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Culture

Lausanne: l'orgue en vedette grâce à un nouveau festival

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Benjamin Righetti, organiste, joue pendant le concert d'ouverture lors de la première édition de la Biennale Organopole dans l'église Saint-Francois à Lausanne. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La première édition de la Biennale Organopole se déroule en décembre à Lausanne. Pendant tout le mois, le festival propose de nombreux concerts pour promouvoir l’univers de l’orgue, la majorité avec entrée libre. A découvrir à l'église St-François, à la cathédrale, ou encore dans les quartiers.

Lausanne est une cité d’orgues extraordinaire, se réjouit la Fondation Organopole dans un communiqué. La Cathédrale dispose du plus grand instrument loin à la ronde, l’église Saint-François vibre aux sons de quatre orgues et quelques-unes des églises de quartiers sont pourvues de véritables bijoux, parfois méconnus.

Pour découvrir ces précieux instruments, douze concerts sont à l'affiche à l'église St-Francois, la Biennale faisait partie du programme de clôture des festivités de ses 750 ans. Quatre "organic sundays" sont prévus les dimanches à la Cathédrale, ainsi que huit visites dans les quartiers.

Récitals de légende

A l'affiche, des récitals de légendes de l'orgue tel que Leo Van Doeselaar, des concerts pour ch½ur avec Pro Arte, l'Ensemble vocal de Lausanne ou l'Académie vocale de Suisse romande, des concerts avec les étudiants de la HEMU et du Conservatoire, ou encore un ciné-concert sur un film muet historique.

Des improvisations sur des thèmes de Noël feront vivre l'esprit des Fêtes. Des artistes locaux feront découvrir leur passion pour l'orgue, à l'instar de Benjamin Righetti, directeur artistique du festival et Valentin Villard.

Tous les événements de la Biennale sont en entrée libre, à l'exception des concerts des dimanches 4, 11 et 18 décembre à Saint-François, précisent les organisateurs.

https://biennale.organopole.com/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le théâtre La Grange présente son festival et sa saison 2023-2024

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Le théâtre la Grange de Dorigny dévoilé mardi le programme de son festival Fictions futures, demains réels, et du restant de son année artistique 2023-2024 (image d'illustration) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le théâtre La Grange, situé sur le campus de l'Université de Lausanne (UNIL), a dévoilé le programme de son festival "Fictions futures demains réels" qui débutera mercredi. Tables rondes, vernissages et rencontres sont au programme, alors que le reste de la saison 2023-2024 prévoit une vingtaine d'autres événements.

L'année artistique de La Grange débutera sur trois semaines d'un "festival transdisciplinaire qui propose une réflexion sur les mutations sociétales à venir en partant des enjeux d'aujourd’hui", ont indiqué les organisateurs.

Du 27 septembre au 14 octobre, le théâtre y réunira artistes, scientifiques et étudiants, pour "donner à voir et à entendre différentes visions du monde de demain".

Après le festival suivront diverses représentations théâtrales, comme celle de La Belle et la Bête par Jeanne Föhn et Ludovic Chazaud ou encore Médée Superstar de la Compagnie Les Bernardes.

L'annuel festival des cultures universitaires (Fécule) de la Grange – "véritable tourbillon de propositions multidisciplinaires" – tiendra sa 17e édition du 29 avril au 5 mai.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les Colombiens rendent un dernier hommage à Fernando Botero

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Le corps de Fernando Botero restera jusqu'à dimanche accessible aux hommages du public, au coeur du centre historique de Bogota. (© KEYSTONE/EPA/MAURICIO DUENAS CASTANEDA)

Des centaines de Colombiens ont commencé vendredi à rendre un dernier hommage à l'artiste Fernando Botero, décédé le 15 septembre, défilant devant sa dépouille à Bogota. Une semaine de cérémonies commémoratives est prévue dans sa patrie natale.

Arrivé jeudi soir de Monaco, où le peintre et sculpteur est décédé à l'âge de 91 ans, le cercueil recouvert du drapeau tricolore colombien est exposé dans une chapelle ardente ouverte au public au siège du Parlement.

Une première cérémonie entamée au son d'une chorale accompagnée d'un orchestre et décorée de dizaines de compositions florales a d'abord été rendue devant députés, sénateurs et membres de la famille. "Nous sommes bouleversés, émus et profondément reconnaissants pour les témoignages d'affection, de reconnaissance et de gratitude à l'égard de mon père", a déclaré sa fille Lina Botero.

