International
Journée des soins infirmiers: actions dans toute la Suisse
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Le personnel en soins infirmiers est en première ligne pour lutter contre le Covid-19. Sous pression, il quitte souvent la profession. La journée internationale des infirmières mercredi est l'occasion de demander une revalorisation du métier, y compris en Suisse.
C'est la deuxième année consécutive que cette Journée internationale se déroule dans le sillage de la pandémie de Covid. Aujourd'hui, le personnel montre des signes d'épuisement, selon le Conseil international des infirmières (CII). La fédération craint que 3 millions d'infirmières ne quittent la profession.
Burnout, dépression, troubles du sommeil: 80% des associations nationales d'infirmières font état de problèmes de santé chez les infirmiers et infirmières. Outre la surcharge de travail, nombre d'employés de ce secteur sont décédés du virus.
Faible reconnaissance
La fédération a recensé 2700 décès prouvés d'infirmières, mais le nombre réel de victimes est probablement beaucoup plus élevé. Or ces travailleurs souffrent déjà d'un stress élevé, d'une faible rémunération et d'une faible reconnaissance en temps normal,
La fédération met en garde contre un exode massif des infirmières de la profession. La Suisse n'échappe pas à cette menace. Même avant la pandémie, près de la moitié des infirmières formées avaient tourné le dos à la profession, souvent avant leur 35e anniversaire, rappelle l'Association suisse des infirmières et infirmiers (ASI).
Aujourd'hui, "il n'y a toujours pas de suivi des conséquences de la pandémie pour les infirmières en Suisse", déclare Sophie Ley, présidente de l'ASI. "Applaudir ne suffit pas!", renchérit le syndicat Unia pour qui "les salaires ne correspondent pas à la responsabilité qu'ils assument".
Marches et actions
Ce mercredi, plusieurs sections de l'ASI organiseront des marches de protestation ou des actions sur les réseaux sociaux pour attirer l'attention du public. Unia mobilisera aussi ses adhérents dans différentes villes pour demander une meilleure protection des travailleurs et de meilleurs salaires.
Mercredi, l'ASI tiendra en outre son congrès qui sera ouvert par un message vidéo du Président de la Confédération Guy Parmelin. La directrice de l'OFSP, Anne Lévy, parlera de l'importance des soins infirmiers pendant la pandémie.
Occasion ratée
Sur le plan suisse, l'ASI regrette que le Parlement n'ait pas saisi l'opportunité du contre-projet à l'initiative sur les soins infirmiers pour améliorer les conditions de travail du personnel en soins infirmiers. "Il ne suffit pas de former plus d'infirmières, quand elles quittent la profession après quelques années, selon Sophie Ley.
Le contre-projet indirect a été adopté à la dernière session de mars. Il prévoit l'extension des compétences des infirmiers et veut encourager la formation.
L'initiative populaire veut elle revaloriser le métier. Elle réclame des conditions plus attrayantes et des salaires appropriés surtout lors de la formation. Le texte a été rejeté tant par le Conseil fédéral que le Parlement.
Culture
Une galerie du Louvre ferme à cause d'une "fragilité" de l'édifice
Une des galeries du Louvre va être fermée au public "par mesure de précaution". Un audit a révélé la "particulière fragilité" de certaines poutres d’une aile du bâtiment, a annoncé lundi le musée dans un communiqué.
Abritant neuf salles dédiées à la céramique grecque antique, la galerie Campana sera fermée le temps que des "investigations" soient menées "sur la particulière fragilité de certaines poutres portant les planchers du deuxième étage de l'aile sud" du quadrilatère Sully, qui enserre la cour carrée du Louvre. Il s'agit "d'évolutions récentes et imprévisibles", assure le musée.
Contacté par l'AFP, un porte-parole de l'établissement n'a pas pu préciser quand cette décision prendrait effet ni pour combien de temps.
Dans son communiqué, le musée le plus visité au monde précise également que les bureaux situés au 2e étage de cette aile sud et réservés à des agents du musée seront, eux, évacués "au cours des trois prochains jours".
A l'appui de cette décision, le musée invoque les conclusions d'un rapport d'un bureau d'études techniques qui lui a été remis vendredi, et assure avoir "immédiatement lancé une campagne complémentaire d'investigations afin de déterminer les causes de ces évolutions récentes et mener au plus tôt les travaux nécessaires".
La galerie Campana est située sur la même aile sud du Louvre où un commando de malfaiteurs a réussi à s'introduire le 19 octobre, dérobant huit joyaux de la Couronne d'une valeur estimée à 88 millions d'euros. Les bijoux restent aujourd'hui introuvables.
Grande vétusté du musée parisien
En janvier 2025, la présidente du Louvre Laurence des Cars, sous pression depuis ce spectaculaire casse, avait alerté le ministère de la Culture de l'état de grande vétusté du musée parisien, évoquant notamment "la multiplication d'avaries dans des espaces parfois très dégradés".
Peu après cette alerte, le président Emmanuel Macron avait annoncé le lancement d'un vaste chantier de rénovation et de modernisation du Louvre, centré notamment sur le quadrilatère Sully. Ces travaux ont été estimés par l'entourage du chef de l'Etat à quelque 800 millions d'euros, un montant revu nettement en hausse dans un récent rapport de la Cour des comptes qui évoque un coût d'au moins 1,15 milliard d'euros.
