Football
Ligue des champions: le Real Madrid bat Liverpool grâce à Courtois
Le Real Madrid a remporté la Ligue des champions pour la 14e fois de son histoire. En finale au Stade de France, les Espagnols ont battu Liverpool 1-0 grâce à un but de Vinicius (59e).
Les Reds ont eu les meilleures occasions, mais ils se sont brisés sur un Thibaut Courtois exceptionnel. Le gardien belge a été le meilleur homme de cette finale qui n'a pas atteint les sommets attendus.
Après avoir sorti le PSG, Chelsea et Manchester City dans des circonstances souvent dramatiques, le Real semblait vraiment destiné à gagner un nouveau titre. L'issue peut cependant paraître cruelle pour Liverpool, qui a manqué un peu de jus dans ce qui était son 63e match de la saison. Tant physiquement que mentalement, les Anglais n'ont pas évolué à leur meilleur niveau.
Coup d'envoi retardé
La première période, dont le coup d'envoi a été retardé de 36 minutes suite à des problèmes d'accès au stade pour les supporters, a été dominée par Liverpool face à un Real prudent et attentiste. Les Reds ont été dangereux à plusieurs reprises, mais sans trouver la faille.
Courtois a sauvé deux fois, d'abord sur une reprise de Salah (16e), puis sur un tir de Mané (21e) que le gardien belge déviait du bout des doigts sur le poteau. Les Espagnols n'ont quant à eux jamais inquiété Alisson avant une réussite de Benzema (44e) refusée pour hors-jeu par la VAR après plusieurs minutes de vérification.
Les Madrilènes prenaient l'avantage juste avant l'heure de jeu. Vinicius, abandonné par Alexander-Arnold, reprenait un centre de Valverde pour battre Alisson de près (59e). Courtois s'interposait ensuite encore sur un tir de Salah (64e), puis sur une reprise de l'Egyptien (69e). Le Belge sauvait encore une fois devant Jota (80e) puis Salah (82e), de manière incroyable, méritant vraiment d'être élu homme du match.
Page d'histoire
Le Real a donc cimenté sa place au sommet de l'Europe du ballon rond avec ce 14e sacre. Et son entraîneur italien Carlo Ancelotti a aussi écrit une page d'histoire: il est devenu le premier technicien à gagner quatre fois la compétition après ses succès à la tête de l'AC Milan (2003/2007) et du Real Madrid déjà (2014). Ancelotti avait aussi remporté l'épreuve à deux reprises en tant que joueur avec l'AC Milan.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Un rebond impératif en octobre
Octobre sera-t-il le mois du rebond pour l'équipe de Suisse ?
Après leur entame ratée dans la Ligue des nations avec deux défaites 2-0 au Danemark et 4-1 contre l'Espagne, les quarts de finaliste de l'Euro se retrouvent le dos au mur avant de se déplacer en Serbie le 12 et de recevoir le Danemark à St-Gall le 15.
"Nous devons prendre 6 points lors de ces deux matches", commande Manuel Akanji, capitaine d'un soir dimanche à Genève et qui n'a pas pu empêcher son équipe de concéder deux buts à... onze contre dix en fin de rencontre. Ce dernier quart d'heure contre les Champions d'Europe fut particulièrement affligeant pour une équipe qui avait entraîné avec elle le public genevois lors de sa folle sarabande de la fin de la première période.
L'absence de Granit Xhaka provoquée par ce carton rouge vraiment stupide à Copenhague, le manque de souffle de plusieurs héros de l'Euro - on pense en premier lieu à Ricardo Rodriguez, à Remo Freuler et à Michel Aebischer - ont, il est vrai, bien compliqué la tâche de Murat Yakin dimanche soir. Le forfait de dernière minute de Silvan Widmer, blessé à l'échauffement, qui s'ajoutait à celui de Dan Ndoye, devait encore réduire sa marge de man½uvre.
Zakaria le grand perdant
Mais le coup le plus dur pour le sélectionneur fut la performance sans relief livrée par Denis Zakaria. Le capitaine de l'AS Monaco est le grand perdant de cette rencontre. Son remplacement à la 62e minute sonnait comme une sanction. "Ce n'était pas un match pour lui, lance Murat Yakin. Denis est un joueur qui perce les lignes et non un joueur qui doit ordonner le jeu à onze contre dix comme aurait pu le faire Xhaka."
Murat Yakin aurait sans doute été plus inspiré d'aligner le Genevois en défense. A Copenhague, il avait hésité à le titulariser à la place de Nico Elvedi. Dimanche, Gregory Wüthrich, appelé à remplacer le Zurichois, a dévoilé bien des limites. Le public genevois a pu se demander si Steve Rouiller, le patron de la défense du Servette FC, n'aurait pas remplacé avantageusement le joueur du Sturm Graz...
