avant de se rendre peu après à Budapest où Gartenmann évolue avec son club de Ferencvaros.

Quelques mois plus tard, le défenseur central est assis dans un pavillon à Almancil et s'adresse à la foule de médias suisses dans un très bon allemand. Il le doit à ses grands-parents, chez qui il a appris la langue en regardant des dessins animés avant de s'améliorer à l'école. "La Suisse est ma deuxième patrie. Le fait que j'aie la chance d'évoluer avec ce pays signifie beaucoup pour moi et ma famille", se réjouit-il.

Raclette et Xamax

Raclette et Neuchâtel Xamax: c'est ce que Lucas Blondel évoque lorsqu'il pense à ses années en Suisse. Contrairement à Gartenmann, il n'y a pas seulement passé des vacances, mais aussi les premières années de sa vie. Ses souvenirs restent toutefois vagues. Son père Jean-Yves, né à Neuchâtel, est un fervent supporter des "rouge et noir". Et le four à raclette l'a accompagné jusqu'en Argentine, le pays de sa mère, lorsque sa famille a décidé de s'y installer.

Dans sa jeunesse, Lucas Blondel a joué au tennis, suivant les traces de son père, ex-546e mondial au classement de l'ATP. Avant d'en avoir assez à 14 ans. "Je m'énervais beaucoup trop souvent contre moi-même, je perdais toujours mes nerfs. C'est alors que j'ai réalisé que je préférais les sports d'équipe", se remémore le latéral droit.

De l'Atlético de Rafaela, en passant par Tigre, il arrive en 2023 à Boca Juniors, l'un des clubs les plus connus au monde, où il joue à la Bombanera devant un peu plus de 50'000 supporters. Lorsqu'on lui demande de parler de l'ambiance du stade de Buenos Aires, Blondel secoue la tête. Impossible de la décrire, "il faut le vivre pour le comprendre".

Liés par leurs racines

Le contact avec Murat Yakin existe depuis longtemps. Déjà avant l'Euro 2024, il était question que Blondel fasse au moins partie du cadre élargi. Mais il s'est ensuite déchiré les ligaments croisés et a été longtemps absent. Aujourd'hui, il a lui aussi la chance de se montrer en équipe de Suisse. Pour cela, il accepte volontiers de faire 24 heures de voyage. "J'en ai toujours rêvé", raconte-t-il dans un très bon français. "J'espère que mon jeu offensif sur le côté droit pourra convaincre".

Le Danois serein d'un côté, l'Argentin au sang chaud de l'autre. Tous deux sont liés par leurs racines suisses. Et pour l'entraîneur-assistant Davide Callà, il ne fait aucun doute que ces deux néophytes peuvent bonifier l'équipe de Suisse. "J'ai fait la connaissance de deux garçons qui ont une grande envie de jouer au football et qui sont aussi très fiers d'être ici", assure le nouveau bras droit de Yakin

Lui-même possédant des origines italiennes, il sait exactement ce que c'est que d'avoir plusieurs c½urs dans la poitrine. "Leur histoire reflète aussi un peu le monde interconnecté d'aujourd'hui. On peut être chez soi partout et enraciné à plusieurs endroits."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

"On a beaucoup de shoots, mais c'est inutile si on a moins de buts que l'adversaire"

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La victoire de Langnau a résonné comme une victoire de finale dans l'Emmental Arena. ©KEYSTONE/Marcel Bieri

Lausanne se fait une nouvelle fois surprendre par Langnau. L’Emmental Arena ne réussit définitivement pas aux Lions dans ce quart de finale. Ils s’y sont inclinés 3-2 lors de l’Acte IV. Les deux équipes sont à 2-2 dans la série.

Les Lausannois allaient-ils réussir à faire le break dans l’Emmental? Geoff Ward a en tout cas décidé de repartir sur, à peu près, les mêmes bases que lundi pour cet Acte IV. L'entraîneur des Lions a gardé une composition avec deux étrangers à l'arrière et quatre à l’avant. Mais sur la feuille de match, Stefan Rüegsegger remplaçait Tim Bozon sur la deuxième ligne, Michael Hügli retrouvait lui le jeu à la place de Makai Holdener.