Après avoir été interrogée par des sénateurs dans la foulée du casse du 19 octobre, Laurence des Cars est entendue mercredi matin par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
L'UE défend sa taxe carbone aux frontières à la COP30
L'heure est venue d'imposer une tarification du carbone la plus large possible, a défendu l'Union européenne lundi à la COP30, une réponse implicite aux attaques de la Chine et d'autres pays contre sa taxe carbone aux frontières.
"La tarification du carbone est une mesure que nous devons mettre en oeuvre avec le plus grand nombre possible, et le plus rapidement possible", a dit Wopke Hoekstra, commissaire européen au climat, à son arrivée à Belem, en Amazonie brésilienne, pour la seconde semaine de la conférence sur le climat de l'ONU.
"Vous connaissez tous la citation de Victor Hugo selon laquelle rien n'est plus puissant qu'une idée dont l'heure est venue. Et c'est quelque chose que nous devons poursuivre", a encore affirmé le dirigeant, faisant semble-t-il allusion à cette citation de l'écrivain: "On résiste à l'invasion des armées; on ne résiste pas à l'invasion des idées".
Le mécanisme environnemental européen qui irrite nombre de pays étrangers s'est invité à la COP30. Pour verdir ses importations, l'UE a lancé en 2023 un "mécanisme d'ajustement carbone" aux frontières (CBAM), en phase de test avant de devenir pleinement opérationnel à partir de 2026.
Cette "taxe carbone" s'appliquera à l'acier, à l'aluminium, au ciment, aux engrais, à l'électricité et à l'hydrogène, des secteurs extrêmement polluants et exposés à une forte concurrence internationale. Elle vise à imposer aux importations un prix du carbone similaire à celui en vigueur en Europe, où les entreprises payent déjà pour polluer.
L'Europe met en avant un mécanisme "vertueux", qui incite le reste du monde à être plus exigeant en matière environnementale. Mais il est perçu par d'autres pays comme une barrière commerciale déguisée. Il est notamment dans le viseur des Etats-Unis et d'autres Etats tels que la Chine, l'Inde et la Bolivie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Emirates commande des Boeing valant 38 milliards de dollars
Le groupe Emirates, propriétaire de la plus grande compagnie aérienne du Moyen-Orient, a annoncé lundi, au premier jour du Salon aéronautique de Dubaï, avoir commandé 65 appareils Boeing 777X pour une valeur de 38 milliards de dollars (30,2 milliards de francs).
Les livraisons devraient commencer à partir du deuxième trimestre 2027 dans le cadre de ce contrat, qui inclut également 130 moteurs GE9X de General Electric.
"C'est un engagement à long terme qui soutient des centaines de milliers d'emplois manufacturiers à haute valeur ajoutée", a commenté le dirigeant d'Emirates, Cheikh Ahmed ben Saeed Al Maktoum, lors d'une conférence de presse.
Emirates, basée à Dubaï, la compagnie aérienne la plus rentable au monde, était déjà le plus important client du Boeing 777.
Elle a maintenant 315 avions gros-porteurs ou long-courriers Boeing en commande. La compagnie a exprimé sa frustration face aux retards répétés de livraisons du 777X, qui avaient déjà été repoussées de 2025 à 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La BCE met en garde contre la bulle technologique liée à l'IA
La flambée des valeurs technologiques et la fragilité de leurs modèles économiques fondés sur l'IA accroissent les risques pour la stabilité financière, a mis en garde lundi un haut responsable de la Banque centrale européenne.
Les géants technologiques américains - Apple, Microsoft, Google, Amazon ou le fabricant de puces Nvidia - sont étroitement surveillés en raison de leurs valorisations élevées et des risques que cela fait peser sur la stabilité des marchés.
Ces marchés financiers restent "vulnérables à des baisses soudaines de cours", alors que l'optimisme qui a suivi les places boursières mondiales après les creux d'avril "a encore fait grimper" le cours des actions de ces groupes déjà élevés, a déclaré le vice-président de l'institut monétaire Luis de Guindos lors d'un congrès bancaire à Francfort.
Au centre de cette hausse, Luis de Guindos a pointé la montée en puissance de "quelques grands groupes technologiques américains", sans citer de noms, dont la valeur boursière et les liens entre eux ne cessent de croître.
Cette concentration expose les marchés boursiers mondiaux à des "risques liés à d'éventuels chocs", dus à des "modèles économiques fondés sur l'IA", qui pourraient défaillir, selon le banquier central.
À cela s'ajoute selon lui un "décalage apparent" entre "l'incertitude" entourant la politique économique mondiale - entre dérapages budgétaires publics et tarifs douaniers - et "la sérénité" affichée par les marchés.
Cela pourrait ouvrir la voie à "des retournements soudains du sentiment" chez les investisseurs.
De tels chocs pourraient mettre sous pression en particulier les acteurs non bancaires du système financier, de surcroît peu régulés : il peut s'agir de fonds d'investissement ouverts, dont la quantité d'actions peut être augmentée quotidiennement au gré des achats par les investisseurs, et des fonds d'investissement alternatifs (hedge funds).
Ces derniers, fortement endettés, présentent des risques de liquidité qui pourraient "provoquer des ventes forcées et accentuer les tensions sur les marchés", selon M de Guindos.
En octobre, le FMI a averti que les failles du secteur financier non bancaire - désormais responsable de près de la moitié des actifs mondiaux - pourraient rapidement se transmettre aux banques et amplifier une crise.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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