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Économie

Retour positif de 42 entreprises pour le projet "Diagnostic-action"

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"La transition économique n'est pas seulement urgente pour répondre à la crise climatique. Elle est nécessaire pour rester concurrentielle sur le marché", selon Fabienne Fischer, conseillère d'Etat en charge de l'économie. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Lancé à la mi-août, le programme du Département genevois de l'économie et de l'emploi (DEE) Diagnostic-action a permis d'accompagner 42 entreprises dans leur transition concrète vers la durabilité. Ce projet pilote a donné "entière satisfaction" aux entreprises participantes, a indiqué jeudi le Canton.

"Il a permis de créer un nouvel élan économique dans notre canton ainsi qu'un pôle de compétences en la matière, dont d'autres PME pourront bénéficier. Face à l'engouement des entreprises participantes, une nouvelle édition 2023 sera lancée ce printemps", explique l'Etat de Genève dans un communiqué.

Pendant trois mois, les modèles d'affaires de chaque entreprise participante ont été décortiqués par un mandataire. Cet examen a abouti à près de 400 recommandations concrètes, soit une dizaine en moyenne par entreprise, poursuit-il.

Ces mesures concernent des économies d'énergies (électrification des véhicules ou encore installation de compteurs), des économies de matériaux (réutilisation, recyclage des déchets) et des recommandations en matière de gouvernance (se doter d’une charte éthique ou valoriser les démarches de durabilité auprès des partenaires).

Rester aussi concurrentiel

"La transition économique n'est pas seulement urgente pour répondre à la crise climatique. Elle est nécessaire pour rester concurrentielle sur le marché", a relevé Fabienne Fischer, conseillère d'Etat chargée du DEE. "Mon département aide les entreprises à répondre aux attentes de leurs fournisseurs et de leurs clients. Ce programme contribue à rendre le tissu économique genevois plus résilient".

"Les entreprises nous ont fait savoir à quel point elles avaient besoin d'un soutien pour prendre les bonnes options en matière de durabilité. C'est en effet difficile de savoir par où commencer", a souligné de son côté Alexandre Epalle, directeur général du développement économique, de la recherche et de l'innovation (DG DERI).

Suivi assuré

Les 42 entreprises ayant participé à cette première édition vont désormais mettre en ½uvre les recommandations faites par leur mandataire. Ceux-ci assureront un suivi après six mois puis après un an afin d'évaluer l'avancée des actions. Chaque entreprise dispose d'un plan d'action, avec des mesures prioritaires ainsi qu'une estimation des investissements nécessaires.

La nouvelle édition du Diagnostic-action 2023 sera lancée ce printemps. "Après la phase pilote de 2022, nous tirons les enseignements de cette première volée et passons à la vitesse supérieure. Nous prévoyons par exemple des groupes pour le secteur de la construction, réunissant architectes, ingénieurs, entreprises du gros ½uvre et du second oeuvre. Ou encore un programme adapté pour très petites entreprises", annonce déjà M. Epalle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'Euroairport de Bâle-Mulhouse à nouveau opérationnel

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En mars déjà, l'aéroport de Bâle-Mulhouse avait dû être évacué à plusieurs reprises, en raison de fausses alertes à la bombe (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le terminal des passagers de l'Euroairport de Bâle-Mulhouse a de nouveau été temporairement évacué mercredi soir. Les exploitants ont, comme dans les cas précédents, fait valoir des raisons de sécurité. Il s'agit de la cinquième évacuation de ce type cette année.

L'ordre d'évacuation du terminal a été donné vers 19h15, a déclaré une porte-parole de l'aéroport, interrogée par Keystone-ATS, sans donner d'informations sur les circonstances de l'évacuation.

Des centaines de passagers se sont ensuite précipités à l'extérieur, comme le montrent des photos publiées par différents médias. Les passagers auraient été informés d'une alerte à la bombe.