Des occasions à la chaîne

Le premier tiers a été indécis. Lausanne s'est créé plusieurs situations favorables, mais les Lions n’ont pas trouvé le moyen de concrétiser. Kevin Pasche, devant la cage, a gratifié les spectateurs de quelques beaux arrêts.

Langnau s'est également montré agressif et le score de 0-0 après 20 minutes est dû notamment au portier Lausannois et au beau sauvetage d’Andrea Glauser à la 17e.

Malgré un match globalement dominé par Lausanne, les Tigres ont ouvert le score en début de seconde période. Un tir sur réception du Top Scorer Dario Rohrbach. Lukas Frick, qui se trouvait à mi-chemin entre l’attaquant emmentalois et la cage, n’a pas réussi à le gêner (24e, assist: Pesonen et F. Schmutz).

Le momentum a ainsi glissé du côté de Langnau. Mais les Lausannois ont attaqué Luca Boltshauser encore et encore. Ahti Oksanen a raté son tir (26e), Michael Raffl, devant la cage, n'a pas trouvé d'ouverture (27e), Damien Riat a, lui, trouvé la latte (30e) et Lukas Frick a heurté le poteau (35e).

En termes de tirs cadrés, les Lions ont dominé toute la partie. Mais c’est dans le dernier geste qu’il leur a manqué de précision, ou d’un peu de chance.

Benjamin BougroAttaquant du LHC

Réponses instantanées

Dans les dernières 20 minutes, Lausanne a tenté de mettre de la vitesse, de ne pas perdre de temps avant de retourner vers le but de Boltshauser dès que le puck était récupéré. Mais les Tigres ont été meilleurs. Julian Schmutz a doublé la mise à la 51e. Aleksi Saarela s’est échappé avec son coéquipier. Malgré David Sklenicka et Ken Jäger qui les coursaient de près, Saarela a fait la passe à Schmutz qui a trompé le gardien vaudois.

Coup de fouet pour les Lions qui ont réagi dans la foulée. Jason Fuchs, à la volée, a dévié le tir de Théo Rochette au fond des filets (52e).

Joie de courte durée pour les Lausannois car la réponse bernoise a été immédiate. Harri Pesonen est entré dans la zone offensive de Langnau face à Glauser. Et Rohrbach, dans son dos, est venu s’immiscer entre deux Lausannois pour récupérer le puck et marquer (52e, assists: Pesonen et F. Schmutz).

Le LHC a réduit la marque dans une fin de match désespérée. Le tir de Sklenicka à la ligne bleue s'est heurté au portier des Tigres. Mais Michael Hügli était bien placé à gauche de la cage pour récupérer le puck et le pousser au fond (58e).

Ce ne sera malheureusement pas suffisant pour forcer Langnau à partir en prolongation.

Vers l'Acte V

Lausanne s'incline donc 3-2 et devra dans tous les cas disputer un Acte VI. Mais dans les rangs lausannois, on reste confiant.

Aurélien MartiDéfenseur du LHC

Le LHC n’est pas catastrophique dans cette série, mais il semble avoir perdu un peu de sa superbe par rapport à la saison régulière. Mais où est donc passé le LHC de la saison régulière?

Aurélien MartiDéfenseur du LHC

De son côté, Geoff Ward n’a pas voulu s’étendre sur la performance du jour. À l’interview, l’entraîneur a martelé que les regards étaient tournés vers l’Acte V. Ce sera pratiquement son unique commentaire. “Il faut gagner quatre matchs. On n'a pas perdu quatre fois. Vous voulez dire qu'on est en difficulté. Que nous sommes comme ci, comme ça. Écrivez ce que vous voulez. On va disputer un 5e match”, termine-t-il.

L’Acte V aura donc lieu vendredi à la Vaudoise Aréna. Coup d’envoi à 20h.