Un match couperet
A Leskovac face à la Serbie, son meilleur ennemi qui réservera sans doute un accueil très particulier à Granit Xhaka, la Suisse s'apprête à vivre une soirée bien difficile. Mais cette rencontre sonne déjà comme un match couperet.
Avec une défaite, le risque d'une relégation directe en Ligue B de la Ligue des nations sera plus encore plus oppressant. Et si la Suisse ne gagne pas ce match, son statut de tête de série pour le tirage au sort du tour préliminaire de la Coupe du monde sera encore davantage remis en question.
Murat Yakin est parfaitement conscient des enjeux d'octobre. "Nous allons revenir plus fort", promet-il. Il espère que Zeki Amdouni, peut-être son meilleur homme dimanche, pourra s'affirmer ces toutes prochaines semaines à Benfica, que Ruben Vargas retrouvera un temps de jeu plus conséquent à Augsbourg malgré son refus de prolonger son contrat et, surtout, que Dan Ndoye aura soigné sa blessure musculaire pour reprendre ses numéros de voltige qui avaient enchanté les supporters suisses à l'Euro. Le salut de l'équipe de Suisse passe en premier lieu par ce trio.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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La France se rachète
La France s'est rachetée après sa défaite vendredi dernier contre l'Italie (3-1) en Ligue des Nations. A Lyon, les Bleus ont dominé la Belgique 2-0.
Une réussite de Kolo Muani à la 29e et une belle frappe d'Ousmane Dembele à la 57e ont permis aux hommes de Didier Deschamps de remporter cette partie. Souvent raillé pour le manque de précision de ses tirs, le joueur du PSG a été excellent dans la ville des Gones.
Les Tricolores ont eu d'autres possibilités d'aggraver le score, notamment par Kylian Mbappé, entré à la 67e, mais le portier belge Koen Casteels a été très bon.
Il fallait se reprendre après le revers concédé face à l'Italie, alors que la France avait très bien commencé la rencontre en marquant le but le plus rapide de son histoire par Barcola.
Dans l'autre rencontre de ce groupe 2 de la Ligue A, l'Italie a battu Israël 2-1 à Budapest. Les Transalpins sont en tête de ce groupe.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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"Il faut l'accepter et repartir de l'avant"
"L'arbitrage n'était pas de notre côté cette semaine. Il faut l'accepter et repartir de l'avant !" Murat Yakin la joue sobre. Le coach national ne veut pas faire un roman de l'arbitrage.
"Ce soir, le premier but de l'Espagne n'est peut-être pas valable. Qui peut dire que le ballon a complètement franchi la ligne ? Ensuite, on nous prive de l'égalisation pour une main, explique le sélectionneur. Je veux bien. Mais il y a aussi une main dans la surface espagnole qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty pour nous offrir une chance de revenir à 2-2..."
Murat Yakin reconnaît toutefois que son équipe aurait dû défendtre d'une manière bien plus intelligente en fin de match. "Surtout à onze contre dix, fulmine-t-il. Nous avons aussi eu de la peine à tenir le rythme qui était le nôtre en première mi-temps durant tout le match. Il y a des joueurs qui ont dû prendre la place des absents et qui n'étaient peut-être pas armés pour jouer avec une telle intensité. L'absence de Xhaka a, par ailleurs, pesé. Avec la qualité de ses passes et sa faculté de trouver les bonnes solutions, il aurait pu nous apporter énormément ce soir. Et il ne faut pas oublier que Dan Ndoye était également absent. On a vu tout ce qu'il a pu apporter lors du dernier Euro."
"Je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas été en mesure d’enchaîner après la pause, se désole également le capitaine d’un soir Manuel Akanji. Nous aurions dû exploiter notre supériorité numérique, notamment sur les côtés. En première période, nous avions su trouver Breel (Embolo). Ruben (Vargas) a fait mal dans les un-contre-un et Zeki (Amdouni) a su jouer entre les lignes."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le Portugal bat l'Ecosse grâce à Ronaldo
Le Portugal a beaucoup souffert pour s'imposer face à l'Ecosse (2-1) pour le compte de la deuxième journée de la Ligue des nations.
La Seleçao a fait la différence grâce à un but décisif de Cristiano Ronaldo, sur le banc en début de match dimanche à Lisbonne.
Les Ecossais ont ouvert le score sur une tête de Scott McTominay (7e, 1-0). Bruno Fernandes, qui fêtait dimanche son 30e anniversaire, a rétabli l'égalité d'une frappe lointaine du gauche (54e, 1-1). Entré à la mi-temps, Ronaldo a délivré les siens peu avant le coup de sifflet final, en marquant à bout portant sur un service de Nuno Mendes (88e, 2-1).
Après avoir battu la Croatie (2-1) jeudi, également à Lisbonne, le Portugal est donc en tête du classement de sa poule, où la Croatie a battu la Pologne (1-0) dans l'autre match du soir.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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