Suisse Romande
Yverdon-les-Bains met au point sa stratégie de durabilité 2030
"Yverdon-les-Bains Durable", c'est la nouvelle stratégie de durabilité de la commune. L'outil présenté ce matin par la Ville a été construit grâce à un processus participatif. Il a été inspiré par les 17 objectifs de développement durable de l'ONU.
Yverdon-les-Bains se dote d'une stratégie de durabilité. Présenté ce matin, cet Agenda 2030 est inspiré des 17 objectifs de développement durable de l'ONU. Dans ce nouveau document, figurent plus d’une centaine d’axes d’action pour une ville plus durable. Parmi eux : la promotion de la mobilité douce, l'égalité des chances, la réduction des émissions de gaz à effet de serre, le soutien au commerce local ou la préservation de la biodiversité. L’Agenda 2030 vient par ailleurs remplacer l’Agenda 21 qui date des années 2000. Silli Mona, déléguée à la durabilité d’Yverdon-les-Bains:
Le question du développement urbain et de la mobilité est un enjeu central dans cet Agenda 2030, selon Carmen Tanner, municipale en charge de la durabilité:
Autre engagement que prend la Municipalité d’Yverdon avec cet Agenda 2030, c’est l’exemplarité de l’administration en matière de durabilité. Carmen Tanner:
La Ville a élaboré ce plan grâce à un processus participatif qui a permis de récolter plus de 260 idées et projets qui ont alimenté la stratégie. Silli Mona, déléguée à la durabilité d’Yverdon-les-Bains:
Certaines impulsions ont déjà été mises en œuvre. Carmen Tanner, municipale en charge de la durabilité:
L’ensemble de cette stratégie, baptisée "Yverdon-les-Bains Durable", va se déployer dans un second temps en un plan d'action posant des objectifs dans le temps. Lui aussi, sera alimenté par la démarche participative affirment les autorités.
Genève
Affaire Sperisen: le Ministère public a recouru contre la suspension de peine
A Genève, le Ministère public a fait recours contre l'interruption de peine accordée jeudi à Erwin Sperisen par le Tribunal d'application des peines et des mesures (TAPEM). L'ex-chef de la police nationale du Guatemala pourrait ne pas sortir lundi de prison.
Ce recours, révélé vendredi par Léman Bleu, a été confirmé à Keystone-ATS par le Ministère public. L'effet suspensif est accordé au recours, car le risque qu'Erwin Sperisen quitte le pays est concret. Lors de l'audience jeudi devant le TAPEM, Erwin Sperisen avait dit vouloir idéalement vivre en dehors de Suisse, car "après cette injustice", il ne voulait plus rien à voir avec ce pays.
Le maintien en détention d'Erwin Sperisen est donc ordonné jusqu'à ce que le recours soit tranché. La libération d'Erwin Sperisen est à ce stade compromise. "Cette situation est tellement kafkaïenne et instable que tout semble encore pouvoir se produire dans les prochains jours", a déclaré Florian Baier, l'un de ses avocats. L'effet suspensif pourrait être levé ces prochains jours.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Masques à l'école: des parents amendés acquittés par la justice
Le tribunal cantonal du Valais a libéré des parents des amendes qui leur avaient été infligées pour avoir refusé d'envoyer leurs enfants en classe en raison du port du masque durant une vague de contamination de Covid-19. Le canton pourrait faire recours au TF.
"C'est une grande victoire pour la liberté et pour la santé des enfants", s'est réjoui vendredi dans un communiqué le Collectif Parents Valaisans qui a soutenu certains recourants durant la procédure. Keystone-ATS a pu se procurer l'un des arrêts rendus par le tribunal cantonal (TC) du Valais en août dernier.
Les parents dont il est question n'ont pas envoyé leur enfant, un élève de 5H, à l'école du 10 au 28 janvier 2022. Pour ce refus ont été condamnés à une amende de 600 francs par l'inspecteur scolaire et ont fait recours.
Un refus ou des doutes
Le TC a acquitté les parents de l'accusation de contravention et les a libérés de l'amende de 600 francs. Dans son arrêt du 22 août dernier, il relève qu'en janvier 2022, "l'obligation du port du masque était discutée" et "suscitait chez un bon nombre de gens, sinon un refus (...), en tout cas des doutes (...)."
Partant de cela, le tribunal estime "que les agissements reprochés aux prévenus sont la conséquence d'une appréciation des faits qu'une certaine fraction de la population prenait au sérieux". Et comme "l'on ne pourrait raisonnablement contraindre des parents à exposer leur enfant à de grosses difficultés de santé en acceptant que celui-ci aille en classe avec un masque qui lui serait nocif", les prévenus doivent être acquittés.
