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Suisse

BKW réorganise sa structure opérationnelle et étoffe sa direction

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BKW veut mieux exploiter les synergies entre les différents domaines d'activités (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le groupe énergétique BKW va adapter sa structure opérationnelle, notamment en intégrant dans sa direction les responsables des trois domaines d'activité Énergie, Réseaux et Prestations, sur lesquels repose la stratégie de l'entreprise.

Dans son communiqué, l'énergéticien bernois dit vouloir "adapter sa structure organisationnelle pour concevoir de manière optimale tous les aspects au niveau de l'ensemble de la chaîne de création de valeur", de la production d'énergie à sa consommation, en passant par sa distribution.

Les trois administrateurs des secteurs de services, Antonin Guez (BKW Building Solutions), Martin Fecke (BKW Engineering) et Sven Behrend (BKW Infra Service) sont appelés à faire partie de la direction du groupe à compter du 1er novembre prochain.

La nouvelle structure opérationnelle devrait permettre "une meilleure utilisation des synergies entre les domaines d'activités", affirme BKW.

Pour augmenter les ventes d'énergie, le négoce et la distribution d'énergie seront regroupés dans une nouvelle unité d'affaires baptisée "Energy Markets", qui sera dirigée par Stefan Sewckow à compter du 1er novembre. L'ingénieur de 52 ans rejoindra également la direction du groupe.

Dans la foulée, l'énergéticien bernois coté à la Bourse suisse a annoncé la nomination de Corinne Montandon, actuellement responsable de l'unité "Energy Markets & Group Services", à la tête de BKW Power Grid, en remplacement de Roland Küpfer, qui prendra sa retraite à la fin de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams

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Proposé en Suisse et dans sept autres pays européens, le jeu Eurodreams offre un gain principal sous forme d'une rente mensuelle de 22'222 francs pour une durée de 30 ans. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce à l'Eurodreams jeudi soir. Elle a coché les six bons numéros 7, 8, 13, 14, 23 et 31, a annoncé la Loterie romande.

Le pactole a été remporté dans l'un des huit pays européens proposant ce jeu. En Suisse, Eurodreams est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique.

Le gros lot est une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans. Il faut pour cela trouver les 6 bons numéros ainsi qu'un numéro spécial appelé "dream". Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.

https://jeux.loro.ch/games/eurodreams

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Djokovic bat Griekspoor en deux sets en quart de finale

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Djokovic figure dans le dernier carré du Geneva Open (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Novak Djokovic peut toujours espérer décrocher son 99e titre ATP samedi au Parc des Eaux-Vives.

Le no 1 mondial s'est hissé dans le dernier carré du Geneva Open en battant Tallon Griekspoor (ATP 27) 7-5 6-1 jeudi en quart de finale.

Le Serbe de 37 ans, qui a accepté une invitation de dernière minute des organisateurs genevois, fait tout pour lui faire honneur. En quête de confiance - mais aussi d'une première finale en 2024 -, il a su renverser une situation des plus compromises dans la manche initiale en serrant sa garde.

Novak Djokovic a ainsi dû écarter quatre balles de premier set sur son service à 4-5, dont trois de manière consécutive à 0/40. Il a alors élevé considérablement son niveau de jeu, empochant les sept jeux suivants en réussissant trois breaks au passage. A 7-5 4-0, il pouvait dérouler.

Alors bien sûr, Tallon Griekspoor avait dû batailler durant plus d'une heure en début d'après-midi pour conclure son 8e de finale face à Denis Shapovalov, et a manqué cruellement d'énergie après la perte du premier set. N'empêche que Novak Djokovic a signé un succès forcément bon pour sa confiance.

"Une belle victoire"

"C'est une belle victoire", a lâché sur le court l'homme aux 24 titres du Grand Chelem, qui affrontera le Français Pierre-Hughes Herbert au 1er tour à Roland-Garros. "Il était le meilleur joueur au premier set, et le match aurait pu prendre une autre tournure s'il avait converti l'une de ses trois balles de set", a-t-il souligné.

"J'ai eu la chance de trouver de bons services à cet instant. Je me suis ensuite montré plus solide. Et s'il m'a bien aidé avec ses fautes directes, j'ai disputé un très bon deuxième set", a encore expliqué Novak Djokovic, qui affrontera le Tchèque Tomas Machac (ATP 44) vendredi pour une place en finale.

Ruud face à Cobolli

La finale de rêve reste par ailleurs envisageable. Tête de série no 2, le Norvégien Casper Ruud (ATP 7) est en effet lui aussi présent au rendez-vous des demi-finales. Le double vainqueur du tournoi (2021, 2022) s'est imposé 6-3 3-6 6-4 devant l'Argentin Sebastian Baez (ATP 20). Il affrontera vendredi Flavio Cobolli (ATP 56).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

"La guerre sur verre" d'Edward Kaprov au Musée de l'appareil photo

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En reprenant la technique utilisée en 1855 par l'Anglais Roger Fenton pour photographier la guerre en Crimée, Edward Kaprov s'inscrit dans la lignée de l'un des premiers photographes de guerre du 19e siècle. (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

En première suisse, le Musée suisse de l’appareil photographique présente jusqu'au 18 août le travail du photographe Edward Kaprov. En 2022, il s'est rendu en Ukraine pour photographier la guerre sur verre, un choix technique particulier imposant la lenteur.