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Football

Il lui ressemble, mais Davide Callà n'est pas un "Contini 2.0"

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Nouvel assistant de Murat Yakin, Davide Callà semble déjà plaire à tout le monde (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Davide Callà est le nouvel assistant du sélectionneur Murat Yakin. Le quadragénaire a plusieurs choses en commun avec son prédécesseur Giorgio Contini, mais il veut écrire sa propre histoire.

"Faites attention aux lignes! Si le ballon est sorti, on me le signale immédiatement", lance Davide Callà aux joueurs en pointant sa montre et en répétant avec un clin d'½il: "Line-Technology". Il règne une ambiance décontractée ce mardi sur le terrain d'Almancil, où l'équipe de Suisse se prépare pour ses matches amicaux contre l'Irlande du Nord (vendredi à Belfast) et le Luxembourg (mardi à Saint-Gall). Le nouvel entraîneur adjoint discute avec les joueurs comme s'il faisait partie de l'équipe depuis longtemps.

Après avoir été accueillis par la pluie lundi dans le sud du Portugal, les joueurs ont eu droit au soleil pour profiter au mieux de la pelouse parfaite du complexe dans lequel ils séjourneront jusqu'à jeudi. Des conditions idéales pour un premier entraînement sous la direction de Davide Callà. "Il est très investi et nous parle beaucoup", témoigne le défenseur Isaac Schmidt, qui découvre lui aussi la sélection cette semaine. "Il rigole beaucoup et réussit à nous mettre à l'aise."

"L'homme idéal"

C'est exactement ce que l'ASF espérait en engageant le natif de Winterthour. "Dans le staff, il ne faut pas seulement des compétences, il faut aussi des personnes avec la bonne énergie", abonde Pierluigi Tami, le directeur des équipes nationales, convaincu d'avoir trouvé la perle rare pour assister Murat Yakin. Le sélectionneur ne tarit pas non plus d'éloges sur son nouvel assistant, qu'il a déjà qualifié à plusieurs reprises "d'homme idéal".

Davide Callà a succédé à Giorgio Contini sur le banc de l'équipe de Suisse. Le parallèle le plus évident entre les deux hommes est le multilinguisme. Comme Contini, Callà, de dix ans son cadet, parle l'allemand, le français, l'italien, l'anglais et l'espagnol. Des capacités qui n'ont pas de prix dans une équipe composée d'une grande fraction de Romands (dix, en comptant le néophyte Lucas Blondel).

Mais ce n'est pas le seul point de comparaison entre Contini et Callà. Les deux ont grandi à Winterthour, les deux ont des racines italiennes et les deux sont appréciés pour leur ouverture d'esprit. Le fait que l'ASF cherchait un homme au profil similaire n'est pas surprenant après la collaboration réussie entre Yakin et Contini.

Pas un "Contini 2.0"

Callà ne se voit toutefois pas comme un "Contini 2.0": "Je ne veux pas copier quelqu'un, mais être moi-même". D'ailleurs, les deux hommes se sont fait face dimanche en Super League: Contini en tant qu'entraîneur des Young Boys, Callà en tant qu'assistant au FC Bâle. Le nouveau bras droit de Murat Yakin n'a volontairement pas cherché à obtenir des conseils ou à savoir comment son prédécesseur avait vécu son expérience avec l'équipe de Suisse. "Je veux me faire ma propre idée", affirme-t-il.

Jusqu'à l'été, Callà continuera d'exercer son double mandat pour le FC Bâle et pour la Suisse, avant de se concentrer à plein temps sur la sélection. Il assure être capable de gérer ces deux casquettes durant ces prochains mois. "Je vais apporter mes idées et essayer de soutenir Murat le mieux possible, tout en le défiant un peu. Demander pourquoi tel joueur et pas un autre? Murat doit remarquer que je réfléchis avec lui et que je place le succès de l'équipe avant tout autre chose", détaille-t-il.