Le président du Sénat, Ivan Name, a fait l'éloge de ce "Colombien universel". Botero "a arrêté le monde pendant un moment [...] Il l'a fait avec un pinceau et avec ses mains, lorsqu'il a réussi à peindre un monde différent. Un monde qui reflétait la réalité de son pays, mais qui contenait aussi les clés secrètes de l'esprit humain", a-t-il dit.

Medellin

Une longue file d'anonymes étirée depuis le début de l'après-midi s'est ensuite inclinée devant le cercueil de l'artiste colombien le plus célèbre au monde.

Le corps de l'artiste, célèbre pour ses personnages aux formes voluptueuses, restera jusqu'à dimanche accessible aux hommages du public, au coeur du centre historique de Bogota. Lundi, la dépouille sera transférée à Medellin (nord-ouest), sa ville natale, où plusieurs événements seront organisés avant la crémation du corps.

Ses cendres seront ensuite rapportées en Europe, dans le cimetière du petit village italien de Pietrasanta où il vivait, pour être déposées au côté de son épouse, l'artiste grecque Sophia Vari, décédée en mai.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les murs reconstitués de Burhan Doğançay exposés au MAH de Genève

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Cette oeuvre intitulée "Make Love, not War" (1975) est exposée au MAH de Genève dans le cadre de l'exposition "Les Murs de Buhran Doğançay". (© Succession de Buhran Doğançay Musée d'art et d'histoire de Genève)

Le Musée d'art et d'histoire (MAH) de Genève présente 55 dessins de la série "Walls of Israel" réalisée par l'artiste turco-américain Burhan Doğançay. Ces oeuvres, à mi-chemin entre la peinture, le dessin et le collage, sont exposées pour la première fois en Suisse.

"Burhan Doğançay (1929-2013) a eu un choc esthétique en observant le pan d'un mur en 1963 à Manhattan", explique Bénédicte de Donker, commissaire de l'exposition "Les Murs de Burhan Doğançay". L'artiste a vu dans ce mur la révélation d'une peinture abstraite. Depuis, il a reconstitué des murs dans son atelier new-yorkais en utilisant des photos, des affiches, des esquisses ou même des morceaux de murs.

Les oeuvres ont été données en 2018 au MAH par Angela Doğançay, la veuve de l'artiste. Elle a choisi Genève, où elle a vécu deux ans, pour son aspect international. Son mari voulait que certaines oeuvres soient conservées dans un endroit où elles seraient préservées, en dehors des circuits commerciaux, a-t-elle expliqué.

mahmah.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Première édition de la Biennale Son en Valais

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La Centrale de Chandoline accueille une exposition et la majorité des performances et concerts de la première Biennale Son. (© Olivier Lovey)

La première Biennale Son se déploie en Valais jusqu'au 29 octobre. Le public peut découvrir les oeuvres de plus de septante artistes.

"Mettre en lumière l'importance accrue du son dans l'art contemporain", telle est l'ambition de cette première édition. Au menu, expositions, concerts et performances dans dix-sept lieux de Martigny à Sierre en passant par Ayent et Vercorin.

Céleste Boursier-Mougenot & Ariane Michel, Valentin Carron, Latifa Echakhch, Eva Frapiccini, Christian Marclay, Adrien Missika, Anri Sala, The Young Gods & Landwehr, Hannah Rickards, Roman Signer: plus de 70 artistes et musiciens ont été invités à participer à cette manifestation d'envergure internationale.

Centre névralgique

La ville de Sion concentre une bonne partie des événements, et plus particulièrement l'ancienne usine hydroélectrique de Chandoline, centre névralgique de la biennale. Ce vaste bâtiment des années trente accueille une exposition et la majorité des performances et concerts.

Dans le chef-lieu valaisan, la biennale se déploie également à la Ferme-Asile, au Musée d'art du Valais, à l'église des Jésuites, au château de Tourbillon, à la Basilique de Valère et au Spot. A Martigny, la biennale se décline au Manoir, à la Fondation Louis Moret, au Musée du son, à la Grange à Emile, à la médiathèque et à la chapelle Saint-Michel.

Les co-curateurs de cette première biennale sont Jean-Paul Felley, directeur de l'Ecole de design et haute école d'art du Valais (EDHEA), Christophe Fellay, artiste sonore, musicien, compositeur, performeur et improvisateur, Luc Meier, directeur de La Becque, résidence d'artistes à la Tour-de-Peilz et Sylvie Zavatta, directrice du FRAC Franche-Comté.

https://www.biennaleson.ch/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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