Vers 22 heures, la fermeture du terminal a été levée et le trafic aérien a repris progressivement, indique l'aéroport. Plusieurs avions ont décollé avec du retard dans la soirée.

Plusieurs fausses alertes à la bombe

C'est déjà la cinquième fois depuis le début de l'année que l'aéroport a été fermé pour des raisons de sécurité, à chaque fois pour de fausses alertes à la bombe.

En octobre 2023, quatre fausses menaces avaient été émises contre l'Euroairport en l'espace de sept jours. En France, pays dans lequel se trouve l'aéroport, des centaines de menaces de ce type ont été proférées l'an dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Le dossier des Celliers de Sion traité "correctement"

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Pour la Cogest, ce n'est pas tant la construction que l'exploitation de l'oenoparc Les Cellisers de Sion qui a posé problème. Et cet aspect a été mis en conformité depuis (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La procédure administrative ayant permis la construction de l'oenoparc Les Celliers de Sion a été "suivie de manière correcte", selon un rapport de la Cogest qui ne se prononce pas sur les aspects juridiques. Celle-ci s'était saisie du dossier, sévèrement critiqué.

Après l'audition de tous les acteurs impliqués et l'analyse de la procédure d'autorisation de construire, la commission de gestion (Cogest) du parlement valaisan estime "qu'aucun élément ne relève du pénal", indique mercredi à Keystone-ATS son président Christophe Claivaz. "L'affaire est classée avec la publication de ce rapport" qui sera discuté par le Grand Conseil en mai, ajoute-t-il.

Pour la Cogest, ce n'est pas tant la construction que l'exploitation de l'oenoparc qui a posé problème. Et cet aspect a été mis en conformité depuis.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Les eurodéputés imposent un "devoir de vigilance" aux entreprises

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L'effondrement de l'usine textile Rana Plaza au Bangladesh a mis en lumière l'absence de contrôle sur les conditions de travail dans les pays tiers (archives). (© KEYSTONE/EPA/ABIR ABDULLAH)

Le Parlement européen a adopté mercredi une loi imposant un "devoir de vigilance" aux entreprises. Celles-ci devront veiller au respect de l'environnement et des droits humains dans leurs chaînes de production partout dans le monde.

Les eurodéputés ont approuvé ce texte par 374 voix contre 235,exactement onze ans après l'effondrement de l'usine textile Rana Plaza au Bangladesh. Ce drame avait mis en lumière l'absence de contrôle sur les conditions de travail dans les pays tiers.

Les entreprises concernées par cette loi seront tenues de prévenir, d'identifier et de remédier aux violations de droits humains et sociaux (travail des enfants, travail forcé, sécurité...) et dommages environnementaux (déforestation, pollution...) dans leurs chaînes de valeur partout dans le monde, y compris chez leurs fournisseurs, sous-traitants et filiales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Contrôleurs aériens en France: un syndicat lève le préavis de grève

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Le syndicat majoritaire des contrôleurs aériens a levé son préavis de grève prévue jeudi en France (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/ARMANDO FRANCA)

Le syndicat majoritaire chez les contrôleurs aériens français a annoncé mercredi la levée de son préavis de grève pour jeudi, un mouvement qui s'annonçait massivement suivi.

"Un accord a été trouvé, le SNCTA lève son préavis", a expliqué l'organisation dans un court message sur son site internet, à l'issue d'une conciliation de "dernière minute" dans la nuit de mardi à mercredi avec la Direction générale de l'aviation civile (DGAC). Contactée par l'AFP, l'administration n'a pas confirmé cette information dans l'immédiat.

Deux autres syndicats, l'Unsa Icna et l'Usac-CGT, avaient également appelé à la grève. Le SNCTA n'a pas communiqué de détails sur le protocole de sortie de crise. Il protestait contre les mesures d'accompagnement, notamment salariales, d'une refonte du contrôle aérien français.

La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) avait demandé aux compagnies de renoncer à une majorité de leurs vols jeudi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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