Le TC a admis que les parents pouvaient de bonne foi refuser le port du masque obligatoire car, ce faisant, ils pensaient protéger la santé de leur enfant.
Possible recours
Contacté par Keystone-ATS, Jean-Philippe Lonfat, chef du service valaisan de l'enseignement, indique que le département est en train d'étudier l'arrêt du TC et la possibilité d'un recours au Tribunal fédéral (TF). Celui-ci pourrait être déposé d'ici la mi-octobre.
Le port du masque obligatoire dès la 5e année Harmos en janvier 2022 avait fait l'objet d'un autre jugement au tribunal cantonal. Cette fois, les parents, qui ne contestaient pas une éventuelle amende mais le port du masque lui-même vécu comme "une atteinte à la liberté personnelle et à la protection des enfants", ont été déboutés.
Dans cet arrêt du 27 octobre 2022, le tribunal avait notamment estimé que la décision du Conseil d'Etat de rendre le port du masque obligatoire était adéquate et proportionnée au vu des informations à sa disposition. De plus, il s'agissait de la mesure la plus adaptée puisqu'elle évitait la fermeture pure et simple des écoles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
L'IMAD inaugure son nouveau siège à Pont-Rouge
L'Institution genevoise de maintien à domicile (IMAD) a inauguré vendredi son nouveau siège situé dans un immeuble flambant neuf de l'esplanade de Pont-Rouge à Lancy (GE). Ces locaux de 7900 m2 destinés aux 2400 membres du personnel de l'IMAD offrent des espaces de travail ouverts et intègrent un campus dédié à la formation.
"Plus de 90% de l'effectif est directement sur le terrain", a souligné Marie Da Roxa, directrice générale de l'IMAD. Par rapport à l'ancien siège situé à Carouge, les places de travail individuelles ont été réduites de moitié au bénéfice des espaces collaboratifs.
Les nouveaux locaux sont lumineux et privilégient les grands volumes. L'IMAD loue ce bâtiment, qui appartient à la Caisse de pension de l'Etat de Genève (CPEG), pour un montant annuel de 3,5 millions de francs. Ce loyer se situe dans la "fourchette moyenne" pour ce type de locaux, selon l'IMAD.
Pierre Maudet, qui a pris la tête du département de la santé il y a un peu plus de trois mois, a insisté sur l'importance des soins à domicile dans la politique de la santé. Son mentor en politique, le radical Guy-Olivier Segond, avait déjà désigné le maintien à domicile comme un maillon essentiel de la santé. C'était en 1992.
Digitalisation
En 2023, alors que l'IMAD fête ses 10 ans, ce sont 8300 prestations fournies quotidiennement à plus de 18'300 patients de tous les âges. "Le système a démontré toute son agilité pendant la crise sanitaire", a relevé M. Maudet. Parmi les défis que devra relever l'IMAD, il a cité l'approche en réseau axée sur les soins ambulatoires, la formation du personnel et l'accélération de la digitalisation.
L'IMAD rassemble plus de 170 métiers, a indiqué Mme Da Roxa. Cet établissement autonome public est l'entreprise qui forme le plus d'assistant en soins et en santé communautaire à Genève. Mais ça ne suffira pas pour répondre aux besoins dans le canton, selon M.Maudet. Après une période d'observation pour poser un diagnostic, il compte bien "bousculer les acteurs de la santé" et les "sortir de leur zone de confort".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
L'adjoint de Charles Morerod se met en retrait
Les accusations d'abus sexuels continuent d'ébranler l'Eglise catholique en Suisse. A la suite d'un signalement en justice, Bernard Sonney, le vicaire général du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg, a décidé de se mettre en retrait de sa fonction.
Le vicaire général, soit l'adjoint direct de l'évêque Charles Morerod, a préféré se retirer le temps de l'enquête, a indiqué vendredi le diocèse devant la presse à Fribourg. Le signalement provient de la lettre d'une victime présumée, envoyée à Mgr Morerod.
Le diocèse a aussi annoncé vendredi avoir suspendu un prêtre dans le canton de Neuchâtel. Son identité et la nature des faits, signalés par un évêque étranger, n'ont pas été précisées.
Mgr Morerod, opéré mi-septembre à la suite d'un saignement intracrânien et toujours convalescent, était absent vendredi devant la presse. Egalement privé de son vicaire général, le diocèse est actuellement dépourvu de prêtre au sein de sa gouvernance. Un comité de gestion, formé de quatre laïcs, a été mis en place ad intérim.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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