L'approche d'Edward Kaprov est "unique et saisissante", relève le musée. Il s'est emparé de la technique historique du collodion humide, qui nécessite de déplacer avec soi son laboratoire et des plaques de verre fragiles. Il a sillonné le Donbass pour photographier les soldats et les civils touchés en première ligne par un conflit pour lui "impensable et insensé".

Une camionnette pleine de matériel, une grande chambre photographique et des temps de quinze minutes pour la préparation, la prise de vue et le développement: à contre-courant de l'immédiateté de la photographie de guerre classique, le procédé impose une lenteur, un recul et une vraie rencontre avec la population.

"Je ne crois pas que la photographie puisse mettre fin à la guerre, mais elle me donne une raison de continuer à faire mon travail. De faire ce que je fais de mieux avec ma souffrance et ma compassion", explique le photographe.

Lien historique

En outre, l'usage du collodion humide tisse un lien historique important. En 1855, l'Anglais Roger Fenton partait photographier la guerre en Crimée avec cette technique à l'époque novatrice.

Edward Kaprov s'inscrit ainsi dans la lignée de l'un des premiers photographes de guerre du 19e siècle et raconte, en substance, la permanence de l'horreur de la guerre malgré l’évolution de l’histoire. "J’ai essayé de juxtaposer le passé et le présent. J'essaie délibérément de confondre le spectateur pour qu'il regarde plus attentivement", précise-t-il.

Aux côtés du travail de Kaprov, l'exposition présente des tirages originaux de grands photographes historiques comme justement Roger Fenton. Mais aussi contemporains telle Sally Mann qui a aussi traité la guerre avec ce procédé.

Idéaux brisés

Edward Kaprov est né en 1975 dans l'ex-Union soviétique avant d'émigrer en Israël au début des années 1990. Pendant plus de vingt ans, il a pratiqué la photographie documentaire en tant que photographe indépendant, collaborant notamment avec le "National Geographic", "Geo" et "El País". A travers ses travaux, il établit des liens entre les idéaux brisés de sa terre d'accueil et ceux de sa patrie d'origine.

De ses reportages sur l'armée israélienne aux manifestations palestiniennes, en passant par les orphelinats de Tchétchénie, le photographe met en lumière l'inhumanité et l'absurdité du monde. Présenté dans l’exposition, son film "Ukraine: un photographe dans la guerre" a reçu le prix Bayeux 2023 catégorie TV Grand Format - Prix international Crisis Group.

Collaboration avec l'EVAM

Enfin, dans le cadre de cette exposition, le Musée suisse de l'appareil photographique collabore avec les foyers de l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM). Un projet pilote veut contribuer à l'intégration sociale des personnes migrantes ainsi qu'à leur légitimation en tant que visiteuses d'institutions culturelles. L'entrée est notamment libre pour elles.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Le métro m3 suivra sa propre voie

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La conseillère d'Etat vaudoise Nuria Gorrite a présenté jeudi les projets revus et optimisés des métros lausannois m2 et m3, ici en compagnie de l'ancien conseiller aux Etats et ex-municipal lausannois Olivier Francais, qui prendra la tête du Comité du pilotage de cette réorientation des programmes. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Dans le contexte du retard du chantier de la gare de Lausanne, les projets des métros lausannois m2 et surtout m3 ont été repensés. La future troisième voie sera construite pour elle-même et donc déconnectée du m2, ont annoncé jeudi la Ville et le Canton de Vaud.

Le métro m3 suivra sa propre voie sous Lausanne. Le canton de Vaud, la Ville de Lausanne et les tl ont présenté ce jeudi l’avancée du projet d’amélioration des métros de la capitale vaudoise. Son tracé sera décalé à l'ouest de l'actuel tunnel entre la gare et le Flon, dans le futur tunnel à double voie initialement prévu pour élargir le m2. Ainsi modifié, le parcours du m3 reliera directement la gare à Chauderon, sans arrêt au Flon, avant de se diriger comme prévu vers le plateau de la Blécherette, au nord-ouest de la capitale vaudoise.

Le projet tel que présenté en 2018 comprenait des inconvénients majeurs, explique Nuria Gorrite, ministre vaudoise des infrastructures.

Mais dans le contexte du retard du chantier de la gare de Lausanne, la construction du m3 est-elle encore pertinente ? La réponse d’Olivier Français, président du comité de pilotage du projet.

Du côté des transports publics de la région lausannoise, on prévoit justement un renouvellement des automatismes des rames du m2. Car en 2023, cette ligne très prisée a transporté plus de 35 millions de personnes, soit 10 millions de plus que sa capacité. Tinetta Maystre, présidente du Conseil d'administration des tl.

Le Flon et la place Chauderon repensés

La place Chauderon est donc appelée à devenir un nouveau pôle de mobilité. Il y aura ainsi trois pôles principaux combinant les différents modes de transports publics avec des liaisons métro, trains et bus: le pôle Gare (m2/m3/CFF/bus), le pôle Flon (m1/m2/LEB/tram) et le pôle Chauderon (m3/LEB/BHNS/bus/tram), qui accueillera à terme plus de 90'000 passagers quotidiens à l'horizon 2035, soit l'équivalent de la station Flon aujourd'hui.

On retrouve Olivier Français, président du comité de pilotage du projet.

Plusieurs étapes sont nécessaires avant la pose de la première pierre du métro m3. Il y aura notamment la validation par le Grand Conseil du budget de 2 milliards. e comité de pilotage du projet mise sur 2034, année de la fin des travaux de la place de la gare de Lausanne.

Lena Vulliamy avec Keystone ATS

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