Un rêve finalement réalisé

L'année dernière, l'ancien milieu de terrain faisait déjà partie des candidats pour le poste d'entraîneur-assistant. Le club rhénan, qui se trouvait alors dans une situation sportive des plus compliquées, n'avait pas donné son accord. "Je ne pouvais pas laisser passer cette chance une deuxième fois", explique-t-il.

Cet engagement lui permet de réaliser un rêve qu'il n'a jamais pu atteindre en tant que joueur. Durant sa carrière, il n'a en effet pas eu l'occasion de disputer un match international avec l'équipe nationale A, malgré 23 sélections (3 buts) avec les M21 - un record. "Mais cela me réjouit énormément d'y être parvenu en tant qu'entraîneur-assistant."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Berne reste en vie, Davos à une victoire des demi-finales

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Waltteri Merelä fête le but décisif de Lukas Klok (© KEYSTONE/PostFinance/PETER SCHNEIDER)

Fribourg s'est incliné 3-2 ap dans le 3e acte des quarts de finale des play-off de National League. Mais les Dragons mènent toujours 2-1 dans la série.

On pensait qu'il ne pouvait rien arriver à ce Fribourg-là. Après avoir égalisé chanceusement par Rathgeb à la 59e, les joueurs de Lars Leuenberger pouvaient attaquer sereinement la prolongation. Mais une erreur de marquage a permis à Lukas Klok de tourner autour de la cage pour battre Berra et offrir le premier point aux Bernois. Ou le point de l'espoir dans une partie qui n'a pas atteint des sommets.

Contraint de se passer de Jacob De la Rose, blessé, Lars Leuenberger avait décidé de titulariser son défenseur Andreas Borgman en attaque. Le Suédois a plutôt bien joué...jusqu'à la 23e. C'est le moment choisi par l'ancien joueur de Frölunda pour se rendre coupable d'une vilaine faute sur Marc Marchon. Borgman a donc pu filer à la douche avant ses coéquipiers.

Pire pour les Dragons, Berne a pu égaliser durant cette longue période de supériorité numérique. A la 25e, Marco Lehmann a poussé au fond un puck renvoyé par Berra. Sans être véritablement supérieurs aux Fribourgeois, les Ours ont quand même trouvé le moyen de passer devant pour la première fois dans cette série. A la 44e et à la suite d'une perte de puck de Berstchy, c'est Fabian Ritzmann qui a inscrit le 2-1.

Comme lors des deux précédents matches de cette série, c'était Fribourg qui avait frappé en premier, en power-play, via l'inusable Julien Sprunger (15e). Buteur patenté, il est étonnant de constater que le capitaine des Dragons n'avait plus marqué en play-off depuis 2022.

A noter que Jussi Tapola a dû composer sans son meilleur joueur Austin Czarnik, annoncé blessé.

Triplé de Tambellini

Davos patine sur l'eau. Les Grisons ont enlevé l'acte III contre Zoug 4-0 et les voilà qui mènent 3-0 dans la série.

Lorsque les affiches des quarts de finale sont sorties, personne n'imaginait un cavalier seul d'une équipe dans le duel entre Davos et Zoug. Et pourtant c'est bien ce qui est en train de se passer.

Les joueurs de Dan Tangnes semblent être tombés sur un sacré os. Dans une partie musclée avec 22 pénalités mineures et deux méconduites de match à l'encontre de Fredrik Olofsson et Mike Künzle, les Zougois ont coulé à la mi-match. Les Grisons ont classé l'affaire en moins de quatre minutes grâce à un doublé de Tambellini à 4 contre 5 et à 5 contre 4, et à une réussite de Valentin Nussbaumer. Tambellini a complété son hat-trick lors du troisième tiers.

Dos au mur, Zoug va devoir se dépouiller pour espérer inverser le cours des choses. Peut-être Tangnes devra-t-il invoquer les esprits de la finale de 2022 lorsque Zoug avait réussi l'exploit de revenir de 0-3 à 4-3 en finale du championnat contre Zurich.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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